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n° 15778Fiche technique14535 caractères14535
Temps de lecture estimé : 9 mn
02/09/13
Résumé:  Où, après avoir sauvé deux femmes d'une mort certaine, notre capitaine doit assumer les conséquences imprévues de son acte de bravoure...
Critères:  ffh frousses inconnu cousins bateau odeurs fellation cunnilingu pénétratio fdanus hdanus init humour -aventure -hff
Auteur : Tylodine            Envoi mini-message

Série : Quelque part au large des Îles Glénan

Chapitre 02
Quelque part au large des Îles Glénan (2)

Résumé : Patrick, à bord de son voilier, sauve deux jeunes Irlandaises dont le bateau a coulé… mais ce n’est qu’un début !






Elle me serra de ses jambes pour me maintenir en elle…



Au moment où je finissais ma phrase, la porte du poste s’entrouvrit doucement et une jolie tête ébouriffée et souriante fit son apparition…



Je dois avouer qu’à cet instant, j’eus un léger passage à vide… d’abord ce moment de délire avec Vilna et voilà que maintenant, la cousine ! Je m’attendais à un éclat… mais ce ne fut pas tout à fait le cas… Vilna se mit à pouffer de rire, sans pour autant me laisser me dégager. À vrai dire, j’avais de sérieuses réserves et je n’avais pas vraiment débandé… Bien au chaud dans ce nid douillet pourquoi aurais-je quitté ce délicieux séjour ?



Juste vêtue d’un de mes vieux tee-shirts lui arrivant à mi-cuisses, la douce Gwynis vint tout naturellement s’asseoir au bord de la couchette dévastée… Je pouvais voir le relief de ses tétons tendre le coton usé tandis que le tissu, remonté en haut des cuisses, laissait apparaître quelques fins poils roux…


En fait je ne l’avais pas vraiment détaillée la veille au soir ; reposée après la grande peur de la veille, détendue et quelque peu émoustillée… je devais avouer qu’elle était craquante au possible. Quel âge pouvait-elle avoir… vingt, vingt-et-un ans, ou plus… ou moins ?



Tout en parlant, me défiant du regard de ses yeux verts, la délurée cousine avait attrapé le bord de mon sac de couchage et le tirait vers elle, nous mettant, Vilna et moi, en plein sous la lumière du capot…



La jolie Irlandaise maniait notre langue avec une dextérité que n’aurait pas démenti Apollinaire ! Vilna assise sur mes cuisses, empalée jusqu’à la garde, Gwynis semblait fascinée par la vision de ma queue sortant du sexe ruisselant de sa cousine… Cette situation ne tarda pas à faire son effet sur ladite queue qui, un instant à demi-débandée, se remit à grossir dans son fourreau de chair.



Un petit bout de langue rose pointant de sa bouche entrouverte, de ses jolis doigts elle se mit à caresser l’objet de son intérêt, descendant vers mes couilles que je sentis se contracter sous son contact. D’un doigt inquisiteur elle recueillit un peu du mélange de sperme et de cyprine qui suintait et en barbouilla l’œillet de Vilna qui poussa un cri de surprise lorsqu’un majeur coquin pénétra dans son anus.



Décidément, je me sentais de moins en moins maître à bord… Mon braquemart semblait vouloir prendre son indépendance et raidissait de plus belle dans le vagin brûlant de Vilna qui jouit bruyamment une seconde fois.



Poussée sans ménagement, Vilna roula sur le côté, ma queue toujours raide abandonnant sa chatte trempée avec un « plop » mouillé, comique… tandis que Gwynis, les yeux brillants, plongeait sur l’objet de sa convoitise.



Maintenant mon vit d’une main douce mais ferme, elle entreprit de lécher d’une langue gourmande le chapeau encore brillant du résultat de nos ébats précédents, comme une petite fille dégustant une glace à la fraise ! Sous les yeux écarquillés de Vilna, Gwynis engloutit sans ménagement, mais avec un diabolique appétit, ma queue dans sa bouche vorace, s’asseyant sur ma poitrine et présentant à ma vue le plus charmant… et excitant tableau qu’il m’ait été donné de voir !


Encadré par les lobes charnus de ses fesses, un abricot dodu, délicatement fendu, aux lèvres finement ourlées, à peine ombré d’un léger duvet d’un roux éclatant. Palpitant et légèrement saillant au-dessus, l’œil brun rose de son anus semblait me narguer…



Sollicité de tous les côtés, je ne savais pas par où commencer, tandis que Gwynis déchaînée s’ingéniait à me faire perdre toute retenue.


Toute à sa fellation goulue, elle reculait, mettant à ma portée son délicieux postérieur… Où je pouvais voir telle la rosée du matin sur les fils de la Vierge, perler une humidité de bon aloi, petites perles de cyprine accrochées à ses fins poils roux. Je caressais de la langue la fente juste entrouverte, m’insinuant dans les replis nacrés, que je sentis gonfler sous la caresse, allant quérir à la source le nectar du plaisir.


Il était clair, qu’en effet, le bruit de nos ébats n’avait pas laissé insensible la jeune Irlandaise. Fascinée, Vilna regardait sa cousine s’agiter de la bouche et des fesses ; insensiblement sa main droite descendait vers la fourche de ses cuisses, tandis que la gauche caressait presque distraitement ses seins menus.



Fasciné par le spectacle de tant de trésors réunis… et dans le secret espoir de retarder un tant soit peu une explosion que je sentais proche, je fermai les yeux un instant, explorant en aveugle la géographie postérieure de ma cavalière déchaînée. Après la vue, le toucher, le goûter, une odeur de sexe imprégnait l’étroite cabine, contribuant encore à nous plonger dans un délire sensuel.


Odeur de sperme, de cyprine, de sueur et celle, délicate, de rousse, de Gwynis. On a beaucoup écrit sur l’odeur des rousses… Probablement y a-t-il rousse et rousse, j’avoue que mon expérience en la matière était quasi nulle, mais Gwynis ! Ce n’était pas une odeur, mais un parfum, un aphrodisiaque, suave, délicat, un cocktail de phéromones à réveiller une momie égyptienne.


N’étant nullement embaumé, mais bien vivant, je m’enivrais de ces effluves, à la limite de l’ivresse. Ma langue allait et venait dans la chatte de plus en plus trempée, glissant du petit capuchon de son clitoris à l’entrée du vagin pour finir sur la rosette plissée de son anus.


Gwynis ne desserrait les lèvres que pour pousser de petits gémissements, engloutissant à s’en étouffer mon chibre presque douloureux. Je sentis soudain qu’une main délicate venait d’enserrer la base de mon membre, palpant doucement mes boules… Puis une langue agile et une bouche gourmande s’invitèrent à la fête et se mirent à jouer avec les dites boules.


Vilna ! Elle n’avait pu résister longtemps à ce climat torride et s’était allongée à nos côtés… « Les caresses solitaires, ça va un moment, pensais-je, mais comment résister à l’appel de la… solidarité : toutes pour un, un pour toutes… Voilà maintenant que je me mets à délirer. »


Bon sang, ça devenait vraiment intenable, merveilleusement intenable. Elle me les gobait l’une après l’autre, les faisant coulisser entre ses lèvres après les avoir humectées de salive… infernal et divin… Cette fois, je sentis que je ne pourrais tenir beaucoup plus longtemps… Issue du plus profond de mon corps, je sentais la marée monter inexorablement…



Gwynis abandonna d’un coup le membre congestionné et se retourna face à moi, les genoux de chaque côté de mes hanches. Son vert regard vrillé dans le mien, un demi-sourire, dans lequel, curieusement il me sembla déceler comme un soupçon d’inquiétude, elle se positionna au-dessus de mon membre dressé.


Elle sembla hésiter un moment, puis doucement se laissa descendre vers le pal tenu par Vilna.



Guidée d’une main ferme, ma queue tendue vint nicher sa tête rubiconde entre les lèvres gonflées ; fasciné, je la voyais disparaître centimètre par centimètre, au creux du ventre de Gwynis. Plus de la moitié avait déjà pénétré le vagin avide… Tellement serré que malgré la lubrification abondante, je me demandais si je n’allais pas lui faire mal.


Un moment elle marqua un petit arrêt, remonta légèrement, puis d’un coup se laissa tomber de tout son poids, s’empalant totalement avec un petit cri, mi-douleur, mi-satisfaction. Si la main de Vilna comprimant un point précis à la base de mon membre ne m’avait bloqué… j’aurais explosé tout de suite.


Je sentais Gwynis trembler légèrement lorsqu’elle commença à se relever, en extension sur ses cuisses, puis redescendre d’abord doucement, un gémissement continu s’échappant de ses lèvres.



Gwynis avait manifestement accompagné en solitaire notre chevauchée précédente depuis un bon moment, car elle avait de plus en plus de mal à se contrôler. À demi-couchée sur moi, elle ne bougeait qu’à peine, geignant en continu, me laissant aller et venir en elle, doucement, comme si c’était une première fois. Une première fois ?



Une série de contractions de ses muscles vaginaux vinrent me communiquer leur message, tandis que Vilna relâchant sa pression sur ma queue, m’enfonçait d’un coup son majeur dans le fondement !


Jamais je n’avais ressenti pareille sensation et jamais je ne me serais cru capable d’éjaculer deux fois de suite de façon aussi… explosive ! Imprévisible et diabolique Vilna… Je sentais son doigt masser un point précis, provoquant à chaque fois une onde de plaisir… et un jet de sperme dans le vagin de Gwynis.


La cousine, les yeux chavirés, jouissait en râlant, et finit par s’abattre sur mon torse, la pointe dure de ses seins pressée contre ma poitrine. Sa bouche gourmande vint chercher la mienne avec une avidité telle que nos dents s’entrechoquèrent. Vilna, abandonnant son rôle d’entremetteuse… active, s’allongea contre moi, souriante.



Avant que je puisse répondre, un étrange bruit de pas se fit entendre, tandis qu’une ombre venait obscurcir le capot transparent au-dessus de nos têtes…



Un, deux trois coups de bec… un goéland venait tranquillement de s’asseoir sur la vitre du panneau, nous plongeant dans la pénombre !



Abasourdi, j’avoue n’avoir trouvé aucune répartie… C’est encore Gwynis qui eut le dernier mot, l’air mi-figue, mi-raisin, ma queue toujours fichée en elle… avec un malicieux clin d’œil.




Archipel des Glénan – Île aux Moutons – 20 Août 2013