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Temps de lecture estimé : 19 mn
10/02/13
Résumé:  Après une phase initiatique en ce début d'après-midi, ce couple singulier continue à me surprendre par les scénarii imaginés et leur représentation de la jouissance tant physique que cérébrale.
Critères:  grp hbi extraoffre fdomine intermast fellation cunnilingu préservati pénétratio portrait -couple+h -entrecoup
Auteur : JCX      Envoi mini-message

Série : Belle Epoque

Chapitre 02 / 02
De surprise en surprise !

Libertin averti et épicurien de la première heure, Michel répond à une annonce placée sur un site de rencontre coquine et fait la connaissance d’un couple, pour le moins, singulier. Un mari soumis et une maîtresse de maison un brin dominatrice vont le préparer, dans un premier temps, à vivre l’après-midi la plus folle jamais connue ! Obéissance, jouissance(s) et mise(s) en scène seront les lignes directrices qui lui permettront alors la découverte d’un plaisir nouveau, souvent espéré, mais jusqu’alors non encore assouvi.








– 3 –



Je suis assis, toujours nu, dans un magnifique fauteuil du 18ème, en train de profiter de ce moment de détente lorsque la sonnette de la porte d’entrée annonce une arrivée. Surpris, je me lève dans le but d’aller récupérer mes vêtements et de disparaître avant de me retrouver dans mon plus simple appareil devant des inconnus. J’ai à peine eu le temps d’esquisser le geste, que Brigitte me somme d’un ton sec de rester à ma place :



Elle ne plaisante pas !


Stoppé dans mon élan, je repose lentement mes fesses sur la douce assise et me tiens tranquille. J’ai du mal à reconnaître la différence dans le ton de la voix de cette femme autoritaire, certes, mais l’est-elle naturellement ou est-elle toujours dans ce jeu de rôle ?


Maurice, comme moi, regarde alors Brigitte se lever, réajuster sa jupe et fermer les boutons de son chemisier avant de traverser la bibliothèque pour se diriger via le hall, vers l’entrée principale de la maison. Au loin, j’entends la porte s’ouvrir et se refermer et, ensuite, le bruit caractéristique de talons qui marquent sèchement leur appui sur le carrelage. Quelques secondes plus tard, trois silhouettes apparaissent dans la pièce. Je ne suis pas franchement à l’aise dans ma tenue d’Adam, mais je crois bien être le seul que cela dérange réellement. Je fais donc abstraction autant que possible de ma différence et déduis rapidement au vu de cette visite « surprise » que ces invités-là seront ni plus ni moins nos compagnons de jeu pour la suite des réjouissances… Au premier regard, une véritable aubaine…


Maurice, qui avait également arrangé un peu son côté vestimentaire, quitte son canapé pour saluer l’homme qui lui sourit amicalement et fait une bise « très » appuyée à la femme qui l’accompagne. Ils se connaissent à l’évidence et cela confirme du même coup mes suspicions.



Par politesse, je me lève, oubliant mon état de « vulnérabilité ».



Gagné ! Nullement embarrassée par ma nudité, Karine me fait la bise machinalement tout en « m’inspectant » discrètement, mais néanmoins minutieusement, du regard au moment de laisser la place à Jean-Paul qui me serre la main et, par réflexe, fixe ostensiblement mon sexe. L’expression de son visage en dit long… Karine s’installe à la gauche de Maurice sur le premier canapé et Jean-Paul se rapproche de Brigitte sur le second. Je me rassois et trône sur mon fauteuil devant cette assemblée… qui me dévisage sans gêne et même avec un amusement certain… laissant paraître, cependant, une impatience palpable ! Pour un peu, j’aurais rougi !


Cette fois, c’est au tour de Maurice de s’occuper du service et de nous apporter du café frais et un assortiment de délicieux petits chocolats. Tout pour (re)mettre en appétit !



Et voilà, le décor est planté ! Ma curiosité et la situation coquine ont sur moi des effets (extérieurs) indéniables que les visiteurs ne manquent pas de remarquer. Comment pourrais-je aussi les dissimuler… si l’idée m’en avait effleuré l’esprit !



Brigitte reprend un peu de café et s’adresse à Maurice :



Cette fois, le ton employé ne fait plus aucun doute et Maurice s’exécute dans l’instant. Il se tourne vers cette femme qui avait entamé la petite trentaine et qui pouvait se vanter d’un physique absolument divin. Et pour faire preuve d’excès en la matière, je devine une seule et unique ride… sur laquelle elle est… assise ! Je souris rien qu’à la pensée de pouvoir l’admirer bientôt… et « plus, si affinité, n’est-ce pas ? ».


Karine fixe Maurice droit dans les yeux sans mot dire et attend, patiemment.


Maurice commence par lui défaire lentement chacun des boutons de son chemisier blanc. Porté, ce dernier est parfaitement cintré pour mettre en valeur une poitrine généreuse, et laisser apparaître juste ce qu’il faut de la dentelle du soutien-gorge afin d’aviver ouvertement la curiosité masculine et faire naître des espoirs qui, parfois seulement, seront récompensés. Sur ce coup-là, je sens clairement mon jour de chance ! Ôté, l’accès au crochet central du soutien-gorge est autorisé. Maurice le dégrafe avec dextérité et libère deux seins naturellement maintenus et superbement dessinés. Pour finir, Maurice fait glisser simultanément les bretelles le long des bras de Karine et pose délicatement le dessous sur sa droite sur le canapé.


Karine se lève alors, se place face à son « servant » pour lui faciliter l’ouverture de la fermeture Éclair de sa jupe noire, mi-longue, et ainsi découvrir un string noir et de longues jambes fines et musclées. Le dernier petit triangle de tissu ne résiste pas longtemps et est retiré pour offrir à la vue de tous un sexe lisse, intégralement rasé. Karine se retrouve, de cette façon, « à l’aise » et se tient maintenant devant nous, habillée de ses seuls bas noirs et de ses talons-aiguilles. Elle est sexy à souhait et n’attend que d’être croquée au propre comme au figuré ! Décidément, une journée BCBG comme je les aime ! Ce spectacle a commencé par chauffer la bibliothèque pour la seconde fois aujourd’hui et les effets sur la gent masculine présente sont indéniablement décelables, même dans les pantalons de ces messieurs encore vêtus !



Elle pose le plat de la chaussure droite sur le coin droit du fauteuil sur lequel je suis toujours assis et le cale contre le retour de l’accoudoir. Les lèvres de son sexe « se présentent », naturellement à moi, quand Karine y fait glisser sensuellement cette gourmandise sur toute la longueur de son intimité avant de me la mettre délicatement en bouche !



Puis, Karine saisit le dossier du fauteuil avec ses deux mains, et en s’appuyant sur sa jambe droite, vient caler son autre pied sur le côté gauche de l’assise. En se hissant dans cette position, sa chatte se situe à deux tout petits centimètres de mon visage. Cette femme n’a pas froid aux yeux, en revanche, moi, je chauffe à blanc !

L’excitation procurée et poussée à son paroxysme par la situation coquine ne laisse aucune place à la réflexion, mais uniquement au réflexe et à l’instinct. J’avance machinalement la tête, ouvre la bouche et but(in)e directement ce joli petit bouton rose qui s’offre outrageusement à moi ! Une légère succion en complément d’un pouce et d’un index fouineurs dans son fourreau délicieusement chaud et humide, et le plaisir se propage dans tout son corps. Karine aime ça, de toute évidence ! Encouragé par l’effet produit, je continue l’exploration de ce sillon en jouant du bout de ma langue sur l’intensité et la pression de mes caresses… et a priori, je dois être sur la bonne voie ! La combinaison choisie fait des miracles et Karine « souffre » le martyre, assaillie par des vagues successives, alternativement, de frissons et de spasmes !


Ma main droite remonte progressivement le long de l’intérieur des jambes de ma cavalière pour rajouter encore à la sensation de la caresse buccale. Il semblerait que cette zone, particulièrement sensible, constitue une zone érogène principale du corps humain. Peut-être n’est-ce pas vrai pour toutes les femmes, mais pour Karine, en l’occurrence, le principe est avéré, « preuve à l’appui » pour les fans de la série… TV !



Par l’entrejambe de Karine, j’aperçois Brigitte prendre Jean-Paul « en main ». En pleine érection, Jean-Paul regarde, sans mot dire, Brigitte le masturber lentement, alternant à intervalles irréguliers avec une prise en bouche experte. Il lui caresse doucement les seins et, de temps à autre, en pince assez fortement les mamelons, mais semble, toutefois, un peu absent, monopolisé entièrement par le spectacle donné par son épouse. Mais, plus précisément, son regard se focalise distinctement sur mon sexe et je devine aisément la suite escomptée dans la lueur de ses yeux. Ma supposition se confirme presque immédiatement quand je le vois retenir Brigitte qui s’apprêtait à lui jouer un « air de gorge profonde » dont elle a le secret. Il se lève, la queue raide, vient vers moi, et passe ses deux mains sur les fesses de Karine. Il n’en reste pas là et son index droit trouve rapidement une entrée tout aussi chaude et glissante. Quand il l’introduit dans le petit trou de son épouse, je le sens à travers la paroi de chair.


Mon excitation est montée d’un cran dans la fraction de seconde qui a suivi. Presque en même temps, cependant, je sens une main effleurer mes testicules… Une tentative d’approche timide, mais qui attendait, de manière évidente, un signe… d’encouragement ! Mon silence est cette réponse et Jean-Paul poursuit par une prise plus ferme. Abandonnant l’anus de sa femme, il se met à genoux entre mes jambes, saisit mon sexe et débute un jeu de main expert. Bi léger et surtout curieux, ce contact homme-homme ne me dérange pas et permet de pimenter certains moments lorsque l’ambiance générale s’y prête. Et c’est le cas à cet instant précis ! Ne te prive pas, Jean-Paul, amuse-toi !


À la façon de manier prendre le « manche », je déduis qu’il n’en était pas à son « premier » ! Sa dextérité est remarquable et un grand frisson me parcourt tout le corps. Génial ! Conscient de l’effet produit, Jean-Paul continue de plus belle. D’un seul geste, il enfourne tout d’un coup ma verge dans sa bouche pour aller plaquer le gland contre son palais. Ensuite, enserrant mes testicules d’une main, il positionne son autre main à la base de mon sexe et accompagne le mouvement de retrait en faisant glisser ses lèvres avec une lenteur exquise le long de ma tige de chair pour s’attarder une seconde sur mon gland avant de la retirer totalement. Sans réellement me laisser de répit, il enchaîne directement sur une masturbation énergique et d’une redoutable efficacité. En l’espace d’à peine trois minutes, je me retrouve au bord de l’orgasme, sentant les premiers signes manifestes de l’éjaculation. Brigitte, qui veille « au jus », a juste le temps de stopper Jean-Paul avant qu’il ne me fasse exploser…



Brigitte s’avance et couvre de tendres baisers le dos de Karine, lui saisit, par l’arrière, les deux seins pour lui en titiller les mamelons en variant habilement la pression appliquée. Jean-Paul qui, à l’évidence, ne veut rien perdre des délices de cet après-midi, délaisse quelque peu mes parties pour se concentrer sans détour sur celles de Brigitte… Elle est très réceptive au traitement linguistique intensif infligé à son clitoris et les râles de plaisir qui se succèdent rapidement, témoignent d’un autre savoir-faire vrai. Maurice, quant à lui, ne bouge pas de son canapé et observe l’ensemble des acteurs de cette scène et s’en délecte. Un penchant voyeur !


« L’imbrication » est presque totale et chacun semble tirer… sur « l’épingle » de son jeu !


Libéré de l’étreinte de Jean-Paul et face à une Karine « chauffée à blanc », je ne cherche plus maintenant qu’une seule et unique chose : satisfaire mon envie irrésistible de pénétrer ma partenaire au plus profond de son être, de la remplir pleinement et de me soulager brutalement en elle. Bestial, mais tellement bon !


Saisissant fermement Karine au niveau de ses hanches, je la fais basculer doucement vers l’arrière. Ses pieds sont toujours bien calés sur le fauteuil. Elle tourne pratiquement autour de son axe invisible et vient poser son dos sur la table basse en verre de la bibliothèque. Sans mot dire, elle soutient mon regard et écarte largement ses cuisses pour me signifier clairement son attente. À peine le temps de « chausser » le préservatif, mon gland s’empresse sur le chemin d’une jouissance certaine à très court terme. Les lèvres humides et chaudes de Karine n’opposent aucune résistance à la poussée de mon gland. Je la pénètre sans retenue, freiné seulement par mes testicules… Les va-et-vient s’enchaînent, hâtivement tout d’abord, puis plus posément pour reprendre de plus belle ; les positions les plus variées sont tentées, expérimentées, faisant croître cette excitation réciproque, déclenchant du même coup la curiosité de nos voisins et voisines qui se sont arrêtés pour se concentrer sur nous. Mais Brigitte garde un œil sur nous et, surtout, s’efforce à maintenir l’ambiance et les envies des unes et des autres, au sens figuré comme au sens propre du terme, et met fin, en douceur, à nos ébats… À la dernière seconde !



Le brame ! Ce que j’en sais, est tout simplement qu’il s’agit du cri du cerf en rut ! Sans être chasseur, j’ai pu, par le passé, profiter, à plusieurs reprises, de ce spectacle absolument fabuleux des cerfs qui, au lever du jour, durant toute la période des amours (vers la fin septembre, début octobre), poussent ce cri qui vous glace le sang, tellement il est puissant ! Une surexcitation palpable électrise l’air. Les vieux cerfs surveillent jalousement les femelles de leur harde et livrent des combats aux autres prétendants, souvent bien plus jeunes, afin d’affirmer leur suprématie et de les éloigner ! Ensuite, les vainqueurs s’accouplent aux biches et, seul l’épuisement stoppera leurs saillies. Et les histoires racontées à ce sujet ont rajouté à ce phénomène naturel une part de légende qui veut que le vieux cerf se nourrisse de la force et de la virilité des jeunes prétendants impétueux. Fantastique, est-ce cela que Brigitte nous réserve dans cette salle mystérieuse… dont le nom laisse libre cours à l’imagination masculine ?


Honneur à notre invité ! Brigitte m’indique une porte située sur ma gauche. Une énorme porte en bois sombre, finement ciselée sur son pourtour. Juste au-dessus, un tableau de « la scène de chasse » de Domenico Brandi, le peintre du vice-roi de Naples au 18ème siècle, réputé pour ses natures mortes et ses paysages pastoraux. Décidément !


Obéissant, flatté et curieux, je me dirige calmement vers cette porte en bois massif décorée avec incrustations et ferronneries sous les regards des « initiés ». La poignée en fer forgé, représentant un cor de bois, s’abaisse, sans bruit, sous la pression de ma main. Je n’en crois pas mes yeux !


Une pièce spacieuse, presque carrée, d’environ cinq mètres de large sur six mètres de long et d’une hauteur sous plafond d’un minimum de trois mètres cinquante. Une estrade, ronde et surélevée d’une vingtaine centimètres se trouve en son centre. Sur l’estrade, un drôle d’engin…


Sur le mur, devant moi, un magnifique trophée de chasse, une tête de cerf dans la position du brame ornée de gigantesques bois (seize cors, au bas mot). Sur la gauche, j’aperçois un banc en bois de noyer, ressemblant de beaucoup à un banc d’église espagnole du 17ème siècle (c’est mon intérêt pour les belles choses !). Les faces avant au niveau des pieds et arrière du dossier sont finement sculptées. L’ensemble paraît en excellent état de conservation. Cinq coussins d’un rouge éclatant et brodés au fil d’or ornent son dessus. Belle déco, mais à qui peut bien servir ce banc ?


À l’opposé, et sur ma droite, un grand miroir mural d’au moins deux mètres cinquante de haut et intégré dans un cadre en manguier massif superbement travaillé. Le parquet « à la Versailles », constitué de panneaux en bois carrés préassemblés et présentant un motif de diagonales entrelacées, est à l’évidence régulièrement entretenu et donne la touche finale à cette salle dédiée très clairement à « Diane » et à ses adorateurs.


Mon imagination me joue peut-être des tours, mais j’ai comme l’impression, à première vue, que cet endroit n’est pas seulement réservé aux uniques participants des après-midi et soirées coquines de ce couple étonnant en tous points et qui ne cesse de me surprendre…


J’entre le premier, suivi de Jean-Paul, Karine et Maurice. Brigitte pénètre la dernière dans la pièce, et referme la lourde porte derrière elle. Utilisant une télécommande prise auparavant sur une table ronde de la bibliothèque, la maîtresse des lieux fait plonger la pièce dans une obscurité presque totale à l’exception de la « tribune » qui reste éclairée par le faisceau diffus d’un très beau lustre contemporain en cristal ovale à la parfaite verticale de l’estrade. Simultanément, plusieurs petites appliques murales s’allument automatiquement, ne propageant, cependant, qu’une faible lueur. Brigitte s’avance dans la lumière, à droite de ce qui, de plus près, se révèle être une banale chaise de massage, me fixe droit dans les yeux et me fait signe d’un geste de la main de « prendre place »…



J’enfourche donc le siège et pose machinalement mes avant-bras sur les accoudoirs. Tout aussi naturellement, mes tibias viennent s’appuyer sur les supports de la partie inférieure pour me garantir ainsi une stabilité quasi parfaite. L’assise en cuir fauve, déjà bien patinée, témoigne d’une utilisation intensive. Si elle pouvait parler ! Dans cette position, mon sexe qui s’est, à nouveau, tendu sous l’effet de la surprise, se positionne entre les deux montants principaux du châssis en aluminium noir anodisé… accessible… Que me réserve encore Brigitte ?


Cette femme m’a montré en quelques heures qu’elle était une parfaite hôtesse de maison, doublée d’une maîtresse impitoyable.



Brigitte s’approche de moi, s’agenouille devant mon membre en forte érection et me passe un préservatif qu’elle déroule soigneusement et entièrement du gland jusqu’à la base du sexe ! Elle a un doigté certain dont elle a, en plus, conscience ! Ce qui est terrible en sensation !



Se tournant, cette fois, vers Karine qui attendait sans bouger en bas de l’estrade à quelques pas derrière moi, elle s’adresse à elle d’une voix douce, mais néanmoins autoritaire. Le ton ne laisse aucun doute sur l’attitude à adopter avec la maîtresse de maison.



Aussitôt Karine s’exécute, se met à quatre pattes en me présentant sa croupe qui damnerait un… et recule doucement pour venir chercher puis s’empaler sur mon sexe qui est avalé complètement d’un trait, d’un seul. Je sens immédiatement la chaleur de ce fourreau malgré la fine couche de latex. Très réceptive… et plus excitée, encore, qu’il y a quelques minutes à peine dans la bibliothèque, Karine calque son plaisir sur mes va-et-vient qui s’enchaînent et s’accélèrent. Râles et secousses, les nerfs remontent à « fleur de peau »…


Deux ou trois minutes suffisent pour m’amener au bord de l’orgasme et à la seconde où j’allais pousser pour la dernière fois avant de me soulager bruyamment, Karine se retire, tirée par Brigitte qui surveillait le moindre détail de cette scène surnaturelle. Je la maudis intérieurement… me faire cela relève tout simplement de la torture !



Jean-Paul me retire la capote d’un geste bref, enserre mon sexe à un petit centimètre sous la base du gland avec sa main droite et avec le pouce et l’index de sa main gauche, isole fermement mes testicules en les poussant vers le bas des bourses. Le mouvement rotatif appliqué ensuite sur ma tige a un effet immédiat et j’explose littéralement en hurlant comme une « bête » !


Le méat s’ouvre largement et le premier jet de sperme s’en échappe, propulsé par la pression manuelle exercée en direction du gland. Une légère douleur provoquée par le blocage des testicules l’accompagne de façon « délicieuse ». Un deuxième et un troisième jet suivent dans la foulée, venant souiller le bois de l’estrade. Incapable de maîtriser les spasmes qui me secouent, je m’agrippe de toutes mes forces au maintien transversal pendant toute la durée de cet orgasme brutal. Jean-Paul relâche tout d’abord mes couilles, mais poursuit encore un peu, doucement, son mouvement masturbateur… L’érection perdure malgré l’éjaculation, et ne faiblit que plusieurs minutes après. Génial, quel pied !


La tête toujours pressée dans la cavité faciale du siège, je retrouve peu à peu mes esprits avant de pouvoir reprendre, à nouveau, totalement le contrôle de mes muscles et me lever.



Karine me remplace sur le siège, après l’avoir baissé au maximum, en y prenant place, cette fois, comme sur une chaise traditionnelle, les genoux relevés et les pieds posés bien à plat sur les supports latéraux.


C’est une femme superbe et je ne me lasse pas de la regarder, de l’épier dans ses moindres mouvements, elle a une grâce indéniable et un corps sublime. Sa peau laiteuse, lisse et très douce force irrésistiblement l’envie de la toucher, de la caresser, de la sentir sous ses doigts. Ses seins en forme de poire dont la partie inférieure se redresse naturellement, son ventre plat, ses hanches parfaitement dessinées, une croupe « d’enfer » et ses longues jambes sont d’une harmonie rare. Le dessin des poils très courts de son pubis, une fine bande remontant de cinq centimètres environ depuis son sexe soigneusement rasé, met la touche finale à cette plastique exceptionnelle. Les mains posées sur les genoux, les cuisses légèrement écartées, elle offre ainsi toute son intimité à l’œil lubrique du cerf… prête pour une autre « œuvre de chair » ! Karine attend là, sans bouger et sans mot dire, la tête en arrière, les yeux fermés…


Brigitte s’approche d’elle, la balaye entièrement de son regard quelques instants puis la pénètre de son index gauche.



C’est au tour de Maurice de profiter, enfin, des avantages de Karine. Il se positionne devant elle et s’agenouille, le buste droit, les fesses appuyées sur ses talons. Les mamelons de Karine sont durs et pointent épatamment, preuve d’une excitation retenue, mais bien réelle. Brigitte se baisse, saisit le sexe un peu relâché de son mari et lui passe un anneau en caoutchouc rouge qu’elle place à la base de la hampe. Sous l’effet du resserrement, la verge gonfle, durcit et se dresse fortement. Poursuivant son travail préparatoire, elle le décalotte et pose un préservatif sur le gland, en pince le réservoir pour en chasser l’air et le déroule complètement sur l’érection. Maurice ne bronche pas, les yeux rivés sur la poitrine généreuse de sa future partenaire.


Brigitte ne mâche pas ses mots :



Maurice ne se fait pas prier. Il s’agrippe des deux mains à la structure métallique du siège et s’enfonce d’un coup au plus profond de Karine, si fort que ses testicules se plaquent au fond de ses bourses à chaque coup de butoir suivant. Le rythme s’accélère et le fait de ne pas avoir eu le « droit » de jouir jusqu’à maintenant décuple notoirement son ardeur. Il est évident qu’il veut se soulager le plus vite possible. Comme je le comprends !


Son rythme respiratoire augmente, ses muscles se contractent, signes que l’orgasme n’est pas loin. Une fois encore, la daronne intervient et Maurice s’arrête, à contrecœur, soumis ! Il est débarrassé du latex protecteur, dévoilant alors à nu, un sexe extrêmement tendu, le gland en feu, au bord de l’éruption !


Étonnamment coordonnés, Brigitte et Jean-Pierre s’activent ensemble pour le plus grand bonheur de Maurice et son apaisement imminent. La daronne libère le clitoris de Karine en écartant habilement les lèvres protectrices et en le présentant ainsi à son « cavalier » du moment. Jean-Pierre, quant à lui, s’empare de cette lance de chair et en un seul mouvement de main en fait sortir une impressionnante quantité de semence chaude presque concomitamment à l’ouverture de l’anneau pénien. La jouissance est sauvage et bruyante comme l’assemblée le souhaitait « évidemment » dans le cadre de ce scénario. Le premier jet touche le clitoris de plein fouet, le suivant, moins puissant, s’écrase sur l’entrée vaginale luisante et ruisselante. L’orgasme passé, Maurice subit encore plusieurs soubresauts avant de pouvoir reprendre une respiration normale et se relever, lentement, satisfait, calmé et visiblement ravi.


Karine, quant à elle, était restée impassible durant ces quelques minutes écoulées, ayant puisé son propre plaisir dans cette passivité et dans la jouissance même de son partenaire. Après avoir clairement savouré ces instants, elle quitte, cependant, son siège, et, manifestement, au fait de la suite du scénario, relève la selle pour la positionner à sa hauteur standard. Elle passe sa jambe gauche par-dessus l’assise déjà bien humide, puis s’y laisse glisser lentement, le ventre collé sur les deux montants de l’armature. Assise, elle plaque ensuite sa tête dans la cavité faciale et cale ses avant-bras sur les accoudoirs transversaux. Sa splendide croupe ainsi exposée, monopolise tous les regards. Quel spectacle !


Brigitte s’approche d’elle, laisse glisser trois doigts à peine appuyés le long de sa colonne vertébrale de la base de la nuque à ses orifices les plus secrets :



« Ce dernier coït » auquel fait allusion Brigitte, allait clore une après-midi coquine, torride, surprenante et, à mon goût, parfaitement réussie.


Jean-Pierre, ouvertement très excité, se place derrière Karine et pose fermement ses mains à plat sur les fesses magnifiques de sa femme. Ses yeux brillent et laissent apparaître son impatience… d’en finir, enfin !

Tous autant que nous sommes, nous nous retrouvons de part et d’autre de Karine afin de pouvoir, à nouveau, caresser et toucher sans retenue aucune, ses formes extraordinairement esquissées. La tête, la chevelure, la nuque, le dos, les seins et ce séant ! Nos mains n’épargnent pas un centimètre carré de sa peau douce et sensible… et provoquent des frissons de plaisir qui la parcourent toute entière.


Bien campé sur ses jambes, Jean-Pierre colle son gland nu et gonflé sur l’orifice de sa femme et, très lentement, écarte les lèvres de son intimité jusqu’à faire disparaître la pointe de son sexe dans les chairs chaudes et luisantes à souhait. Puis, sans prévenir, il s’enfonce d’un trait, d’un seul, dans Karine qui, par réaction, s’empale de plus belle. Dès lors, ce mâle pilonne vigoureusement et durant de longues minutes les fesses de son épouse. Les claquements du bas-ventre de Jean-Pierre sur le postérieur de Karine marquent la cadence des va-et-vient particulièrement appuyés. Le rythme est régulier, presque monotone, mais efficace à en juger la cyprine qui coule en abondance sur le « joli » parquet de l’estrade.


L’excitation de Jean-Pierre à son comble est contagieuse et nous avions rapidement retrouvé nos « formes »… Mais pour peu de temps car l’éjaculation de Jean-Pierre semble très prochaine. La respiration sifflante, il se cramponne littéralement à ce fessier, jetant ses reins en avant et la tête en arrière pour, finalement, se vider totalement dans les profondeurs de Karine qui, à son tour et presque simultanément, est submergée par un puissant et long orgasme. Il se retire peu à peu et regarde avec une satisfaction certaine, une dernière goutte de sperme perlant au sommet de sa verge. La dilatation du vagin et la poussée volontaire de Karine laissent s’écouler dans la foulée une bonne quantité de la semence blanchâtre et épaisse qui, en suivant le chemin des lèvres humides, vient goutter, en s’étirant longuement, sur le cuir patiné du siège… qui pourrait en raconter des histoires !


Le temps de reprendre nos esprits, nous nous réunissons autour de la table basse dans la bibliothèque où commença cette après-midi exceptionnelle, pour un dernier petit café en parlant de choses et d’autres…


Nous échangeons regards coquins et numéros de téléphone en nous promettant, bien sûr, de nous revoir dès que l’occasion se présentera ! C’est quand vous voulez !