n° 15429 | Fiche technique | 24367 caractères | 24367Temps de lecture estimé : 15 mn | 28/01/13 |
Résumé: Les suites d'une visite dans un bois bien fréquenté. | ||||
Critères: hhh inconnu forêt exhib hmast facial fellation anulingus hsodo confession -totalsexe -hhomo -nature | ||||
Auteur : Jd (Un amoureux des textes beaux et excitants) |
Épisode précédent | Série : Un bois ordinaire Chapitre 02 | Fin provisoire |
Résumé : je vous avais laissés, chers lecteurs, dans le bois de M. dans les Yvelines, un beau jour de juin alors que je venais de passer un moment à contenter les désirs charnels de deux hommes. Je m’étais aperçu qu’un voyeur nous avait observés pendant une grande partie de nos ébats sur le tapis d’herbe rase au milieu d’une clairière de ronces et d’herbes folles. Laissant mes deux comparses récupérer de leur plaisir que je qualifierais d’abondant, j’avais repris mon chemin dans l’espoir de vivre à nouveau d’intenses minutes de plaisir. Je m’étais alors aperçu que notre voyeur attendait. Je l’avais alors suivi dans le bois. Un homme jeune, grand, athlétique, en jean et tee-shirt.
Suivant mon voyeur à quelque distance, je m’enfonce dans le bois. Le chemin n’est pas des plus aisés, mais cette épaisseur de végétation a le mérite de nous protéger de la chaleur. De temps à autre l’homme se retourne, s’assurant que je le suis. Je ne sais pas où il veut nous mener. Je n’ai pas l’ombre d’une inquiétude. Les hommes qui viennent là ne se veulent pas de mal. A priori, ce n’est que du bien qu’ils veulent à autrui. Certes, nous ne sommes jamais à l’abri de quelque malade, mais l’excitation de l’épisode vécu précédemment et celle résultant de cette avancée au milieu des arbres et des arbustes me font écarter toute méfiance.
Devant moi, l’homme avance. Il semble sûr de son chemin qui traverse une espèce de petite tranchée peu profonde, tapissée de feuilles sèches, avant de remonter sur une butte assez raide. Suivent quelques mètres de terrain plat, puis une descente en zigzagant entre les arbres et en se tenant aux branches. Je ne sais pas où l’on va atterrir, mais c’est de plus en plus profond et isolé.
Avançant précautionneusement à cause des ronces et des branches cassées qui jonchent le sol, je suis obligé de baisser la tête et perds de vue mon guide. Lorsque je la relève, il n’est plus là. Je m’arrête. Tout autour de moi, des arbres. Je n’entends que les oiseaux et en fond sonore les véhicules sur la route à quatre voies qui passe à quelques dizaines de mètres derrière les arbres.
Je m’aperçois alors d’un mouvement derrière un tronc. Me penchant, je vois que l’homme s’est réfugié là. En même temps, je me rends compte qu’il agite une main devant lui. Est-ce un mouvement discret pour attirer mon attention ou bien le résultat d’une autre sorte de mouvement ? En m’approchant je n’ai plus aucun doute : il a libéré son sexe et le caresse. Il m’attend. Excité, je m’approche. Il me sourit, et sans qu’un seul mot ne soit échangé, me voilà me courbant pour prendre en bouche son sexe qui se révèle long, épais et déjà bien érigé. Je ne pouvais pas attendre moins d’un jeune homme, en pleine forme visiblement.
Dans ce genre de lieu il est inutile de passer par des présentations. On va droit à l’essentielle cause de nos présences ici.
Il me pose une main sur la nuque pour m’encourager. D’une main, je saisis sa bite à la base, tire à fond sur la peau pour décalotter complètement son gland écarlate. Je sais que ce geste ne fait qu’attiser l’envie du bienheureux qui le subit. Il rejette la tête en arrière et laisse échapper un long feulement révélateur que lui aussi aime ça. Reprenant une de mes caresses favorites, je fais passer son gland sur mes lèvres entrouvertes et humides tout en titillant son méat du bout de la langue. Il apprécie ça aussi, le bougre ! Son gland ne tarde pas à exsuder une goutte de mouille, prémices, j’espère, plus tard, de beaucoup plus.
Soudain, je perçois un bruit de branche cassée et de pas. Sorti de nulle part, un homme apparaît. Il s’approche. Il est âgé : barbe grisonnante de deux ou trois jours, veste difforme, main sur son sexe mollasson qu’il a sorti de sa braguette. Lui non plus de perd pas son temps en civilités. Arrivé à un mètre de nous, je l’entends souffler. Il agite sa main avec ardeur. Il sue et ses yeux sont rivés sur la bite du jeune que j’ai délaissée trop longtemps. Je m’en empare à nouveau et l’embouche enfin, ce qui a le don de le faire gémir. Je commence une bonne pipe bien profonde, bien baveuse. Ayant bon cœur, excité par la situation et tout en continuant mon travail de pompage, je tends la main vers notre visiteur. Mais elle ne rencontre que le vide. Me voyant tâtonner, le jeune me dit :
Je suis un peu déçu et me concentre alors complètement sur cette bite de plus en plus raide. Le jeune, profitant de ma position, me passe les mains sur les fesses. C’est à mon tour de réagir à ses avances et je me tortille pour encourager son geste précis et fais preuve de la plus grande attention à la pipe que je lui assène. Je le saisis moi aussi aux hanches et imprime mon rythme au pompage. Je le sens proche de la jouissance, mais c’est alors que le gars repousse ma tête.
Il approche son visage, pose ses lèvres sur les miennes puis, se rajustant, il s’éloigne, me laissant seul. Je suis surpris et un peu frustré. Après un temps pour me réajuster et reprendre mes esprits, je retrouve mon chemin dans le dédale végétal. Je remonte sur la butte. Tout à l’heure, pressé par l’excitation et craignant de perdre de vue ma « cible », je ne m’étais pas rendu compte que de cet endroit, on a une très bonne vision de l’ensemble du site. Je jette un coup d’œil sur les alentours. En bas, dans la tranchée, sur la droite, je vois un homme qui avance lentement, jetant des coups d’œil à droite, à gauche. Plus loin sur ma gauche, de l’autre côté de la tranchée, à l’orée de la clairière, il y a les ruines d’une masure envahies d’herbes et de plantes grimpantes. D’où je suis, je devine une activité. Je crois discerner deux têtes s’agiter. Au-delà, donc, c’est la clairière. J’y repère un bosquet d’arbres bordé d’un chemin emprunté par un gars qui, lui aussi, jette des regards de droite et de gauche à la recherche de son bonheur.
Je redescends précautionneusement vers la tranchée et me dirige vers la baraque en ruines. En m’approchant, j’entends des voix : je ne m’étais pas trompé. Je débouche à quelques mètres et découvre deux hommes, debout, un adossé à un mur, l’autre un mètre en face de lui. Ils discutent. Chacun a une main dans son propre pantalon, occupée à quelque manipulation que j’imagine ciblée et caressante. Attirés par ma présence, ils tournent la tête vers moi un instant, puis reprennent leur position et leur conversation, la main toujours cachée. Je ne les intéresse pas. Ils sont certainement occupés à refaire le monde ou à corriger la théorie de la relativité. Quoique… Je rebrousse chemin. Je retourne dans l’allée au fond de la tranchée. Au loin, je vois un gars assis sur une souche d’arbre. Il attend lui aussi. Il me semble qu’il est en short. Par contre, je suis sûr qu’il est torse nu. Il s’exhibe.
Une idée me vient en tête. Le petit bosquet d’arbres que j’ai vu au milieu de la clairière lorsque j’étais sur la butte me fait imaginer un plan qui m’excite d’emblée. Certes, je n’avais pas besoin de ça, mais ce surcroît d’érection dans mon pantalon moulant attise mes pensées les plus osées.
Il faut d’abord retrouver le bon chemin dans ce dédale de végétation folle. Il est frustrant de voir le bouquet d’arbres devant lequel passent au ralenti de temps en temps des hommes, et de ne pas trouver le moyen de m’y rendre. Le jeu de piste devient prise de tête et je commence à m’agacer lorsque je repère un très étroit passage. Il semble aller dans la bonne direction ; je le prends. J’avance lentement car il est envahi de part et d’autre de ronces qui risquent d’accrocher mon pantalon. Finalement, après quelques dizaines de mètres, je vois que je suis le bon chemin. Sur ma droite, je repère, en retrait du chemin, un espace que je pourrais qualifier d’aménagé. La végétation est pelée, et visiblement l’endroit sert à certaines activités… Je continue et j’arrive enfin devant le bosquet. Le dégagement ménagé devant témoigne de la fréquentation du lieu. Je m’avance. Comme je l’espérais, il y a un passage. Je n’y vois personne. Je pénètre entre les branches et les troncs relativement fins des arbres. À un mètre, seulement visible de l’espace devant le bouquet d’arbres, se trouve une surface visiblement très fréquentée. Elle est dégagée sur quelques mètres carrés. Cernée d’arbres sous lesquels la présence de kleenex et d’emballages ouverts de préservatifs témoignent que l’endroit doit être parfois chaud…
Il y fait bon, à l’ombre. Je me poste là, espérant que l’isolement du lieu attire le chaland.
J’ai été certainement épié dans mon cheminement vers l’endroit car je ne tarde pas à apercevoir, à travers les feuilles et les branches, un homme qui ralentit le pas. Il regarde vers l’entrée du bouquet d’arbres. Il est entre deux âges, habillé d’un jean avec un tee-shirt et, chose étonnante, d’un blouson qui doit être difficilement supportable par cette chaleur. Il s’approche. Il doit mal voir dans l’ombre. Il s’arrête, se penche, hésite, puis s’en va. Zut : raté !
Moins d’une minute après, un autre mec passe. Sifflotant. Mine de rien. Il veut donner l’impression du promeneur un peu paumé qui va au hasard de ses pas, sans but précis. Le gars qui ne se doute absolument pas que ça pourrait baiser entre hommes ici, alors qu’on ne peut pas arriver dans ce lieu par hasard. Il jette quand même un coup d’œil puis continue son chemin.
Je me dis alors que si je reste planté comme ça, je serai fatigué de rester debout avant d’avoir la moindre occasion de prendre mon pied. Je défais la ceinture de mon pantalon et le baisse jusqu’aux genoux. Je libère ainsi mon sexe à l’étroit. Certes, il y a encore le slip, mais il se sent quand même moins engoncé. J’ouvre complètement ma chemisette et noue les deux pans autour de ma taille pour libérer la vue de mes fesses.
Je l’aime, mon cul, ce qui paraît normal ; mais après la séance de tout à l’heure, j’ai la confirmation qu’il plaît. Et s’il plaît, autant s’en servir d’argument pour attirer les passants. Je tourne le dos à l’entrée du bouquet et attends.
Oh, il ne me faut patienter que quelques dizaines de secondes. Je ne sais pas quelles antennes utilisent les mecs qui fréquentent ce lieu, mais ils ont su qu’une salope était disponible dans ce bouquet d’arbres plantés au milieu d’une clairière envahie d’herbes folles, au centre d’un bois de la forêt de M.
Qu’importe. J’entends approcher quelqu’un ; je tourne la tête et je vois un homme se pencher à l’entrée. Il me regarde. Je lui souris, et pour l’encourager je commence à tortiller doucement du cul en le cambrant. Je passe mes mains sur mes fesses encore emprisonnées dans le slip. Il a porté la main à sa braguette et se frotte le sexe à travers le pantalon. Il écarte une branche gênante et pénètre dans mon repaire. Il est entre deux âges. J’ai l’impression que les hommes mûrs constituent la majorité de la population, ici. Il est chevelu, grisonnant, un peu barbu, les yeux marron, un physique tout à fait ordinaire. Je lui souris, lui présente mon cul que je tends vers sa main gauche qui approche. La droite continuant d’emprisonner son érection.
Pas un mot de sa part. Il regarde mes fesses qu’il commence à caresser. Je le laisse faire et baisse mon pantalon jusqu’aux chevilles afin de pouvoir écarter les jambes. Sa main remonte vers la ceinture du slip et s’insinue sous le tissu. Je suis dos tourné, il est derrière moi. J’entends son souffle. Il me caresse la peau et son doigt part à la découverte. Le territoire n’étant pas d’une superficie trop importante, il trouve sans peine la naissance de ma raie. Je ne suis pas égoïste, et de ma main droite je repousse la sienne pour commencer à malaxer son sexe à travers le pantalon. Il s’approche un peu plus et comme je lui tourne toujours le dos, il me pose les lèvres dans le cou. C’est doux. Sa main dans mon slip est un peu tremblante, mais son doigt continue à descendre et, profitant de mes jambes écartées, s’insinue à l’orée de mon anus. Ce geste déclenche un profond soupir de ma part.
Il commence alors à s’aventurer un peu plus loin et à faire aller et venir ses reins pour aider ma caresse. Je sens à travers le tissu une bite bien raide qui, sans être d’une longueur extraordinaire, doit quand même tenir sa place dans une bouche ou entre des fesses. Je veux m’en assurer, et d’une main maladroite je tente de libérer l’engin en m’attaquant à sa ceinture. Sa main gauche, toujours dans mon slip, continue de me caresser le trou pendant que de la droite il vient me prêter son aide et libère sa ceinture, puis défait la fermeture Éclair et, en se dandinant, baisse suffisamment son pantalon pour libérer son sexe. Un regard en arrière me confirme qu’il n’est pas très long, mais finalement plus trapu que ce que je ne l’imaginais à tâtons. Mon excitation est encore montée d’un cran. Mon sexe tendu montre le bout de son gland à la ceinture de mon slip. Une goutte pointe au méat. Machinalement, je la récupère du bout de l’index que je porte à mes lèvres. Je me retourne et les tends vers celles de mon bonhomme grisonnant ; mais visiblement, monsieur n’embrasse pas. Il esquive mon geste et met son visage dans mon cou. Il ne sait pas ce qu’il rate.
Je me fais une raison et je le repousse légèrement en me baissant pour venir poser mes lèvres sur sa bite tendue. Je ne suis pas rancunier, surtout quand je suis dans cet état. Il n’a pas voulu de mon baiser mais il tend sa bite vers ma bouche. Je n’hésite pas et m’en saisis. Il reprend alors cette caresse que j’aime tant. Je sens son doigt, qu’il a pris soin d’humidifier, circuler dans ma raie. Je sue tellement qu’il n’en avait pas vraiment besoin. Nous nous employons chacun à notre tâche quand je sens une présence : mon jeune de tout à l’heure m’a retrouvé. Mais me cherchait-il ? Je me fais peut-être des idées, mais qu’importe : il est là. Il a ouvert sa braguette et libéré son sexe. Il est beaucoup plus long que celui dont je suis en train de m’occuper. J’adore m’occuper de deux bites en même temps et je ne me fais pas prier pour alterner illico les pipes. Je suis quand même bien excité après ce début d’après-midi chargé…
Le cul tendu, je sens qu’un doigt pénètre mon anus. Il y glisse facilement. Le jeune, de sa main droite, saisit mon sexe qu’il libère du slip. Il commence à me masturber.
Je pousse à nouveau un long gémissement de satisfaction pour le remercier de sa caresse.
J’entends que ça s’agite encore à l’entrée du bouquet d’arbres et je jette un coup d’œil pour voir entrer un homme brun, maigre, avec des lunettes. C’est « open-cul » ; c’est la fête. Le regard du nouveau venu se pose sur nous trois et il s’approche. Il a des intentions bien précises puisqu’il s’attaque directement à mon pantalon toujours baissé aux chevilles. Il me l’ôte après m’avoir enlevé les chaussures sans les délacer. Puis envoie mon slip rejoindre mon pantalon. Me voilà plié en deux, nu à partir de la taille, le cul tendu et offert, le sexe érigé qui cogne mon ventre. Je suis au comble du bonheur, deux bites se relayant dans ma bouche gourmande. J’espérais un après-midi distrayant ; il se révèle croustillant.
Le nouvel arrivé se penche à mon oreille et me demande :
Illico, il s’agenouille ; du moins, c’est ce que j’imagine car je suis occupé à contenter mes deux autres compères. Je sens deux mains écarter mes fesses, que par réflexe je tends encore plus en me mettant sur la pointe des pieds ; une langue vient parcourir ma raie. Quel bonheur !
J’adore cette caresse. Elle est tellement intime. Il s’y connaît, le bougre. Il m’assène une feuille de rose comme j’en ai rarement eues. Sa langue pénètre le trou rendu béant par l’action de ses mains qui écartent mes fesses, mais aussi par l’usage courant d’objets lorsque je ne peux me faire sodomiser. Il crache dans ma raie. Je redouble ma succion de la bite du jeune homme et le grisonnant, n’y tenant plus, lâche sa liqueur en longs jets sur ma joue puis mon épaule en poussant des cris de plaisir qui ont le mérite d’attirer deux voyeurs plantés à l’entrée, la queue en main. L’un des deux, en short, est torse nu. « Tiens ! » me dis-je en reconnaissant l’exhibitionniste juché sur la souche d’arbre. L’autre voyeur est en bermuda.
Ce qui se passe dans ce bouquet d’arbres est exactement ce dont je rêvais en venant dans ce bois. Le temps n’a plus d’importance. Il n’y a plus de place que pour le plaisir. Le gars derrière moi juge qu’il a bien préparé mon cul et je l’entends déchirer l’emballage d’un préservatif qui va rejoindre les autres au sol.
Il pointe son gland à l’orée de mon anus trempé de sa salive et de ma sueur. Trempé comme une chatte féminine avant l’assaut du sexe. Je lèche de bas en haut la queue du jeune. Je lui titille du bout de la langue les couilles, puis reprends en bouche son gland. Alors que je commence à lui faire une gorge profonde, derrière moi l’autre gars commence à pénétrer lentement entre mes fesses. Mon anus est accueillant, mais mon conduit serré. C’est un plus pour le plaisir des hommes qui me baisent et un risque de douleur pour moi. Mais j’ai affaire à un gentleman, sûrement expert dans le domaine car c’est très lentement qu’il me pénètre. Rassuré, j’enfile toute la queue du jeune dans ma bouche puis retire la tête pour la libérer. Un long trait de salive accompagne le mouvement.
Ça y est : mon baiseur a rempli mon antre. Il s’arrête. Il m’a saisi les seins. Puis, tout doucement, il commence un va-et-vient. Il est doux. Prévenant. C’est bon. Je vais prendre un pied énorme, je le sens. La pipe que j’assène se retrouve alors rythmée par les mouvements de la sodomie. C’est un pur bonheur.
Combien parmi vous, lecteurs de cette histoire, ont déjà ressenti un tel bonheur ? Le plaisir qu’un homme peut prendre en se faisant sodomiser est insoupçonné de ceux qui n’ont jamais essayé.
Je me laisse complètement aller et le bien-être que je ressens, je voudrais le faire partager au jeune homme que je suis en train de pomper. Il est très endurant, car avec le traitement que je fais subir à son sexe et la vue qu’il a, peu de mecs sont capables de résister aussi longtemps. Après quelques mouvements de ma bouche, excité, il retire sa bite, la prend en main, la plaque contre son ventre et attire mon visage pour que je m’occupe de ses testicules.
Tout ça se fait sans un mot, sans un bruit autre que les gémissements de tous les participants, y compris les deux voyeurs qui sont désormais à côté de nous. Je me dis, dans un moment de lucidité, que je risque la tournante si ça continue.
Contre mes fesses, je sens le contact régulier du corps de mon amant. Il va lentement mais de plus en plus profondément, ce qui me permet de me redresser. Je prends alors le jeune aux épaules et l’attire à moi pour lui rouler une pelle bien humide et profonde. Ma bouche avait besoin de ce baiser, ce geste d’amour que j’apprécie tant. D’une main, le jeune homme entretient son érection ; de l’autre, il masse la mienne. Le gars derrière moi pose ses lèvres dans mon cou. Il me mordille. Il accélère son va-et-vient. Le jeune m’offre sa langue à suçoter. Je suis pris en sandwich. Je ne me préoccupe plus que de mon plaisir et oublie les deux voyeurs qui sont maintenant tout à côté de nous. Au bout d’un petit moment, je m’aperçois que l’un d’entre eux caresse les fesses du jeune pendant que l’autre vient s’emparer de sa queue et la gobe. Nous ne formons plus qu’un amas de corps complètement accaparés par le plaisir.
Soudain, l’homme derrière moi rejette le haut de son corps en arrière, se tend et s’enfonçant cette fois-ci violemment jusqu’au fond de mon cul, et jouit en poussant un grand cri. Malgré le préservatif, je sens son sexe se contracter dans mon étroit conduit. Je suis heureux de provoquer cet instant de bonheur. Le mien va être au paroxysme, mais pour cela je dois faire ce que j’aime par-dessus tout. Je me plie à nouveau, alors que mon amant se retire lentement, et je m’empare de « mon bien » en repoussant l’un des voyeurs qui suçait le jeune. Je reprends cette belle bite en bouche et, commençant à la masturber, je veux la mener à la jouissance. Le jeune m’encourage en me prenant la tête. Nous nous accordons sur un rythme, et alors qu’un des deux autres hommes, excité par ma posture vient poster son sexe à l’entrée de mon anus, je reçois les jets de sperme du jeune qui vient se vider dans ma bouche offerte. Le sperme coule de mes lèvres alors que je sens un sexe me pénétrer. Je ne suis qu’un objet de plaisir… Mais n’étais-je pas venu pour ça ?
Quelques va-et-vient suffisent pour l’homme derrière moi. Il se retire et vient éjaculer sur mes fesses. N’en pouvant plus, je me saisis de ma bite et il ne me faut pas trop de temps pour à mon tour jouir. Longtemps, intensément.
Nous mettons quelques minutes à reprendre nos esprits. Les émotions ont été trop fortes.
Mon premier enculeur a réajusté ses vêtements et, m’embrassant sur la joue, me dit :
Les deux voyeurs se sont esquivés. Je ne pourrais pas les reconnaître, mais ça n’a aucune importance.
Le gars plus âgé me dit :
Pas mufles, mes deux amants attendent que je me rhabille pour s’en aller. Après un rapide « À plus », nous nous séparons. Il est temps que je retourne à mon véhicule. Je viens de trouver un lieu sympathique où il semble facile d’y trouver son plaisir.
Cette histoire, comme les précédentes, est un condensé d’expériences que j’ai réellement vécues. Le lieu est réel aussi. Certains le connaissent peut-être. On s’y rencontrera un jour, j’espère. Mais on attendra qu’il fasse chaud et sec.