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Temps de lecture estimé : 10 mn
16/06/13
Résumé:  Suite des vacances de Franck et Stéphanie dans le Sud de la France.
Critères:  2couples vacances douche fellation hdanus hsodo -camping
Auteur : Franckstephanie  (Suite du récit chapitre 1)

Série : Quelques jours dans le Sud

Chapitre 02 / 03
Quelques jours dans le Sud

Résumé de l’épisode précédent : Stéphanie et moi sommes partis à Montpellier, dans un camping proche de la plage. Après une baignade très chaude, Stéphanie a joué la voyeuse pendant qu’un couple s’ébattait dans les douches communes. Cette situation a stimulé son excitation, pour mon plus grand plaisir. Le lendemain matin, après un jogging matinal, je surprends un couple dans les douches, dans la même situation que Stéphanie la veille, mais la femme n’est pas une inconnue : c’est Stéphanie qui est en train de soulager l’homme. Avant même que je réagisse, une femme me prend en main et aspire ma sève. Je m’enfuis, désorienté…








Je ne savais que penser ; d’un côté, cette situation m’avait particulièrement excité et, malgré la jalousie, je ne pouvais m’empêcher de durcir en revoyant cette image de Stéphanie, la bouche pleine, s’efforçant d’engloutir la totalité de ce membre. J’aimais également cette fin, où l’homme baisait sa bouche, s’enfonçant, jusqu’à jouir au fond de sa gorge. D’un autre côté, c’était ma Stéphanie, celle avec qui je voulais faire ma vie, celle avec qui je voulais avoir des enfants, ma moitié, avec qui je voulais tout partager, sans réserves, sans secrets. Comment avait-elle pu faire ça ? Bien sûr, je savais qu’elle n’était pas une oie blanche et qu’elle avait déjà eu des aventures avant de me rencontrer. Mais notre fidélité mutuelle était le socle de notre couple. Même si nous parlions souvent de rapport à deux, à trois, à quatre lors de nos ébats, c’était de l’ordre du fantasme, et pour augmenter notre excitation. Pour ma part, je dois reconnaître que je n’avais pas hésité une seule seconde lorsque cette bouche s’était refermée sur mon membre, et que j’aurais bon dos de faire une scène à Stéphanie après m’être vidé les bourses dans la bouche d’une autre. Je décidai donc de ne rien dire, rentrer tranquillement à la tente et de voir ce que Stéphanie dirait ou ferait. Après tout, je l’aimais, et je ne voulais pas tout remettre en cause pour une histoire de douche, aussi douloureuse ou excitante soit elle.


Une fois arrivé à la tente, je préparai donc le petit déjeuner en attendant Stéphanie. Celle-ci arriva quelques longues minutes plus tard, tout sourire, dans une petite robe d’été qui mettait en avant sa belle silhouette fine. Je devinais la pointe de ses seins à travers le tissu de sa robe, mais ne savait s’il fallait que j’interprète cela comme les restes de sa jouissance précédente ou, au contraire, le signe d’une excitation à assouvir. Après réflexion, j’avais bien vu l’homme jouir dans sa bouche, mais je n’étais pas certain qu’elle-même soit arrivée au bout de son plaisir.


Elle était de très bonne humeur, et m’embrassa à pleine bouche, sans aucune gêne. Je sentis l’odeur du dentifrice, et ne pus définir s’il était mélangé avec la substance de l’homme. Elle posa la main sur mon membre et me murmura à l’oreille :



Elle m’embrassa de plus belle et s’assit à côté de moi, l’œil rieur. Toute idée sombre quitta mon cerveau ; je retrouvais la Stéphanie que j’aimais, charmeuse, coquine, câline et amoureuse. Nous avons parlé de notre course de ce matin, du plaisir de se lever tôt et de parcourir les bords de mer presque seuls tout en purifiant nos corps. Je lui indiquai que j’avais pris une douche froide pour calmer mes esprits, mon regard ayant surpris le même couple qu’elle, la veille. Elle me répondit, l’œil lubrique, qu’elle aussi les avait vus et que c’est pour ça qu’elle n’avait rien mis sous sa robe…


L’ambiance était donc bonne et, après un petit-déjeuner-bain-de-soleil, nous avons décidé d’aller découvrir les environs, à la recherche de morceaux de plages isolés. Nous sommes partis sur un petit chemin dans les dunes, Stéphanie portant un sac de plage sur son épaule droite, son bras gauche autour de ma taille, et mon bras droit dans son dos, ma main descendant vers sa fesse droite pour la caresser sur sa jupe, puis à même la peau. J’aimais imaginer l’air passant sous sa jupe, rafraîchissant son sexe galbé ; je pensais presque sentir le parfum de son désir, nectar délicieux que j’aimais tant goûter.


Après une bonne heure de marche, nous nous sommes arrêtés sur une petite plage isolée, cachée par les dunes et les herbes, laissant juste la place pour une grande serviette posée sur le sable. Stéphanie proposa de faire du bronzage intégral, profitant ainsi du soleil et du côté isolé de notre crique. Il est vrai que nous n’avions croisé personne sur le chemin pendant notre promenade. J’acquiesçai donc, et nous nous sommes retrouvés en Adam et Ève. À peine nus, nous nous sommes jetés dans l’eau, laissant nos sens profiter de cette douce sensation de l’eau glissant sur chaque partie de notre corps. Je me laissais flotter dans cette douce quiétude, tantôt sur le dos, tantôt sur le ventre, mon sexe durcissant tout heureux de cette soudaine liberté. Stéphanie se laissait également flotter, les yeux fermés. Je ne sais pas si elle pensait à ses émotions du matin ou si son sourire m’était destiné, fruit de notre amour et de nos perspectives de l’après-baignade. Je passai une main dans son dos pour la soutenir dans sa « planche » et lui effleurai du bout des doigts les jambes, le ventre, les seins et les lèvres. Je la pris dans mes bras et l’embrassai doucement. Elle enroula ses jambes autour de ma taille ; mon sexe se blottit entre ses fesses, bien au chaud entre ses deux globes. Nous étions bien, seuls au monde ; j’étais amoureux comme jamais. Après de longues minutes à nous embrasser, nous sommes retournés sur notre serviette.


Stéphanie proposa de m’enduire de crème solaire afin de profiter du soleil sans en subir les dangers. J’acceptai bien sûr, et me mis sur le ventre. Elle se posa à califourchon, s’enduisit les mains de crème et commença à me masser doucement le dos. Je fermais les yeux et profitais de ces instants. Ces mains parcouraient tout mon corps, en s’attardant sur mes fesses. Je la sentis se reculer en massant mes jambes de ses deux mains. Elle remontait en haut de mes jambes, effleurant l’origine de mon sexe, et remontant ostensiblement vers mon trou. La sensation était douce ; mon sexe raide était secoué de spasmes, sous mon ventre. Stéphanie continuait à me masser, ses doigts se faisant inquisiteurs entre mes fesses, titillant mon trou, l’enduisant de crème et me pénétrant doucement. Je ne disais rien, juste quelques soupirs qui montraient mon état de béatitude.


Stéphanie me retourna et, toujours à califourchon, enduisit mon ventre et mes pectoraux de crème tout en caressant son sexe ouvert et humide sur mon sexe. Nous étions seuls au monde. Je sentais la chaleur du soleil sur mon corps, puis la langue de Stéphanie humidifier mes lèvres, puis s’enrouler autour de la mienne. Son sexe continuait à caresser le mien, trempé par l’excitation et le désir. Elle le prit de sa main droite et le posa contre ses fesses. Elle commença à monter et descendre, serrant ses fesses contre mon sexe en une délicieuse masturbation. Elle me murmurait des « Je t’aime » dans le creux de l’oreille tout en mordillant mes lobes. Puis, doucement, elle remonta légèrement son bassin et, guidée par sa main, enfonça mon sexe dans son petit trou. L’excitation était telle que je m’enfonçai sans résistance. Stéphanie menait la danse et faisait monter notre jouissance doucement, mais sûrement. Elle continuait à me murmurer des « Je t’aime » puis, soudain, serra ses muscles autour de mon sexe, nous entraînant dans une jouissance continue. Je n’avais jamais été aussi bien. Elle resta quelques instants sans bouger, puis sortit doucement mon sexe de ses entrailles, se retourna et emboucha mon sexe tout en me présentant son sexe et ses fesses.


Elle me suça avec douceur pendant que je passais ma langue sur son sexe humide, en remontant jusqu’à son anus, léchant le reste de ma semence. C’était la première fois que je le faisais ; mais j’étais dans un tel état de plénitude, mon sexe encore logé dans sa bouche, que je ne pensais plus à rien. Je n’étais que jouissance, et cette semence salée, fruit de notre amour, me semblait être une liqueur sensuelle. Après quelques minutes de ces caresses humides, Stéphanie cria sa jouissance, la mienne se répandant dans sa bouche et sur son visage. Après quelques minutes de silence, Stéphanie se retourna pour m’embrasser et courut dans l’eau se débarbouiller. Nous sommes restés tranquillement tous les deux le reste de la journée, alternant baignades, baisers et discussions enamourées sur la vie, nos projets, notre bonheur.


Arrivés au camping, j’ai préparé un petit feu afin de dîner aux chandelles, apéritif et grillades accompagnées d’un rosé que j’avais mis au frais au bar du camping. Nous étions bien ; l’alcool et la pénombre aidant, nous nous laissions aller à quelques caresses, Stéphanie étant toujours nue sous sa robe, elle m’offrait la vue de son sexe luisant en s’amusant à croiser et décroiser les jambes. Nous ne savions pas si nos voisins de tente pouvaient nous voir, mais la perspective d’être vus ajoutait un peu de piment à notre complicité.


Stéphanie se baissa vers mon membre et l’engloutit d’un coup, enroulant sa langue autour de mon sexe, puis elle se leva en disant :



Elle partit en courant ; je la suivis en me demandant si nous allions retrouver ce couple mystérieux. Stéphanie ne semblait pas se poser de questions. Elle entra dans une douche, se retourna en me souriant et me souffla, avec un regard lubrique et humide :



Je rentrai dans la grande douche, à côté de la sienne, et commençai à me doucher. L’eau était chaude et je fermais les yeux en repensant à cette belle journée. Je me savonnais doucement, l’esprit ailleurs. Je fus sorti de mes rêveries en sentant deux mains s’ajouter aux miennes, me masser le dos puis le ventre, et descendre doucement vers mon bas-ventre. Je gardais les yeux fermés, anticipant les caresses de Stéphanie sur mon sexe, et sa bouche qui ne manquerait pas de les rejoindre. Je laissai couler la douche ; l’air était électrique. Mon intuition était la bonne : je sentis bientôt une bouche me recouvrir. Finalement, Stéphanie avait craqué et n’avait pas eu la patience d’attendre notre retour à la tente.


Je souris intérieurement. La bouche continuait à m’aspirer, et ces deux mains empoignèrent mes fesses, ses doigts s’approchant dangereusement de mon trou. J’avais du mal à comprendre ce soudain intérêt pour mon fondement, mais je devais reconnaître que c’était finalement assez agréable. Je la laissai donc faire, les yeux toujours fermés. Elle me prit entièrement dans sa bouche pendant que ses doigts m’ouvraient peu à peu ; deux d’entre eux étaient maintenant bien en moi. J’étais bien. Je sentis soudain un souffle chaud sur mes lèvres.


J’ouvris les yeux, pour voir Stéphanie m’embrasser à pleine bouche. Nos langues s’enroulaient l’une autour de l’autre, mais quelque chose clochait. Mon sexe était bien toujours au fond d’une bouche… Stéphanie me regardait, l’air malicieux ; elle mit un doigt entre nos deux bouches, comme pour me dire « chut ». Elle m’enlaça ensuite, pendant que les va-et-vient continuaient au niveau de mon bas-ventre. Je me laissais faire, comme emprisonné par les bras de mon amour, une deuxième bouche autour du sexe et quatre doigts maintenant m’écartant l’anus. Après tout, si Stéphanie était d’accord, pourquoi passer à côté d’une sex-party à trois ? On ne vit qu’une fois. J’étais tout à mon plaisir quand je sentis un cinquième doigt, plus gros, rejoindre les quatre autres. J’ouvris les yeux.


Stéphanie me regardait. Je ne saurais dire si l’on pouvait y lire de la malice, de l’amour, de la perversité ou un peu des trois ; mais au même moment, les quatre doigts se retirèrent pour laisser la place, sans aucun doute possible, à un énorme sexe qui me transperça. Le temps s’arrêta. La bouche sur mon sexe me recouvrait totalement ; j’étais empalé, comme figé sur ce pieu et Stéphanie me regardait, sans un mot. Je sentis la bouche se retirer ; Stéphanie se baissa, ses mains sur mon torse, jusqu’à ce que sa langue lèche mes bourses en se rapprochant de mon trou envahi. Deux grosses mains appuyèrent sur mes épaules afin de me faire courber l’échine. Comme un robot, je mis mes mains sur le mur de la douche, dont l’eau ne coulait plus depuis un moment, et regardai le sol.


Stéphanie était accroupie, jambes écartées ; la femme d’hier était allongée sur le sol, le visage entre les jambes de Stéphanie, visiblement en train de la lécher. Et je vis, derrière, deux jambes masculines, dont j’imaginai sans peine qui était le propriétaire. Celui-ci se mit à bouger, commençant à me prendre. J’étais totalement écartelé, mais je sentais que cet homme savait ce qu’il faisait. Ses mouvements étaient lents, et alors que j’imaginais que mon trou allait exploser à chaque mouvement, c’était à l’inverse une douce sensation qui m’envahissait pendant que Stéphanie me suçait en gémissant.


Je ne saurais dire combien de temps cela dura. Les mouvements étaient réguliers mais doux, et je sentais la jouissance monter en moi, le sexe se raidir entre mes muscles, et soudain une pression nouvelle au fond de moi. Il venait de jouir, j’étais plein. J’imaginais sa semence dans mes entrailles, et je jouis dans la bouche de Stéphanie pendant qu’elle resserrait ses lèvres autour de moi.


Je le sentis sortir, doucement. Je gardais les yeux fermés. Les baisers de Stéphanie remontèrent sur mon corps, mon nombril, mes abdominaux, ma poitrine, mon cou, ma bouche, ma joue, le lobe de mon oreille ; puis, dans un murmure, elle me souffla un long « Je t’aime ». J’ouvris les yeux : nous étions seuls. Rien ne permettait d’imaginer ce qu’il venait de se passer ; on n’entendait que les baisers de Stéphanie qui couvraient ma bouche, ses mains autour de mon visage, me répétant son amour.


J’étais bien, et amoureux ; mais beaucoup de questions se bousculaient dans ma tête. « Que s’était-il vraiment passé ? Quel rôle jouait Stéphanie dans tout cela ? Qui étaient cet homme et cette femme ? Que cela voulait-il dire pour moi, sur ma sexualité, sur mon couple, sur notre avenir ? »


Nous sommes rentrés vers la tente, main dans la main, conscients qu’il s’était passé quelque chose, mais sans savoir ce qu’il fallait en penser…