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Temps de lecture estimé : 9 mn
14/06/13
Résumé:  Franck et Stéphanie partent en vacances dans un camping, près de Montpellier, pour profiter du soleil de septembre.
Critères:  fh vacances douche voir fellation échange -camping
Auteur : Franckstephanie

Série : Quelques jours dans le Sud

Chapitre 01 / 03
Quelques jours dans le Sud

Je venais d’avoir 26 ans ; Stéphanie et moi avions décidé de partir en vacances dans un camping près de Montpellier pour profiter du soleil en ces premiers jours de septembre. Cela faisait trois ans que nous étions ensemble et, nos études terminées, nous commencions à envisager de nous engager plus formellement et construire notre vie à deux.


Nous nous étions rencontrés pendant nos études à Paris, lors d’une soirée, et avions tout de suite eu un coup de foudre. Stéphanie était brune, de taille moyenne, bien dans sa peau, avec une belle poitrine et un corps fin, entretenu par une pratique régulière de la course à pied. C’était d’ailleurs un de nos points communs : nous étions tous les deux assidus, avec quatre à cinq entraînements par semaine, la plupart du temps en solitaire, mais souvent sur les mêmes parcours, tout en partageant des compétitions et autres objectifs de temps.


Nous sommes donc arrivés dans notre camping, sac sur les épaules, et avides de profiter de cette semaine off, en amoureux. Nous avions acheté une tente assez grande, intégrant une chambre et un coin salon, ce qui nous permettait d’avoir un peu d’espace et d’intimité. Le camping était situé au bord de la mer, et comprenait un espace commun douche/bar, et des sanitaires partagés.


C’était la fin d’après-midi, nous avons vite monté la tente, posé nos affaires, enfilé nos maillots de bain, pris nos serviettes, et en route pour la plage. Ne tenant plus, nous nous sommes jetés dans l’eau, en faisant la course à celui qui arriverait le premier à une bouée à quelques centaines de mètres du bord. Stéphanie arriva la première et me regarda l’air narquois quand je touchai la bouée. Je la serrai dans bras pour l’embrasser alors qu’elle se tenait à la bouée. Tout en m’embrassant, elle me dit :



Je la serrai un peu plus fort contre moi, frottant mon bas-ventre contre le sien.



Je descendis mes mains derrière son dos pour caresser ses fesses, tout en frottant mon sexe en érection contre le sien. Je l’embrassais tendrement, roulant ma langue autour de la sienne, la suçant par intermittence. Mes mains continuaient à la parcourir, caressant l’intérieur de ses cuisses, frôlant son sexe et contournant son petit trou. Mon sexe montait et descendait légèrement, frottant son petit bouton à travers son maillot. Les yeux fermés, sa respiration se faisait plus forte, et je sentais son désir monter. Je baissai alors mon maillot et, une main autour de son cou afin de me maintenir, tout en l’embrassant j’écartai les lèvres de son sexe pour entrer doucement en elle. Les préliminaires avaient eu leur petit effet, et son sexe était trempé. J’entrais complètement mon sexe, puis le ressortais. La sensation était divine, entre l’eau fraîche de la mer sur mon sexe et la douceur chaude de son sexe. Je lui pris la tête à deux mains, et tout en l’embrassant plus nerveusement, j’accélérai le rythme de la pénétration. Je commentais l’action doucement dans son oreille.



Je descendis une de mes mains vers ses fesses.



Je la pénétrai avec mon doigt.



J’enfonçai un deuxième doigt et accélérai mes va-et-vient.



J’accélérai encore ; mon sexe et mes doigts la pénétraient dans son fondement.



Et je sentis son corps se contracter contre mon sexe et mes doigts. Je continuais à l’embrasser doucement en la regardant. Elle ouvrit les yeux et me dit :



Elle me regarda en souriant et dit :



Et elle lâcha la bouée, reprenant sa nage rapide pour retourner au bord sans se retourner. Je la suivais la queue entre les jambes, le désir dans la tête… Arrivés à la plage, nous nous sommes allongés sur nos serviettes, la main dans la main, en somnolant. J’avais l’esprit plein d’images de sexe, pénétrations, caresses… Vers 18 heures, nous nous sommes levés pour retourner à la tente et faire quelques courses à la superette du camping, en préparation du dîner. Ayant un trop-plein d’énergie à évacuer, je partis faire un jogging pendant que Stéphanie préparait le dîner.

En revenant, je trouvai Stéphanie tout excitée. Elle rentra dans la tente en me disant de la suivre et chuchota :



Je regardais Stéphanie ; elle était toute rouge. Mon sexe était gonflé, serré dans mon short de course. Elle me regarda, vit ma bosse, et sans un mot baissa mon short et me prit en bouche. Elle m’aspira, intensifia ses va-et-vient, en me regardant dans les yeux. Je sentais la pression monter, mon souffle se fit plus fort afin de lui indiquer que j’allais jouir. Elle continuait à me regarder dans les yeux tout en me pompant. Je jouis avec une intensité rare, en plusieurs jets. Stéphanie continuait à tenir mon sexe dans sa bouche, avalant chacune de mes gouttes, en me regardant fixement. Quand elle considéra que mon sexe était bien propre, elle se releva et m’embrassa, mélangeant nos langues et l’odeur de mon sperme…

Le reste de la soirée fut très romantique, plutôt calme, et c’est les rêves pleins de nos émotions de la journée que nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.


Nous nous sommes réveillés de bon matin et, pleins de bonnes résolutions, avons décidé de partir faire un petit jogging matinal. Nous avions repéré un petit circuit d’une dizaine de kilomètres, en bord de mer : une bonne mise en jambes. Afin de bien commencer la journée, nous sommes partis ensemble, au même rythme, bien que je sois censé être plus rapide que Stéphanie. Le parcours était très agréable, le bruit des vagues et des cigales nous accompagnant sur toute la boucle. Arrivés à fin du premier tour, je décidai de repartir pour un deuxième tour, plus rapide, Stéphanie décidant de s’arrêter là. J’étais en très grande forme et je me suis dirigé plein d’enthousiasme vers les douches après ma deuxième boucle, me félicitant de cette belle journée qui s’annonçait.


En arrivant dans les douches, je tendis l’oreille afin de vérifier si Stéphanie était encore là. Je vis ses sandales sur le sol, vers le fond de la salle. Je me dirigeais vers les sandales lorsque mon regard fut attiré par une porte légèrement entrouverte. Je devinai que c’était la grande douche dont Stéphanie m’avait parlé hier. Elle était visiblement occupée, si j’en croyais les fesses musclées qui me faisaient dos. Légèrement caché derrière la porte, j’observais la scène.

Je distinguais une autre forme, derrière ces fesses masculines, et il ne me fallut pas beaucoup d’imagination pour comprendre que quelqu’un était à genoux, visiblement en train d’engloutir une bite. Décidément, certains couples n’étaient pas très discrets, et j’imaginais qu’il s’agissait du même couple qu’hier.


Pressé de retrouver Stéphanie, je rentrai dans une douche et, le sexe bien droit, excité par la situation, je commençai à me doucher. J’imaginais le sexe de cet homme entrer et sortir dans la bouche de sa femme, et je luttais pour ne pas me masturber sous les jets d’eau. Après un peu d’eau froide pour remettre les idées en place, je me séchai, mis un short et un tee-shirt et sortis de la douche. Les sandales de Stéphanie étaient toujours là, et je jetai un œil par la porte toujours entrouverte de l’autre douche. Je ne vis plus personne dans un premier temps, mais en tendant un peu plus le cou, je vis de nouveau les fesses de mon inconnu. Je trouvai une position plus confortable afin de voir sans être vu. J’étais très curieux de voir le visage de cette suceuse, que j’imaginais très appliquée et pulpeuse.


Elle était accroupie, et je voyais derrière les jambes de l’homme, les deux jambes de la femme, bien écartées. Son sexe était parfaitement épilé, et je voyais ses mains, posées sur son clitoris, se massant doucement. Je l’imaginais faire une superbe fellation, plus que je ne la voyais. Puis l’homme se tourna légèrement, me permettant de voir la scène de profil. Je vis tout d’abord son sexe, effectivement bien long et bien large, avec cette bouche qui glissait du gland vers la base, presque au ralenti. Mon sang se figea d’un coup. Cette bouche, je la connaissais, et ces yeux fermés aussi : c’était ceux de Stéphanie.


Comment pouvait-elle être là, en train de pomper cet inconnu, au membre certes impressionnant, mais appartenant à un autre que moi ? Je n’arrivais pas à bouger ; mes yeux étaient fixés sur ce visage que j’aimais tant, appliqué à sucer un sexe comme s’il s’agissait du mien. J’étais tellement captivé par cette scène qu’il me fallut quelques secondes pour me rendre compte que quelque chose d’autre était en train de se passer. Un petit air chaud soufflait sur mon propre sexe. Quelque chose, ou plutôt quelqu’un, l’avait fait sortir de mon short. Je baissai la tête au moment où je sentis une bouche se refermer sur mon sexe et le happer, d’un trait. Une femme s’était agenouillée devant moi et me suçait avec application. Je pensai immédiatement qu’il s’agissait de la femme que m’avait décrite Stéphanie.


Elle remonta la main le long de ma jambe, sous mon short, et commença à me caresser les fesses tout en aspirant mon sexe. Mon regard avait beau être captivé par l’autre scène, dans la douche, je dois reconnaître que cette fellation était divine. Je descendis mes mains sur la chevelure de ma suceuse et lui massai doucement le haut du crâne. Elle me suça avec encore plus d’intensité, et m’enfonça un doigt dans l’anus, sans que je m’y attende. C’était la première fois que j’étais pénétré de cette manière, mais je dois reconnaître qu’associée à la fellation et l’excitation générale, cette sensation était plutôt agréable, voire renforçait mon plaisir. Je regardais une nouvelle fois dans la douche et vis que l’homme avait repris la maîtrise des événements. Il tenait la tête de Stéphanie de ses deux mains et enfonçait son sexe au plus profond de sa gorge. Il la baisait littéralement, et je me demandais comment elle faisait pour ne pas étouffer. Ma suceuse sembla vouloir me montrer que c’était ici qu’il se passait quelque chose. Elle commença un rapide va-et-vient dans mon fondement, tout en accélérant sa pipe. Je sentis la jouissance monter, et au bout de quelques secondes je lui éjaculai au fond de la gorge. Elle avala la totalité de la semence, et sans réfléchir, je pris ma serviette qui était posée par terre et partis immédiatement de la douche, l’esprit confus…