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Temps de lecture estimé : 13 mn
25/07/13
Résumé:  J'ai rencontré Laure avec son mari au restaurant. Elle m'a tout de suite conquise. Blonde un brin trop sage. J'ai osé lui laisser mes coordonnées en lui suggérant de m'appeler pour la dessiner. C'est aujourd'hui notre première séance.
Critères:  fff fsoumise cérébral exhib jeu
Auteur : Sergefra            Envoi mini-message

Série : Une si belle relation

Chapitre 02 / 06
Nos premières ébauches

(2) – Nos premières ébauches




Résumé de l’épisode précédent : J’ai rencontré Laure avec son mari au restaurant. Elle m’a tout de suite conquise, moi qui pourtant n’ai pas de penchants particuliers pour mes sœurs. Blonde, un brin trop sage : tout ce qu’il faut pour rêver. J’ai osé lui laisser mes coordonnées en lui suggérant de m’appeler pour la dessiner.








Les journées passent monotones.

L’hiver s’installe à Paris. Il fait gris. Il fait froid.

Quelques éclairs de joie et de couleur dans cet océan triste : mes séances de dessin.


J’oublie, je me concentre sur mes sujets, j’essaie de les coucher le plus fidèlement possible sur le papier. Ce soir mon modèle préféré livre son corps à mon inspiration.

Ma fidèle amie Judith prête son corps magnifique à mon inspiration.


Brune aux cheveux noirs de jais, avec une sage frange qui découvre deux yeux bleus magnifiques. Elle pose alanguie sur un fauteuil, les jambes relevées posées sur l’accoudoir, la tête en arrière, le chemisier ouvert découvre ses deux jolis seins, qui relèvent la tête effrontés. Je la croque au fusain, marquant les ombres du doigt.

Dans la cheminée une bûche crépite et réchauffe des éclats de son feu, qui remplit le silence de ses ronflements, le grand salon de cet appartement bourgeois parisien. Je l’aime bien ce nid douillet que j’ai aménagé avec soin, son bois sombre blessé d’années de pas pressés aux talons acérés en parquet, et le blanc immaculé de son plafond aux moulures élégantes.


Je butte sur l’entrecuisse : Judith mutine et coquine, laisse imperceptiblement descendre sa jupe sur ses jambes en les écartant lentement. Je rajoute des ombres du doigt, mais ce que j’entrevois au creux de ces jambes ouvertes sans pudeur me perturbe dans ma concentration.


Qu’elle est belle et désirable ma Judith ainsi !



Un léger sourire éclaire sa bouche sensuelle, dont elle humecte les lèvres de sa jolie langue rose coquine.

Clic, clac, sprit ! La musique du feu remplit le silence.

Je me concentre et puis… zut ! Dring, dring : le téléphone me sort de ma douce torpeur !



Dring, dring ! Et puis zut, je n’y arriverai jamais ! Je noircis rageusement du doigt l’entrejambe de Judith.



Et je vois ma Judith se relever langoureusement, et s’en aller balançant les hanches, bien cambrée vers le téléphone posé sur la cheminée. En passant elle me frôle, la garce, et se retourne, provocatrice un sein échappé fièrement de son chemisier.

Qu’elle est belle quand se balance ainsi !



Judith revient vers moi le téléphone à la main, en minaudant en silence et d’une démarche absolument scandaleuse, à mettre le feu dans une réunion paroissiale de quakers. Elle se colle à moi, je sens ses seins nus dans mon dos et sa langue chaude et mutine, dans mon oreille qu’elle mordille en me susurrant :



Et elle me tourne vers elle et me roule une pelle d’anthologie.



Ouf, elle me lâche. Je respire à nouveau, les jambes tremblantes et porte le combiné à ma bouche





Mercredi, il est 20 h 15.


Comme tous les mercredis, Judith est là et je la croque, lascivement étendue sur le divan, la taille légèrement couverte d’une serviette. Judith est toujours un appel au sexe quand elle pose, toute sa personne exprime le désir, c’est presque animal, incroyable.


On sonne à la porte, je me lève pour aller ouvrir : ce doit être Laure, je suis tout excitée, à l’idée de la dessiner chez moi, qu’elle ait accepté mon invitation. Judith se lève impudique, nue, un peignoir ouvert sur elle et se précipite vers la porte. Je crains le pire.

J’entends sa cavalcade dans le couloir, la porte s’ouvrir et puis plus rien, silence. Et voilà Judith toujours à moitié nue dans son peignoir, qui me frôle et me susurre à l’oreille :



Et voilà Laure, un peu rouge, confuse, vêtue d’une petite jupe noire sage au-dessus des genoux, des bas ou vraisemblablement des collants, un chemisier blanc bien fermé, un collier de perles, je crois, et cette queue de cheval blonde qui m’a tant excitée. Et le regard vers le bas, elle doit ressentir encore Judith à moitié nue l’embrassant sur la bouche.


À peine le temps de la regarder, Judith reprend la pose sur le sofa, un peu plus lascive peut-être, bouche ouverte, les seins en avant, les jambes écartées, elle humecte ses lèvres de sa langue.

Hard.

Vite, je croque avec mon crayon les yeux qui demandent, la bouche qui réclame, ces jambes qui promettent ! En quelques traits, j’ai dessiné une figure très érotique !

Je sens Laure dans mon dos, je me retourne, et surprend son expression !



Judith se relève totalement nue, impudique et passe devant nous.



Et elle s’en va lascivement, très cambrée pour bien montrer son sexe totalement rasé. Je la suis du regard, et je m’aperçois que Laure aussi.



Elle me regarde interloquée, j’ajoute :



Je la prends par la main et l’entraîne vers le paravent.



Elle a revêtu cette mini-jupe qui me plait tant, je parierais qu’elle n’a rien mis dessous, la coquine. Elle s’approche de moi, me prend le visage dans ses mains et m’embrasse langoureusement, avant de partir. Sa langue est chaude et espiègle et fouille tous les recoins de ma bouche. C’est si bon !


J’entends du bruit derrière moi, je m’échappe de cette bouche experte et me retourne. Laure est derrière moi, elle a revêtu le peignoir de soie qui pendait sur le paravent. Bien serré autour de sa taille par la ceinture, il ne laisse rien échapper.



Judith s’approche d’elle et, sans que Laure ait le temps de réagir, tire sur la ceinture et fait tomber le peignoir à ses pieds. Laure est maintenant nue devant nous. Gênée, elle serre ses jambes pour dissimuler son sexe et masque ses seins d’un bras ferme.

Cela n’arrête en rien Judith qui lui prend la main et la fait tourner devant nous.



Laure est maintenant debout de dos, nue devant nous, ravissante. Elle a de très belles jambes fines et en haut, deux belles pommes bien détachées. On devine entre elles son sexe, orné de quelques poils blonds.



Et elle s’approche d’elle joignant le geste à la parole. Elle passe sa main sur une fesse et la fait glisser en dessous pour la soupeser. Laure frémit mais se laisse faire.

Intéressant !



Laure obéit et, le sourire aux lèvres, Judith me regarde droit dans les yeux, passe sa main d’une fesse à l’autre et caresse légèrement les cuisses et les fesses en frôlant le sexe.



Et tout en souriant, elle se mord une lèvre mutine en me fixant droit dans les yeux.



Laure, toujours sans hésiter, se tourne le regard légèrement baissé



Judith se rapproche de Laure, une main sur sa taille et de l’autre elle soupèse le sein droit, le sein gauche.



Judith vient de lui pincer le téton gauche puis le droit. Je suis abasourdie, Laure s’est laissée faire !



Sa main progresse sur son corps, se pose sur son cou qu’elle enserre.



Sa main s’en est rapprochée, et elle lui ouvre du pouce, comme si elle voulait qu’elle le lui suce.



Et se rapprochant de Laure, elle l’embrasse, longtemps, sur la bouche, puis elle vient vers moi et m’embrasse à pleine bouche ostensiblement, devant Laure.



La porte claque, nous sommes enfin seules. Laure, nue devant moi, semble avoir perdu sa timidité.



Brrr ! Mon téléphone vibre. Un SMS de Judith : « Je ne lui ai pas mis la langue. »



Brrr ! Un nouveau SMS de Judith : « Dessine-la de dos à quatre pattes, les jambes bien écartées. »

Brrr ! « Fais-le pour moi, je t’aime, ta petite Judith. »


Je regarde Laure déambuler de long en large dans la pièce, un peu timidement d’abord puis plus libérée. Elle roule des hanches, faisant ballotter sa queue de cheval blonde. Il lui manque quelque chose, oui, une paire de chaussures à talon pour la cambrer, mettre en offrande son superbe cul et faire pointer ses seins.


Pendant qu’elle déambule nue, je passe derrière le paravent examiner ses affaires. Un soutien-gorge blanc assorti à une petite culotte bien sage, j’ai envie de lui prendre pour la faire repartir nue sous sa jupe. Des collants tue-l’amour, une petite jupe noire un top blanc et ses chaussures ?

Plates, sans talon !

Bon, je vais aller voir ma garde-robe.



Elle acquiesce tout en se baissant jambes tendues pour toucher le sol avec ses mains. Elle n’est plus qu’un cul ouvert, offert, mais quel cul, j’en suis bouche bée ! Je la boirais tout de suite comme ça, sans hésiter mais je crains de ne pas l’avoir encore assez apprivoisée

Je pars chercher des chaussures et je reviens quelques instants plus tard, j’en ai profité aussi pour prendre des Dim-up.


Je m’assois sur le canapé où plus tard, je lui demanderai de poser.



Je lui prends son pied et enfile délicatement le bas le long de sa jambe.



Elle me la tend, je la garde un instant dans ma main, avant de procéder à la même opération. J’en profite pour regarder droit devant moi son joli sexe auréolé de poils clairs. Je la sens se durcir, elle a dû me voir. Je lui mets les talons et voilà.


Juchée dix centimètres plus haut avec des bas noirs sur sa peau claire, elle est éblouissante.

Je me lève, la prends par la main et la conduis devant la psyché en lui faisant rouler le bassin pour qu’elle puisse s’admirer. Nous sommes toutes les deux debout, moi derrière elle, très près. Je la sens la chaleur qu’elle dégage



Je me rapproche d’elle, elle doit sentir mes seins dans son dos et je lui noue un ruban noir autour du cou.



Je m’écarte pour admirer mon œuvre.

Elle est à croquer !



Elle marche, elle se déhanche, je l’encourage. De plus en plus libre, elle se laisse aller. Elle est maintenant totalement érotique.

Un vrai trésor !



Je la prends par la main et la conduis vers le canapé.



Je l’allonge comme une odalisque mais un peu moins sage, avec une cuisse posée par terre pour ouvrir ses cuisses et révéler son sexe.


Je recule pour voir l’effet, c’est pas mal, un peu trop sage à mon goût. Je reviens vers elle, je prends sa jambe l’écarte plus, je lui cale un coussin dans le bas du dos.

Voilà, c’est mieux.

Mais je ne vois pas bien son sexe, la faute à ces satanés poils.



Je me saisis d’une paire de ciseaux dans la salle de bains et sans rien lui demander, je m’assois à ses pieds saisis quelques poils et entreprends de lui dégager le clitoris qu’elle a assez prononcé et ses grandes lèvres assez charnues.

Elle me laisse faire. C’est une perle cette fille !

Je contemple le résultat : parfait, son sexe est là, bien offert. Je lui pince alors les tétons que je sens durcir.



Et je vais m’asseoir à mon chevalet. Je prends un fusain et commence à dessiner. Le silence est total et le temps s’égrène : de temps en temps, bien obéissante, elle se pince la pointe des seins, parfois même elle s’y attarde, elle doit aimer ça !



Elle rougit jusqu’aux oreilles, j’ai dû voir juste.



Brrr ! je reçois un SMS, c’est Judith ou plutôt son sein gauche qu’elle a photographié dans le métro accompagné de ces mots : « Personne dans le wagon, envoie-moi une photo de ton nouveau modèle. »


Je ne peux rien refuser à Judith, c’est une vraie gamine, elle boude ensuite et se refuse à moi pendant des jours.

Comment présenter la chose à Laure qui, bien qu’un peu décoincée, me semble encore un peu rétive ?



Devant son absence de réponse, je lâche mon fusain, prends mon téléphone et m’approche d’elle. Un clic, deux clics.



Et toc, j’envoie à ma Judith une image de Laure lascivement allongée, jambes écartées, deux doigts sur un téton : « Je ne m’ennuie pas… bises V »

Et puis si j’osais ?

Un gros plan sur son sexe, envoyé illico à ma Judith adorée : « Pour alimenter tes rêveries érotiques nocturnes, V »