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Temps de lecture estimé : 9 mn
02/02/13
Résumé:  Un baptême à surprises.
Critères:  fh hplusag fête fellation fgode
Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : Versions

Chapitre 02
Baptême

La grossesse de Catherine s’est bien déroulée, mais elle a sonné le glas de son mariage. Quand il a pris connaissance de la nouvelle, son mari lui a révélé qu’il ne pouvait concevoir (en plus de son manque d’empressement au lit). Il lui a dit qu’il savait qu’elle voyait quelqu’un d’autre, que jusqu’à présent il ne disait rien car il comprenait qu’elle avait des besoins, mais qu’il se refusait à « assumer les retombées de sa libido » [sic]. En conséquence, il ne la gênerait pas et lui « rendait sa liberté pour qu’elle puisse ainsi se faire baiser autant qu’elle le souhaiterait » [re-sic].




– Elle –



Après mon divorce, mon bibliothécaire a voulu venir vivre avec moi. Je ne voulais pas briser son couple ; le mien suffisait. Comme il insistait, car il veut voir grandir notre fils, j’ai résolu de faire de lui le parrain.


Le grand jour, au début de l’office, mon bébé fait dans sa couche. Je vais le changer à la sacristie. Mon fripon m’apporte le sac que j’ai oublié. En voyant un goupillon, je ris bêtement, faisant remarquer que sa forme me faisant penser à celle d’un gode. Peu après, il soulève ma jupe et tire sur mon slip. Je sens un contact froid sur ma chatte. Je me rends compte qu’il m’a prise au mot et se sert du goupillon comme gode. Ce n’est vraiment pas le moment. Je lui dis de se tenir tranquille. Bien sûr, il s’en fout. Je devrais le repousser tout de suite, mais je le laisse un peu faire. Le « un peu » devient « beaucoup » et je n’ai bientôt plus la volonté de le faire cesser. Presque malgré moi, j’écarte les jambes. Le traître en profite pour pousser son avantage. Je sens le goupillon se frayer un passage. Il me le met à fond et me ramone.


Je monte quand Maman entre. Mon chéri se redresse pour me tendre un tube de crème, laissant le goupillon planté dans ma chatte. Maman nous presse et nous pousse vers l’église. J’aurais dû prétexter n’importe quoi pour m’attarder un peu pour le retirer, mais je suis comme tétanisée et n’en ai pas le réflexe. L’occasion ne se présentera plus. C’est donc avec ce fichu machin planté en moi que je vis l’entrée de mon fils dans la communauté chrétienne. Ce n’est pas ainsi que je l’avais envisagée… Je tremble à l’idée que quelqu’un remarque quelque chose ; ou pire, que ça tombe. Je dois le renfoncer de temps à autre et surtout faire attention en m’asseyant et ne poser que le bout des fesses sur le bord de la chaise. Et, de plus, le petit air goguenard de mon chéri – qui m’observe du coin de l’œil – m’énerve. Mais surtout, le frottement dans mon con ne me laisse pas de marbre. Je dois préciser que la boule n’est pas lisse : elle est creuse et percée de trous en forme de croix, avec une boursouflure là où les deux moitiés s’emboîtent. Chaque mouvement augmente mes sensations. Et Dieu sait que des mouvements, j’en fais ! En plus des remises en place, on se lève et s’assoit souvent pendant une messe ; et mon oncle qui me fait venir au micro plusieurs fois, sans compter le baptême lui-même…


Quand tout est fini, je suis dans un état second. J’abandonne l’idée d’aller à la sacristie où il y a maintenant trop de passage. Laissant Maman s’occuper de l’accueil, je retourne à la maison pour chercher des bouteilles prétendument oubliées. En réalité, tout est largement OK : elles feront certainement un simple aller et retour. J’entraîne mon chéri pour m’aider. C’est tout juste si ne me mets pas à courir. La cavalcade augmente mon excitation. Je n’ose pas parler, de peur que ma voix chevrote.


Arrivés à l’appartement, je voudrais lui donner la leçon qu’il mérite ; mais je l’embrasse goulûment avant de me faire pistonner sur le canapé. Quand il retire presque entièrement le goupillon, j’en grogne de frustration. C’est pour me l’enfiler dans le cul. Je ne proteste pas, simplement étonnée que ça entre là aussi facilement. Il me demande de fermer les yeux. J’obéis. Je l’entends farfouiller avant de sentir ma chatte envahie par quelque chose de froid. J’ouvre les yeux : c’est un glaive de famille qui était accroché au mur. Il me bourre à la fois le cul et le con. Je ne tarde pas à prendre mon pied deux fois, coup sur coup. Mon chéri me libère ; je vais à la salle de bain.


Quand je reviens, tout est prêt. Tandis que je me rhabille, je vois la petite bosse de son pantalon. Je ne peux le laisser ainsi. Je me mets à genoux, ouvre son pantalon et sort sa queue. Je le suce en lui caressant les bourses. Il n’est pas long à lâcher son foutre que j’avale intégralement. Mon chéri me rappelle qu’il faut rapporter le goupillon. Je le prends sur la table et, par provocation, je soulève ma jupe et me l’enfile dans la chatte (c’est facile, car je n’ai pas encore remis de culotte et n’en remettrai donc pas) en lui déclarant que je le rapporterai à l’église de la même manière que je l’en avais emporté. Heureusement que je fais partie de l’EAP (1) et que j’ai accès à la sacristie sans que l’on me pose de questions ; j’ai pu ainsi remettre en place le démoniaque goupillon. Bien sûr, mon chéri profite de l’épisode pour faire de fines allusions sur l’alliance du sabre et du goupillon et sur les culs-bénis. Cela prend d’autant plus de sel que, dans ma famille, il y a à chaque génération des militaires et des religieux.


Quand, quelque temps plus tard, je vois le prêtre se servir du goupillon pour bénir, j’ai du mal à garder mon sérieux et à rester recueillie. Les images qui me viennent à l’esprit ne sont pas vraiment pieuses !



(1) EAP : Équipe d’Animation Paroissiale. Je sais que l’on ne douterait pas – quand je raconte mes aventures avec mon chéri – que suis impliquée dans ma paroisse. Mais que voulez-vous, la chair est faible.




– Lui –



Quand j’apprends la nouvelle du divorce de Catherine, je saute – pas seulement sur elle, mais sur l’occasion – pour lui proposer de vivre avec elle. Elle refuse, ne voulant pas nuire à ma compagne, bien qu’elle sache que mes relations avec cette dernière (surtout dans nos rapports intimes) ne sont pas au top. De plus, notre fils est maintenant majeur. Comme j’argumente sur mon désir de connaître et voir grandir son demi-frère (un beau bébé de 55 cm pour 4,5 kg à la naissance), elle tourne la difficulté en me proposant d’être son parrain. Je préférerais ma solution, mais ce que femme veut…

J’avoue que lorsque j’ai présenté Catherine à ma famille, je n’étais ni à l’aise, ni fier. Cependant, ma compagne était aux anges car elle adore les enfants ; de plus, elle a trouvé Catherine très sympathique.


Vient le jour de la cérémonie. Le baptême a lieu au cours d’une messe qu’un oncle de Catherine co-célèbre. Le chant d’entrée vient de débuter quand bébé garnit sa couche. Elle se rend à la sacristie pour le changer. Je l’y rattrape pour lui apporter le sac qu’elle a oublié. Elle commence à s’activer quand elle pouffe en me désignant un goupillon posé un peu plus loin. Devant mon air perplexe, elle me demande si je ne trouve pas que cela ressemble à un gode.


En lui répondant affirmativement (on ne peut le nier, avec son manche d’une vingtaine de centimètres couronné d’une boule métallique de cinq ou six centimètres de diamètre), me vient une idée soufflée probablement par un petit diablotin. Profitant du fait qu’elle a reporté son attention sur les fesses de notre enfant, je m’empare de l’objet pour le passer sous l’eau avant de l’enduire de crème pour bébé. Je m’accroupis derrière elle, trousse sa jupe et écarte sa culotte. Elle me demande d’être sage. Quand elle sent le contact de la boule sur sa chatte, elle proteste, rabat sa jupe, dit que je suis fou et m’ordonne d’arrêter. J’allais obtempérer, après avoir un peu continué pour la taquine ; néanmoins, ses protestations perdent de leur crédibilité quand celle qui les professe ne montre aucune ardeur pour se dégager, mais au contraire cambre les reins et écarte les cuisses. J’insiste donc avec un mouvement de vrille de droite et à gauche. La boule disparaît dans sa féminité ; quand elle atteint le fond de son puits d’amour, Catherine laisse échapper un « Oh ! ». Amenant la boule à l’orée de sa chatte, j’entreprends alors des allers et retours. Ça rentre comme dans du beurre. J’accélère le rythme. La respiration de Catherine s’accélère également.


Elle paraît bien partie quand un léger grincement annonce l’ouverture de la porte. J’ai juste le temps de rabattre sa jupe, abandonnant le goupillon où il est. Sa mère entre en nous demandant de nous dépêcher. Je me relève en tendant le tube de crème, comme si je venais de le ramasser. Catherine reprend contenance, bien qu’elle soit un peu rose. Le problème, c’est que sa mère ne repart pas, et reste pour aider sa fille à finir de changer bébé. C’est donc avec le goupillon planté en elle que Catherine regagne l’église.


La cérémonie dure 1 h 30 ; durant tout ce temps, j’admire son naturel. Seule sa manière précautionneuse de s’asseoir sur la pointe des fesses – et de temps en temps un petit geste qui doit lui permettre de remettre en place l’objet – sont révélateurs pour mes yeux avertis. Les registres signés, nous allons vers la salle paroissiale où nous attend le buffet. Après avoir confié à sa mère le soin de l’accueil et à ma compagne le nouveau baptisé, Catherine m’entraîne pour aller chercher chez elle quelques bricoles destinées à compléter ce qu’a livré le traiteur, et qui n’ont pu être apportées avant la cérémonie. Nous parcourons au pas de charge les 500 m qui nous séparent de son appartement sans qu’elle dise un mot.


Sitôt la porte fermée, elle se précipite sur moi pour me donner un coup de poing sur la poitrine en me traitant de salaud avant de s’accrocher à mon cou pour un long baiser passionné. Je défais sa jupe et retire son slip qui est trempé. D’ailleurs, toute la zone est inondée : m’est avis que c’est miracle que sa jupe n’en porte pas les traces. Je pose mes lèvres sur son bouton gonflé tout en manœuvrant le manche. Cela arrache un soupir à ma chérie qui se laisse aller sur le canapé. J’œuvre ainsi quelque temps avant de retirer le goupillon de son fourreau humide pour le présenter à son autre trou. Elle n’objecte pas, tant elle est excitée. Je n’ai guère à forcer pour que l’étroite porte s’ouvre. Je regarde, fasciné, la boule disparaître lentement. Une fois son équateur franchi, elle est avalée d’un coup.


En levant les yeux pour regarder son visage, mon regard accroche le trophée accroché au mur. Un diablotin me souffle une nouvelle pensée par association d’idées. Je me redresse pour l’embrasser et lui demander de fermer les yeux, ce qu’elle fait docilement. Je décroche l’épée (qui a appartenu à un aïeul de Catherine), en nettoie la poignée avec le slip abandonné et l’enfile là où la place est non seulement libre, mais prête à la recevoir. Pour preuve, l’aisance avec laquelle je la fais disparaître jusqu’à la garde d’un simple petit mouvement du poignet. La brusque intrusion ne la fait même pas sursauter. Je la pistonne avec les deux objets. Elle est si chaude qu’elle ne tarde pas à jouir, une première fois puis – comme je continue le double ramonage – une seconde fois avant de demander merci. Je l’embrasse, dégage doucement les deux objets et vais les nettoyer. Tandis que ma chérie va d’un pas un peu incertain faire un brin de toilette, je remets à sa place le sabre, mets au sale le slip et prépare rapidement ce que nous étions primitivement venus chercher.


Quand Catherine réapparaît, tout est prêt. Elle passe sa jupe, s’approche de moi et, tâtant ma braguette, déclare qu’elle ne peut me laisser ainsi. Elle s’agenouille pour me tailler une pipe mémorable. Avec mes sens exacerbés, j’atteins rapidement le point de non-retour. Je l’en avertis ; elle continue imperturbablement à me pomper. Je ne tarde guère à jouir au fond de sa gorge. Elle avale tout sans en laisser échapper une goutte, nettoie soigneusement mon sexe à coups de langue avant de le remettre en place, tout en déclarant qu’il faut se dépêcher car on doit nous attendre. Je lui rappelle qu’il faut penser à rapporter le goupillon. Elle m’adresse son plus beau sourire en s’emparant de l’objet et en me disant que j’ai raison. Sur quoi elle trousse sa jupe et, d’un geste rapide, se l’enfonce à fond dans la chatte (je m’aperçois alors qu’elle n’a pas remis de slip) en me déclarant qu’il retournerait à l’église comme il en était venu.


Cette petite aventure me permet quelques plaisanteries sur l’alliance du sabre et du goupillon et sur les culs-bénis, dont toute la finesse n’est perceptible qu’à Catherine et à moi.