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n° 15805Fiche technique25150 caractères25150
Temps de lecture estimé : 16 mn
16/09/13
Résumé:  A la recherche de sa féminité, Joseph rencontre alors un certain Adrien, pour qui il est maintenant Joséphine.
Critères:  hh fhhh hbi grossexe hépilé hféminisé travesti hgode hsodo init
Auteur : Josephdoe  (Bisexuel non avéré, j'aime l'imaginer.)            Envoi mini-message

Série : Et si...

Chapitre 01 / 02
naissance de josephine

Depuis quelques années, j’éprouve le besoin de me sentir femme. Je ressens l’envie de transformer mon corps, ma manière d’être, de faire l’amour. J’ai commencé par m’acheter des tenues sexy, des robes, des dessous en dentelle, puis je me suis offert de faux seins, une perruque, du maquillage. J’ai aussi commencé à m’épiler les jambes, à tailler les poils autour de mon sexe pour le rendre plus féminin. Quand je le peux et en ressens le besoin, le soir je me travestis et joue avec les jouets que je me suis offerts, un gode réaliste que je pompe en espérant qu’il prenne vie, un plug que je m’introduis avec délectation.

Depuis peu je ressens que tout ça n’est pas suffisant, je veux rencontrer un homme en chair et en os ; alors je navigue sur les forums à la recherche de celui qui fera de moi une véritable femme. C’est comme ça que j’ai rencontré Adrien ; tout a commencé par des échanges de photos, de mots doux, d’envies…


Et me voilà dans ma voiture, vêtue d’une belle robe rouge qui laisse apparaître la naissance de mes bas attachés à une guêpière en dentelle noire et grise ; un string cache mon sexe et finit ma tenue. J’ai une perruque brune aux cheveux longs, et je me suis maquillée avec soin.

Je roule vers sa maison. Après trente minutes de route et d’hésitations, j’arrive devant un portail imposant ; il s’ouvre devant moi et je pénètre dans la propriété de mon futur amant. La maison à l’air magnifique. Il m’attend sur le perron ; lui aussi est magnifique.

Je me gare, il vient m’ouvrir la portière, m’aide à descendre de la voiture, et m’embrasse ! Quel accueil !


Il m’invite à le suivre en me prenant par la taille ; nous entrons dans une maison magnifique, grande, moderne et bien décorée : je ne suis pas chez n’importe qui, ce qui me rassure. Nous sortons sur la terrasse où deux coupes de champagne nous attendent, posées sur une table basse. Nous nous asseyons l’un à côté de l’autre et échangeons quelques banalités pour briser la glace. Après deux coupes de champagne bues assez rapidement, il se rapproche de moi et m’embrasse. Il me caresse doucement, me met en confiance. Je commence à le caresser ; d’abord le torse, puis les jambes. Je remonte ma main vers l’entrejambe, insiste dans cette région qui commence à prendre du volume. Alors il défait sa ceinture : j’ai compris le message, et je n’attends que ça. Il fait descendre son caleçon légèrement, assez pour faire ressortir son sexe. Je le regarde, absorbé par la beauté et la taille de l’objet. Je descends mon visage, approche ma bouche ; c’est ma première fois avec un vrai sexe, j’espère que je serai à la hauteur.


Je l’embrasse, le lèche, le prends en bouche. Je le sens grossir en moi ; c’est une sensation incroyable. J’entame un lent va-et-vient sensuel. Il me caresse la nuque, met ses mains sur mon crâne et commence à accompagner mon mouvement, puis l’accélère ; il a pris le contrôle. C’est une première, mais tout me semble si naturel… Je le suce avec plaisir et vigueur, l’aspire, je prends mon pied ! Sa respiration s’accélère, ses râles deviennent de plus en plus forts : il va venir grâce à moi. Je serre au mieux ma bouche pour accentuer la pression et son plaisir, je lui caresse aussi les bourses. Sa pression sur ma nuque est de plus en plus forte, et d’un coup il me plaque son sexe au fond de ma gorge et éjacule dedans pendant au moins trente secondes. Puis la pression diminue, ses mains recommencent à me caresser ; alors je reprends un lent va-et-vient afin de ne perdre aucune goutte de son jus. Il me remonte la tête et m’embrasse tendrement. Pour ma part, mon sexe emprisonné dans son string ne demandait qu’à sortir, mais ce n’est pas encore son heure. La pression retombe, et il m’indique la salle de bain si je souhaite y faire un petit tour.


À mon retour, il m’attend à table ; je m’y assois et nous dînons tout en discutant de nos vies respectives. Plus le dîner avance et plus nous sentons en nous le désir remonter, sans doute aidé par les nouvelles coupes de champagne que nous avons partagées. Une fois le dîner fini, l’air est électrique et il m’invite à découvrir sa maison. Nous marchons l’un à côté de l’autre ; sa main se balade entre mon dos et mes fesses. Je n’en peux plus ; je le veux, et ça tombe bien : nous voilà arrivés dans sa chambre. Elle est splendide ; des pétales de fleurs sont étalés sur le lit et de multiples bougies l’éclairent avec douceur. Nous nous enlaçons, nous embrassons ; ses mains parcourent mon corps, descendent la fermeture Éclair de ma robe et la font glisser au sol. Je déboutonne sa chemise, enlève sa ceinture, et défais son pantalon qui tombe à ses pieds. Tout en parcourant son torse, je fais tomber sa chemise, fais descendre mes mains dans son dos, les fais glisser dans son boxer, que je baisse aussi. Je le fais glisser le long de ses jambes tout en embrassant son torse musclé et me retrouve alors à genoux, face à son sexe. Il recule et s’assied sur le lit.


En le regardant droit dans les yeux, j’avance vers lui à quatre pattes comme une panthère, pose mes mains sur ses cuisses, embrasse son ventre puis la base de sa bite, ses bourses, puis remonte le long de son sexe que je finis par gober et sucer. Je l’aspire et le caresse en même temps ; de moi-même j’accélère le rythme, le suce comme une folle. Quel plaisir d’entendre son plaisir monter, prendre de l’ampleur ! Son sexe est énorme et me comble de plaisir. Sa respiration s’accélère, je le sens venir, il va jouir ; alors j’aspire son sexe au maximum, ce qui a pour effet de le faire jouir en moi. Je ne perds pas une seule goutte de son jus, que je goûte pour la deuxième fois aujourd’hui. Quel pied !


Il tombe alors à la renverse et s’allonge sur le lit. Je monte sur le lit et m’allonge à côté de lui, ma bouche toujours près de son sexe, l’objet de tous mes désirs ce soir. Je le caresse et l’embrasse ; je ne pense qu’à une chose : lui redonner de la vigueur. Je veux le sentir à nouveau en moi, mais cette fois-ci, pas dans la bouche. Mes actions ne sont pas sans effets : je sens qu’entre mes lèvres et mes doigts son sexe se durcit, ce qui m’encourage à continuer. Une fois son sexe à nouveau viril, il se met à genoux et me demande de m’allonger à mon tour sur le dos. Il se place au-dessus de moi, m’embrasse, me caresse. Ses baisers descendent le long de mon corps, ses mains font glisser mon string et libèrent mon sexe de son carcan. Puis il me glisse un coussin sous les fesses. J’écarte alors naturellement les jambes pour lui offrir mon petit trou.


Il me lèche le gland comme si c’était mon clitoris, des petits coups de langue qui me procurent un plaisir fou. Puis il descend et m’embrasse l’intérieur de la raie, me lèche, me suce l’anus, me pénètre avec sa langue. Il prend son temps ; j’aime ce qu’il me fait, le plaisir qu’il me donne. Il introduit alors un premier doigt qui part à la recherche de ma prostate qu’il commence à masser ; je ressens alors un plaisir que je n’ai encore jamais connu auparavant : une vague de chaleur m’envahit, ma respiration s’accélère. Je ne m’en rends pas compte tout de suite, mais j’ai maintenant trois doigts en moi, ma tête tourne ; par vagues, un plaisir incroyable me transperce ! Puis les doigts se retirent ; je vais enfin sentir son sexe me pénétrer.


Il m’embrasse tout en plaçant son pieu sur mon trou qui commence à ressentir la pression, il avance lentement mais sûrement. Entre douleur et plaisir, je serre son corps contre moi, place mes mains sur ses fesses afin de les attirer à moi ; il comprend le message, et tout en me regardant dans les yeux me pénètre d’un coup. C’est comme une décharge électrique! Il attend ma réaction : je lui attrape le visage et l’embrasse profondément en guise d’accord. Il commence alors un va-et-vient qui durera au moins vingt minutes, vingt minutes de plaisir, vingt minutes sensuelles, vingt minutes bestiales, vingt minutes d’amour ! C’est quand je me sens partir qu’il éjacule en moi ; nous jouissons alors ensemble. Je suis quasi en transe, j’aimerais que ce moment durent l’éternité.


Il se retire, s’allonge près de moi et m’embrasse le cou. C’est alors qu’il me fait une proposition que je ne peux qu’accepter : il me propose de rester tout le week-end ! Il m’indique alors le dressing de son ex-femme ; je peux utiliser tout ce que je veux, si je veux une tenue plus décontractée pour passer la nuit. Devant tous ces vêtements, je suis comme une folle : il y a de magnifiques robes, des ensembles de sous-vêtements d’une rare beauté. Pour ce soir, je choisis de mettre un soutien-gorge couleur chair pour maintenir mes faux seins, puis j’enfile une splendide nuisette en soie, avec sa culotte assortie. Je m’endors alors auprès de lui, des fantasmes plein la tête pour le lendemain.




—ooOoo—




Je me réveille, plein d’images en tête. Était-ce un rêve ? J’entrouvre les yeux ; le jour s’est levé, et Adrien est là, assis sur le lit. Il me regarde avec douceur : je n’ai donc pas rêvé, tout était bien réel. Il me demande si j’ai passé une bonne nuit ; je crois que je n’ai rarement aussi bien dormi. Il s’approche, m’embrasse tendrement et me susurre à l’oreille qu’il a deux cadeaux pour moi, du plaisir et un accessoire me permettant d’exacerber ma féminité.


L’excitation monte alors que ses baisers descendent le long de mon corps. Il disparaît sous les draps. Ses mains me caresse le ventre, descendent ; il fait glisser ma culotte en satin et libère mon sexe en érection. Il commence à l’embrasser, le prend en bouche et me suce dans un va-et-vient lent et sensuel. Je suis rapidement au bord de l’explosion ; je lui attrape le crâne, le caresse, me lâche, crie et éjacule dans sa bouche. Il avale tout, me suce, me nettoie. Mon premier cadeau me comble déjà et j’ai hâte de recevoir le deuxième.


Il ressort de dessous les draps, m’embrasse et cherche quelque chose dans le tiroir de sa table de nuit. Il en ressort un petit sac en satin noir, et disparaît à nouveau sous les draps. Il prend mon sexe ; je sens une pression sur le gland, comme s’il essayait de le faire rétrécir. Je ne comprends pas trop ce qu’il me fait, mais à présent je sens cette pression sur tout mon sexe. J’entends un clic, puis son visage réapparaît face à moi. Il m’embrasse langoureusement et me dit que maintenant je suis une vraie femme. J’approche avec un peu d’appréhension la main de mon sexe pour comprendre, et surprise : il est contraint dans une minuscule cage en silicone. Je n’ai plus de sexe mais un clitoris, maintenant. Je ne sais pas quoi en penser, mais je crois que je n’ai pas le choix : un petit cadenas empêche toute tentative d’évasion !

Je crois qu’à ce moment-là il comprend que ce cadeau me trouble ; alors il me rassure en m’assurant que mes jouissances n’en seront que décuplées. Il me caresse et m’embrasse, me dit que je suis belle ; il me rassure et je me détends à nouveau : c’est sans doute une étape obligée vers ma féminité.


Il a une petite course à faire et va vite revenir ; je suis donc seul dans la maison. Je décide donc de me faire belle pour son retour. Je prends une longue douche, décide de me raser entièrement le pubis, je ne veux plus un poil sur le corps. Je me fais aussi un petit lavement, histoire d’être sûr de ma propreté intérieure. Une fois séché, je me dirige dans l’incroyable dressing de son ex, qui par chance fait une taille assez approchante de la mienne ; je n’ai donc que l’embarras du choix. Pour la journée, ce sera soft : un joli ensemble string et soutien-gorge en dentelle bleu nuit, avec une petite robe légère, légèrement transparente. Je me maquille puis descends les escaliers.


Un petit déjeuner m’attend sur la terrasse : jus de fruit, thé, céréales et croissants. Magnifique. Je suis en train de manger en admirant la vue quand il arrive derrière moi, pose ses mains sur mes épaules, me caresse les seins et me dit que je suis splendide, que je l’excite et qu’il me veut maintenant. Je me lève, me retourne, l’embrasse et lui dis qu’il m’a où il veut, quand il veut. Alors il me retourne, me penche et invite mes mains à se poser sur la table. Je me cambre, remonte les fesses pour les lui offrir. Il fait glisser son pantalon et son boxer, remonte ma robe, écarte mon string, enduit son sexe de salive et pose son gland sur mon anus. Cette fois-ci, il va me faire l’amour de manière bestiale. Il pousse ; son gland s’introduit, puis sa verge entre entièrement, et sans attendre entame un va-et-vient soutenu. Il me tient par les hanches et me pénètre très profondément. Mon sexe en cage aimerait avoir de l’espace, mais seul un petit trou à l’avant de la cage permet à mon gland de gonfler un peu ; il en ressort donc comme une demi-sphère hypersensible, un vrai clitoris !


Je suis d’abord concentré sur cette nouvelle sensation, mais rapidement je me focalise sur ce qui naturellement devient ma chatte, et sur le plaisir que je prends ainsi prise. Comme hier soir, une chaleur m’envahit, et j’ai un orgasme incroyable mais sans aucune éjaculation ! Il continue de me limer, et pendant les vingt minutes de ce traitement, je crois que j’ai eu au moins trois orgasmes comme je n’en avais jamais eus. C’est quand il éjacule en moi que je comprends que ce que je voyais comme une contrainte est en fait une porte ouverte vers un nouveau monde de plaisir. Mon cœur bat si fort que je crois qu’il va exploser. Il se retire, replace mon string et ma robe, remet son boxer et son pantalon, me redresse, me retourne et m’embrasse, et me dit qu’il aime ma chatte. On s’allonge alors sur un canapé et nous profitons d’un moment de calme, avant sans doute une nouvelle tempête de sensations.




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La journée s’est passée tendrement. Nous avons déjeuné, regardé un film ; on s’est ensuite baigné dans la piscine – ce qui est une sensation nouvelle quand on est une femme – puis il m’a massé le dos, les pieds et les mains. C’est en me massant qu’il m’a appris qu’il avait une surprise pour moi : un couple d’amis d’enfance venait dîner ce soir chez lui, et il voulait que je sois la plus belle et la plus sexy. Je me tendis instantanément ; j’avais d’un coup une peur bleue de la soirée, alors que j’étais si bien juste avant. Il entreprit alors de me rassurer. Tout en me massant, il m’assura que je passerais une bonne soirée, que j’étais magnifique, que j’étais prête à partager ma féminité avec d’autres que lui, qu’il n’avait jamais rencontré quelqu’un comme moi et qu’il voulait partager son bonheur. Bref, je commençais à me détendre sous ses caresses physiques et morales.




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Une idée commence à germer en moi ; ce soir, c’est comme une naissance : il faut que je sois à la hauteur, splendide et incroyablement sexy. Il me reste deux heures pour ça. Alors, après avoir annoncé que j’allais donc me préparer pour l’événement, je me dirige vers le dressing pour essayer tout un tas de tenues différentes. Je jette finalement mon dévolu sur un ensemble soutien-gorge, string et porte-jarretelles en dentelle noire absolument fabuleux, à la fois chic et salope. Après une nouvelle douche et un nettoyage de toutes les parties de mon corps, j’enfile l’ensemble, y ajoute des bas d’une douceur charnelle. Je mets par-dessus une robe en soie et dentelle blanche assez courte pour que l’on voie la naissance de mes bas une fois assise. Elle est à la fois très proche du corps, mais très souple et légère ; elle me donne une silhouette splendide. Des escarpins noirs et un collier très proche du cou en satin noir finissent de m’habiller. Je mets du rouge à lèvres rouge ainsi que du vernis de la même couleur aux pieds et aux mains. Fond de teint et mascara finissent de me transformer. Aucun doute, je suis une femme ; et pas n’importe laquelle !




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La cloche sonne ; mon cœur se met à s’accélérer. J’entends au loin des voix, des rires ; Adrien m’appelle par mon prénom : Joséphine ! Je prends mon courage à deux mains et sors de la chambre. Je descends les escaliers doucement ; j’ai l’impression d’avoir des milliers d’yeux braqués sur moi. Arrivé devant le couple d’amis, il fait les présentations. C’est ainsi que je rencontre Marion, la trentaine, grande, un corps a priori magnifique, vêtue d’une robe noire très courte, et Jean, sans doute un peu plus vieux, mais toujours très bel homme. Après les banalités de rigueur, nous nous dirigeons vers la terrasse. Il me glisse alors à l’oreille un mot qui m’électrise : « Comment vais-je pouvoir tenir jusqu’à ce soir ? Tu es incroyable ! ».


Nous nous asseyons, bavardons tout en buvant pas mal de champagne. À un moment, les deux hommes s’éclipsent pour parler affaires ; ils nous laissent entre filles. La conversation tourne vite autour du sexe ; j’ai l’impression qu’elle sait pour moi. Je n’en suis pas sûr, mais elle joue un peu avec moi. Elle me demande si j’ai déjà eu des expériences avec des femmes ! En tant qu’homme, oui ; mais en tant que femme, non. Je lui dis donc que non, et là elle se met à m’embrasser, me caresser ; je ne sais pas comment réagir : que va dire Adrien ? En même temps, c’est à cause de lui si je suis dans cette position, et j’ai très envie de faire plaisir à Marion.


Quand elle me sent basculer mentalement, elle écarte ostensiblement les jambes ; naturellement, sa jupe remonte. Elle ne porte pas de culotte ! Je vois d’ici qu’elle mouille déjà… Je bascule mon visage vers son mont de Vénus, que je commence à titiller du bout de la langue. Je suce son clitoris, lui tourne autour, l’aspire, et ce n’est pas sans effets sur Marion qui se tortille et respire de plus en plus fort. Ma position fait que ma robe remonte de telle manière à laisser apparaître mes fesses ornées de mon string. Elle se met à les caresser, fait glisser un doigt entre mes fesses à la recherche de mon petit trou, qu’elle trouve sans problème. Elle se met alors à me doigter au rythme de mes coups de langue. Que c’est bon de donner et recevoir autant de plaisir en même temps ! D’un coup, elle se met à trembler : elle jouit. Une rivière se déverse alors de sa chatte ; j’essaie de ne rien perdre de son jus pour qu’elle ne salisse pas sa belle robe noire.


Nous entendons alors une porte claquer ; on se remet toutes les deux droites sur le canapé, nous redescendons nos jupes afin de ne rien laisser transparaître de ces ébats à nos hommes. Quand ils reviennent, nous nous regardons avec Marion d’un regard complice.

Il est temps de dîner et nous nous mettons à table. Le repas est excellent et l’ambiance – d’abord très sympathique – s’échauffe au fur et à mesure que le temps passe. L’air devient électrique, aidé par des conversations de plus en plus érotiques.


Alors, quand nous basculons dans le salon pour prendre un petit digestif, Marion s’approche de moi et m’embrasse à pleine bouche tout en me caressant les fesses en passant ses mains sous ma robe. Les deux hommes, d’abord étonnés, s’assoient l’un à côté de l’autre, déboutonnent leur pantalon, font glisser leur boxer et commencent à se caresser le sexe tout en regardant notre spectacle. Nous nous enlevons mutuellement nos robes ; je me retrouve donc en lingerie ultra sexy, mais Marion, elle, ne portait absolument rien sous sa robe. Sa poitrine en poire est magnifique, son corps entier est magnifique ; comme j’aimerais avoir un corps comme le sien !


Je décide, comme Marion, de m’occuper de mon homme. Nous nous mettons alors toutes deux à genoux face à eux et les prenons directement en bouche. Je le suce comme une chienne, puis avec Marion nous échangeons les sexes. La bite de Jean est encore plus grosse que celle d’Adrien : au moins 23 cm, c’est incroyable à mettre en bouche. Pendant que je suce du mieux que je peux Jean, mon homme se lève, passe à genoux derrière moi et commence par me doigter. En me massant la prostate, il arrive à me faire jouir une première fois, puis il m’introduit directement son sexe et mon plaisir décolle, comme celui de Jean qui éjacule avec des jets puissants au fond de ma bouche. Je ne perds aucune goutte de son nectar. Il se retire alors et s’approche de Marion qui, les jambes écartées, s’était mise à se caresser le sexe tout en nous regardant. Il se jette sur sa chatte et la dévore avec plaisir. La tête dans un coussin et les fesses en l’air, mon homme m’astique comme un lapin, son rythme est endiablé ; je suis impressionné par son endurance. Il me tient par les épaules et m’enfonce son pieu au plus profond de moi, puis il se retire et se replace devant moi ; a priori, il veut éjaculer sur mon visage, alors il s’assied et se branle devant moi jusqu’à ce qu’il m’éjacule dessus. Je me rends compte alors que Jean est aussi en train de se branler à côté de moi ; je me prends alors une deuxième éjaculation sur le visage.


Tout en alternant entre le sexe de Jean et celui d’Adrien afin de bien les nettoyer, je me demande où Marion a bien pu passer. Je la cherche du regard et l’aperçois enfin sortant de nulle part ; et surprise : elle a entre les jambes un sexe en silicone d’une taille déraisonnable. Il se balance lourdement en même temps qu’elle s’approche.

Ce sexe agit sur mon corps comme un aimant, je ne peux détourner mon regard. Marion s’arrête à deux mètres de moi, les jambes légèrement écartées, les mains sur les hanches ; elle me regarde droit dans les yeux. Je m’approche à quatre pattes d’elle, me redresse et tente de prendre en bouche l’engin. Mais elle est clairement trop petite ; j’espère que ma chatte ne le sera pas : l’avoir en moi devient comme une obsession.


Je me lève et glisse à l’oreille de Marion de me prendre sans attendre. Elle me retourne, me caresse les seins. Je sens son sexe contre mes fesses ; j’écarte mes jambes et pose mes mains sur le haut du canapé afin d’ouvrir au maximum mes fesses. Le gland, massif, se place à l’entrée. Marion commence à pousser doucement ; je sens que je vais morfler ! Les deux hommes se placent de part et d’autre de moi ; ils caressent mes fesses, ouvrent un pot de lubrifiant et enduisent le sexe de Marion, qui recule légèrement pour leur permettre de lubrifier aussi ma chatte.


La pression recommence, et ils réitèrent ce petit manège plusieurs fois afin d’aider à me dilater. À chaque fois, la pression est un peu plus forte. Aaah… le gland passe ; douleur et plaisir s’assemblent pour former un sentiment très spécial. La pression continue et Marion avance petit à petit. Je me sens rempli comme jamais, surtout quand elle arrive au bout. Une pause s’impose, mon trou est tellement tendu ! Petit à petit, elle commence à faire de petits mouvements, puis les allonge ; j’aime ! Elle le ressent et accélère, tout en me titillant le clito. Jean se place derrière elle et la sodomise aussi. Nous gémissons en rythme et nous écroulons sur le canapé quand il jouit en elle.


Nous sommes tous les quatre épuisés. Marion et Jean se retirent ; ils se lèvent et disparaissent dans la salle de bain. Adrien me prend dans ses bras et m’embrasse ; il me dit que j’ai été formidable. Notre couple d’amis sort de la salle de bain parfaitement habillés ; ils viennent nous embrasser sur la bouche et nous disent « À bientôt… ».

Nous nous levons alors, direction la chambre, avec un petit passage par la salle de bain.


J’enlève tout sauf le soutien-gorge et enfile une petite nuisette en soie. Une fois dans le lit, il me reprend dans ses bras et m’embrasse. Il me regarde et me dit qu’il m’aime, et qu’il me veut pour toujours ; c’est alors qu’il me fait une proposition :



J’ai la nuit pour réfléchir : je dois lui donner ma réponse demain matin…