n° 15720 | Fiche technique | 23647 caractères | 23647Temps de lecture estimé : 14 mn | 30/07/13 |
Résumé: Mon rendez vous avec la libraire tourne à l'après-midi de détente. | ||||
Critères: ff couleurs fépilée massage confession | ||||
Auteur : Anette |
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Restée seule à Paris pour les mois d’été, je n’avais que peu d’activités. Je travaillais à mon rythme pour un collectionneur de vieux bouquins que mon mari m’avait présenté dans une soirée. Nous avions sympathisé, discuté et lorsqu’il avait appris que j’avais fait des études de littérature assez poussées, il m’avait proposé de chercher pour lui, lorsqu’il le souhaitait, quelques éditions rares.
J’avais donc rendez-vous ce jeudi-là dans une librairie du 6ème arrondissement. Comme à mon habitude j’étais en avance, j’ai tellement horreur d’être en retard. J’aimais l’endroit et m’offris un Expresso à la terrasse des Deux Magots. L’endroit était plaisant, chargé de l’histoire d’une époque qui ne me plaisait pas outre mesure mais qui, sans nul doute, avait marqué un tournant de la création littéraire. Personne ne s’était intéressé à moi.
La librairie était à dix minutes à pied, et justement mes pieds me faisaient mal. J’avais mis des escarpins, au demeurant élégants, mais aux talons un peu hauts, sans être des échasses. Je restai un moment sur le trottoir opposé à regarder la boutique. La librairie était petite, peut-être aussi ancienne que l’immeuble étroit dont elle occupait tout le rez-de-chaussée. Lorsque j’avais téléphoné pour prendre rendez-vous et exposer ma recherche, j’étais tombée sur une voix d’homme pas très assurée. Il m’expliqua qu’il était uniquement en stage et qu’il ne pouvait me donner de plus amples renseignements. Il m’avait cependant assuré qu’il transmettrait l’objet de ma demande. J’avais reçu la semaine précédente une « commande » de la part de mon collectionneur. Il souhaitait que je lui trouve une collection entière des éditions originales d’un auteur prolixe mais passé de mode. Après quelques recherches sur Internet, j’avais trouvé à plusieurs reprises le nom de la librairie devant laquelle je me trouvais.
J’avais de plus en plus mal au pied et je me décidai à traverser la rue pour avoir une chance que l’on me propose de m’asseoir. Mon entrée fut signalée par un léger tintement métallique. Une méthode un peu vieillotte d’annoncer une visite. Une femme, sortie du fond de la boutique, vint m’accueillir.
Cela me contraria, je savais les discussions et les tractations plus difficiles avec les femmes, j’en étais une !
Elle me serra la main et me dit qu’elle avait été avertie de ma visite. Elle m’invita à m’asseoir près d’un petit bureau ce qui me permit de dégager mes pieds des chaussures.
Elle était souriante quoiqu’un peu forcée. Sans doute de mon âge ou un peu moins. Brune mais teinte en rouge ce que je ne trouvais pas très heureux. Elle avait des yeux verts bien maquillés mais sûrement des lèvres gonflées par du silicone. Il me vint à l’idée qu’elle avait peut-être la poitrine gonflée aussi. Elle portait un chemisier largement entrouvert et je trouvais la naissance des seins un peu trop ronde, mais sans doute était-ce une médisance féminine.
Elle portait une jupe noire assez courte, largement remontée sur des cuisses bien profilées et qui dégageait largement la lisière des bas noirs bien tendus. J’avais remarqué la présence du porte-jarretelles bien visible sous la jupe trop serrée, lorsqu’elle m’avait précédé vers le bureau.
Je ne sais pas ce qui m’a pris, sans doute par simple jeu, je ne tirai pas sur ma jupe et, en croisant les jambes, je dévoilai largement mes cuisses. Sans doute pouvait-elle deviner la peau blanche au-dessus du bas. Nous étions à égalité.
La discussion fut facile. C’était une bonne professionnelle, cultivée et connaissant beaucoup de monde. Elle n’avait pas de tels ouvrages en stock mais elle pouvait m’aider à rassembler une grande partie de la collection. Les tractations furent plus difficiles lorsque nous avons abordé l’aspect financier mais l’accord fut trouvé sans trop de difficultés.
J’acceptai la proposition en espérant que ce ne soit pas trop loin, car il fallait que je remette mes pieds dans mes chaussures.
La question me laissa sans voix. Elle me sourit :
Elle avait retiré une de ses chaussures et la fit glisser vers moi. J’étais décontenancée mais je passai la chaussure et en ressentis un soulagement immédiat, bien que le talon fut un peu haut pour moi.
En me penchant pour ajuster la seconde chaussure alors qu’elle se levait, je fus, je l’avoue, troublée par la vision fugace, lorsqu’elle ouvrit un peu les jambes, d’un sexe nu et dépourvu de poils.
Je fis tout pour qu’elle ne perçoive ni mon regard ni mon trouble.
J’entendis une courte conversation dans l’arrière-boutique et elle réapparut, grandie de quelques centimètres, juchée sur des talons vertigineux. J’étais certaine qu’elle avait des prothèses de seins, ils ne bougeaient pas assez lorsqu’elle marchait.
Le restaurant, un Japonais, n’était pas loin et je m’habituai vite aux chaussures de la libraire. Elle s’appelait Mathilde, elle était divorcée.
En entrant dans le restaurant mon téléphone vibra : Alain m’informait qu’il avait une réunion tardive et qu’il n’y aurait pas de Skype ce soir, ce qui me contraria plus que je n’aurais pensé.
Le repas fut agréable, la cuisine parfaite. Mathilde me raconta son divorce pas très ancien et la liberté qu’elle avait depuis. Je lui parlai de l’absence d’Alain et de mon désarroi, ce qui la fit rire.
Nous nous étions rapidement tutoyées.
Je dus bredouiller une excuse de collégienne.
Je les avais presque oubliées, celles-là !
Je me sentais entraînée dans quelque chose qui me dépassait et dont je n’étais pas sûre d’avoir envie.
J’hésitais à m’enfuir, je prenais presque ces mots pour une menace.
Nous retournâmes à la boutique et je repris mes chaussures, les pieds avaient dû dégonfler, un peu. J’entendis la voix de Mathilde au téléphone, elle avait un rire clair. Elle parla quelques instants avec la personne que je n’avais pas encore vue. Elle ressortit accompagnée d’un homme beaucoup plus jeune et je dus rester interdite car elle me demanda immédiatement :
Je bredouillais plus que je ne dis non. C’était mon jeune dragueur de la veille.
Le Maxime en question était resté impassible et m’avait poliment sourit. M’avait-il simplement reconnue ?
En l’attendant j’avais répondu au SMS d’Alain pour lui souhaiter une bonne soirée et lui dire qu’il me manquait.
Je devais avoir l’air ridiculement coincée, elle rit :
Ce mot ne me rassurait pas particulièrement.
Dans le taxi, à voix basse elle m’expliqua que nous allions dans un salon nouvellement ouvert par une de ses amies qui pratiquait des massages superbes. Elle m’expliqua également que Maxime n’avait pas que des qualités intellectuelles et qu’il possédait « un sexe superbe ». Je ne la connaissais pas depuis plus de quelques heures et elle me racontait déjà ses histoires de fesses !
Je trouvais que les Champs-Élysées n’étaient pas assez loin.
Le taxi nous déposa dans une des petites rues derrière la grande avenue, au pied d’un immeuble superbe. Il n’y avait aucune inscription sur les bords de la porte cochère. Simplement au fond de la cour, une enseigne discrète signalait la présence d’un établissement de bien-être, simplement intitulé : « Douceur et charme ! » Tout un programme !
L’entrée était, je dois l’avouer, très bien agencée. Les murs recouverts de boiseries sombres étaient éclairés par des appliques de verre teinté de rouge ou de vert, ce qui donnait une atmosphère chaleureuse. Il régnait un parfum doucereux d’Ylang-Ylang.
Mathilde me présenta à Anne, la gérante et propriétaire des lieux. Anne était à l’accueil. Une brune métisse asiatique aux yeux superbes et noirs. Elle était enroulée dans une sorte de sarong d’un vert très vif, avec un haut blanc.
Elle avait une voix aiguë aux consonances d’Extrême-Orient.
Je me dis que ce devait être des noms de scène sans doute.
Anne nous fit signe de la suivre. Elle nous guida vers un petit salon plongé dans une sorte de lumière crépusculaire chaude. Après s’être habitué à la pénombre, le décor apparaissait, très sombre, de bois exotique et de statues de visages khmers au sourire énigmatique à peine esquissé.
Mathilde, très décontractée, s’était assise sur un banc de bois sculpté. Beaucoup moins à l’aise, je restais debout à regarder ces visages de pierre sans m’apercevoir qu’Anne avait disparu.
D’une porte dissimulée dans les boiseries sortirent alors deux jeunes femmes revêtues d’une tunique noire très courte aux bords rehaussés de satin vert. Je ne voyais pas très bien leur visage mais elles paraissaient se ressembler : même taille, mêmes cheveux sombres très courts. Elles souriaient. C’étaient les mêmes mais l’une était blanche et l’autre était noire.
Mathilde se leva et fit les présentations.
Ça, j’en étais presque incapable, comme tétanisée. Dans quelle galère m’étais-je embarquée ? J’eus même une pensée pour Alain. Presque mécaniquement je désignai Maeva pour la simple raison qu’elle était la plus proche de moi. Mathilde s’approcha de moi et me glissa à l’oreille :
Facile à dire…
Sans un mot, Maeva s’approcha, tout sourire, me remercia de mon choix et m’entraîna vers une petite porte. Je jetai un regard vers Mathilde, elle avait déjà disparu. Nous étions dans une sorte d’alcôve, comme une vieille cave voûtée, toute recouverte de carrelages blancs et verts. La lumière était douce mais cruelle car sans ombres. Au fond de la pièce il y avait une douche à l’italienne dont l’éclairage savant et changeant était attirant et apaisant. La température était idéale sans le moindre ronflement de climatisation.
Maeva ne parlait pas. Elle me fit asseoir et me retira mes chaussures. Je savais que j’allais prendre une douche !
Elle me prit ensuite doucement la main pour me remettre debout et me fit lever les bras pour me retirer le pull qui, quoique léger, commençait à me paraître particulièrement chaud. Je ne sais pas ce qui me prenait mais j’étais en train de me faire déshabiller par une fille que je n’avais jamais vue et je n’avais pas envie de me défendre.
Elle dégrafa la jupe qu’elle maintint au ras du sol pour que je puisse l’enjamber facilement. Elle n’avait pas prononcé un seul mot. J’étais en soutien-gorge, string et porte-jarretelles, complètement anesthésiée, mais je n’avais pas envie qu’elle arrête.
Elle me fit tourner. J’eus un moment d’hésitation, je lui présentai mon dos, mais surtout mes grosses fesses, ma cellulite sur les cuisses et ma peau couleur d’endive !
Je n’eus pas le temps de penser plus, elles avait dégrafé mon soutien-gorge et fait rapidement passer les bretelles par les bras. Elle défit les pinces des jarretelles et fit glisser les bas. Le glissement du nylon et des mains de Maeva sur mes jambes provoqua un frisson que je ne pus réprimer.
Le porte-jarretelles fut également dégrafé et, pièce ultime, elle fit glisser le string. J’espérais qu’il ne soit pas trop taché de mes sécrétions intimes toujours trop présentes.
Je me retrouvai donc nue devant une étrangère totale. Elle me prit par les épaules et, toujours derrière moi, me poussa vers la douche. Les lumières s’étaient éteints et il ne restait que l’éclairage lumineux et changeant de l’espace de douche. Au moment où je mis le pied sur la zone de douche, les jets se mirent en route et d’emblée à une température idéale. Les jets étaient doux, l’eau ruisselait sur mon corps. Me sentant hésitante, Maeva me poussa légèrement.
Elle avait une voix très douce mais un peu rauque. Je me laissai envahir par les bienfaits de l’eau et commençai vraiment à me détendre. Finalement, ce n’était pas si terrible que ça ! et je souris de ma réticence initiale.
J’en étais là de mes pensées lorsque je sentis deux mains enduite de crème ou de lait qui prenaient possession de mon dos. La friction était à la fois ferme et douce. D’abord sur les épaules puis par rotation légère sur le dos. Les fesses furent également traitées et les cuisses et les jambes. Les mains remontèrent lentement et s’attardèrent un peu sur mes fesses comme si elles savaient que j’adore les caresses sur cette partie du corps. Je fermai les yeux.
Maeva était très douce. Elle me fit tourner sur moi-même, nous étions face à face. J’ouvris les yeux, elle était entièrement nue !
Je ne pus m’empêcher de la regarder. Elle était fine mais avec une poitrine lourde et d’énormes mamelons, moi qui trouvais les miens trop proéminents ! Un ventre plat et un pubis bombé que je pensais sans poils mais je n’en étais pas très sûre.
Elle continua avec ses petites mains : les épaules, le cou et les seins sur lesquels elle s’attarda sans doute un peu. Je sentis mes pointes apprécier et se durcir. Le ventre qu’elle massa en un seul sens. Je savais la suite et j’avais accepté. Elle n’épargna pas mon sexe en le frottant très doucement, je sentis un doigt très bref séparer les petites lèvres mais elle ne s’attarda pas. Les cuisses ne furent pas oubliées.
L’eau était douce, les mains de Maeva étaient douces, la vie était douce.
Je commençai à vouloir que le temps ralentisse, ce furent les jets d’eau qui s’arrêtèrent. Maeva me recouvrit d’une sorte de cape à capuche qui devait me donner une allure de none. Drôle de none ! Elle-même se sécha rapidement et renfila sa tunique. Elle m’entraîna vers une autre pièce seulement éclairée par des bougies posées à même le sol autour d’un futon recouvert d’un drap de satin noir. Maeva me retira la cape et me demanda de m’allonger sur le ventre. J’avais l’impression d’une autre présence dans la pièce, mais l’obscurité ne permettait pas de préciser la chose.
Il y eu un moment d’attente qui me sembla presque long mais me permit de me détendre. Il y avait un silence quasi-total, bientôt rompu par une musique très douce, très planante. Je sursautai, un liquide tiède coulait sur mon dos, onctueux et parfumé qui expliquait les effluves d’Ylang-Ylang de l’accueil.
Le massage proprement dit commença. Mais un massage total, un massage du corps entier par un autre corps. Maeva était maintenant étendue sur mon dos de tout son long et me massait avec son corps entier enduit d’huile.
Je sentais ses seins dans mon dos et surtout les pointes tendues qui dessinaient des arabesques sur mes épaules. Ses cuisses étaient sur les miennes, son pubis d’une totale douceur sur mes fesses. Là, je décidai de lâcher prise, de me laisser aller.
Elle descendit lentement dans mon dos et massa longuement mes fesses avec ses seins. Je n’avais plus aucun complexe et je trouvais même un avantage à avoir de grosses fesses car cela augmentait la surface des caresses.
Plus bas, elle poursuivit sur mes cuisses. Ses mains prirent le relais de ses seins pour masser plus profondément. Elle m’écarta un peu les jambes et je sentis ses mains effleurer mon sexe à plusieurs reprises comme par inadvertance. Je commençai à être très troublée. Mes lèvres se gonflaient, mon clitoris se tendait doucement.
Les mains remontèrent sur le haut des cuisses et les fesses et se firent plus pressantes. Les doigts caressaient les lèvres, s’insinuaient entre elles. Je les sentais lubrifiées, prêtes à toutes les investigations. Elle m’écarta les fesses, s’il y avait eu plus de lumière, elle aurait pu avoir une vue imprenable sur mon intimité.
Elle se refrotta en remontant et me susurra dans l’oreille :
Je me mis sur le dos et fermai les yeux. Elle enduisit de nouveau mon corps de cette huile très douce et sans doute le sien aussi.
Le massage recommença. Ses seins sur mes seins, les pointes agacées tendues qui se frottaient. Son souffle près de ma joue, rapide irrégulier comme celui d’une femme excitée. Sa peau enduite était d’une douceur de rêve. Elle descendit sur mon ventre puis je sentis ses pointes sur mon sexe, sur mon clitoris, entre mes lèvres. Je crois que je dus lâcher quelques gémissements.
Je regrettai qu’elle abandonne si tôt pour descendre et me masser les pieds. Mon clitoris était tendu, saillant, j’avais envie de le toucher, j’étais prête à me masturber devant cette petite jeune aux caresses diaboliques. Ma main allait chercher mon bouton exacerbé, sa main m’en empêcha, elle revint vers moi me souffla dans l’oreille :
Je me laissai faire. Je crus qu’elle avait déposé un léger baiser sur mes lèvres mais si léger que je n’en étais pas sûre.
Elle se détacha de moi, ce qui me provoqua une intense frustration mais je sentis de nouveau l’huile couler sur moi. Elle était assise sur moi à califourchon et me massait doucement avec ses fesses et avec son sexe. La sensation était fabuleuse. J’avais l’impression que mon clitoris n’avait jamais été aussi tendu, il était devenu le centre de mon corps.
Elle était allongée sur moi, me massait la poitrine avec son ventre et son sexe. Mes pointes étaient dressées, dures.
J’ouvris les yeux. J’avais son sexe ouvert à quelques centimètres de mon visage, ses muqueuses rose foncé encadrées des lèvres noires semblaient obscènes, attiraient mon regard. Son anus exposé tout plissé. Elle plongea sa tête entre mes jambes et se saisit de mon clitoris. Je lâchai un cri de plaisir fou. De l’autre côté de la pièce, comme en écho, me parvint un son identique mais je m’en fichais complètement.
Elle s’installa mieux pour me lécher en reculant un peu ses fesses, je ne pus résister, je déposai un baiser sur son sexe offert. Je la léchai rapidement, je n’avais fait cela avec une fille qu’il y avait très longtemps, quand j’étais jeune.
Mon orgasme fut brutal, intense, je ne pus réprimer un cri et je sentis son sexe brusquement très inondé après quelques frissons, elle avait joui aussi.
Elle continua doucement à frotter son corps amolli sur le mien, j’aurais voulu que cela dure un temps infini.
Les bougies avaient presque fini de se consumer, l’obscurité était presque totale et une main inconnue fit donner une douce lumière tamisée. La salle était en L et de l’autre côté, Mathilde et Roxane nous regardaient.
J’étais totalement détendue. Maeva m’entoura de nouveau de la cape, Roxane fit de même à Mathilde. Elles disparurent toutes deux.
La voix de Mathilde me réveilla presque.
Nous nous retrouvâmes dans la salle de douche, la pudeur aurait été ridicule après ce que nous avions, d’une certaine façon, partagé. Nous étions nues sous la douche, elle avait effectivement les seins refaits. Mathilde dut croiser mon regard.
Après la petite séance précédente, j’aurais eu mauvaise grâce à me sentir gênée. Je caressai les seins de Mathilde, la sensation était étonnante presque naturelle bien que je n’aie pas une folle expérience des caresses mammaires. Mathilde, décontractée, avait aussi pris mes seins et me les pelotait avec insistance. Elle s’attarda un moment sur les pointes.
La récréation était finie. Nous nous rhabillâmes, ni l’une ni l’autre n’avions remis nos bas et j’avais laissé mon string au fond de mon sac.
Avant de nous quitter, Mathilde me dit qu’elle me passerait un coup de fil dès qu’elle aurait des nouvelles au sujet de mes demandes. Elle ajouta avec un clin d’œil :