n° 15685 | Fiche technique | 28663 caractères | 28663Temps de lecture estimé : 17 mn | 08/07/13 |
Résumé: C'était la femme de ma vie. Je l'ai laissé partir. J'étais jeune et con. | ||||
Critères: fh jeunes vacances sport froid amour fellation pénétratio | ||||
Auteur : Damien X |
DEBUT de la série | Série : La femme de ma vie Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Pourquoi les gens ne se rendent-ils compte de leur bonheur qu’après l’avoir perdu ?
Chargé du « front office » d’un grand hôtel parisien, je parcourais chaque matin la liste des réservations, histoire de ne pas passer à côté d’un VIP ou d’un vieux client. Un nom me sauta à la figure : M. et Mme Christopher X. Mon cœur fit un bon. Était-ce ELLE ? Allais-je la revoir ?
Des images défilèrent dans ma tête. Val Thorens, huit ans auparavant. Deux journées merveilleuses. J’avais rencontré la femme de ma vie. Je l’ai laissée partir. J’étais jeune et con.
—ooOoo—
À l’époque, fou de montagne, j’avais postulé pour un poste de saisonnier dans un hôtel de la station. Mon père travaillait dans une entreprise internationale de BTP et toute la famille l’avait suivi de chantier en chantier à travers le monde. Si ces pérégrinations n’avaient pas facilité mes études, elles m’avaient donné le goût des voyages et permis de parler anglais couramment. Comme en plus je baragouinais l’allemand et l’espagnol, ma candidature avait été retenue. C’était un travail à horaires variables. Je n’avais pas un salaire mirobolant, mais cela correspondait à ce que je recherchais : avoir du temps libre pour skier.
Un soir, sous des rafales de neige, alors que j’étais à la réception, je vis arriver, traînant leurs valises, quatre jeunes Anglais, trois garçons et une fille… sublime. Grande, vêtue d’un gros anorak et d’un jean moulant, coiffée d’un petit bonnet d’où sortaient de longs cheveux blonds qui lui arrivaient dans le creux du dos, je l’ai trouvée – il n’y a pas d’autre terme – sublime. Tout me plaisait en elle. Son charme, ses éclats de rire témoignant de sa joie de vivre ; son physique, bien sûr, et quelque chose d’indéfinissable qui fait que l’on peut tomber amoureux d’une fille au premier regard. En se présentant, elle me gratifia d’un magnifique sourire qui m’envoya des picotements jusqu’au bout des doigts. Je sus qu’elle s’appelait Sandy, et l’heureux élu qui partageait son lit, Christopher.
Les deux jours suivants, le temps était toujours aussi pourri. Je me suis contenté de regarder de loin cette fille qui, à chaque apparition, était un vrai rayon de soleil. Mais le troisième jour, au réveil, c’était le grand bleu.
Alors que je finissais de déneiger la terrasse, je la vis sortir seule de l’hôtel avec ses skis. Je n’ai pas laissé passer l’occasion pour engager la conversation.
Ce « hélas » dit d’un ton larmoyant la fit de nouveau rire aux éclats.
Elle n’hésita que deux secondes.
J’étais sincère. Je n’avais aucune arrière-pensée. Au lieu de skier seul, je préférais passer quelques heures avec cette fille superbe. Peu importe si je devais arpenter les pistes bleues. J’étais loin d’imaginer ce qui allait nous arriver.
Sandy était loin d’être une débutante. Elle manquait juste de pratique. Attentive à mes conseils, j’ai pu l’emmener sans problème sur des pistes rouges. Vers 14 heures, comme elle était vannée, nous nous sommes arrêtés dans un restaurant d’altitude. Nous en avons profité pour faire plus ample connaissance. J’ai appris qu’elle avait vingt ans, qu’elle voulait être journaliste, que Christopher était un ami d’enfance, qu’il faisait des études dans la finance afin de travailler dans la City et qu’ils comptaient se marier dès qu’ils seraient autonomes.
Ma phrase l’a intriguée. Elle m’a pressé de questions. J’ai dû lui raconter ma vie, mon goût pour les voyages afin de rencontrer des gens de toute culture, lui expliquer que dès que j’avais un peu d’argent, je partais sac au dos bourlinguer à travers le monde. Nous étions si bien que nous n’avons pas vu le temps passer. Après une dernière descente, je l’ai ramenée à l’hôtel en portant ses skis.
Alors que je m’attendais à recevoir une grosse bise sur la joue, ses lèvres se posèrent sur les miennes. Ce baiser ne dura que deux secondes, mais mon cœur cessa de battre.
Les deux jours suivants, à part quelques regards appuyés et quelques sourires complices, Sandy se comporta comme si de rien n’était. Je fis de même. J’avais promis. J’avais perdu tout espoir d’être de nouveau seul avec elle quand le troisième soir elle vint me trouver au bar.
Elle n’hésita pas une seconde.
Me laissant scotché, elle me quitta pour retrouver les autres. Que signifiait cette phrase ? Parlait-elle uniquement de ski ou était-ce une vraie déclaration ? Je suis me retourné comme une crêpe toute la nuit dans mon lit sans trouver la réponse. Avec différents scénarios plus débiles les uns que les autres, j’imaginais que j’arrivais à l’embrasser, à la serrer dans mes bras et à la ramener dans mon studio pour lui faire l’amour. De purs fantasmes. Sandy était amoureuse de Christopher. Moi, je lui apprenais à skier. Point final.
Le lendemain matin, dès qu’elle se retrouva seule, je l’emmenai changer ses skis de piste contre des skis de poudreuse hyper larges. Le manteau neigeux était stabilisé, mais par sécurité je l’équipai d’un Arva et je pris une pelle et une sonde dans mon sac à dos. Vers 11 heures, nous étions en haut du téléphérique de Caron.
L’itinéraire du lac du Lou est un hors-piste peu avalancheux et facile, si l’on sait par où il faut passer. Évidemment, il était déjà tout tracé.
Après une petite heure de traversées sous des barres rocheuses et de montées en direction du Mont Brequin, nous nous installâmes sur un rocher à l’abri du vent pour pique-niquer. Le paysage était grandiose. Côté sud, la vallée de la Maurienne avec au loin les aiguilles d’Arves, la Meije. Côté nord, le Mont-Blanc, versant italien, et sous nos pieds la grande combe ensoleillée, peu pentue et vierge de toute trace que nous allions descendre. Mille mètres plus bas, le lac du Lou couvert de neige nous attendait.
J’avais une furieuse envie de la serrer dans mes bras et de l’embrasser, mais j’avais peur de gâcher la journée. En tout début d’après-midi, nous commençâmes la descente. Elle se prenait de temps en temps une belle gamelle. D’autres m’auraient incendié pour les avoir emmenées dans une telle galère. Elle, non. Elle riait de ses chutes. J’en profitais à chaque fois, sous prétexte de l’aider à se relever, pour la prendre dans mes bras. Pas dupe, elle se laissait faire en riant de plus belle. Elle attendait que je l’embrasse mais je n’osais toujours pas. À un moment, dans un petit schuss, elle planta un ski. Je la vis piquer la tête dans la neige dans un grand nuage de poudreuse.
Pas de réponse. Je remontai en vitesse à sa hauteur. Son bonnet, ses lunettes de soleil, ses deux skis étaient éparpillés dans la neige et elle restait sans bouger, comme si elle avait perdu connaissance.
Affolé, je me suis empressé de déchausser pour aller la secourir. Alors que je me penchais sur elle, elle m’agrippa et me serra dans ses bras en riant. Cette fois-ci, je l’ai embrassée ; à moins que ce soit l’inverse, elle qui m’ait embrassé. Ses lèvres étaient couvertes de flocons glacés, mais délicieuses. Ma langue s’insinua entre ses dents, trouva la sienne ; un régal…
Une question à la noix. Que dire ? Je l’ai de nouveau embrassée. C’était si bon. Elle était sous moi, quasiment en position du missionnaire ; j’avais tellement envie d’elle que je me suis mis à bander. Elle s’en rendit compte.
Je n’en revenais pas. Mon rêve n’était pas si débile ; il était en train de se réaliser.
J’eus droit à son merveilleux sourire mais elle refusa.
Ma réflexion sembla l’ébranler.
Sur ce, je lui clouai le bec en l’embrassant à pleine bouche. Je la sentis fondre.
Il nous restait une grande traversée au-dessus du lac pour rejoindre le télésiège qui nous ramenait à la station. J’ai tracé un chemin facile, et vers 15 h nous étions dans mon studio en train de nous déshabiller fébrilement. Nue, elle était encore plus belle que dans mon rêve. De jolis petits seins aux tétons dressés par le froid (plus vraisemblablement que par le désir), de longues jambes finement musclées, une taille fine mettant en valeur une croupe bien cambrée, une toison blond foncé soigneusement épilée entre ses jambes. Enlacés, nous basculâmes sur le lit. C’est alors que j’ai réalisé :
À ma grande stupéfaction, elle éclata de rire et me répondit :
Comme j’avais l’air catastrophé, elle ajouta :
Je compris que je pouvais laisser tomber les préliminaires. J’en eus la confirmation quand je pris place sur elle. Elle remonta ses cuisses pour mieux m’accueillir, et d’un geste impatient s’empara de mon pénis pour le positionner à l’entrée de son vagin. « Enfin une fille qui aime faire l’amour ! » me dis-je. J’eus une pensée pour Chris, qui allait être cocu mais qui ne devait pas s’ennuyer au lit avec elle. J’ai poussé lentement mon bassin. Mon pénis a écarté ses lèvres puis s’est frayé un passage dans ses chairs intimes. Un délice.
Je l’ai pénétrée lentement avec de petits va-et-vient de plus en plus profonds, tellement je voulais profiter de cet instant magique. Son vagin était une merveille, glissant, brûlant, doux et ferme à la fois, délicieusement serré. Une fois abuté à fond, je me suis penché pour l’embrasser, et en appui sur les coudes j’ai commencé des mouvements plus amples.
N’aimant pas les filles faciles, les (rares) demoiselles que j’avais jusque-là mises dans mon lit étaient du genre coincées et plutôt passives. Je fus délicieusement surpris quand Sandy se mit à onduler du bassin en accompagnant mes mouvements. Les cuisses bien écartées, elle allait au-devant de mon sexe ; elle semblait vouloir l’aspirer. C’était si bon que l’ai laissée mener la danse.
Que dire ? Avouer que l’été dernier j’étais avec une fille que j’essayais désespérément de faire jouir sans jamais y arriver ? Je n’ai pas répondu. Je me suis penché vers elle pour l’embrasser. Elle a croché ses mains sur mes épaules et nous avons repris notre danse. En appui sur les coudes, je me suis mis à bénir cette précédente petite amie qui – par la force des choses – m’avait appris à me maîtriser. Au bout d’un bref moment, Sandy se mit à gémir. Ses mouvements se firent endiablés, comme si ses fesses étaient en contact avec une plaque brûlante. Quelques secondes plus tard, elle poussa un cri étouffé et je sentis des contractions parcourir son vagin. Elle jouissait déjà. Je me suis mordu la lèvre jusqu’au sang pour ne pas l’accompagner. Pas question d’abréger. C’était trop bon d’être en elle.
Après un instant de répit, c’est moi qui ai repris les mouvements. Ses grands yeux bleus me regardaient amoureusement, ses bras me serraient très fort comme pour m’empêcher de me retirer. Pour la première fois de ma vie, j’ai senti que je ne faisais qu’un avec une fille, physiquement et mentalement. Une pensée me traversa l’esprit : « C’est la femme de ma vie ! », pensée que je rejetai aussitôt. « Ridicule… Une Anglaise, fiancée à un autre, qui s’en va ce soir. Je me fais du cinéma. »
Je me suis aussitôt plié à son désir et elle se remit à gémir. Elle remonta ses cuisses au maximum et referma ses jambes sur mon dos. Ma verge s’est enfoncée en elle encore plus profondément. Me sentant venir, je l’ai pistonnée furieusement, cognant sur son pubis, écrasant son clitoris à chaque coup de bassin et j’ai éjaculé sur sa matrice en longues giclées. Cela lui fit un effet terrible.
Cette fois, c’est un vrai cri d’animal qu’elle poussa en me plantant ses ongles dans le dos. Je venais de la faire repartir très haut. Son ventre était ravagé de spasmes qui ressemblaient à des décharges électriques. Puis tout se calma. Assez fier de moi, je l’ai couverte de baisers pendant qu’elle reprenait ses esprits et je me suis retiré pour m’allonger à ses côtés.
Encore une question à la noix. Pourquoi lui avais-je fait tant d’effet ? Pourquoi, elle aussi, m’avait-elle fait tant d’effet ? Je n’en savais rien. Question d’atomes crochus ?
Je n’eus pas à répondre car elle se rendit compte que mon pénis n’avait rien perdu de sa superbe (j’avais vingt-trois ans à l’époque).
Elle s’empara de mon pénis, achevant en quelques secondes d’en refaire un vrai bout de bois.
Je m’apprêtais à la prendre en levrette, histoire de profiter d’elle dans une autre position, mais elle me tendit l’oreiller en me disant :
Aussitôt en position, elle s’empala précautionneusement sur mon sexe dressé et commença une sorte de lente danse du ventre en se tenant très droite. Les pointes érigées de ses petits seins émergeaient de sa longue chevelure blonde qui ondulait au rythme de ses mouvements. J’aurais aimé les caresser, mais j’ai préféré la regarder faire en la tenant fermement par les hanches. Elle dansait sur mon sexe, alternant des mouvements longs et courts.
Pourquoi fallait-il qu’elle me parle encore de lui dans ce moment divin ? Heureusement, la comparaison semblait en ma faveur ; du moins en ce qui concernait le sexe.
Ses ondulations s’accélérèrent, sa tête bascula en arrière, sa main droite se plaqua sur son clitoris. Le regard perdu, la bouche entrouverte, je la vis chercher un nouvel orgasme en se caressant et en se malaxant un sein. Ce spectacle d’un érotisme torride fut de courte durée. La danse de ses doigts sur son clitoris se fit endiablée. Elle poussa un long feulement, emportée par un spasme qui lui resserra les cuisses, et du coup me comprima les côtes. Qu’elle était belle quand elle jouissait !
Une fois apaisée, elle se pencha vers moi, venant chercher un baiser. Je la serrai dans mes bras, tout heureux d’avoir pu rester de marbre.
J’avais toujours mon pénis tout raide planté dans son vagin. J’avais ma langue entre ses dents. J’eus envie d’aventurer un doigt entre ses fesses, histoire d’être en elle partout. Elle émit un grognement de protestation mais se laissa faire. Je me suis mis à jouer avec ses sphincters. Comme elle ne protestait toujours pas, j’ai léché mon doigt et j’ai accentué la pression pour perforer son anneau délicieusement serré. Elle émit un nouveau grognement mais elle continua de m’embrasser. Je me suis alors amusé à entrer et sortir tout en donnant de petites ruades avec mon bassin pour lui donner des sensations des deux côtés.
Ce garçon manquait cruellement d’imagination.
Elle éclata de rire et me lança :
J’ai pris appui sur mes pieds et je me suis déchaîné. D’un bras je la tenais prisonnière, bien serrée contre moi, écrasant ses adorables petits seins contre ma poitrine, coinçant ses genoux contre mes épaules pour la pénétrer le plus loin possible, et de l’autre main je lui enfonçais mon doigt dans l’anus au rythme de mes ruades. Elle se mit à feuler puis à hurler.
Le reste se perdit dans une sorte de cri inarticulé.
J’ai continué de la défoncer impitoyablement. J’ai tenté avec succès de rajouter un second doigt dans son anus. Il me semblait que son orgasme se prolongeait, vu les cris qu’elle continuait de pousser mais je n’en étais pas bien sûr. J’ai continué tant que j’ai pu, puis j’ai sentis ma semence monter. Irrésistible. Elle dut le sentir aussi car elle écrasa sa bouche sur la mienne au moment où je la remplissais de sperme.
Ce coup-ci, nous étions anéantis. Tandis que je reprenais mon souffle, elle s’allongea à mes côtés et se pencha sur moi pour m’embrasser.
Nous sommes restés un long moment allongés l’un contre l’autre. Elle était lovée contre moi, la tête sur mon épaule, nos jambes entremêlées. Je lui caressais tendrement la tête en jouant avec ses cheveux quand je vis une larme couler sur sa joue.
Et là, j’ai fait la pire bêtise de ma vie. Certes, j’étais tombé follement amoureux. J’aimais tout chez elle, tout ce que j’avais vu au premier regard, son charme, son sourire, l’éclat de ses yeux bleus, sa joie de vivre… Et maintenant, tout ce que je venais de découvrir, de la racine des cheveux jusqu’au bout des ongles de pieds, en passant par son odeur intime, le grain de sa peau, la courbure de ses reins, le galbe de ses seins, le mignon grain de beauté qu’elle avait sur le pubis, son absence complète d’inhibition quand elle faisait l’amour, jusqu’aux cris divers et variés qu’elle poussait quand le plaisir l’emportait.
J’aurai dû lui proposer de la suivre à Londres, lui dire que pour elle j’abandonnais ma vie de bohème et que j’allais me mettre à travailler sérieusement. Je suis resté muet.
J’étais trop jeune. Trop jeune et con. Je pensais stupidement que des filles comme elle, j’en rencontrerais d’autres. Je les cherche encore.
Elle regarda sa montre, vit que le temps avait passé à une vitesse folle. Elle se pencha sur mon ventre et prit mon sexe dans sa bouche. Je compris que c’était mon cadeau d’adieu. La fellation était maladroite, elle ne savait pas s’y prendre. J’eus envie de lui dire « Attention à tes dents ; essaie d’aller plus loin ; lèche bien avec ta langue à chaque passage… » mais c’était si merveilleux de la voir essayer de faire de son mieux que je n’ai rien dit. De toute façon, le résultat était là. Alors que je me croyais incapable de lui faire l’amour une troisième fois, je suis redevenu raide comme un manche de pioche.
Ce qui signifiait « Je t’offre mes reins. Je n’ai jamais fait ça de ma vie, je veux le faire avec toi. » Mais j’étais trop jeune, sans expérience. Je ne connaissais pas à l’époque le langage indirect des femmes. Depuis, j’ai appris que quand elles disent, par exemple, « Chéri, comment trouves-tu ces boucles d’oreilles ? » cela veut dire en fait « Chéri, j’aimerais trop que tu me les offres ! »
Je ne savais pas non plus que souvent elles permettent beaucoup plus de choses à leurs amants qu’à leur mari. Je n’ai donc rien compris à son désir secret. À ma décharge, une seule de mes rares petites amies avait été assez délurée pour me permettre de la sodomiser, et elle n’avait cédé à mon désir qu’au bout de plusieurs mois.
Je l’ai mise à quatre pattes au bord du lit, la tête dans les bras, les fesses pointant en l’air ; mais au lieu de m’enfoncer un peu plus haut, j’ai planté mon sexe dans son vagin. Je l’ai agrippée solidement par les hanches et j’ai commencé à la marteler à grands coups de reins en accélérant progressivement la cadence. Au bout d’un bref moment, elle se remit à couiner. Quand elle se cambra d’elle-même en feulant, je compris qu’elle allait jouir. Je me suis déchaîné. Nous avons crié ensemble.
Quelques minutes plus tard, elle était rhabillée, recoiffée, prête à partir.
En passant la porte, elle m’a embrassé une dernière fois en me disant :
J’ai repris mon travail, la mort dans l’âme. Je l’ai vue de loin quitter l’hôtel avec sa valise pour prendre le car. Je ne connaissais même pas son nom de famille. J’avais juste celui de Christopher, qui avait réservé les chambres ; mais il était si courant que c’était rechercher une aiguille dans une botte de foin.
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Toute la journée, j’ai guetté les arrivées à l’hôtel. Et puis, vers 21 heures, le miracle s’est produit. Je vis un couple descendre d’un taxi. Une fille blonde aux cheveux courts, une silhouette grande et mince, très élégante… Mon cœur cessa de battre. C’était ELLE.