n° 15774 | Fiche technique | 13736 caractères | 13736 2571 Temps de lecture estimé : 11 mn |
31/08/13 corrigé 10/06/21 |
Résumé: Laure a accepté ma proposition et vient chez moi pour poser. | ||||
Critères: ff fff fépilée douche fsoumise fdomine voir exhib rasage fdanus init | ||||
Auteur : Sergefra Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Une si belle relation Chapitre 03 / 06 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode précédent : J’ai rencontré Laure avec son mari au restaurant.
Blonde, un brin trop sage : tout ce qu’il faut pour rêver… Elle a accepté de poser pour moi ; je suis arrivée à la mettre nue et lui faire prendre des postures très osées.
Il nous reste une demi-heure ; il va me falloir être efficace si je veux à la fois lui remettre le portrait commandé par son mari et lui faire prendre la pose souhaitée par Judith.
C’est inouï, sa capacité d’obéissance !
Je dois dessiner son visage, mais mon regard se porte inlassablement vers ses seins qui pointent fièrement et ses fins poils blonds qui défendent joliment l’entrée de son sexe bien ouvert.
Elle ne rougit même pas !
Je me penche pour saisir mon sac à main ; j’en sors mon rouge à lèvres et me rapproche d’elle sur mon tabouret à roulettes. Mes cuisses sont maintenant contre les siennes ; j’en profite pour les ouvrir encore plus : elle est superbe, presque imberbe.
D’une main, je tiens fermement son menton à vingt centimètres de ma bouche, et de l’autre je passe et repasse le bâton sur ses lèvres, dont je force l’ouverture.
Mes yeux dans les siens, bleus et délicieux :
Je me baisse à nouveau et saisis mon eye-liner.
Je lui souligne les paupières, le menton toujours fermement maintenu dans ma main. Je l’entends respirer un peu vite peut-être, la bouche entrouverte.
Je vois ses belles petites dents blanches et cette langue ; hum, cette langue… Si je ne me retenais pas ! Mais c’est encore un peu tôt.
Je lui donne une petite tape sur la cuisse où j’abandonne un instant ma main. Je recule et lui fais reprendre la pose. Elle fait un plus canaille, comme ça !
Vite, il faut que je termine : il me reste vingt minutes.
Elle se lève pour venir voir le chevalet ; je me lève aussi et la laisse passer.
Je suis maintenant derrière elle, moi habillée, elle toute nue à l’exception de ses chaussures à talons qui lui cambrent sa croupe. Son chignon dégage sa nuque gracile.
De la main droite, je lui commente le dessin et je pose négligemment la gauche comme pour me tenir le long de son flanc sur le haut de sa fesse. Elle ne bouge pas. Je continue, ma main plus pressante, et me tourne vers elle, ma bouche toute proche de la sienne.
Hum, que j’en ai envie… Je laisse ma main gauche vagabonder sur sa croupe en continuant mes explications. Elle se tourne maintenant vers moi ; ma main l’accompagne et se retrouve désormais en haut de l’aine, pas loin de ses jolis poils blonds.
J’ai brisé ce silence un peu étrange.
Je m’approche, prends son menton d’une main pour la tourner plus vers moi, et du pouce lui ouvre la bouche plus en grand. Ma main continue son chemin pour séparer un peu plus ses seins ; au passage, je lui pince délicatement les tétons, que je sens durcir illico. Je pose les deux mains au bas de son dos et j’appuie pour lui faire tendre la croupe.
Je me recule pour juger de l’effet.
Je me rapproche et je saisis ses cuisses pour les écarter plus ; je remonte les mains pour les lisser : elles se rejoignent autour de son sexe et saisissent délicatement ses lèvres, qu’elle a assez généreuses pour les ouvrir un peu plus.
À peine un frémissement ; c’est dingue ! Mais moi, je suis dans un état…
Et maintenant, une photo pour Judith.
Clic, de loin.
Clic, plus près.
Clic, en contre-plongée de ses cuisses avec une mise au point sur son sexe.
C’est Judith qui va être contente !
Allez, j’envoie ! Et je retourne m’asseoir au chevalet pour esquisser la pose.
Clic. « Hum, comme j’aimerais être à sa place… »
Clic. « Tu m’en gardes un peu pour une prochaine fois ? »
Clic.
J’arrête de consulter et je me concentre sur mon sujet. J’esquisse la silhouette au fusain et j’attaque quelques détails : sa bouche si sensuelle, son petit nez mutin et ce chignon blond si sage. Ses yeux bleu-gris bien fixés sur moi. Enfin, sa croupe avec ses fesses bien offertes et tendues. Ses lèvres si généreuses et les quelques poils blonds autour.
Je me recule un peu pour juger du résultat : c’est troublant ! À la fois sage et follement érotique ; un peu obscène, peut-être ! C’est fou, le contraste de cette fille.
J’ai bien envie d’en rester là.
Elle se lève et se rapproche ; j’en fais autant pour me placer à nouveau derrière elle.
Elle se tourne vers moi, ce qui fait pointer ses seins.
Elle rougit.
Elle rougit encore plus et secoue la tête comme une enfant.
Je pose la main gauche sur sa hanche ; elle a la peau douce et chaude.
De la main droite, je prends son menton et relève son visage pour la fixer droit dans les yeux.
Je sens le temps passer. Dieu, qu’elle est belle ! Des yeux grands, gris et bleu, des pommettes hautes, une jolie bouche bien dessinée.
Elle veut baisser le regard mais je maintiens fermement son regard dans le mien et je m’approche d’elle, si près que je sens son souffle presque sur mes lèvres.
Je me tourne à nouveau avec elle vers le dessin, ma main gauche toujours fermement accrochée à sa hanche.
Je suis maintenant vraiment contre elle ; et pendant que ma main droite montre la courbe, la gauche s’en saisit et un malaxe un sein.
Mon pouce gauche rejoint mon index pour étirer longuement son téton. Je la regarde : elle a baissé les yeux.
J’ai toujours son téton entre les doigts et je continue négligemment à le pincer.
Et je saisis ses jolis poils blonds.
Et je l’entraîne vers la salle de bains. Je prends une serviette, que je pose sur une chaise.
Je prends dans l’armoire une bombe de mousse et un rasoir ; je m’accroupis devant elle et, avant qu’elle ait pu dire quoi que ce soit, j’ai étalé une noisette et commencé à raser son pubis.
Je la sens tressaillir.
Je la regarde un instant ; elle baisse les yeux, le feu aux joues. Je me concentre sur ma tâche, ce n’est pas dur. Ce que le rasoir me révèle à chaque passage est ravissant !
J’attaque maintenant la partie plus délicate de l’entrecuisse.
Je saisis une lèvre, puis l’autre ; voilà, c’est à peu près ça.
Je tourne les robinets.
Je lui passe le jet entre les cuisses, et d’une main fais disparaître les traces de mousse. Je m’attarde plus que de raison ; je la regarde du coin de l’œil : elle halète un peu, la bouche entrouverte.
De la voix, je la force à me regarder tout en continuant de farfouiller plus que nécessaire son entrecuisse.
Je retourne dans le salon en suçant mes doigts : un goût de propre, de savon, mais pas que ça…
Le dessin est toujours sur le chevalet. Je le photographie et l’envoie par téléphone à Judith, accompagné de ces quelques mots :
« Elle est ravissante et très obéissante !
Bip.
La photo de Judith s’affiche sur l’écran.
« Tu n’as pas tout mangé ; tu m’en as laissé ?
« J’y ai à peine goûté ; on partagera la prochaine fois ! : -)
Bip.
« Tu n’y touches pas sans moi ! Promis ?
« Promis, juré. Pourtant je suis en feu !
Laure m’attend debout, une serviette roulée autour du corps,
Je prends une serviette dans l’armoire et lui tends la main.
Je la conduis dans la chambre, j’étale la serviette sur le lit. Je défais celle qu’elle s’est enroulée autour du corps et la laisse tomber par terre. Elle est maintenant nue devant moi ; je la détaille de haut en bas avec gourmandise !
Je me rends dans la cuisine ; j’ouvre le frigo, prends mon pot de crème de nuit et l’ouvre.
Je lui écarte les jambes et pose ses pieds à plat sur le lit ; je m’assois sur le parquet, la tête entre ses jambes. Si je n’avais pas donné ma parole à Judith…
Laure est à ma merci, totalement ouverte et impudique !
Je vois maintenant nettement son sexe avec tous ses détails : ses lèvres, grandes et épaisses ; et blotti au-dessus, ne demandant qu’à jaillir, le clitoris bien dessiné.
Je prends une noisette du doigt et la pose sur son bas-ventre ; je la sens tressaillir. Je fais pénétrer la crème avec de doux mouvements circulaires, jusqu’à la faire disparaître.
Pas un bruit, mais un silence lourd de désirs…
Je prends une deuxième noisette et la pose juste en bas du ventre, au-dessus de son bouton.
Je masse lentement ; je sens par moments comme des ondes électriques parcourir ses jambes, je la sens s’ouvrir, s’alanguir… Ses jambes s’écartent encore ; je vois son bouton gonfler jusqu’à pointer sous son capuchon. Je le touche une à deux fois à dessein ; je la sens se crisper. J’entends un petit cri.
Une troisième noix de crème.
Je l’entends soupirer ; j’attaque maintenant l’entrejambe. La naissance des cuisses, les lèvres, entre les lèvres, je les pince légèrement. Je sens son souffle s’accélérer ; je fais pénétrer la crème plus que nécessaire, et sens une humidité au bout de mes doigts.
Ah, si je n’avais rien promis à Judith !
Je prends ses jambes et les lui replie sur le ventre, les genoux contre le menton.
Une quatrième noix de crème, et je m’attaque à la raie jusqu’à son œillet bien crispé. Je fais pénétrer la crème et la première phalange de l’index dans sa corolle. En me relevant, je m’appuie sur elle, et mon index sous mon poids s’enfonce de deux phalanges. Je l’entends étouffer un cri ; je retire lentement mon doigt et me relève complètement.
Je lui claque les fesses pour la pousser à se relever ; je lui tends les mains et l’aide à se remettre debout.
Elle est debout tout contre moi, les joues rouges, les tétons dressés. J’en pince un en la fixant bien droit dans les yeux.
Ouf ! J’ai tenu ma promesse ! Mais je compte bien me rattraper au centuple la prochaine fois.
Je retourne au salon : Laure est habillée, les cheveux en chignon, relevés sur sa nuque, pieds et jambes nus.
Je prends un bas et le remonte lentement le long de la jambe, le plus haut possible.
Le deuxième bas, je remonte encore plus haut ; ma main bute contre sa motte, je sens le tissu.
Je la sens hésiter, puis elle obéit en baissant les yeux.
Laure met ses escarpins, prend sa veste et son sac à main. Je l’accompagne à la porte.
Laure remonte sa jupe ; je pose ma main pour juger, laissant divaguer mes doigts, mais la chaleur que je ressens n’a rien à voir avec le feu du rasoir.
Je glisse un doigt inquisiteur et gourmand entre ses deux beaux globes.
J’abaisse la jupe et la lisse bien sur ses jambes.
Je me rapproche d’elle pour l’embrasser ; elle ferme les yeux. J’en profite pour poser mes lèvres sur les siennes. Je pousse mon avantage, rapproche son visage du mien de ma main droite, derrière sa nuque, pose à nouveau mes lèvres sur les siennes et force sa bouche d’une langue mutine. Elle se laisse faire sans y répondre.