n° 15519 | Fiche technique | 19287 caractères | 19287Temps de lecture estimé : 14 mn | 14/03/13 |
Résumé: Marie se sent maintenant suffisamment confiante pour conquérir un jeune homme de son âge. Elle va déployer son charme et son intelligence pour y parvenir. | ||||
Critères: fh jeunes sport école douche amour voir exhib préservati | ||||
Auteur : Maelys Envoi mini-message |
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Dans les premiers épisodes : Marie a connu l’amour pour la première fois de sa vie avec son petit ami Nicolas. Cette expérience fut très décevante. À Paris, elle fait la rencontre d’un homme expérimenté qui se propose de l’aider à retrouver des envies sexuelles. Il y parvient en s’occupant seulement de sa poitrine opulente. Lors du cours suivant, celui-ci s’occupe de son sexe avec une grande minutie. Elle attend, frustrée, le cours suivant, espérant que cette fois-ci il fera d’elle une vraie femme connaissant l’orgasme lors de l’acte sexuel. À défaut d’acte sexuel, c’est une leçon de fellation à laquelle Marie a droit. Enfin, elle obtient ce qu’elle voulait de monsieur Vidal à la leçon suivante : une pénétration préparée et attentive à ses envies. Elle se sent enfin pleinement femme et souhaite maintenant charmer un homme de son âge.
Cela fait plusieurs jours maintenant que monsieur Vidal m’a permis de révéler l’expression de ma sexualité. Je me sens ouverte et prête pour de nouvelles aventures. Je dirais même que je souhaite maintenant prendre l’initiative de choisir un partenaire et de l’amener à ce que nous ayons un rapport sexuel.
Antoine, mon camarade de promotion, m’attire de plus en plus. Je discute avec lui. Nous échangeons des sourires et je sens que le courant passe. Il me raconte son intérêt pour la photo, qu’il pratique en amateur. Je lui ai dit que j’appréciais également cet art et il m’a montré son book. Il excelle dans les paysages et dans les portraits de femmes, toujours habillées mais dans des positions très sensuelles qui amplifient la beauté des courbes. Il expose dans des galeries d’amateurs, au club photo de l’université ou dans la ville de son enfance. Il est sensible, intelligent et en plus il a l’air baraqué. Il évoque la pratique de la natation plusieurs fois par semaine. J’ai évoqué mon désir de pratiquer une activité sportive et que je serais intéressée à l’idée de l’accompagner.
Je suis allé m’acheter des maillots de bain qui mettent en valeur mes formes. Nous sommes allés trois fois à la piscine de dix-huit heures à vingt heures. J’ai pu voir que je ne le laissais pas insensible. À chaque fois qu’il le pouvait, son regard traînait sur ma poitrine et sur mes fesses. Je me suis godée plusieurs fois de suite en me représentant Antoine me faisant l’amour. Ses abdominaux, ses deltoïdes et ses cuisses puissants me font un effet fou.
Le jouet que je m’introduis dans la chatte ne me suffit pas, bien entendu. J’ai besoin de ses mains, de ses baisers et de sentir la force de son corps. C’est un garçon gentil et il me drague avec délicatesse. Mais mon besoin sexuel est exacerbé. Je décide d’accélérer un peu les choses.
J’avais remarqué que chaque soir vers 19 h 45, quand nous sortions de la piscine, le vestiaire des hommes était fermé pour le ménage et seul le vestiaire des dames était utilisé. Je décide de faire usage de cette contrainte pour lui donner à voir mes avantages physiques.
—ooOoo—
Nous sommes mardi soir, à la piscine. Antoine et moi tirons des longueurs. J’ai mis mon maillot de bain une-pièce bleu, très pudique, mais aussi idéal pour souligner ma silhouette. Dix-neuf heures trente. Je vois Antoine sortir du bassin. Il vient me voir à l’issue d’un vingt-cinq mètres crawlé que je m’applique à effectuer sur un bon rythme.
Je le sens gêné.
Nul doute qu’il a compris que nous serions dans une relative promiscuité lors de notre rhabillage. Cette réaction me touche. Il est délicat et ne souhaite pas profiter de la situation. Est-il pour autant inhibé au point qu’il serait incapable d’exprimer un désir physique, comme je l’étais avant de rencontrer monsieur Vidal ?
Nous nageons tranquillement et, à moins le quart je sors du bassin, suivie par Antoine. Nous nous dirigeons vers les vestiaires. La personne chargée de l’entretien nous y attend.
Antoine revient et nous nous dirigeons vers les douches. Il est crispé.
Nous déclenchons les douches. L’eau est chaude et c’est vraiment agréable. Je sors mon gel douche et entreprends de me laver. Je me savonne les cheveux et la mousse coule sur mon maillot de bain. Antoine fait de même.
D’une manière faussement pudique, je lui tourne le dos, retire mes bretelles et roule mon maillot sur ma taille. Il doit me voir dos nu. Je savonne maintenant mes seins que je prends à pleines mains. Je le fais avec minutie, ce qui provoque l’érection de mes tétons. Je me prépare à les rincer et me place face à la douche, découvrant à la vue d’Antoine le profil de ma poitrine altière. Je me rince abondamment et la chaleur me fait du bien. Je jette un œil sur Antoine. À en juger par la bosse sous son slip de bain, mon 95C semble faire de l’effet…
Il s’emploie à faire beaucoup de mousse avec son gel afin de camoufler un renflement qu’il semble considérer comme embarrassant. C’est très mignon.
Je me tourne face à lui.
Mes seins sont maintenant pleinement exposés sous ses yeux ; l’eau de la douche ruisselle sur ceux-ci. Que c’est excitant de les montrer ! Je les malaxe en faisant des mouvements circulaires. Ma poitrine monte et descend au rythme de mes gestes. Je vois son membre tendre son maillot de bain de manière quasi comique. Mon regard croise le sien à cet instant. Je lui adresse un désarmant sourire.
Il sourit en retour.
Disant cela, son érection se fait plus importante, et subrepticement il place son pénis en diagonale dans le but de l’empêcher de pointer au-delà de l’élastique du maillot et de rendre la situation pire que ce qu’elle est, de son point de vue.
Je reste de face et tente de tirer mon maillot de bain afin de nettoyer ma vulve et mes fesses sans le retirer. Il est évident – et c’est voulu, compte tenu de l’élasticité du tissu – que j’ai du mal à y parvenir.
Je hausse les épaules, me tourne de manière faussement pudique et décide de retirer entièrement mon maillot de bain. De profil, je me cambre et fais passer ma main enduite de gel douche entre mes cuisses. Je lui donne une vision carrément indécente, de profil de mon corps.
Je jette un œil sur Antoine. Il est confus et hilare à la fois, me regarde et me déclare :
Il retire son slip de bain. Je me tourne face à lui, exposant mes seins et ma toison brune en partie couverte de mousse. Je fixe sa verge dressée au milieu de ses poils pubiens. Elle est longue et forte. Elle correspond bien à son physique d’athlète.
L’homme idéal : sensible, intelligent, sportif et beau gosse.
En nous regardant, nous nous douchons maintenant totalement nus. Je nettoie ma vulve et il ne cherche plus à regarder en détail comment je suis faite. Il lave sans pudeur sa verge en prenant soin de ne pas toucher son gland, afin d’éviter tout accident inconvenant dans l’état où je l’ai mis.
J’ai envie de prendre sa verge dans les mains et de le masturber. J’aimerais bien qu’il découvre mon corps de ses mains, de sa bouche et de son sexe ; mais je veux vivre une vraie relation, ne pas brusquer les choses. J’éprouve de l’intérêt pour Antoine. Il sait maintenant que je ne suis pas la jeune femme un peu farouche qu’il imaginait, que je suis physiquement accessible et certainement physiquement attrayante. Je sais maintenant que c’est un homme qui respecte les femmes, ne cherchant pas à profiter de la situation, mais qu’il assume aussi ses désirs sans en avoir honte.
Nous quittons la douche, nus, et regagnons le vestiaire pour nous rhabiller. L’érection d’Antoine perd de sa vigueur, fort heureusement pour lui, pour nous. Si nous étions surpris nus, lui dans cet état, cela risquerait de nous attirer des ennuis dans ce lieu public. Tout en nous rhabillant, je discute avec Antoine pour dissiper toute gêne.
Il éclate d’un rire joyeux auquel je réponds. Il naît une complicité propice au développement de notre relation.
Nous rentrons chacun chez nous après une bise, uniquement sur les joues, mais un peu plus appuyée que celles que nous avions l’habitude de nous faire habituellement. Une douche commune, ça rapproche, c’est bien connu.
Arrivée chez moi et après avoir dîné, je m’empare du joujou offert par mon mentor, ferme les yeux et me pénètre profondément sans utiliser le mode vibrant. Mon puissant étalon a pris les traits d’Antoine. Il me possède complètement et cela me rend immensément heureuse.
—ooOoo—
Le lendemain, c’est une belle journée tiède d’automne ensoleillée qui s’annonce. Arrivée en cours, je m’assieds à côté d’Antoine dans l’amphithéâtre. J’ai mis une robe à fleurs de couleur parme, d’un tissu fin qui s’attache devant à l’aide d’une ceinture noire. Elle tombe juste au-dessus du genou. Je suis sexy. Il semble si sérieux en cours… Lors de l’intercours, devant la machine à café, nous discutons comme deux vieux amis.
Je rougis légèrement. Les cours se déroulent sans encombre. Je note cependant des regards de bon nombre de garçons qui semblent apprécier ma tenue et m’apporter un intérêt inconnu jusque-là. Sans doute l’effet du changement de tenue. Mais peut-être pas seulement. Un changement d’attitude de ma part, sans doute.
À 16 heures, nous repartons ensemble vers le domicile d’Antoine que je vais découvrir. Il habite dans un petit immeuble de deux étages, assez moderne. Nous entrons dans l’appartement, meublé de manière sobre. C’est très propre. Antoine est vraiment un jeune homme autonome qui sait gérer sa vie. Cela se voit, cela se sent.
Il me fait chauffer de l’eau et revient avec une collection de thés ; j’en choisis un au jasmin.
Pendant que je le déguste, je vois Antoine placer un reflex sur un trépied muni d’un déclencheur souple, placer au sol un morceau de moquette bleu pétrole, deux petits projecteurs qu’il branche et un réflecteur en forme de parapluie, qu’il déplie.
La séance débute. Antoine me donne différentes indications. Les poses debout s’enchaînent. Les indications qu’il me donne sont précises. Je dois « poser mes mains sur mes hanches et me cambrer pour mettre en valeur ma poitrine », « m’appuyer sur la chaise et creuser mon dos pour accentuer la courbure de mes fesses », « placer les mains sous ma poitrine », « lever une jambe, le talon vers mes fesses ». Les photos s’enchaînent et le flash crépite. Il est très pro, m’incite à sourire et il semble se contenter de mes mollets de mes bras dénudés. Les poses au sol ajoutent un peu de piment, même si on reste dans des photos de charme, même pas érotiques.
Il est très concentré. Il joue avec mes jambes, me demandant de remonter ma robe. Tout est fait pour me permettre d’exacerber ma féminité et cela me flatte.
Après une demi-heure, nous nous arrêtons. Antoine affiche les photos sur la télé. Elles sont superbes. Il a vraiment un don. Elles me rendent vraiment très belle en accentuant mes courbes.
Il met du temps à répondre, interloqué.
Un vrai gentleman. Il se retire dans la cuisine avec la tasse de thé et le sucre. Je retire rapidement mon soutien-gorge et ma culotte, et réajuste ma robe.
Il revient et les poses recommencent.
Assise, j’écarte les pans de ma robe. Mes seins apparaissent à la vue d’Antoine.
J’écarte les cuisses et relève ma robe.
Il me rejoint, me relève et m’embrasse fougueusement. Je veux retirer ma robe, mais il m’en empêche.
Ses mains découvrent et caressent mes seins durcis. Tandis qu’il me prend en bouche, une main vient s’immiscer entre mes cuisses et se glisse dans ma fente.
Il s’accroupit et passe sous ma robe. Je sens sa langue lécher mes cuisses. Tandis qu’il me prend les fesses en main, sa langue s’insinue dans ma fente. Je détache la ceinture pour mieux voir la tête d’Antoine me goûter, m’aspirer. C’est délicieux.
Je le relève à mon tour, détache son pantalon, plonge la main dans son boxer et libère sa verge dressée de désir. Je le branle un peu, m’accroupis et lui lèche les testicules.
Je l’entends gémir et respirer fort. Il retire ma tête de son gland que je suce, me prend par la main et m’emmène dans sa chambre. Il part dans la salle de bain et en revient nu, équipé d’un préservatif.
Nous nous jetons sur le lit et faisons plus amplement connaissance de nos mains et de notre bouche.
Il fait glisser sa verge sur ma vulve pour lubrifier le préservatif. Il fait merveille en appuyant sur mon clitoris. Je sens le plaisir monter avant même qu’il place sa verge sur mon vestibule et s’enfonce en moi profondément. Il marque un arrêt pour reprendre sa respiration, se contrôler.
Ses va-et-vient commencent, d’abord lents et profonds, puis de plus en plus rapides et brusques, au point de me faire bouger. Je commence à gémir, ce qui fait redoubler de fougue mon étalon imaginaire qui a pris corps devant moi et qui me pétrit les seins en même temps qu’il me besogne. Bientôt je me contracte, renverse mon visage et j’ai un orgasme puissant. Antoine cesse ses va-et-vient. Il est à mon écoute, me caresse et quand je reprends mes esprits, il se retire de moi, toujours en érection.
Je me retourne et prends appui contre le mur.
Je sens ses mains sur ma taille et son pénis qui se présente de nouveau sur mon sexe. Il s’enfonce d’un coup et les coups de boutoir reprennent. Ce sentiment d’être possédée est divin. Le claquement de ses cuisses sur mes fesses ajoute à mon excitation, et je sens bientôt un nouvel orgasme arriver.
Dans un râle puissant, je sens sa verge palpiter en moi au moment où je jouis une seconde fois.
Nous nous couchons côte à côte et nous caressons gentiment.
À ce moment précis, je suis heureuse et comblée. J’ai charmé un homme doux et puissant, instruit et passionné.