n° 15482 | Fiche technique | 12849 caractères | 12849Temps de lecture estimé : 9 mn | 16/02/13 corrigé 10/06/21 |
Résumé: Marie se réconcilie avec son corps grâce à un professeur expérimenté qui va la faire languir pour mieux la stimuler. | ||||
Critères: f fh hplusag hagé voisins complexe revede fmast nopéné init | ||||
Auteur : Maelys Envoi mini-message |
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Dans le premier épisode : Marie a connu l’amour pour la première fois de sa vie avec son petit ami Nicolas, à l’occasion d’une fête de fin d’année, dans une voiture.
Elle qui attendait tant de cette première fois est immensément déçue. Son jeune amant, inexpérimenté, n’a songé qu’à son plaisir.
Après cette première expérience qui fut une cruelle désillusion amoureuse et un terrible échec sexuel, pour oublier je suis partie effectuer un séjour avec ma famille en Bretagne dans un endroit calme et reposant…
Toujours depuis cet épisode avec Nicolas, je ne me masturbe plus. J’ai perdu le goût du plaisir sexuel. Même ma mère s’inquiète un peu. Elle s’étonne que je ne veuille plus voir Nicolas, ni aucun autre garçon. Elle m’a même dit l’autre jour qu’elle avait l’impression qu’au lieu de devenir l’adulte qui allait bientôt les quitter pour voler de ses propres ailes dans la capitale, elle avait l’impression de retrouver la jeune fille timide d’il y a quelques années.
Maintenant, les vacances sont terminées et, depuis trois ou quatre semaines, j’essuie les bancs de la célèbre grande école de Sciences Politiques à Paris. Mes parents ont trouvé un studio dans un quartier relativement calme à quelques encablures, en métro, de l’école. Ce studio se situe dans un vieil immeuble au premier étage ; le propriétaire, un brave homme d’une soixantaine d’années, réside au rez-de-chaussée.
Depuis le début des cours, mon emploi du temps est monotone : boulot, révision, dodo… Afin de casser ce rythme, j’ai décidé ce soir d’assister à une conférence à quelques centaines de mètres de l’appartement. Vers vingt heures, je me change (je suis toujours vêtue sérieusement, sans provocation, même pas trop sexy : jean, pull de coton) et quelques instants plus tard me voilà partie.
Vers minuit, la conférence est terminée. Maintenant, il faut rentrer… Après une centaine de mètres, le trottoir semble plus sombre ; des bruits étranges résonnent, des ombres surgissent. Un peu affolée, je poursuis ma fuite en avant en courant. J’atteins l’appartement encore éclairé de M. Jacques Vidal, mon propriétaire. Je me précipite sur la sonnette de la porte et lui demande :
Le propriétaire, un peu hébété, ouvre la porte. Il est vêtu d’un peignoir et je m’accroche à son cou pour lui conter ce qui vient de m’arriver…
Quelques instants après, il revient avec deux verres remplis d’un liquide blanchâtre.
Je bois cul sec cet alcool bien fort, puis un deuxième et un troisième verre. Ensuite, nous discutons de choses et d’autres sans grand intérêt. Je me sens bien à côté de ce vieil homme, mais ma tête commence à tourner ; les idées se bousculent et je me sens fatiguée, sans ressort.
Tout à coup, monsieur Vidal se penche gentiment vers moi pour me biser paternellement sur la joue… Je le laisse faire. Il me serre l’épaule gauche, tandis que sa main droite me caresse affectueusement l’arrière de ma tête. Ses lèvres se rapprochent dangereusement des miennes… Grisée par l’alcool, troublée par ses petits bisous amicaux et ces petits contacts érotiques (et depuis plus de deux mois, aucun homme ne m’a touchée) je ressens une douce chaleur m’envahir le bas-ventre. Et quand sa bouche trouve la mienne, je succombe totalement et réponds à son fougueux baiser. Voyant que je ne refuse pas ses avances, il s’enhardit et sa main gauche se pose sur mon sein.
Malgré sa gentillesse, je me ressaisis et retire sa main posée sur mon pull.
Il se tait. Quelques secondes passent. Il semble réfléchir.
Il ne peut s’empêcher de sourire en me disant cela.
Je suis embarrassée, mais il a du charme. Il parle gentiment.
Je suis fatiguée, stressée. J’ai envie de remettre à plus tard… à jamais. Mais je suis curieuse et je me laisse tenter.
Il approche une chaise, écarte ses jambes et les place de part et d’autre des miennes. Que projette-t-il de faire ?
Il passe ses mains sur mon pull, les passe sous le renflement de ma poitrine comme pour la soupeser. Il prend son temps. Je commence à sentir durcir mes seins. Je me penche en avant légèrement pour que ses paumes se fassent plus insistantes.
Il me murmure à l’oreille :
Je retire mon pull bleu et me retrouve en soutien-gorge noir dont la dentelle laisse voir ma chair. Il approche sa tête de mon décolleté et baise délicatement la peau entre mes deux bonnets. C’est délicieux.
Le bout de ses mains passe sur mes mamelons par-dessus la dentelle de mon soutien-gorge.
Il a raison. Mon corps a envie de ce que je n’ose demander. J’ai compris la méthode et je retire, rougissante, mon soutien-gorge dévoilant mes seins durcis et tendus.
Il enduit ses doigts de salive et les passe sur les granulosités de mes aréoles, tout doucement, comme s’il voulait en découvrir le relief de chaque centimètre carré. J’ai la chair de poule. Il fait de même sous mes tétons qui durcissent davantage. Je gémis malgré moi. De délice, je clos mes yeux.
Comme pour me surprendre, il saisit mes tétons et tire un peu dessus, sans me faire mal. Je sens mon bas-ventre réagir. Sûr que ma vulve se dilate…
Il me prend le sein droit et embouche mon téton. On ne m’avait jamais tétée. Je n’aurais d’ailleurs jamais osé le demander. C’est délicieux. J’ai de longs soupirs. J’ai envie de me toucher mais ce serait indécent et je me retiens.
Tantôt il me suce les tétons, tantôt il les tire avec sa bouche, tout en me pétrissant les globes. J’ai déjà lu qu’il était possible de faire jouir une femme en lui stimulant les seins, mais jusqu’alors je pensais qu’il s’agissait de pure invention. Je pense maintenant que cela est possible.
Après de longues minutes durant lesquelles il m’a aspiré les mamelons des deux seins, je crois que ce moment va arriver. Ma respiration s’est accélérée. Je sens que l’orgasme est proche. Il s’en aperçoit, et brusquement il s’arrête pour me dire :
J’ai envie qu’il continue.
Il prend mon soutien-gorge et me le remet délicatement. Il semble prendre un grand plaisir à replacer mes seins dans les bonnets et à me passer les bretelles sur les épaules. Pour me l’agrafer, il appuie son buste contre ma poitrine, ce qui me donne encore plus envie qu’il me la pétrisse à nouveau. Quand il s’écarte de moi de manière définitive, je remets mon pull, résignée. Quand je me lève, je me retourne et je m’aperçois qu’il jette un coup d’œil, avec envie, sur mes fesses. Ce n’est donc pas uniquement la volonté de me frustrer qui motive l’interruption de ses caresses. Il restreint aussi son envie de découvrir le reste de mon corps. Il a commencé mon éducation sexuelle et il semble que cet homme affable et âgé soit un excellent professeur dans ce domaine.
Il me raccompagne jusqu’à sa porte.
Il m’embrasse sur le front et referme la porte en souriant.
Je monte chez moi. Je me déshabille. Ma petite culotte est pleine de cyprine à l’endroit où elle recouvrait ma vulve. Je fais une indispensable petite toilette intime avant de passer mon tee-shirt de nuit.
J’essaie de m’endormir, mais n’y parviens pas. Monsieur Vidal m’a réveillée sexuellement, tel un volcan endormi qui vient de connaître une soudaine et inattendue éruption après des millénaires de calme.
Je suis encore tout excitée, et pour la première fois depuis que Nicolas m’a baisée, je ressens le besoin d’écarter les cuisses.
Tout doucement, ma main s’enfouit dans ma toison. Je ferme les yeux et m’imagine qu’un homme, un homme mûr, examine mon intimité. J’ai un visage en tête : pas celui de Monsieur Vidal, mais un visage inconnu d’un beau garçon dont les yeux brillent à l’idée de découvrir mes mystères. Ce n’est plus mon doigt qui caresse maintenant mes grandes lèvres, mais celui de ce bel homme. Les doigts ouvrent délicatement celles-ci et déploient délicatement les petites lèvres en tirant légèrement dessus. Les doigts se dirigent maintenant vers le vestibule du vagin afin d’y recueillir la cyprine nécessaire pour la suite des opérations. Il l’étale sur les petites lèvres et sur le capuchon du clitoris maintenant durci. Deux doigts le font coulisser et le plaisir débute. Ils s’activent d’abord lentement en appuyant légèrement sur le bouton et appliquent des mouvements circulaires de plus en plus rapides.
J’ouvre les yeux et sors de mon songe pour sortir des draps, écarter les jambes et être à l’aise pour me donner le plaisir que je m’étais refusé depuis ma défloration. J’en profite pour relever mon tee-shirt au-dessus de mes seins dont les tétons ont maintenant durci comme sous les doigts de monsieur Vidal.
Je ferme à nouveau les yeux et mon bel amant imaginaire me tire les tétons et agite ses doigts de plus en plus rapidement sur mon clitoris. Ma respiration se fait de plus en plus rapide et mes gémissements de plus en plus sonores. Il introduit maintenant dans mon vagin trempé et béant deux doigts et le fouille. Mon plaisir remonte aussitôt, et juste avant que l’orgasme se produise, il me retourne et replace ses doigts sur mes nymphes. Mon bassin ondule et bientôt, presque à l’agonie, il me donne un puissant orgasme dont les contractions se propagent jusqu’aux tréfonds de ma matrice.
J’ouvre les yeux à nouveau. Hélas, point de bel amant… Je reprends mes esprits et retourne dans la salle de bain pour une nouvelle toilette intime. J’ai vraiment envie de me faire prendre, d’être à nouveau pénétrée par une verge dressée ; que l’on joue, que l’on jouisse de mon corps et que l’on me fasse femme en disposant de mon corps.
J’ai de nouveau envie d’être une femme…