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n° 15605Fiche technique44753 caractères44753
Temps de lecture estimé : 26 mn
11/05/13
Résumé:  Ludovic et Julie espionnent depuis plus d'une semaine Catherine chez elle. Les frasques érotiques de notre belle héroïne excitent de plus en plus de nos deux jeunes tourtereaux et Julie ne peut s'empêcher de contacter anonymement notre pulpeuse quadra.
Critères:  ff ffh couplus inconnu caférestau voir exhib cunnilingu pénétratio -couple+f -fbi -exhib
Auteur : Bijanus            Envoi mini-message

Série : Catherine

Chapitre 13
Astronome à mateur – Partie 2

Résumé de l’épisode précédent : Ludovic, astronome amateur, est tombé accidentellement, grâce à sa lunette, sur l’appartement de Catherine où il a pu faire connaissance avec notre pulpeuse quadra. Ces séances de voyeurisme sont loin de déplaire à sa copine Julie dont l’attirance pour les autres femmes est de plus en plus flagrante. D’autant plus qu’elle fantasme sur les poitrines généreuses, complexant beaucoup sur la sienne dont les proportions sont très modestes.


Ils découvrent à cette occasion les goûts de Catherine pour l’exhibition et sa mise en pratique sur internet devant des dizaines, des centaines d’internautes, qui peut savoir ? L’attirance sexuelle de la quadra pour les autres femmes leur saute aux yeux quand Sylvie, son amie, la rejoint pour une sortie nocturne entre copines. Ce nouveau fait excite encore plus nos deux jeunes tourtereaux, surtout Julie qui fantasme de plus en plus. Si bien qu’elle décide de contacter Catherine anonymement en laissant un message dans sa boîte aux lettres où des photos montrent que rien n’a échappé à un voyeur inconnu, Julie ajoute son adresse email. Ludo panique quand il voit Julie faire ce geste fou.








Depuis que Julie a glissé dans la boîte aux lettres de Catherine, notre voisine d’en face, son message où elle a copié différentes images de Catherine montrant un joli florilège de ce que nous avons vu dans la semaine, je stresse comme un malade. Bien que nous ne soyons encore que le dimanche et qu’il y ait bien peu de chance qu’elle ouvre sa boîte aux lettres ce jour-là, j’ai peur que ce geste fou nous prive du rôle de voyeur auquel nous prenons tant de plaisir, Julie encore plus que moi.


Car elle va bien l’ouvrir un jour ou l’autre et tomber là-dessus, quelle va être sa réaction ? J’enrage encore de ne pas avoir stoppé Julie, pourquoi diable l’ai-je laissé faire ? Quoiqu’elle en dise sur la psychologie de la dame, plus je réfléchis plus je me dis qu’elle a tout faux. Comme je suis encore en train de tirer une gueule de condamné à mort elle me répète :



Je préfère ne répondre que par ce grognement tellement je suis peu convaincu. Et puis ça m’énerve aussi d’entendre Julie lui donner les noms d’oiseau qui lui passent par la tête. Je sais bien qu’elle crève de jalousie devant ses gros nichons, mais je me demande s’il n’y a pas autre chose. Il est évident que ça l’excite aussi de la traiter de tous les noms, je le vois dans ses yeux qui brillent mais il y a plus que ça. Elle jalouse aussi ce qu’elle ose faire, cet érotisme qu’elle dégage avec ses hanches et son cul dodu à la Marilyn Monroe, ses tenues plutôt sexy, ce qu’elle fait devant sa webcam. Peut-être ailleurs aussi quand on pense à sa robe et sa petite culotte laissées à la maison pour sa sortie d’hier soir. Sans parler de l’échange fougueux de baisers avec sa copine ce fameux samedi soir suivi d’un pelotage en règle. L’attirance de Julie pour les autres femmes n’est pas un secret mais elle n’a pas encore osé, enfin je crois, passer du fantasme au réel, et j’ai le sentiment que Catherine Chopussie symbolise à la perfection tout un tas de rêves ou fantasmes que Julie a en elle.


Heureusement nous avons une fin de soirée chargée, une sortie au restaurant avec une amie de Julie et son copain, cela va peut-être me faire oublier tout ça.


Bien qu’ayant participé à l’achat, mes sourcils se lèvent quand je vois apparaître Julie, enfin prête pour notre sortie. Elle est vêtue de cette très courte jupe que nous avons achetée ensemble dans la semaine, elle ne me semblait pas si courte à ce moment-là. C’est peut-être d’avoir mis ces cuissardes noires qui lui arrivent jusqu’aux genoux qui me donne cette impression, elles sortent d’où ces cuissardes d’ailleurs ?



Mais cette nouveauté me fait voir à retardement quelque chose de bien plus surprenant finalement. Julie arbore un haut assez ample avec un large décolleté en V, connaissant son complexe sur sa petite poitrine je le trouve bien plus étonnant que le bas. Julie a, à juste raison, une certaine fierté de ses jambes et de son petit fessier, les deux parfaitement musclés et toniques. De longues années de danse modern-jazz ayant sculpté son corps aussi bien qu’un maître sculpteur l’aurait fait. Je me tente à une remarque :



Ses nénés me semblent plus rebondis que d’habitude, ce qui n’est pas bien difficile, un Wonderbra a dû faire partie des emplettes.


Nous retrouvons comme prévu Fanny et son copain Luc au restaurant. Nous connaissons bien Fanny mais beaucoup moins Luc qui est son ami depuis peu. À voir les yeux qu’il jette sur les jambes de Julie, il a l’air d’apprécier la vue et ses derniers achats, je me surprends à ressentir une sorte de fierté stupide.


Les choses ne s’arrangent guère quand, pour nous faire patienter, le restaurant nous fait prendre l’apéritif dans de profonds fauteuils où Julie s’enfonce profondément. Sa jupe semble encore se rétrécir et ses jambes gainées d’un collant noir encore plus saillantes et belles, il faut dire que la jupe est remontée au ras de l’entrejambe. Comme Luc est en face d’elle et que Julie discute avec sa copine qui est juste à côté, il ne se gêne pas pour plonger son regard au coin le plus chaud, certain de ne pas être vu, enfin par Julie, car je suis à ses côtés ne perds rien de son jeu. Bizarrement, le sentiment de fierté de tout à l’heure se transforme en excitation de le voir faire. Je me surprends même à regretter que le collant ne soit pas remplacé par des bas. Cela aurait eu un effet beaucoup plus sexy de voir apparaître le bandeau, la dentelle ou je ne sais quoi du haut des bas. Cette idée m’excite encore plus. Mais c’est quoi ce sentiment tordu, ma copine est en train de se faire mater et moi ça m’excite ?


Je vois soudain Julie lancer un coup d’œil rapide à Luc, lui, trop occupé à essayer de reluquer l’entrejambe, ne voit rien. Jusqu’à présent ses jambes étaient sagement resserrées, ne laissant entrevoir que peu de chose probablement, d’où je suis impossible d’en jurer mais je me dis que Julie, gênée de ce regard, va essayer de trouver une position moins provocante. À ma grande surprise, non. Stupéfait, je vois ses jambes s’écarter sensiblement, rien d’extravagant mais idéal pour Luc sans aucun doute.


Julie rejette un nouveau coup œil vers Luc tout en discutant avec Fanny, et je vois un petit sourire satisfait s’afficher brièvement sur son visage. Sa copine, trop occupée par la discussion, ne voit rien des petits jeux de l’un et l’autre.


Le souvenir de Catherine enlevant sa culotte samedi soir avant de sortir avec sa copine me revient en mémoire, Julie en porte-t-elle une ? Peut-être que non ? Encore une fois cette simple idée m’excite, même beaucoup car je sens une érection me gonfler le pantalon.


C’est idiot mais cela devient une obsession, il faut que j’en ai le cœur net. Bien sûr, je ne peux dire « hey Julie ! T’as mis une culotte au fait, parce qu’il y a Luc qui matte un max et j’aimerais savoir ce qu’il voit ? » Aussi je fais semblant de faire preuve d’une grande maladresse et laisse tomber ou plutôt envoie quelques cacahuètes aux pieds de Luc.



Il a l’air surpris car il n’a pas vu les arachides atterrir à ses pieds. Je me penche et jette un œil vers Julie, je vois une culotte bleue apparaître sous son collant. Je ne sais même plus si je suis déçu ou soulagé, les deux possibilités m’excitent.


Je prends part à la conversation de Julie et Fanny pour laisser Luc « tranquille » et tout à son voyeurisme. Peu après, Julie se penche pour attraper des olives sur la table basse. Malgré sa poitrine particulièrement modeste, ses seins semblent jaillir du décolleté, le Wonderbra les repoussant vers le haut doit beaucoup y aider. Luc n’en perd pas une miette. Je suis moi-même surpris, car je peux aussi en profiter, de l’érotisme dégagé par ce décolleté, je n’aurais jamais imaginé cela possible. Ses seins ressortent comme deux petites boules bien gonflées dans l’échancrure de son haut qui baille largement.


Julie voit très bien que Luc apprécie, j’ai vu son coup d’œil, elle reste penchée sur la table tout en discutant avec sa copine. Triture quelques olives et finalement retourne s’asseoir, elle est radieuse. Je ne sais pas si c’est de voir que son décolleté pouvait soulever des passions mais en s’enfonçant dans le fauteuil, elle reste les jambes encore un peu plus écartées. Luc se trémousse dans son fauteuil, troublé par cette nouvelle vue encore plus nette sur les dessous de Julie.


Un serveur vient nous chercher, laissant peu de temps à Luc pour profiter de ce point de vue. Nous passons en file indienne entre les tables bien garnies. Je suis Julie et profite de cette intimité pour lui chuchoter à l’oreille.



Julie sourit à son tour comprenant très bien mon allusion.



Julie pouffe, sa main passe dans son dos et rentre en contact avec mon entrejambe toujours gonflé par son jeu d’exhibition.



Je n’ai pas le loisir d’avouer ma culpabilité et ma surprise sur cet état de fait car nous arrivons à notre table.


La suite du repas est bien plus classique, assis tous les quatre autour de la table, Luc n’a plus l’occasion de se rincer l’œil. J’en éprouve une sorte de déception, j’en suis le premier surpris. Julie s’est assise près de moi du côté de l’allée, ce qui donne lieu à quelques coups d’œil, des tables voisines ou de clients circulant, sur ses jambes bien découvertes. J’apprécie ces regards mais bien sûr, ils sont beaucoup moins excitants que ceux de Luc tout à l’heure.


À la fin du plat principal, Fanny se lève en disant :



Julie se lève à la suite de sa copine, sa courte jupe volette au milieu du restaurant attirant quelques regards. Il faut dire qu’il y a de quoi, même Fanny est agréable à regarder, son corps est une copie de celui de Julie, pour les mêmes raisons (ce sont des copines de modern-jazz). Elle a bien su se mettre aussi en valeur, même si elle ne porte pas de jupe aussi courte mais un pantalon moulant aux effets brillants faisant bien ressortir des fesses musclées et des jambes bien formées.


Nous discutons avec Luc et nous découvrons une passion commune pour le tennis, nous programmons aussitôt une rencontre dans la semaine. Les filles reviennent, il me semble que Julie tient un truc caché dans le creux de sa main, alors qu’elle reprend sa place elle laisse tomber quelque chose sur mes cuisses. Je m’écarte un peu de la table pour voir ce qui se trouve sur mes jambes, un bout de tissu bleu, sa culotte. Je la fourre dans ma poche tout en sentant mon sexe réagir à cette simple idée de Julie nue sous son collant, ici dans ce restaurant, à cette table.




Le lendemain, la journée du lundi est une vraie torture, il est certain que la voisine va prendre son courrier ce soir, c’est ce que tout le monde fait en rentrant chez soi. Julie m’a demandé de passer la prendre à son boulot, elle aussi veut être à la maison au plus tôt, elle a d’ailleurs demandé à partir avant l’heure. Il fait étonnamment doux pour ce début novembre mais nous n’apprécions pas cet été indien, notre pensée est à tout ce qui va se passer dans les heures qui viennent. Nous arrivons alors que la nuit tombe à peine, nous jetons tous les deux un coup d’œil vers la fenêtre de Catherine, c’est éteint. Nous parlons peu, arrivés dans l’appartement j’allume mon ordinateur et par conséquent, le télescope auquel il est relié. Julie, elle, se plante derrière notre fenêtre, guettant son arrivée. Je positionne le télescope pour qu’il soit réglé sur la boîte aux lettres, il y a déjà bien longtemps que j’ai noté les réglages utiles pour observer Catherine chez elle par sa baie vitrée.


Plus d’une heure et toujours rien, nous sommes rassurés par la fenêtre toujours éteinte, on ne l’a pas manquée. J’ai allumé la télé, mais impossible de s’intéresser à ce qui s’y passe, quant à Julie, elle refuse de quitter sa place à la fenêtre.



Julie a tellement hurlé que je fais un bond dans mon fauteuil. Je me précipite à ses côtés à la fenêtre, Catherine est là dans l’allée menant à l’entrée de son immeuble. Nous prenons place devant l’écran de l’ordinateur qui renvoie l’image du télescope. Elle arrive dans le hall, ouvre sa boîte aux lettres, saisit un gros paquet de courrier, des pubs et lettres probablement mélangées. Elle fourre le tout sous son bras car elle est bien encombrée par son sac à main et un sac à provisions rempli.


Elle disparaît par la porte d’entrée, ce qui me laisse largement le temps de régler de nouveau la lunette vers son appartement en prenant bien soin de fermer le rideau autour.


La lumière apparaît d’abord diffuse par la baie vitrée, comme éclairée de loin par un couloir puis, quelques minutes plus tard, la porte-fenêtre s’illumine. Catherine apparaît, elle pose son sac à main sur le canapé et sa pile de courrier sur la table derrière. Elle commence alors à trier pubs et lettres, en ouvre une ou deux et arrive enfin au mot de Julie plié en quatre, le dernier de la pile. Elle regarde la feuille longuement puis avance vers sa porte-fenêtre.


C’est sûr, elle va fermer son volet roulant, paniquée d’être espionnée chez elle. Nos cœurs s’arrêtent, Julie s’agrippe à mon bras, plantant ses ongles dans ma chair.


Derrière sa vitre Catherine fouille du regard tout le voisinage, regarde de nouveau notre message et continue à scruter les environs. Son regard croise celui du télescope mais ne s’y arrête pas, ouf au moins elle ne nous a pas repérés. Finalement après un dernier coup d’œil à notre « courrier » son visage s’éclaire d’un sourire et elle pose le papier sur la petite table basse où se trouve son ordinateur resté là. Puis à notre grand soulagement, elle retourne à la table où se trouve le reste du courrier.



Nous restons cependant dans le doute.



Ces mots ont le mérite de focaliser mon attention sur son habillement, un tailleur très chic, gris bleu à la jupe bien au-dessus du genou, une veste bien coupée ouverte en V sur une chemise blanche gonflée par sa poitrine. Comme si ma vision lui commandait un quelconque ordre, une pub en main, Catherine dégrafe la moitié des boutons de sa veste, ce qui fait jaillir ses seins sous son chemisier.



Nos voix sont encore fébriles, ce sentiment d’indifférence est horriblement perturbant. Catherine nous tourne le dos pour s’en aller vers le fond. Mes yeux sont accrochés par ses jambes gainées par des bas, ou collants, noirs. Une large simili-couture part du talon et traverse chacune de ses jambes par le milieu. Elle dandine son fessier toujours aussi rond et dodu. Il tend sa jupe à l’extrême, on a l’impression qu’il suffirait d’un moindre coup de canif pour que le tissu éclate.


Elle disparaît, quelques minutes et elle est de retour. Son tailleur a disparu, elle est en sous-vêtements, ses jambes toujours couverte de ses bas et ses escarpins aux pieds. Elle s’avance dans notre direction, pousse un peu sa table basse, rapproche son canapé de la porte-fenêtre et s’installe dedans. Elle regarde alors à travers la baie vitrée à peu près dans notre direction et allume son ordinateur.


Peu de temps après nous entendons le « Vous avez un nouveau message », la main fébrile de Julie clique sur l’annonce et ouvre un email de C.Chopussie@msn.com et nous lisons :



Ça vous plaît toujours autant ?



Julie jubile :



Julie fait les manipulations nécessaires pour se connecter à Catherine via notre adresse de messagerie instantanée et met en commentaire :



Oui ça nous plaît toujours autant !



Le nom de Catherine apparaît rapidement dans notre « MSN », une fenêtre s’ouvre avec le message suivant d’écrit :



Catherine se lève, nous tourne le dos et s’en va vers le fond de son séjour en dandinant du croupion. Son slip très classique est à moitié avalé par ses fesses gonflées, vue très sensuelle jusqu’à ce qu’elle disparaisse.


Elle réapparaît revêtue de la robe mini du samedi soir, toujours aussi moulante et noire satinée. Le large décolleté est toujours là, aussi ample et généreux que dans notre souvenir. La robe dessine à la perfection la rondeur de ses hanches et de son ventre et s’arrête à une grosse main sous son entrejambe. Sa poitrine se trémousse à chacun de ses pas sous le tissu élastique et collé à ses seins, son soutien-gorge a dû disparaître pendant le voyage. Elle se dirige vers nous et est en conversation au téléphone, avec la fameuse copine ?



Notre belle voisine retrouve son canapé, pose le téléphone et pianote sur son PC :



Julie monopolise le clavier et je n’ai pas droit à la « parole » dans cet échange.



Julie exagère, je suis aussi passionné qu’elle par cette discussion qui me semble totalement irréelle, mais je vois bien où elle veut en venir.



Catherine ouvre ses jambes qu’elle tenait sagement serrées jusqu’à présent, et fait glisser ses fesses en avant sur le coussin, ce qui fait remonter sa jupe bien au-delà de ce que le minimum de décence exigerait. Son entrejambe se découvre ainsi totalement à nos yeux, le triangle brun doré de son pubis, sa vulve bien dégagée de tout poil. Une demande de communication vocale apparaît sur l’écran, Julie confirme. La voix douce de Catherine sonne à nos oreilles.



Après ma réaction du repas au restau de la veille, je ne suis guère surpris finalement par cette révélation. Nous comprenons dans la conversation qui suit que Sylvie, la copine, prend un plaisir pervers à manipuler Catherine, et elle à s’y plier.


Puis Catherine demande :



Julie résume brièvement notre soirée de la veille et avoue à cette occasion l’excitation qu’elle a ressentie, et elle finit son histoire en disant :



Catherine nous envoie un baiser en faisant un grand geste de la main, se lève, debout elle fait glisser un pan de sa robe sur son épaule, puis le deuxième. Libre, la robe glisse le long de son corps, tombe au sol et nous laisse voir sa superbe plastique faite de rondeur et de cambrure. Totalement nue, elle se penche pour ramasser sa petite robe noire, nous fait un dernier coucou de la main et s’en va vers le fond de la pièce. J’admire une dernière fois son cul se déhancher au rythme de ses pas, et puis la lumière s’éteint.




Le lendemain soir, j’ai prévu un tennis à 18 h avec Luc, nous avons la chance d’avoir un cours privé dans notre résidence, mode des années 80. Comme convenu, nous nous retrouvons chez nous, Julie n’est pas encore là. Luc semble rassuré quand je lui dis que Julie sera là à notre retour, il se change et nous partons échanger quelques petites balles jaunes.


Quand nous remontons, une bonne heure et demie plus tard, je vois Julie assise dans notre canapé au salon. Elle est en discussion avec quelqu’un que je ne peux voir depuis le hall d’entrée. L’autre chose qui me surprend est qu’au premier coup d’œil j’ai l’impression qu’elle ne porte rien en bas. C’est-à-dire que je vois ses deux belles jambes musclées gainées d’un collant noir et son chemisier, mais rien entre les deux.


Après sa séance au restau et connaissant la venue de Luc je me disais, voire espérais, qu’elle allait faire un truc, mais là quand même ? Je reste un instant immobile, bloquant l’entrée à Luc, elle se tourne vers moi et me sourit. Je lui rends son sourire mais le mien est bien embarrassé.



Puis je vois un mince bandeau rouge autour de sa taille et quand elle se lève pour venir vers nous je suis rassuré. Une courte jupe rouge aux motifs écossais lui couvre l’essentiel et à peine plus.



Pendant que les deux se font la bise, j’avance vers le salon et là une surprise m’attend. Catherine est là, enfoncée dans notre fauteuil, vêtue de sa petite robe noire.



Pendant que nous nous faisons la bise je peux sentir son odeur, un parfum sucré et enivrant.



Je vois les yeux de Luc s’écarquiller devant la tenue vestimentaire des deux donzelles. Je me dis qu’une bonne douche lui fera certainement du bien.



Luc disparu dans le couloir, je me tourne vers les deux filles.



Ce compliment finit de me détendre complètement et je me dis qu’une soirée mémorable se prépare.


Je laisse les filles et je vais préparer quelques friandises à grignoter pour l’apéro. Luc ne tarde pas à sortir et Julie lui saute dessus pour le ramener au salon. Je prends ma douche à la vitesse d’un chat qu’on jette dans l’eau et je les rejoins. Catherine et Julie sont côte à côte dans le canapé, Luc en face d’elles dans le fauteuil. Sentant venir le spectacle, je me pose sur un pouf informe à ses côtés.


Luc affiche un sourire figé, on le sent nerveux, deux paires de jambes dénudées lui font face. Elles sont sagement resserrées mais les robe et jupe courtes laissent plein d’espoir à un œil aussi aiguisé que le sien en cas « d’accident ».


Catherine ouvre le bal, elle s’extirpe du fond du canapé, se penche en avant pour picorer quelques olives sur la table. Le V de son décolleté s’ouvre et se décolle de sa poitrine. Sa paire de mamelles déjà bien visible jaillit entre les deux pans de la robe, ne laissant aucun doute sur l’absence de tout sous-vêtement. Luc, la bouche entre-ouverte, a le regard figé sur cette paire de seins. Catherine passe aux apéricubes et reste pliée sur la table, elle prend un malin plaisir à regarder tous les parfums. Faisant mine d’être prise d’une démangeaison subite à l’épaule, sa main repousse un des pans de sa robe. Celui-ci finit par glisser dénudant son épaule et en montrant encore un peu plus.


Le décolleté écartelé laisse voir ses seins pendre sous elle comme deux grosses poires bien fermes. La couleur de la peau de sa poitrine est blanche, laiteuse, semble transparente car l’on distingue quelques veinules bleus courir sous la peau. L’encolure couvre encore les mamelons mais on a le sentiment qu’au moindre geste son arrogante poitrine pourrait jaillir à nu de sous la robe.


Luc se trémousse dans son fauteuil, je sens moi-même le sang battre mes tempes devant cette vue magnifique. Observer Catherine chez elle était excitant mais la voir de ses yeux l’est mille fois plus. Son choix fait elle se renfonce dans le canapé.



Son petit sourire ne me laisse aucun doute sur la satisfaction qu’elle a tiré des regards appuyés dont elle a fait l’objet. Luc bafouille deux ou trois mots sur mes qualités tennistiques et se précipite sur son verre dans l’espoir de se décoincer la gorge.


Julie à son tour se sert sur la table basse, loin d’avoir les arguments poitrinaires de Catherine son approche est différente. Elle écarte ses jambes tout en discutant pour pouvoir se pencher sur la table. Sa nudité sous son collant m’écarquille les yeux, elle a osé. Le triangle bien noir de son pubis est parfaitement visible sous la maille étirée du collant. Elle aussi s’attarde sur la table, accentuant l’ouverture de ses jambes avec un naturel qui laisse croire au côté involontaire de son geste. Maintenant non seulement son triangle d’amour est accessible mais sa vulve dégagée de toute pilosité apparaît aussi sous la transparence du nylon.


Un coup d’œil à Luc, il ne perd rien de la vue sur cet entrejambe offert. Je sens mon sexe se durcir sous l’excitation.



Elle est obligée d’écarter encore un peu plus ses jambes pour se pencher suffisamment loin et atteindre le plat. Personne ne fait l’effort de le lui rapprocher, surtout pas moi. Sa mini-jupe se rétrécit tellement sous l’effort qu’elle disparaît en une sorte de ceinture laissant à Luc tout le plaisir de mater son bas-ventre. Il bascule en permanence entre le besoin irrésistible de mater le sexe de Julie et la peur de se faire surprendre. Mon sexe est désormais gonflé à bloc, je sens aussi le trouble sur le visage de Julie. Elle aussi savoure ce regard lubrique qui se pose sur ses parties les plus intimes.


La plat des apéricubes est déjà vide et ne contient plus que les emballages vides, Julie se lève en disant :



Alors qu’elle se lève, l’assiette en main, celle-ci lui échappe et son contenu recouvre le sol entre la table et le canapé.



Julie se penche alors, tendant son postérieur dans la direction de Luc. De ma place, je vois ce qui lui sert de jupe ne couvrir qu’une partie de son fessier musclé. Luc, de sa place, doit avoir une vue bien plus dégagée sur son sexe alors que Julie est pliée en deux en train de ramasser ses « bêtises ». Ce n’est pas le nylon étiré qui doit masquer grand-chose. D’ailleurs à voir la tête qu’il fait, il n’en rate pas une miette.


Captivé par cette scène, je n’ai pas vu que notre belle invitée donnait un coup de main à Julie. Assise au bord du sofa, jambes légèrement écartées elle ramasse, elle aussi, les papiers à ses pieds. Sa chatte luisante s’exhibe entre ses cuisses ouvertes. Luc, obnubilé par le cul de Julie, n’a rien vu. Peut-être jalouse de l’attention qui se porte sur ma copine, Catherine dit :



Luc détourne enfin son regard et tombe sur les trésors offerts par notre belle quadra. Il ne sait plus où donner de la tête, sa main est crispée sur son verre. À dire vrai, c’est guère mieux pour moi, le sexe gonflé de Catherine m’hypnotise. Ses petites lèvres débordent largement sur sa vulve luisante que l’on sent bien humide, j’en oublie même sa poitrine qui pourtant est encore plus visible que tout à l’heure. Penchée sur le sol à collecter les bouts d’apéricube, son décolleté est éventré, aréoles apparentes selon ses gestes.


Soudain un bruit de téléphone me tire de ce spectacle envoûtant, avec beaucoup de mal. J’entends sonner plusieurs fois avant de réaliser, la sonnerie ne me dit rien, Julie dit alors qu’elle se redresse :



Il fouille ses poches et décroche.



Je me lève dans son sillage, après ses adieux aux filles nous nous retrouvons dans le hall.



Luc parti, je rejoins les filles au salon, elles sont toutes les deux sur le canapé, un large sourire aux lèvres.



Disant cela Catherine s’enfonce un peu plus sur les coussins et écarte ses jambes, remonte ce qui pouvait rester de sa robe sur ses hanches. Elle dévoile ainsi une nouvelle fois son sexe avec ses lèvres débordantes de sa vulve.



Sur ces mots Julie s’approche de Catherine, fait glisser le haut de sa robe et commence à lui embrasser le cou, le haut des épaules. Sa main gauche se glisse sous le pan de robe qui couvrait encore un peu de sa poitrine et finit de faire glisser le tissu léger. Elle empoigne alors le sein à nu et commence à jouer avec le mamelon tout en continuant à lui dévorer le cou et les épaules. Sous ses caresses, la belle quadra se cambre en arrière, la bouche ouverte, elle lâche un petit gémissement, ses cuisses s’écartent aussi comme si elle voulait attirer là les caresses de Julie. Catherine pousse finalement la tête de son amante sur son autre sein, Julie comprends son désir et finit de mettre à nu sa poitrine.



Pour toute réponse Catherine pousse de nouveau sa tête sur son mamelon érigé et imposant. Ma belle s’en empare, compresse le sein dans sa main pour faire encore plus ressortir le téton et se jette dessus, le dévore, le suce, le mordille.


Un lourd gémissement remplit le salon, Catherine, la tête en arrière, une main agrippée sur la tête de Julie et l’autre jouant sur son sein fait entendre son plaisir. Sa plantureuse poitrine subit tous les assauts, elle se triture le téton laissé libre, ses aréoles sont larges et grenat, contrastent avec sa peau laiteuse, ses seins se dressent sur son torse comme s’ils voulaient la quitter.


Julie change de place, se lève et se place debout à cheval entre les jambes de Catherine et se penche sur elle. Elle s’embrasse avec passion mais notre voisine en manque de caresses la pousse de nouveau vers ses seins. Julie est obligée de se courber encore plus bas, ses fesses rebondies jaillissent au trois quart de sous sa mini-jupe. Elle saisit à pleines mains la poitrine, sa bouche avale un des tétons turgescents alors que ses doigts s’enfoncent profondément dans les mamelles.


Une main apparaît entre les cuisses de Julie et se met à glisser sur son sexe à travers le collant, elle redresse sa tête sous ce contact inattendu et pousse un petit cri. Catherine a tôt fait de lui replonger la tête sur son buste tout en accentuant la pression de ses doigts sur sa chatte.


Les hanches de Julie commencent à danser sous le mouvement de ces doigts baladeurs. Son corps se dandine, tout en muscles et en puissance contrastant fortement avec celui de Catherine tout en rondeurs.


Les doigts sont de plus en plus actifs et essayent de forcer le passage à travers le collant. Finalement les ongles bien dessinés de Catherine arrivent à leur fin, le nylon craque sous la contrainte, un doigt pénètre en profondeur alors que l’autre main de la belle fait le tour et finit de déchirer le collant en tirant dessus.


Toute l’excitation du sexe de Julie ressort à travers le nylon éventré, elle se cambre de nouveau en poussant un cri quand les doigts la pénètrent. Les mains de Catherine, trop occupées à leur tâche, ne peuvent plus la forcer à replonger sur sa poitrine.


Je ne résiste pas plus longtemps devant une telle scène, quelques secondes plus tard je suis à moitié nu. Je m’approche de cette paire de fesses si tentante et mes mains s’accrochent à son bassin. Une main guide mon sexe en Julie qui pousse cette fois-ci un profond gémissement. Catherine amène encore une fois la bouche de Julie vers ses seins et maintient sa tête en position alors que je commence à donner des coups de reins.


Les gémissements de Julie m’arrivent aux oreilles à moitié étouffés. Chaque coup de rein fait retentir le bruit de mon bassin qui claque sur ses fesses. Les mains de Catherine sont revenues sur le postérieur de ma belle et tirent pour l’écarter comme si j’avais du mal à me frayer un chemin en elle. La vue de ce cul écartelé alors que je suis en train de lui donner du plaisir finit de porter mon excitation à son ultime phase. Mes mains se crispent sur ses hanches mais Julie sent venir ma jouissance et se redresse brusquement, me laissant affreusement frustré.



Je réponds un peu en bafouillant, pas certain que le ton qu’elle emploie soit du goût de Catherine, mais Julie est trop enivrée par cette situation pour se retenir.


Elle prend d’ailleurs les choses en main, allonge Catherine sur le sofa, la quadra se laisse faire, visiblement ni perturbée par le ton pris par Julie, ni par la perspective de me voir passer entre ses cuisses. Julie enjambe la tête de Catherine pour placer son intimité au-dessus de son visage, elle saisit ses cuisses pour les lui faire relever. Les jambes de notre voisine se retrouvent dressées et repliées sous ses bras. Cette position fait ressortir son sexe baveux aux petites lèvres proéminentes, je ne résiste pas une seconde de plus. Je tire vers le bord du sofa ce cul si gracieusement présenté, obligeant Julie à se repositionner au-dessus du visage. Catherine en profite pour attraper ses fesses et se jette sur son sexe à pleine bouche, déclenchant un premier gémissement. Je prends Catherine sous les cuisses, à la pliure du genou, pour mieux l’écarter et repousser ses jambes vers le haut. D’un coup de rein appliqué je la pénètre. Je regarde Julie alors que je commence à aller et venir, elle est aux anges. La bouche ouverte en train de se faire dévorer le minou, elle a saisi la poitrine de Catherine et la malaxe à pleine main, maltraite les tétons énormes de la quadra. Nos regards se croisent.



Ce ton si injurieux ne perturbe toujours pas Catherine qui continue son œuvre entre les fesses de ma belle, elle ne s’interrompt que pour pousser un cri de plaisir. Julie s’est redressée sur ses genoux et a abandonné la poitrine pulpeuse pour s’occuper de la sienne. Elle profite ainsi à plein du travail de la bouche de notre invitée en se caressant ses tétons. Ma jouissance commence à arriver à son apothéose, mes mouvements de bassin s’accélèrent, les seins de Catherine tremblent sous mes coups de boutoir. Ses tétons énormes dessinent dans l’air des arabesques imaginaires tellement ils se secouent.


Julie voyant venir ma jouissance m’ordonne :



Je ne peux pas lui refuser ce plaisir, car après tout c’est grâce à elle si je suis en train de réaliser mon fantasme, me retrouver entre les cuisses de notre pulpeuse voisine que nous espionnons depuis des jours.


J’extirpe mon sexe au bord de l’explosion de la chatte béante. Catherine depuis un moment a abandonné son activité entre les cuisses de Julie pour se laisser aller à tout son plaisir à grand renfort de gémissements. Julie s’empare de mon gode bio et me branle avec vigueur, un long jet ne tarde pas à en sortir m’arrachant un profond râle au passage. Ma jouissance dure plusieurs secondes et inonde la poitrine de Catherine, ses seins sont maintenant couverts de ma semence au grand plaisir de Julie. Elle s’empare des mamelles et étale et malaxe Catherine avec mon jus comme si elle était enduite d’huile de massage. Je me retire et m’affale sur le fauteuil, entre le tennis et ma chevauchée fantastique entre les cuisses de notre belle quadra, je suis explosé. Julie se place dans la position du parfait 69 et le jeu érotique entre mes deux belles reprend.


Le sourire aux lèvres, le regard posé sur les filles, je ne peux m’empêcher de penser que l’exploration du ciel me fait découvrir de biens étranges galaxies peuplées de curieux trous noirs.