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n° 15461Fiche technique19646 caractères19646
Temps de lecture estimé : 12 mn
07/02/13
Résumé:  Après une première fois non prévue, un jeune homme récidive avec une amie de sa mère.
Critères:  fh fplusag jeunes hdomine noculotte entreseins fellation pénétratio
Auteur : Seb      Envoi mini-message

Série : Anita

Chapitre 01
Parfois, il faut forcer le destin...

Plusieurs semaines se sont écoulées depuis que j’ai fait l’amour avec Anita, une amie de ma mère mais je n’ai eu aucune nouvelle. Elle était bien venue revoir ma mère chez nous, mais toujours lorsque j’avais cours, comme si elle cherchait à m’éviter. Cela m’énervait un peu car j’avoue que j’avais très envie de coucher à nouveau avec elle, même si elle m’avait prévenu que ce serait la seule et unique fois. Mes pensées allaient toutes vers elle lors de mes plaisirs solitaires. J’ai couché avec une autre fille de mon âge après coup, mais je n’ai pas retrouvé les mêmes sensations qu’avec cette quarantenaire, cette « MILF » comme on dit maintenant.


Je savais que, malgré le fait qu’elle savait qu’il l’avait trompée, elle était restée avec son mari et je désespérais de pouvoir la retoucher un jour. Mon espoir se ralluma lorsqu’au détour d’une conversation j’ai appris que mes parents devaient aller manger chez eux. Faisant mine de rien, je demandai à ma mère si je pouvais les accompagner, prétextant ne pas les avoir vus depuis longtemps. Ma mère, loin de se douter de ce qui s’était passé, n’y vit pas d’inconvénient, bien au contraire. Elle s’empressa d’appeler Anita et tomba sur son mari qui accepta, bien évidement.


Le soir venu, j’accompagnai donc mes parents. Je m’étais vêtu simplement d’un jean et d’une chemise. Ce fut son mari qui nous ouvrit la porte et nous accueillit avec un grand sourire. Cependant, l’accueil d’Anita à mon égard fut assez froid, même si elle essayait de ne pas le montrer. Elle était vêtue d’un chemisier rouge et d’une jupe noire assez courte et assez moulante. Nous avons pris l’apéro dans le salon et j’ai passé tout mon temps à mater mon amante d’un jour. Comme elle était assise dans un canapé assez mou, elle s’enfonçait dans les coussins, ce qui avait pour effet de remonter sans arrêt sa jupe sur ses cuisses gainées de nylon.


Pour le repas, je réussis à m’asseoir à côté d’elle ; la nappe longue qui tombait de la table me permettait de glisser ma main sur ses cuisses en toute discrétion. Au début, je me contentai de la frôler avec ma main mais, voyant qu’elle ne disait rien, j’ai collé ma cuisse contre la sienne. Je sentais du reproche dans son regard, mais elle n’essaya pas de s’écarter de moi. Je me suis donc enhardi et ma main a donc remonté lentement le long de sa cuisse. Cela me permit de sentir l’élastique d’un bas avec lequel j’ai joué quelques minutes, puis ma main est encore remontée plus haut, jusqu’à sentir le tissu trempé de son string. Au contact de mes doigts sur son sexe, je la sentis se contracter et serrer ses cuisses autour de ma main. Ce petit jeu dura quelques minutes mais cessa quand elle se leva pour aller chercher le dessert.


À son retour, ma main repartit aussitôt vers le même endroit et y trouva la même chaleur moite. Cependant, extérieurement, elle ne laissait rien paraître. Elle se leva à nouveau pour aller chercher le café, et dès qu’elle fut revenue à sa place, ma main retourna vers son puits d’amour et, à ma grande surprise, j’ai senti le contact de son sexe : la coquine venait d’enlever son string ! Mes caresses ont redoublé d’ardeur et je la sentais frémir. Au bout d’un moment, elle a retiré ma main ; j’ai essayé de la glisser à nouveau mais ses cuisses restaient serrées. Vu le regard qu’elle m’a jeté, j’ai compris qu’elle était sur le point de jouir ! J’ai donc cessé mes caresses pour la fin de la soirée. Le repas s’est rapidement terminé et, alors que mes parents et moi allions partir, je me suis proposé pour aider Anita à aller chercher les manteaux dans la chambre. Je l’ai donc suivie et une fois dans la chambre, j’ai fermé la porte, l’ai plaquée contre le mur et l’ai embrassé fougueusement.



J’ai alors remonté ma main sous sa jupe jusqu’à son sexe et j’ai glissé un doigt dans son vagin trempé.



Nous sommes alors ressortis avec les manteaux comme si de rien n’était. Je suis rentré avec mes parents chez moi, et une fois dans mon lit je me suis masturbé en pensant à ma chère Anita et à toutes les positions dans lesquelles j’allais la prendre le lendemain matin !



—ooOoo—



Je me suis réveillé de bonne heure et me suis masturbé une nouvelle fois pour éviter de jouir trop vite et de ne pas profiter pleinement de cette partie de jambes en l’air qui s’annonçait.

Je me suis présenté à l’heure dite devant chez Anita. Tout le long du trajet, je m’étais demandé dans quelle tenue sexy elle allait m’accueillir. Devant la porte, j’ai pris une grande respiration et j’ai sonné. Une voix venue de l’intérieur me dit d’entrer, ce que je fis immédiatement. C’est alors que je vis Anita, de dos dans sa cuisine américaine, vêtue d’une robe de chambre, certes en satin gris assez joli, mais ce n’était pas du tout ce que j’attendais comme tenue sexy. Je m’approchai d’elle ; elle se retourna et elle put lire la déception sur mon visage.



Tout en parlant, je la détaillais du regard et remarquai qu’elle portait des escarpins noirs, ce qui m’intrigua.



Elle défit alors la ceinture de sa robe de chambre avec une lenteur exagérée, puis ouvrit en grand les deux pans de son vêtement, me dévoilant une jolie surprise : elle était vêtue d’un ensemble string, soutien-gorge et porte-jarretelles en dentelle mauve ainsi que de jolis bas nylons noirs. À cette vue, mon sang ne fit qu’un tour ! Je la plaquai contre le plan de travail de la cuisine et l’embrassai fougueusement. Alors que ma langue était partie à la rencontre de la sienne, elle leva une jambe en la frottant contre la mienne et je m’empressai d’agripper cette cuisse ferme et gainée de noir. Je fis rapidement glisser la robe de chambre à terre et, glissant mes mains sous les baleines de son soutien-gorge, je fis jaillir ses seins hors de leur prison. Ma bouche abandonna la sienne pour se jeter sur ses deux obus, et spécialement ces deux tétons roses qui pointaient fièrement dans ma direction. La tête rejetée en arrière, Anita me laissait faire, soupirant sous mes caresses et s’agrippant à mon dos, plantant parfois un peu ses ongles dans ma chair. Une de mes mains glissa rapidement vers son string et s’introduisit sous le tissu. Comme je m’y attendais, son sexe était complètement trempé. Quelques caresses sur son bouton d’amour déclenchèrent de grands cris de plaisir. Maladroitement, je réussis d’une main à faire glisser son string le long de ses cuisses pour mettre à nu son puits d’amour. Mes doigts se glissèrent quelques minutes en elle, mais elle me voulait autre chose :



Sans me faire prier, je défis mon jean et mon caleçon que j’envoyai voler dans la pièce tandis qu’elle fit de même avec son string qui reposait toujours sur ses chevilles. Elle s’assit sur le plan de travail de la cuisine qui se trouvait à la hauteur idéale pour ce que nous avions à faire et ouvrit largement les cuisses. Je présentai mon sexe à l’entrée du sien, et d’un coup de reins sec je me retrouvai au plus profond d’elle, lui arrachant un cri plus fort que les précédents. Je restai quelques secondes, immobile, savourant le plaisir de me trouver à nouveau dans cette femme mûre. Puis j’ai commencé de grands va-et-vient en elle, de plus en plus rapides ; Anita m’encourageait à la prendre ainsi. À l’entendre ainsi, je décidai de pousser le vice plus loin. D’un coup, je m’arrêtai, à moitié enfoncé en elle. Au début, elle ne dit rien, puis elle me demanda pourquoi je m’arrêtais ; elle voulait que je continue. Mais je ne bougeai pas, la laissant me supplier.



Je me contentai de répondre oui de la tête.



Je me contentai d’effectuer un simple aller-retour en elle.



Elle se tut quelques secondes puis lâcha d’un coup en criant :



Un grand sourire illumina mon visage. Je me retirai d’elle et la fit se retourner avec force. Je l’ai plaquée des deux mains contre le plan de travail et j’ai écarté ses jambes pour me faciliter le chemin. Mais encore une fois je la fis languir, me contentant de ne rentrer que mon gland en elle.




Comment refuser une telle proposition ?!


Je me mis à la pilonner de toutes mes forces. Elle était complètement offerte et criait de plaisir sous mes coups de boutoir répétés. Évidement, je ne mis pas à longtemps à sentir l’orgasme. Je ne sais pas pourquoi, mais alors que je sentais que j’allais partir, je l’ai attrapée par les cheveux et tiré sa tête vers moi. Malgré la surprise, elle me laissa faire et je me suis répandu en elle alors que je sentais son vagin se contracter autour de mon sexe, me signalant qu’elle jouissait en même temps que moi. Je suis resté quelques secondes ainsi planté en elle, reprenant mon souffle après cette folle cavalcade, puis je me suis retiré, laissant échapper un filet de ma semence qui s’écoulait d’entre ses cuisses. Elle s’est retournée et m’a regardé avec un regard encore hagard de l’orgasme qui venait de la traverser.



Je l’ai regardée s’éloigner vers la salle de bain puis je me suis rhabillé. Tout en repensant à ce qui venait de se passer, j’ai pris deux verres que j’ai remplis d’eau fraîche. Je les ai emportés sur la table de salon et je me suis affalé dans le canapé, épuisé par nos galipettes.


Au bout de quelques minutes, j’ai vu revenir Anita vêtue d’une magnifique robe rouge moulante et assez courte au niveau des cuisses, laissant apparaître le liseré de ses bas, mais cependant peu décolletée. Elle se planta devant moi et tourna sur elle-même.



Je la détaillai et je vis qu’elle n’avait remis aucun sous-vêtement car ses tétons pointaient sous le tissu moulant, ce dernier ne laissant apparaître aucune marque de string ou de culotte, uniquement celle du porte-jarretelles.

Elle vint s’asseoir à côté de moi et but une moitié de son verre d’eau.



À ces mots, j’ai attrapé sa main et je l’ai posée sur mon entrejambe pour qu’elle caresse mon sexe au travers de mon jean. Elle s’est laissée faire et en a profité pour m’embrasser langoureusement.



Habilement, elle a défait le zip de mon pantalon et en a extrait mon sexe encore mou. Pour plus de confort, j’ai fait glisser mon jean et mon boxer à mes chevilles pendant qu’elle enfournait mon engin dans sa bouche. Quelques va-et-vient ont suffi pour que mon sexe reprenne toute sa dimension.



Et c’est alors que commença un ballet interminable de petits coups de langue sur mon gland, alternés avec des mises en bouche de première qualité tandis que sa main branlait lentement la base de mon sexe. Ce traitement était tout bonnement divin, et bien entendu elle me regardait avec les yeux de la pire des salopes ! Je faisais tout pour me retenir, mais la lutte était dure !



Sans me répondre, sa bouche descendit le long de mon sexe pour arriver à le masquer complètement. Elle resta quelques secondes dans cette position, puis remonta lentement jusqu’à mon gland. Elle répéta ce mouvement plusieurs fois pour mon plus grand plaisir.



Toujours sans un mot, elle se leva, enleva sa robe pour se retrouver à nouveau en bas et porte-jarretelles. Elle revint s’agenouiller entre mes jambes et saisit mon sexe tendu qu’elle vint coincer entre ses seins. Elle faisait bouger ses seins qu’elle tenait ferment autour de ma verge et me branlait de la façon la plus délicieuse qui fût ! J’avais toutes les peines du monde à ne pas éjaculer, mais elle ne m’en avait pas donné l’autorisation ! Elle dut s’en rendre compte car elle ralentit le mouvement, avec une habileté féroce pour me maintenir sous le seuil de la jouissance.



À ces mots, elle a recommencé à me sucer avec plus de vigueur. J’étais vraiment au bout de ma résistance : cela faisait près d’une demi-heure qu’elle me suçait !



Et ce fut parti pour le sprint final. Tout en branlant la base de mon sexe, elle effectuait de rapides mouvements avec sa bouche autour de mon gland. J’ai joui dans sa bouche comme jamais je n’avais joui ! Impassible, elle m’a sucé jusqu’à ce que mon sexe commence à ramollir, tout en avalant ma semence. Une fois mon sexe propre, elle s’est relevée et m’a questionné fière d’elle :



C’est alors qu’elle a regardé la pendule du salon et s’est exclamée :



J’ai attrapé mes affaires et me suis habillé en vitesse alors qu’elle se couvrait de sa robe de chambre. Devant la porte, je l’ai embrassée.



J’ai claqué la porte et suis reparti le cœur léger… et pas que le cœur !