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Temps de lecture estimé : 9 mn
07/10/13
Résumé:  Une séance d'aquabike un peu particulière... et sans vélo !
Critères:  ff inconnu piscine sport fsoumise fdomine revede exhib massage tutu
Auteur : Saje            Envoi mini-message

Série : Les sextraordinaires aventures de Z

Chapitre 01
La piscine

La piscine




… cette fois tu vas être en retard c’est sûr ! Tu franchis l’entrée du club de sport en trombe et te diriges vers les vestiaires en jetant un rapide coup d’œil à la pendule… aïe aïe aïe, tout le monde doit déjà être sur le bord du bassin en train de préparer les vélos. Tu aperçois les retardataires habituelles déjà en maillot en train de quitter les douches. Tu t’engouffres dans une cabine au hasard et commences à te changer. La porte entrebâillée, te voilà nue comme un ver à la recherche de ton maillot enfoui au fond de ton sac… décidément c’est toujours quand on est pressé que… ah ça y est, tu le tiens… tu l’enfiles comme tu peux, une jambe, la deuxième… la poisse, le haut est tout entortillé, tu commences à essayer de remettre les bretelles dans le bon sens…


Dans la précipitation tu ne remarques pas que la porte de la cabine s’ouvre dans ton dos. Tu sursautes lorsqu’une main ferme se pose sur ton épaule, une autre sur tes yeux, puis ces quelques mots qui te parviennent « Ne bouge pas, laisse toi faire… » d’une voix calme et plutôt grave. Sous le coup de la surprise, tu restes hébétée, figée, ne sachant que faire. Puis d’un coup, dans un sursaut, tu n’as pas le temps de finir d’entrouvrir la bouche pour protester que la main fine aux longs doigts passe de ton épaule à tes lèvres, l’index perpendiculaire barrant le chemin des mots qui s’apprêtaient à sortir… et un nouveau murmure « Chuuut… ». Tu ne perçois aucune agressivité dans l’attitude de cet invité-mystère, plutôt du calme et surtout de la volupté. La main qui était sur tes yeux s’esquive et tu fixes l’angle du fond de la cabine face à toi, tout en te demandant qui peut se permettre une chose pareille. La voix est agréable et les gestes sûrs, tu n’oses pas tourner la tête et te surprends toi-même à rester si docile. Quelle situation déroutante… Toi qui n’étais déjà pas fière d’être en retard te voilà avec un sein à l’air, fagotée dans un maillot récalcitrant, à moitié roulé, et cachant à peine les parties auxquelles il est destiné, à la merci d’un inconnu dans une petite cabine au milieu de vestiaires désertés…


L’importun, toujours dans ton dos, te prend délicatement les poignets et vient faire appuyer tes mains un peu au-dessus de ta tête sur le mur qui te fait face, t’obligeant à te cambrer pour ne pas tomber. Tu n’as pas vraiment peur, et es plutôt curieuse.

Tu sens des pieds se positionner entre les tiens puis ses genoux t’obliger à écarter les jambes. Tu te forces à résister, tentes de les resserrer même, mais les siennes plus musclées t’en empêchent et te font céder. Tu sens son bassin qui vient à la rencontre de tes fesses, dont les parties non couvertes par l’échancrure du maillot se retrouvent au contact d’une peau douce, lisse… ses mains se sont resserrées sur ta taille, la pression dans le bas de ton dos augmente suite à un coup de reins sec, rapide, qui ne manque pas de faire monter une vague de chaleur au fond de ton ventre.


Ton esprit s’embrume petit à petit et tu ne sais plus trop si tout cela est vraiment réel, soumise mais consentante, ballottée entre appréhension et envie. Les yeux mi-clos tu perçois à peine la douce lumière de la cabine. La sono commence à envoyer ses basses annonçant le début du cours… Ouf, il y a des chances que ce doux calvaire continue !

Un deuxième coup de reins plus doux et plus long que le premier et l’excitation augmente encore d’un cran… puis dans ton dos un frottement sur tes omoplates… on dirait… non, tu dois te tromper, ce n’est pas possible… pourtant tu reconnais bien des seins ! Une poitrine, oui ! Des seins qui viennent s’appuyer sur toi, volontairement, pour te faire comprendre… ils sont si doux… la vague de chaleur dans ton bas-ventre en redouble d’intensité. Tu perçois un léger souffle se rapprocher, là, derrière, tout près… une sensation étrange t’envahit… cette curiosité, ce désir qui grandit… Un trouble s’installe et tu commences à te sentir honteuse de ne pas lutter, honteuse de ces émotions qui commencent à te tirailler ; et si quelqu’un venait à passer maintenant que penserait-il ? Ta tenue, vos corps dans cette position… la situation ne présente aucune équivoque, tu n’as pas vraiment l’air de te débattre bien au contraire… tu tentes de te rassurer, en te disant que tu n’y es pour rien, tu n’as pas vraiment eu le choix…


Une main vient t’effleurer les lèvres, tandis que l’autre remonte jusqu’à ton sein découvert… la poitrine est toujours posée sur toi, et tu ne peux t’empêcher de tendre ton petit derrière pour mieux sentir la pression exercée par le bassin qui n’a pas bougé ; le souffle s’est encore rapproché… à quelques millimètres… La main sur ton sein commence à faire rouler le téton libre entre ses doigts avec de tout petits pincements… si agréables… juste ce qu’il faut ! Les doigts sur ta bouche ont trouvé ta langue que tu ne contrôles plus et que tu as sortie sans même t’en rendre compte. Tes fesses commencent à se frotter sur le bas-ventre de cette partenaire troublante, comme si elles étaient à la recherche de la bosse d’un sexe d’homme… la douce chaleur du désir que tu connais si bien commence à monter lorsque la musique s’arrête brusquement.


Le visage toujours dirigé vers le coin, tu ouvres les yeux et la clarté ambiante te rappelle que la porte du petit local censé t’abriter des regards indiscrets est toujours ouverte… De peur d’être surprise, tu essayes de remettre ton maillot tant bien que mal toujours emboîtée avec ce corps que tu ne connais pas…


Les mains longues et fines quittent instantanément les parties de ton anatomie où elles s’affairaient pour te reprendre fermement les poignets et te ramener dans ta position d’origine. Tu ne résistes plus du tout, et malgré tes appréhensions tu veux savoir comment cela va finir. Tu sens qu’elle se recule discrètement ; tu la devines, là à quelques pas derrière toi, se délectant du spectacle que tu lui offres, t’observant, jambes encore écartées et tremblantes, honteuse… Tu sais qu’elle te scrute, qu’elle parcourt une à une tes courbes qu’elle a elle-même placées dans cette position digne d’un interrogatoire. Tu n’oses plus bouger, tu repenses à la porte ouverte… à quelqu’un qui pourrait vous surprendre, là, maintenant… après tout ce n’est pas rare le passage dans ce lieu… À ta grande surprise tu n’en éprouves que plus d’excitation encore… Elle sait à quoi tu penses et elle aime cela, te voir là, soumise et offerte, à sa merci. Elle laisse la porte ouverte exprès, ça doit faire partie de son petit jeu…


Sa main douce te fait sursauter et vient libérer du maillot entortillé le sein emprisonné au moment où la musique reprend. Tes jambes se remettent à trembler, tu te tends, cambrant encore plus ton joli fessier… ses deux mains caressent doucement ta poitrine et dans un mélange de froid, de peur et d’excitation tes tétons se tendent immédiatement comme jamais.


Ton bas-ventre est en feu, te faisant culpabiliser encore un peu plus. Des doigts reviennent sur ta bouche… tu sens l’autre main descendre de tes seins vers ton nombril et de nouveau son bas-ventre qui vient s’appuyer sur tes fesses, puis ses seins dans ton dos. Tu perçois leur contact direct, comprends qu’ils sont libres sans la contrainte du maillot désormais. Ils sont doux, montent et descendent le long de ta colonne, ils roulent légèrement, s’accrochent en frottant à ta peau, puis leur poids l’emportant glissent un peu plus bas en une suave caresse jusqu’à la naissance de tes fesses… puis le mouvement recommence. Les tremblements ont gagné ton bassin et tes bras ; cette fois plus de doute, cette chaleur entre tes cuisses a eu raison de toi et tu es plus qu’humide


Tu souhaiterais tant que ton assaillante ne remarque pas ta gêne… mais elle semble lire en toi comme dans un livre, tu ne peux rien lui cacher… et d’ailleurs cette main qui délaisse ton nombril pour passer dans ton dos puis descendre… où va-t-elle ? Où va-t-elle s’arrêter ? La fesse droite, l’arrière de la jambe jusqu’au genou… pour remonter par l’intérieur de la cuisse… tu retiens ta respiration… elle attend, joue juste au bord de ton maillot, dernier rempart abritant ce qu’il te reste d’intimité et que tu souhaiterais jeter au loin pour t’abandonner… Puis la main s’arrête sur ton mont de Vénus… tu ne peux retenir une longue inspiration… Les doigts s’attardent sur le maillot trempé, le palpent comme pour bien mesurer l’étendue humide révélatrice de ce plaisir que tu tentes de dissimuler… tu voudrais te cacher, te faire toute petite et en même temps tu es au bord de l’explosion.


Puis elle commence à exercer de petites pressions en faisant des mouvements circulaires… Tu ne peux t’empêcher de laisser échapper un soupir révélateur qui fait que sa main accélère encore. C’est une véritable torture mais c’est si bon ! La main s’arrête et vient agripper le maillot juste au-dessus de ta courte toison, l’entortille autour des doigts et tire un coup sec… le maillot disparaît instantanément entre tes lèvres ouvertes d’envie et vient comprimer ton petit bouton, te faisant automatiquement te mettre sur la pointe des pieds pour accompagner le mouvement.


Elle continue de tendre le tissu jusqu’à ce que tu ne puisses plus t’élever… la tension est à son comble… Les secondes te paraissent éternelles… L’autre main vient vérifier que tes lèvres ont bien avalé le maillot et les écarte doucement tour à tour. Alors l’index remonte le long de ta fente finissant de faire disparaître ce qui reste d’étoffe puis les doigts commencent à courir sur le court gazon dévoilé et divisé en deux triangles identiques. (Tu n’as jamais connu de tels frissons). Le maillot commence à bouger en ondulant sur ton sexe en attrapant ton clitoris à chaque mouvement. Il fait plusieurs tours, encore, encore…


Puis la pression se relâche et tu redescends doucement ne sentant plus tes jambes… la main qui guidait le maillot pendant cet assaut contre ta minette passe à l’intérieur et la libère délicatement. Les doigts te caressent lentement, repassent à l’extérieur et essayent de couvrir la surface complète de ton corps. Tu sens l’autre main dans tes cheveux, douce… elle s’approche de ta bouche et tu ne peux t’empêcher d’en lécher puis sucer les doigts encore humides de ton propre jus… Tu as envie de jouir là, maintenant, sous ses mains expertes, tu n’as jamais connu pareille sensation. Sa main repasse sous le tissu pour revenir visiter ton intimité délaissée le temps de quelques autres suaves caresses…


La deuxième main te surprend en venant brusquement écarter ton maillot sans ménagement pour pouvoir offrir un passage dégagé. Ce nouveau geste presque brutal te rappelle que c’est elle qui décide et, bien que tu te mordes les lèvres pour ne rien montrer, tu ne peux retenir un gémissement… Le maillot entortillé et très écarté est inconfortable et laisse complètement apparaître ton sexe. Tes lèvres sont grandes ouvertes, luisantes de plaisir, ton petit bouton tendu comme une arbalète pointe au beau milieu, tes fesses sont cambrées…


Cette fois, l’humiliation est complète et tu ne peux plus rien cacher de l’effet que te font ces traitements. Elle se recule à nouveau pour profiter de la vue imprenable et magnifique de ton cul trempé. Tu es au bord de l’orgasme, tu voudrais qu’elle reprenne ses caresses et accentues encore la cambrure de tes reins pour la provoquer. Tu écartes le plus possible les jambes afin qu’aucun détail de ton intimité ne puisse lui échapper.


La réaction ne se fait attendre et sa main est repartie à la découverte de tes moindres recoins. Les cercles concentriques se sont agrandis passant du clito aux lèvres puis remontant vers le pubis. Un doigt passe de ta chatte à tes fesses, tu te cambres encore un peu plus… Tu entends sa respiration de plus en plus bruyante dans la petite cabine ce qui ne te laisse aucun doute sur l’état d’excitation de ta partenaire. À l’entrée de tes fesses le doigt s’arrête, une légère pression puis il repart de plus belle vers ta minette et s’y engouffre d’un seul coup. Les va-et-vient commencent alors que le pouce joue avec ton clito… puis un deuxième doigt le rejoint sans aucune difficulté… C’en est trop, un violent orgasme te submerge et te fait trembler de la tête aux pieds en t’enlevant à nouveau de doux gémissements impossibles à contenir…


Au bout de quelques secondes tu sors de ta torpeur… seule dans la cabine, sonnée… et doutant de ce qui vient de se passer. En rajustant ton maillot maladroitement, encore sous le coup de cette séance de plaisir hors-norme, ton œil est attiré par l’éclat de quelque chose qui brille sur le sol… un bracelet de cheville très fin avec une petite salamandre… Tu rejoins le cours après avoir pris soin de ramasser ce petit souvenir que t’a laissé ta mystérieuse partenaire et en étant sûre cette fois que tu n’as pas rêvé…