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Temps de lecture estimé : 14 mn
21/09/14
Résumé:  Adepte de lingerie féminine, je vais partager une nuit pleine de plaisir avec Antoine, mon complice d'un soir.
Critères:  hh douche lingerie hféminisé travesti fellation anulingus préservati hdanus hsodo init
Auteur : Josephdoe  (En couple et marié, sans doute bisexuel, j'aime imaginer ma)            Envoi mini-message

Série : Et si...

Chapitre 02 / 02
Une nuit

Il est environ 23 heures, ma femme vient de se coucher. Je vais rester encore un peu devant la télé, j’ai encore du travail et j’aime aussi comme tout le monde prendre le temps de naviguer sur internet le soir. Bien sûr, il faut d’abord que je finisse mon boulot. Me voilà donc devant un navet finissant l’ébauche d’un projet que je dois envoyer ce soir. L’inspiration est proche de zéro, je décide donc de faire une pause Google. En ce moment mon obsession, ce sont les sites de petites annonces de rencontres gays sans lendemain. J’ai toujours su, sans l’assouvir, que j’étais aussi attiré par les garçons. Pour être plus précis, c’est surtout une partie de leur anatomie qui m’intéresse. Je suis obnubilé par leur bite, mes recherches oscillent donc entre les hommes, les travestis ou bien les transsexuels ; ce qui m’importe c’est qu’un sexe soit de la partie ! Malgré ça je n’ai jamais eu d’expérience avec un homme, je me contente seulement de chatouiller le destin en répondant à des annonces, cela m’excite et m’effraie en même temps.


Aujourd’hui, j’écris dans le champ de recherche dentelle bi, remplis quelques informations sur ma zone géographique et lance la recherche. À la vue des premières annonces avec photos, mon cœur bat plus fort, je sens mon sexe un peu plus présent. Je commence à lire les descriptions, beaucoup d’hommes passifs aimant se travestir sont à la recherche d’hommes virils aimant les petites soumises. Ces annonces ne m’intéressent pas beaucoup car je suis dans la même attente qu’eux. Puis une petite annonce se détache: Bi aimant la dentelle cherche partenaire aux mêmes goûts pour essayages, caresses et peut être plus !. Pas de photo, juste ce texte. Et si je lui répondais, ça n’engage à pas grand chose… quelques essayages, des caresses, ça ne va pas très loin, et il y a une chance sur deux pour qu’il ne me réponde pas ! Alors je me lance, je lui réponds, je chatouille le destin.


Salut, j’aime la dentelle, les bas, les petites tenues, on pourrait déjà discuter de notre passion commune si ça te tentait. J’espère à bientôt. Joseph.


J’appuie sur envoyer, le mail part… Je me rends compte que j’ai une érection, alors je me caresse et entame un lent va-et-vient en imaginant ma rencontre avec mon inconnu. Je viens rapidement à la jouissance, m’essuie, éteins mon ordinateur et pars me coucher.


Cela fait trois jours que je regarde frénétiquement mes mails dans l’attente d’une réponse de mon homme, mais rien. Je déchante tout en me disant que ce n’est pas plus mal, cela va m’éviter de faire une connerie. Surtout que je viens d’apprendre que ma femme partait ce week-end, j’aurais vraiment pu. Cinq jours, je me connecte sans y croire. Mais j’ai un mail, il est de lui, il s’appelle Antoine. Je clique fébrilement dessus pour l’afficher.


Salut joseph, merci pour ton mail. Alors comme ça tu aimes aussi la lingerie féminine. En as-tu à toi ou piques-tu celle de ta femme ? Personnellement j’ai quelques ensembles, dont un que je porte en t’écrivant, un joli soutien-gorge blanc en dentelle, un boxer assorti très sexy ainsi que des bas blanc. Si tu veux en parler ce sera avec plaisir mais c’est mieux en vrai… à très bientôt, Antoine


Mon cœur bat si fort qu’il me faut un peu de temps pour reprendre mes esprits. Que répondre ? Je prends conscience que répondre peut me faire basculer dans une nouvelle partie de ma vie. En ai-je réellement envie ? Ce fantasme doit-il en rester un ? D’un autre côté, ce n’est pas la peine de dramatiser la situation, nous n’en sommes qu’au stade du mail ! Je décide de prendre le temps de réfléchir et remets au lendemain ma réponse.


Je suis allongé dans mon lit, je cogite, je me sens con, allongé à côté de la femme que j’aime, je ne pense qu’à lui, je l’imagine dans sa dentelle blanche. Je me caresse le sexe, les bourses, je fais attention de ne pas faire de bruit, de ne pas trop bouger, ce n’est pas facile. Un de mes doigts s’approche de mon petit trou, et le caresse pendant que mon autre main va-et-vient. Il ne me faut pas longtemps de ce petit jeu pour exploser en silence dans ma main. J’en ai partout, j’entame de me nettoyer la main en suçant mes doigts, j’imagine que ce sperme n’est pas à moi. Je retombe en pression, la réalité revient, et le plus frustrant et de me dire que même si je passais à l’acte, la raison me dirait d’utiliser des préservatifs pour tout : je ne goûterais donc sans doute pas son jus. Il est deux heures, je m’endors.


Après ma petite nuit, le réveil est difficile, et petit à petit, je me réveille et ne pense qu’à une chose : lui répondre dès que l’occasion se présente. Me voilà seul devant mon ordinateur, je me connecte à ma messagerie, relis son mail et entame une réponse.


Cher Antoine, j’ai pris beaucoup de plaisir à te lire et à t’imaginer dans ta tenue. Tu me demandais si j’avais mes propres tenues, la réponse est oui, j’ai un bel ensemble noir guêpière, bas, boxer et petite robe transparente. J’ai aussi une belle paire de faux seins. Je ne peux pas malheureusement pas les porter en t’écrivant, mes occasions sont rares. Tu me diras, les occasions cela se provoque… tu as raison, en vrai c’est mieux…


Je ne réfléchis pas trop et envoie le mail. Je reste comme un con devant mon écran quand je reçois sa réponse. Je ne m’attendais pas à une telle vitesse, mais cela m’excite beaucoup d’entamer une discussion ! Je bande !


Cher joseph, eh bien, je t’ai déjà donné du plaisir ! Je suis heureux d’apprendre que tu as tes propres tenues, j’aimerais beaucoup les voir en vrai, portées bien entendu, les toucher. Serais-tu libre vendredi soir pour le dîner ? J’habite dans le centre.


Demain ! Tout se bouscule, je suis excité comme jamais, j’ai tellement envie de lui répondre oui, mais je n’avais jamais imaginé que les événements se bousculeraient comme ça ! Je ne suis pas sûr d’être prêt, je ne suis même pas sûr d’en avoir envie. Je suis là à cogiter, quand ma femme m’envoie un texto pour me rappeler son heure de départ demain, dix-huit heures. C’est le signe que j’attendais. Je me jette sur le mail, et réponds oui à Antoine !


Deux minutes d’attente et je reçois son adresse, je n’en reviens pas ! J’ai rendez-vous avec un homme, et il veut me voir en petite tenue. Malgré le stress, je n’espère qu’une chose, qu’il porte la tenue qu’il m’avait décrite dans son mail !


Le lendemain, il est 18 h30, j’ai accompagné ma femme au train et j’ai rendez-vous dans deux heures. Je prends une douche, je nettoie chaque centimètre carré de mon anatomie. Je m’habille léger et vais chercher mes tenues cachées dans la cave. Je les mets dans mon sac, sauf mon boxer en dentelle noire que je décide de porter tout de suite pour lui faire la surprise. Je mets des chaussures et sors de chez moi. J’ai la sensation que tout le monde me regarde, que tout le monde sait ce que je vais faire ! J’accélère le pas. Enfin je me retrouve devant chez lui, entre dans l’immeuble, monte l’escalier et me retrouve face à sa porte. Je n’ai même pas le temps de me demander si je dois sonner ou pas, la porte s’ouvre.


Antoine est là devant moi, il est plutôt pas mal, assez grand, plutôt fin, il est habillé normalement. Il m’invite à entrer, ce que j’accepte, je referme la porte derrière moi. Il me prend par la main, la sensation de sa peau contre la mienne m’électrise. Il me guide vers son salon, et m’offre à boire. J’ai du mal à parler, mon cœur bat fort, nous nous asseyons l’un à côté de l’autre. Il se met à parler un peu de lui, me pose quelques questions sur moi. Je commence à me détendre, et la discussion tourne assez rapidement autour du sexe. C’est alors qu’il s’approche de moi, pose sa main sur ma cuisse, et me dit à l’oreille :



Il se lève, je le suis dans sa chambre. La tenue qu’il m’avait décrite est là, sur son lit. J’ouvre mon sac et place ma tenue à côté de la sienne, et je vois dans ses yeux qu’elle lui plaît ! Nous sommes face à face, on se rapproche, il attrape mon teeshirt, le soulève, je remonte mes bras, il me l’enlève, lâche mon teeshirt au sol et redescend ses main le long de mon torse, déboutonne mon pantalon et le fait glisser ce qui dévoile ma surprise, le boxer en dentelle noire ultra sexy que j’avais déjà enfilé. Je sens que je lui ai fait plaisir et il m’embrasse le torse, le ventre, tout en m’enlevant pantalon et chaussettes.


Ses mains descendent sur mes fesses, ce qui me fait pousser un petit gémissement qui le ravit. Il se relève, déboutonne sa chemise. Je place mes mains un maladroitement sur son torse, les remonte sur ses épaules, fais glisser sa chemise, descends mes mains le long de son dos, repasse devant et fait glisser son pantalon. Lui aussi est déjà en dessous ! Un joli string blanc.


Après avoir retiré son pantalon entièrement, il se retourne et commence à enfiler ses bas. Je l’imite et l’un devant l’autre nous mettons nos ensembles face à face. J’enfile donc une guêpière magnifique en dentelle noire, y accroche mon bas noir, mets ma paire de faux seins en silicone, je suis prête. Il tourne autour de moi, me dit que je suis belle, laisse traîner sa main sur mon corps. Quelle sensation de trouble ! Je ne veux qu’une chose, m’abandonner à lui. Il se place face a moi, je m’approche, pose mes mains sur sa taille, l’embrasse, nos langues se lient, tourbillonnent, nos mains découvrent nos corps. Je ne pense plus qu’à une chose, découvrir sa bite, la caresser, l’embrasser, mais il s’éloigne, prend ma main et me ramène au salon.


Il m’invite à m’assoir sur le canapé et part en cuisine. J’ai surtout faim de lui mais je crois que je vais devoir attendre un peu. Il revient avec une salade, une bouteille de vin blanc, deux assiettes et des couverts. Il passe devant moi, se cambre pour tout poser sur la table basse. Il m’offre ainsi une vision incroyable de ses fesses. Je ne sais pas si je vais tenir longtemps ! Nous mangeons rapidement, sa salade est très bonne et le vin très agréable mais je suis pas là pour ça ! Je ne tiens plus, il faut dire que le vin fait aussi son effet ! Je me colle, l’embrasse à pleine bouche, je lui attrape la tête puis descends mes mains sur son torse dont je caresse chaque centimètre carré. Ma main descend, passe enfin sur son sexe emprisonné dans son string. Je le caresse à travers la dentelle, il grossit, ne tient plus, et sort. Je le regarde, je suis fasciné, j’ai tellement rêvé ce moment ! Je le touche, la caresse, quelle douceur. Nous nous levons, je l’accompagne dans sa chambre. Il s’allonge, le dos sur son lit, écarte légèrement les jambes. Je commence à lui caresser les pieds, remonte lentement le long de ses jambes que j’embrasse, je le regarde, il me sourit, je m’approche de son sexe, je fais glisser son string pour le libérer complètement. Je le dévore du regard, le caresse.


Je prends un préservatif et lui enfile, je le déroule sur son sexe dur comme du bois. Je pose un premier baiser délicat sur son gland, je l’embrasse, l’aspire, monte et descends ma langue le long de sa verge. Mes mains lui caressent à la fois le torse et les bourses. C’est ma première fois mais je l’ai tellement rêvé que j’ai l’impression d’être un expert, ce qui est confirmé par les petits mouvements de son bassin et ses gémissements qui commencent à s’accélérer. Je varie le rythme, lui caresse les jambes, le contact avec ses bas me rend fou. Ses gémissements prennent de l’ampleur, je sens qu’il va venir, il passe ses mains dans mes cheveux, les agrippe et me donne le rythme, puis d’un coup projette son sexe au fond de ma bouche et me maintiens ainsi pendant qu’il éjacule longuement. Ses mains se détendent, relâchent leur prise, comme tout son corps, je remonte près de lui et m’allonge à ses côté.


Nous sommes enlacés. Je me sens bien, le contact de nos corps et des dentelles me procure beaucoup de bien être. Nous restons comme cela quinze bonnes minutes, juste à se caresser lentement. Puis il se lève et me dit :



Je l’entends parcourir son appartement, aller et venir, puis remonter sur le lit. Je suis allongé sur le dos, il s’approche et me pose un bandeau sur les yeux. J’aime la tournure que prennent les choses. Il veut que je m’abandonne, c’est bien ce dont j’ai envie, lui appartenir… Il s’éloigne à nouveau, puis revient et se pose à côté de moi. Je sens sa présence mais ne sais pas exactement dans quelle position il est.


J’attends le contact de sa peau avec impatience, je suis obnubilé, je ne pense qu’à ça, chaque seconde me paraît comme une heure ! Enfin ce moment tant attendu arrive, sa main se pose sur ma cuisse habillée de mes bas. Ce contact est comme une décharge électrique, sa main parcourt mon corps délicatement, son autre main s’y met aussi. Le fait d’être aveugle exacerbe mes sens et me fait vraiment me sentir femme. Quand ses mains caressent mes seins à travers la dentelle, c’est comme s’ils faisaient partie de moi intégralement, c’est un plaisir incroyable. Ses mains agrippent mon boxer en dentelle et le font glisser afin de libérer mon sexe qui ne demandait que ça. Il m’écarte alors délicatement les jambes et se place à genoux entre elles. Il s’avance afin de m’obliger à relever un peu mes jambes, ce qui a pour effet de libérer mes fesses, je suis à sa merci et j’aime ça.


Ses deux mains continuent de me caresser, m’électrisent, frôlent mon sexe, caressent mes bourses, puis s’engouffrent dans ma raie, ce qui a pour effet immédiat de me faire relever le bassin. J’ai un peu honte que mon corps réagisse de la sorte, mais je n’y peux rien et c’est l’approbation qu’il attendait avant d’aller plus loin. Ses deux mains continuent à caresser la totalité de mon corps, mais mes fesses deviennent rapidement la zone de toute son attention. Je bande comme jamais alors que mon sexe n’est qu’effleuré. Je l’entends ouvrir un tube, et ressens juste après un liquide froid glisser le long de ma raie. Son pouce masse alors mon petit trou, il appuie de plus en plus fort, je commence à gémir au rythme de ses mouvements. Il appuie un peu plus encore et entre dans mon "vagin", je me sens plus que jamais femme… Il me pénètre profondément de son pouce afin d’atteindre ma prostate, qu’il commence à masser. À partir de ce moment je ne contrôle plus rien, mon corps ondule, je gémis, j’aime ça… Un deuxième doigt s’invite dans mon trou qui s’agrandit comme mon plaisir. Je m’agrippe au drap, mon corps tremble, mon cœur bat à toute allure.


Il retire ses doigts, je l’entends déchirer l’emballage d’un préservatif, l’enfiler. Je le sens bouger, changer de position, se rapprocher de moi. Je sens sa respiration, il place son sexe devant mon trou et pousse doucement. Mon corps l’avale lentement mais sûrement, je me sens enfin rempli. Il entame alors un lent va-et-vient et je décide de ne plus être seulement passive. Mes mains caressent ses cuisses, remontent sur ses fesses, son dos, ses seins, je parcours son corps. Il accélère son rythme, et moi je précise ma caresse sur ses fesses, sa raie, son trou que je masse à mon tour. Nos gémissements sont au diapason, quand il ressort et me retourne fermement. Je me retrouve donc à quatre pattes, il se place derrière moi et m’empale d’un coup, ce qui me coupe le souffle. Il m’agrippe les hanches et se met alors à me pilonner, il me baise comme jamais je n’ai réussi a le faire avec ma femme, je me rends compte que je ne me suis jamais senti aussi à ma place qu’à ce moment, baisée a quatre pattes, par un mec, ou une femme je ne sais plus et ça n’a aucune importance… Je sens qu’il est proche du but, il va venir en moi, je m’y prépare. D’un coup, il se plante au plus profond de mon antre et dans un râle, éjacule.


Il ne bouge plus, reste en moi, nous sommes tous les deux haletants, ses mains relâchent petit à petit mes hanches, me caressent alors le dos, les fesses, puis l’une d’entre elles prend mon sexe en main et entame un lent va-et-vient. Je bande comme un fou. Bien que je pense avoir joui du cul au moins deux fois, je n’ai pas encore éjaculé, ce qui ne devrait plus tarder. Son rythme s’accélère, il me branle, accompagne ses mouvements de mains avec son bassin et son sexe que je sens à nouveau se gonfler en moi. Il ne faut pas longtemps de ce traitement pour que je vienne à mon tour, je m’écroule alors sur le lit en poussant un cri de plaisir intense. Il se laisse tomber à mes côtés, et nous restons là, haletants, l’un collé à l’autre. Je sens que la vie ne sera plus jamais la même maintenant.


Je me retourne pour lui faire face, nos corps collés. Nos bouches s’approchent lentement l’une de l’autre et nous nous embrassons, nos langues se mêlent, ce moment est incroyablement sensuel. Je sens que lui aussi se sent femme. Nos corps sont comme aimantés, malgré la fatigue, nos baisers comme nos caresses sont de plus en plus appuyés. Nous nous frottons l’un à l’autre, nos sexes sont à nouveau bandés, nous ne formons plus qu’une. Les mouvements de nos corps collés nous font jouir ensemble. C’est comme cela que nous nous endormons tranquillement, l’une avec l’autre…


Je me réveille, je mets quelques secondes à réaliser ou je suis, et comment je suis. J’ai toujours mes bas, ma guêpière et mes faux seins, je suis allongé dans le lit ou il s’est passé des choses incroyables. Je regarde autour de moi, mon amante n’est pas là, j’entends la douche, je regarde l’heure, il est sept heures du matin. Je me lève, entre dans la salle de bain, et le vois nu dans la douche. Même en homme, il m’attire.


Je me déshabille. Il ne m’a pas vu, ou fait semblant. J’ouvre la porte de sa vaste douche, m’approche, me colle à lui par derrière. Son manque de surprise et son sexe bandé me font penser qu’il faisait semblant de ne pas m’avoir vu. Mes mains parcourent son torse, ses jambes, son sexe. J’embrasse son dos, mes baisers descendent le long de sa colonne vertébrale. Il se cambre, m’offre ses fesses qui attirent ma bouche irrémédiablement. Ma langue les parcourt, lèche sa raie à la recherche de son trou. J’ai toujours aimé pratiquer le cunnilingus et me suis toujours demandé si j’aimerais l’anulingus, eh bien maintenant je peux l’affirmer, oui, j’aime ça. Ma langue fait de petit cercle sur sa rosette, je le bouffe. Même sans ma tenue je me sens salope. Je durcis ma langue pour pénétrer son trou, je plaque mes mains contre ses hanches pour m’aider à le pénétrer plus profondément, ma langue le baise. Ses petits cris me montrent qu’il aime ce traitement. Je libère une de mes mains pour ajouter à ma langue un doigt afin de chatouiller sa prostate. Sa réaction ne se fait pas attendre puisqu’il éjacule un très long jet continu de sperme. Son corps tremble, il vient de jouir du cul… je remonte lentement en continuant mes baisers, et me replace derrière lui. Il se retourne et nous nous embrassons alors encore langoureusement sous la douche. Il en profite alors pour me caresser le sexe et m’emmener une nouvelle fois au plaisir.


Nous sortons de la douche, il est temps de s’habiller, et de se quitter, de mettre un terme à cette parenthèse. Nous nous séchons et nous habillons sans aucune gène ni honte, fières du plaisir que nous avons su prendre ensemble. C’est avec un baiser tendre et une main aux fesses qu’il me dit au revoir. Je sors de chez lui avec le sentiment de pouvoir lui appartenir, il suffirait d’un claquement de doigts de sa part pour que j’accoure, il pourrait alors faire ce qu’il entend de moi et de mon corps.


Mais quand claquera t-il des doigts ?