n° 15586 | Fiche technique | 13687 caractères | 13687Temps de lecture estimé : 9 mn | 04/05/13 |
Résumé: Alors qu'il s'attend à coucher avec une amie de sa mère, un jeune homme couche avec une autre femme pour son plus grand plaisir. | ||||
Critères: fh fplusag jeunes extracon cadeau inconnu fellation cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Seb Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Anita Chapitre 02 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode précédent : après avoir consolé une amie de sa mère qui venait d’apprendre que son mari la trompait, il entreprend une relation sexuelle avec elle.
Une petite routine bien agréable s’était installée entre Anita et moi. Dès qu’elle avait un moment de libre et ne risquait pas d’être surprise par son mari, elle me prévenait et je la rejoignais chez elle pour de jolies parties de jambes en l’air. À chaque fois, elle essayait de varier ses tenues pour toujours être sexy. C’est ainsi que je ne fus pas surpris lorsqu’un vendredi soir je reçus un texto me donnant rendez-vous le lendemain matin chez elle. Je me présentai donc ce samedi matin devant chez elle. Contrairement aux premières fois où une grande appréhension m’habitait, je n’hésitais plus à présent avant de frapper, certain de prendre beaucoup de plaisir avec ma partenaire.
Je toquai donc résolument à la porte, et quelques secondes plus tard Anita vint m’ouvrir, toute souriante. Elle était vêtue d’un pantalon noir et d’un pull rouge moulants. Par discrétion, je pénétrai dans la maison avant de l’embrasser, mais ce que je vis me stoppa net. Une femme brune d’une trentaine d’années à vue d’œil était assise dans le canapé et me regardait fixement. Je restai interdit, ne sachant que faire. Anita m’embrassa furtivement puis attrapa ma main pour m’entraîner vers le canapé et cette belle inconnue.
La femme se leva et se dirigea vers moi pour m’embrasser. Nous nous fîmes la bise puis elle se rassit sans un mot. J’en profitai pour la détailler. Elle était brune, les cheveux ondulants jusqu’aux épaules, de jolis yeux verts. Elle ne semblait pas posséder une grosse poitrine mais avait une silhouette fine, présage de jolies fesses et de belles jambes bien fermes. Elle était vêtue d’un chemisier blanc et d’un short en velours marron sur des collants noirs opaques et était perchée sur de petites bottines, marron elles aussi.
Christel se leva et se dirigea vers moi. Elle me prit la main et m’attira vers l’escalier. Je montai derrière elle, en profitant pour admirer son joli postérieur. Arrivés dans la chambre, je fermai la porte et nous restâmes quelques instants à nous regarder. Ce fut elle qui rompit la glace la première :
Se dressant sur la pointe des pieds, Christel approcha sa bouche de la mienne et m’embrassa avec une douceur infinie. Je répondis à son baiser en glissant ma langue contre la sienne. Pendant une bonne minute, nous nous contentâmes de ce baiser, collés l’un contre l’autre. Une belle érection commençait à naître dans mon pantalon. Puis Christel se laissa glisser à genoux, la tête au niveau de mon ventre. Habilement, elle défit ma ceinture et fit descendre mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles. Elle branla quelques secondes mon sexe tendu puis l’engloutit dans sa bouche. Avec application, elle me suçait énergiquement et je savourais ce plaisir buccal. Au bout de quelques minutes, elle s’écarta de moi et me poussa gentiment vers le lit.
Je me laissai donc totalement aller, la laissant jouer à son gré avec mon sexe. J’étais impressionné par la facilité avec laquelle elle avalait entièrement ma verge. Puis, alors qu’elle branlait la base de mon sexe et effectuait des va-et-vient sur mon gland avec sa bouche, elle accéléra progressivement le rythme et ne me laissa aucune chance de faire encore durer le plaisir. Je me laissai donc aller et j’éjaculai dans sa bouche, savourant mon plaisir. Elle avala sans problème tout le sperme que j’avais déversé en elle et nettoya mon sexe avant de se relever et de commencer à se déshabiller.
En un rien de temps, elle fit voler short, chemisier et collant pour ne plus porter qu’un ravissant ensemble string et soutien-gorge mauve en dentelle. Moi-même, je me débarrassai de mes derniers vêtements.
Elle vint s’asseoir sur moi, une jambe de chaque côté des miennes et les bras autour de mon cou.
Je répondis à son baiser et défis d’une main son soutien-gorge qui glissa entre nous deux. Elle se pencha légèrement en arrière et je découvris ses seins : petits mais fermes, avec de petites aréoles et des tétons qui pointaient fièrement. Ma bouche se dirigea bien évidemment vers ces deux protubérances et les embrassa avec envie. Elle gémissait doucement et me laissait faire tandis que mes mains caressaient son dos et ses jambes…
Au bout de quelques minutes, je la saisis par les hanches et la soulevai pour me retourner et l’allonger sur le lit. Je restai quelques secondes à la regarder ainsi offerte puis je m’allongeai sur elle et l’embrassai à nouveau. Mes baisers descendirent lentement dans son cou, puis sur son sillon mammaire. Ma bouche se déplaçait sur sa poitrine, allant d’un sein à un autre, aspirant ses tétons et couvrant sa peau d’une multitude de baisers. Elle commençait à laisser échapper des gémissements. Lentement, mes baisers se déplacèrent vers son ventre pour jouer avec son nombril, puis descendirent encore, et je me retrouvai à la limite du tissu de son string. Je décidai de ne pas enlever ce dernier rempart de suite et mes caresses buccales suivirent le contour du sous-vêtement. Naturellement, elle écartait les jambes alors que ses gémissements étaient plus poussés. Je me contentai d’embrasser l’intérieur de ses cuisses et le plus loin que j’osai aller fut de glisser ma langue sous l’élastique du string. Je déposai quelques légers baisers sur le tissu que je sentais déjà trempé, mais je ne l’enlevais toujours pas, bien qu’inconsciemment – ou consciemment – elle bougeait son bassin pour venir l’appuyer contre ma bouche.
Je la fis alors rouler sur le lit pour qu’elle se retrouve sur le ventre. Tandis que mes mains caressaient son dos, j’embrassais férocement ses fesses puis je tirai sur le tissu du string glissé entre ces dernières pour qu’il caresse son sexe brûlant. Lentement, mes doigts descendirent vers son pubis que j’effleurai, provoquant chez elle de légers spasmes. Enfin, je décidai d’ôter ce dernier rempart. Je la retournai à nouveau sur le dos et glissai mes mains sous les côtés de son string que je fis délicatement descendre le long de ses jambes. Je découvris un sexe presque entièrement rasé, quelques poils subsistant au-dessus de son puits d’amour (ce que l’on qualifie de « ticket de métro »). Je dégageai le sous-vêtement de ses jambes et l’envoyai rejoindre les autres vêtements épars sur le sol.
Elle avait désormais les jambes largement écartées et son regard me suppliait de venir la lécher. Je ne me fis pas prier, et ma bouche se dirigea vers cette zone si érogène. Le premier contact lui arracha un cri étouffé, bientôt suivi par d’autres alors que ma langue cherchait à écarter ses lèvres humides. Après avoir joué ainsi, je remontai ma langue vers son clitoris qui se révéla des plus sensibles. Ses cris n’étaient maintenant plus retenus et j’en profitai pour glisser un, puis deux doigts dans son vagin. Je les bougeais au début lentement puis accélérai le rythme. Je voyais ses mains se crisper sur les draps et sa tête bouger de manière désordonnée. Puis d’un coup, elle plaqua ma tête d’une main sur son sexe ; son vagin se souleva et elle fut traversée d’un violent orgasme. Elle resta quelques secondes dans cette position puis relâcha ma tête. Je retirai mes doigts de son sexe qui se contractait encore des suites de son orgasme et la laissai reprendre ses esprits.
Au bout de quelques minutes, elle attrapa à nouveau ma tête et dirigea mon visage vers le sien. Nous nous embrassâmes à pleine bouche et, sans un mot, je glissai mon sexe tendu dans son minou dégoulinant. Je commençai un lent va-et-vient en elle. À chaque fois que mon sexe arrivait profondément en elle, elle poussait un petit cri de satisfaction. J’accélérai progressivement le rythme alors que ma bouche se baladait entre son cou et ses lèvres. Ses mains caressaient mon dos alors que l’une des miennes vint glisser le long de sa cuisse pour remonter jusqu’à ses fesses et les saisir. Je continuais à la pénétrer ainsi quelques minutes. Plus ça allait, plus elle suivait mes mouvements avec son bassin. Je m’arrêtai donc de bouger, toujours planté en elle ; je la sentais se frotter contre moi au rythme où elle le désirait. Ses soupirs étaient plus rapprochés et je sentais le plaisir monter en elle.
D’un coup de reins, elle nous fit rouler sur le lit et se retrouva sur moi. Elle se redressa et continua de bouger son bassin autour de mon sexe. Mes mains parcouraient son corps, caressaient ses seins, ses fesses, ses cuisses, saisissaient ses hanches. Cependant, c’est elle qui continuait à imprimer le rythme qu’elle désirait, frottant avec insistance son clito contre mon ventre. Inexorablement, elle se rapprochait de la jouissance et ses mouvements se firent plus rapides. Je sentais moi aussi que j’étais prêt à exploser mais je fis tout pour me retenir, ne voulant pas terminer dans cette position. Mes mains se posèrent sur ses fesses et suivirent tous ses mouvements, de plus en plus désordonnés. Elle agrippa ma poitrine, se crispa dessus et, dans un grand cri, explosa de nouveau. Elle s’agita ainsi quelques secondes sur moi avant de s’effondrer contre mon corps, sa tête contre mon épaule.
J’avais réussi à ne pas jouir et je la laissai donc reprendre ses esprits, mon sexe toujours tendu en elle. Au bout de quelques minutes, elle se redressa et vint s’installer à quatre pattes à côté de moi. Je me relevai et m’installai derrière elle, le sexe collé au sien. J’admirai quelques secondes ces fesses si magnifiques puis je glissai mon sexe en elle. Rapidement, j’accélérai mes mouvements en elle. Je sentais bien que je n’allais plus tenir longtemps. Je donnai donc de grands coups de reins en elle, faisant claquer mes cuisses sur ses fesses. Sentant le plaisir monter, je serrai fermement ses hanches et me déversai en elle, dans un grand râle typique de la jouissance masculine. Je restai dans cette position le temps que mon sexe commence à ramollir puis je sortis mon sexe du sien, un filet de sperme tendu entre nous.
Sans même m’allonger, je vis Christel se lever, essuyer le sperme qui coulait entre ses jambes avec un mouchoir en papier puis se rhabiller. Je fis de même et nous descendîmes, toujours sans un mot.
Anita nous attendait en bas, assise dans le canapé en feuilletant un magazine.
Christel ramassa son sac à main, embrassa Anita et se dirigea vers la porte d’entrée devant laquelle je me tenais. Elle ouvrit la porte puis posa ses lèvres furtivement sur les miennes.
Puis elle sortit et claqua la porte. Quand nous fûmes seuls, Anita vint se coller contre moi.
À ces mots, elle prit ma main et la glissa dans son pantalon. Je pus sentir son sexe et son string complètement trempés.
(À suivre…)