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n° 16282Fiche technique19980 caractères19980
Temps de lecture estimé : 12 mn
30/06/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Z. ne peut s'empêcher d'essayer d'identifier la douce inconnue qui lui a donné tant de plaisir dans les vestiaires de la piscine. Seul indice, une salamandre en bracelet égaré lors de leurs ébats...
Critères:  ff inconnu piscine tutu
Auteur : Saje            Envoi mini-message

Série : Les sextraordinaires aventures de Z

Chapitre 02
La piscine

Résumé de l’épisode précédent :

Quelques semaines auparavant, alors qu’elle se préparait pour son cours d’aquabike, Z. a été surprise dans sa cabine par une mystérieuse inconnue qui lui a prodigué de suaves caresses dont elle rêve encore. Seule trace réelle de ce qui lui semble avoir été un rêve, une salamandre en bracelet de cheville perdue par cette partenaire trop éphémère… L’indice est maigre mais Z. compte bien retrouver l’auteur de ces nouvelles sensations qui lui manquent déjà.








Plusieurs jours se sont écoulés depuis ta rencontre avec la douce inconnue. La petite salamandre en bracelet de cheville ne te quitte plus. Tu l’arbores systématiquement lors des séances d’aquabike, espérant provoquer une réaction de ta mystérieuse partenaire. Qui peut-elle bien être ? À quoi ressemble-t-elle ? Tu as bien tenté de l’identifier, observant chacune des participantes du cours, essayant de vous imaginer dans cette cabine… enfin pour certaines l’exercice a été bref car entre rusticité et poil aux pattes, impossible qu’elles aient été à l’origine des sensations que tu as éprouvées. Il y a bien trois ou quatre filles qui pourraient prétendre au rôle… mais aucune certitude, et surtout, pas le moindre indice !


Te voilà à nouveau au club pour la séance du jour. Clem, ton amie de toujours t’accompagne. Un rapide échange à l’entrée de vos cabines respectives avant de vous séparer pour vous changer, baignées par le brouhaha du vestiaire.



Tu ne verrouilles pas la porte, comme à chaque fois depuis cette première aventure… Tu es en sous-vêtements en train de ranger tes affaires dans ton sac lorsque tes clés s’échappent de ton jean. En les ramassant, tu ne peux t’empêcher de regarder par le bas des cloisons dans les cabines voisines. Dans la cabine de gauche les pieds de Clem que tu vois décoller tour à tour pour pouvoir laisser passer le maillot. Et puis dans celle de droite, de jolis pieds inconnus qui attirent ton regard par un éclat brillant juste au niveau de la cheville… un éclat provenant d’un bracelet… avec une salamandre… exactement comme celle que tu portes depuis peu !


Tempête sous un crâne… à chaque séance tu as scruté chacune des filles et tu es sûre qu’aucune d’elles ne porte ce bracelet ; impossible qu’elle ait pu t’échapper…


Tu remontes lentement en te plaquant contre la mince paroi froide que tu voudrais pouvoir traverser… pas un cm² de ta peau n’échappe au contact du mélaminé rouge… Tu t’enfonces lentement, te fonds dans la cloison et réapparais lentement de l’autre côté… ça y est tu vas découvrir qui elle est… mais non, rien à faire, tu n’es pas le passe-muraille. Tu rouvres les yeux, toujours dans ta cabine et parcourue d’un frisson tu essayes de capter un parfum, une senteur qui te prouverait que c’est bien elle… tu te laisses emporter par les souvenirs… Ta main caresse ta poitrine, ton ventre… tu te mordilles les lèvres…



Tu sors doucement de ta torpeur, tremblante. Tu fouilles dans ton sac à la recherche de ton maillot, fébrile mais curieuse, tu vas enfin connaître pouvoir mettre un visage sur ton plaisir.


En une fraction de seconde la luminosité de la cabine s’accentue puis diminue aussitôt… un courant d’air… une présence là, dans ton dos… tes jambes tremblent, ton ventre se noue, puis le contact de mains sur tes hanches… des mains que tu connais, et reconnais… tu poses les tiennes par-dessus… et accompagnes leurs caresses.


Elles filent vers ta poitrine qu’elles effleurent à travers le soutien-gorge. Elles la massent doucement, libèrent les seins puis reprennent leurs mouvements au contact direct de ta peau cette fois.

Les sensations de votre première rencontre commencent à refaire surface et tu te cambres, tes fesses cherchant son bassin.


Les mains continuent leur danse jusqu’à tes chevilles :



Puis elles remontent, l’une passe par l’intérieur de tes cuisses, sur ta culotte puis ton ventre tandis que l’autre parcourt le dos, les bras, la poitrine… la main sur le ventre joue avec ton nombril puis redescend, suit l’aine et arrive sur la fine dentelle. Un murmure te parvient :



Tu t’es mise de toi-même dans une position proche de celle de votre première rencontre, tes mains au-dessus de ta tête appuyées sur la cloison, tu ouvres légèrement les jambes en signe d’invitation. La main qui se promenait sur la dentelle remonte légèrement, s’arrête sur l’élastique, joue avec… tu retiens ton souffle et la sens s’engouffrer dans ta culotte. Les doigts courent sur ta toison, descendent jusqu’à tes lèvres et les font rouler entre le pouce et l’index. L’effet est immédiat et tu les sens s’humidifier.


Une porte qui claque te fait sursauter et te rappelle que celle de la cabine où vous vous trouvez est légèrement entrouverte, comme la première fois… Il ne faudrait pas grand-chose pour vous faire surprendre… ce qui a pour effet de finir d’inonder ta minette.

Et les caresses continuent. Les doigts humides à l’étroit dans ton slip continuent de jouer avec ton sexe. L’autre main en profite pour dégrafer ton soutien-gorge. Puis les deux mains rejoignent tes hanches et font lentement glisser le petit bout de tissu si encombrant, te voilà à nouveau nue devant elle. Tu te cambres encore plus…

Le vestiaire se vide petit à petit, le brouhaha des conversations diminue et la musique du cours commence à vous parvenir…


Sa langue vient se poser sur ton dos, passe d’une omoplate à l’autre. Une main s’occupe de tes seins alors que l’autre retourne droit vers ta chatte. Tu sens comme la première fois sa poitrine dans ton dos, son bassin appuyé sur le tien.

Tes mains partent à sa rencontre. Elles tombent sur le bas d’un maillot deux pièces. L’une d’elle se faufile entre vous deux et commence à caresser un ventre musclé. L’autre est restée sur la hanche, juste au bord du maillot. Cet échange te trouble… tu imagines ses fesses fermes et rondes, tu hésites… puis le désir l’emporte et tes mains prennent la direction du bas de son dos.


Tu ne t’étais pas trompée, ses fesses sont effectivement fermes comme tu les rêvais et avec de jolies courbes. Te voilà en train de les frôler en y trouvant un doux plaisir. Tes gestes se font un peu moins hésitants et tu commences à glisser petit à petit des doigts sous l’élastique du maillot. Ils s’aventurent de plus en plus nombreux et loin sous le tissu à chaque passage. Tu te surprends même à la plaquer contre toi, provoquant son coup de reins contre tes propres fesses.

Un doigt s’est aventuré dans ta chatte grande ouverte maintenant, et de temps en temps vient s’amuser sur ton capuchon. Sa langue dans ton dos commence à descendre en dansant autour de ta colonne te provoquant de doux frissons. Son corps suit le mouvement au même rythme et tes mains sont obligées de laisser s’éloigner ses fesses pour sentir défiler son dos.


Tu te retournes, les yeux fermés, profitant au maximum de l’instant présent et retardant le plus possible ce moment que tu sais maintenant inéluctable, ce moment où tu découvriras qui elle est. Tu sens ton cœur sur le point d’exploser et t’offres sans retenue. Sa langue passe par ton ventre puis se dirige vers le bas de celui-ci. Tu as l’impression que les secondes durent des heures. Puis tu la sens aborder le haut du pubis, jouer avec ta toison. Elle continue de descendre, arrive sur le haut des lèvres, tu sens son nez appuyer sur ton mont de Vénus et te respirer.

Elle commence à te sucer délicatement, explore ta minette, joue avec ton clito… tu ne pensais pas trouver une telle volupté et un tel plaisir dans les caresses d’une femme. Tes mains commencent de leur côté à masser la tête enfouie entre tes jambes. Ses cheveux sont courts, fins, ses joues sont douces.


Elle quitte ta minette et remonte le long de ton ventre, fait un passage par tes seins qui dardent leur téton fièrement dressé.

Elle continue son ascension, tu la sens dans ton cou, elle se dirige vers ta joue qu’elle embrasse puis arrive à ta bouche, légèrement entrouverte depuis le début, essayant de réguler ton souffle haletant.

Elle y dépose un doux et suave baiser d’une telle délicatesse…



Tu hésites, partagée entre la soif de savoir et le plaisir du mystère… Tu finis par entrouvrir lentement les yeux… Elle t’apparaît au travers du voile qui se dissipe au fur et à mesure que tes paupières se lèvent ; des yeux marrons brillants, pétillants, une chevelure courte et noire, un léger sourire rayonnant… La belle Ynès ! Quelle surprise ! Elle doit avoir le même âge que toi, légèrement plus grande, toujours souriante et de bonne humeur, plutôt élancée et musclée. Un joli corps, pas parfait mais bien équilibré, entretenu et agréable à regarder. Il se dégage d’elle un charme naturel, qui la rend attirante. Tu es d’ailleurs flattée de lui plaire.

Tu ne comprends pas comment son absence depuis l’épisode du bracelet a pu t’échapper. Pourtant vous aviez déjà échangé des bonjours au hasard de vos croisements dans le club et tu te souviens même avoir remarqué de petits regards en coin de temps à autre.

En tout cas, tu n’aurais pas soupçonné une audace et une fougue pareille.



Tu bafouilles.



Elle pose ses lèvres sur les tiennes et s’empare de ta bouche. Vos langues se mélangent, les lèvres sont mordillées. Elle fait tomber le haut de son maillot, découvrant sa jolie poitrine que tu avais déjà sentie dans ton dos.

Vos baisers sont fougueux. Une de ses jambes passe entre les tiennes. Sa cuisse vient appuyer sur ton minou. Tu t’assois dessus et commences à accompagner le mouvement.

Elle t’embrasse les seins, ses mains partent vers tes fesses pour les écarter et accentuer encore le contact de ton sexe sur sa cuisse. Au bout de quelques ondulations elle dégage sa jambe et sa main repart tout droit vers ta minette.


Tu caresses son bras, passes vers l’intérieur, puis arrives sur les côtes… la naissance d’un sein… tu n’oses pas, hésites… le frôles d’un doigt, un galbe parfait, cette courbure, l’aréole, puis le téton… que tu sens réagir, il se dresse doucement, se dévoilant un peu plus. Tu t’amuses avec, le fais rouler entre deux doigts jusqu’à ce qu’il soit tout tendu.

Sa main s’affaire toujours dans ton intimité. Tu délaisses sa poitrine pour passer aux hanches et tu arrives sur le maillot à la taille. Tu passes timidement par-dessus, tes gestes sont maladroits, encore hésitants…

Une de tes mains continue de descendre le long de la hanche et une fois l’échancrure du maillot passée retombe sur la peau douce du haut de la cuisse. Tu caresses lentement, le contact est doux… ton autre main est restée sur la hanche, à la jonction du maillot et de la peau… puis s’engaillardit et suit la frontière du tissu le long de l’aine pour arriver entre les deux jambes. Toujours timide tu effleures son pubis, sensation étrange…


Ynès se détache brusquement tout en te tenant la main, et ouvre la porte de la cabine en grand. Tu te retrouves pétrifiée et ne peux t’empêcher de penser que quelqu’un pourrait très bien être dans le vestiaire…



Et elle sort de la cabine sans même avoir vérifié une quelconque présence alentour. Tu es toujours immobile, médusée, ne la quittant pas des yeux. Elle comprend ta crainte, te fait face et là, en plein milieu de l’allée, elle enlève son maillot avec une sensualité extrême. Elle te dévoile son petit minou entretenu, un triangle bien brun, effilé juste au-dessus des lèvres qui elles sont parfaitement nues. Ses yeux pétillants brillent de mille feux. Elle t’envoie son maillot.



Tu te sens obligée de relever le défi surtout que ta minette ruisselante n’est pas rassasiée, cette chipie a eu le bon goût de te planter là à deux doigts de l’orgasme… Et puis ça rajoute encore à l’excitation de la suivre comme ça. Tu sors hésitante de la cabine et Ynès t’entraîne alors dans une traversée des vestiaires qui te semble interminable. Vous courez nues main dans la main en rigolant comme deux gamines dans un dortoir ayant peur de se faire surprendre par la surveillante générale… Puis tu réalises que votre course vous rapproche des douches et du bassin et commences à ralentir…

Ynès remarque ton changement d’allure.



Et sans te lâcher, elle t’entraîne à sa suite… Juste avant la chicane des douches collectives, elle s’engouffre dans la dernière cabine celle plus spacieuse réservée aux handicapés. Elle ne verrouille toujours pas la porte, décidément la possibilité de se faire surprendre doit faire partie du jeu…

Votre petite course dans les vestiaires a encore fait monter l’excitation d’un cran et tu te laisses faire lorsqu’elle te plaque contre une des parois et t’embrasse à pleine bouche. Sa langue rentre directement à la recherche de la tienne puis danse avec, l’enroule, semble se dégager et revient à la charge. Un baiser comme tu en as rarement reçu… Décidément cette fille sait y faire. Ses mains attrapent les tiennes et commencent à les guider, l’une vers sa poitrine l’autre vers l’aine.



Tes mains hésitantes caressent ses fesses nues, tandis que tes tétons sont mordillés tour à tour. Tu sens un doigt passer de ton clitoris à ta chatte par vagues successives.

Une de tes mains passe sur le ventre d’Ynès, son nombril… puis descendant encore arrive au contact de la courte toison. Tu es parcourue d’un frisson et tes doigts effleurent à peine les poils. Tu continues ta descente pour arriver à la naissance des lèvres dégagées. Tu appuies un peu plus ta caresse et le murmure que laisse échapper Ynès te rassure.


Tu commences à fouiller ses recoins, passant de ses lèvres à son clito au même rythme que les caresses qu’elle te prodigue. Tu sens sa chatte trempée s’ouvrir sous tes doigts. Tu accélères le mouvement sentant le plaisir arriver. Dans un mouvement de bassin, tu sens sa chatte venir happer le doigt qui était entre ses lèvres. Te voilà en elle, chaude, humide, douce. Tu commences de lents va-et-vient qui la font réagir de plus en plus fort. Ton pouce en profite pour stimuler son bourgeon gonflé par le désir. Tu le sens épais et bandé, roulant à ta convenance sous ton doigt. Puis les mouvements de son bas-ventre te font comprendre que l’orgasme approche et tu accélères tes caresses. Ynès laisse alors exploser son orgasme accompagné d’un doux gémissement.

Tu sens également que le tien n’est pas loin lorsque, à peine remise de ses émotions, elle attrape sur le porte-manteau une serviette immense blanche éclatante et douce, qui sent encore le parfum de la lessive. Elle avait plutôt bien préparé son coup…

Elle la pose sur le banc, bien plus large et confortable que celui des autres cabines et te fait asseoir dessus. Elle écarte tes jambes sans ménagement et commence à te lécher. Ton regard croise le sien et tes yeux restent accrochés par le spectacle qu’elle t’offre, son nez te fouille, sa langue te pénètre puis ressort et remonte entre tes lèvres s’occupant de ton clitoris au passage pour finir par lécher ta petite motte. Elle te mordille puis reprend ses succions. À la limite de l’orgasme, elle arrête à nouveau. Ton ventre n’en peut plus de ces interruptions successives. Tes jambes tremblent de plaisir. Elle te fait lever, attrape la serviette qu’elle étend à même le sol afin que tu puisses t’allonger dessus.

Elle t’écarte à nouveau les jambes et plonge vers ta chatte grande ouverte. Elle se délecte de ton jus. Sa langue reprend ses assauts sur la totalité de ton sexe et en quelques secondes un violent orgasme te submerge.

Ynès remonte lentement vers ta bouche et t’administre un nouveau baiser. Son visage a ton odeur.


Tu décides alors de lui rendre la pareille et te détachant doucement de ses lèvres, tu commences à ton tour à descendre le long de son cou… si doux… tu arrives à la poitrine que tu prends à pleines mains, en pinçant légèrement chacun des tétons. Tu les portes à ta bouche, les mordilles puis leur rends leur liberté en les caressant de la langue, droits comme des i, fièrement dressés. Ynès laisse échapper un soupir de plaisir.

Tu continues ta descente, ta langue passe au nombril, tes mains continuent de masser sa poitrine.

Les tétons roulent toujours sous tes doigts tantôt les effleurant, tantôt les pinçant. Ynès commence à onduler sous tes caresses et la montée du plaisir.

Ta langue est sur son ventre et timidement tu t’approches de sa minette. Tu sens l’odeur de son jus luisant sur ses lèvres écartées. Le parfum est fort, enivrant et… excitant !

Tu t’aventures encore un peu plus bas, ça y est tes lèvres effleurent les premiers poils et Ynès se cambre pour te présenter son pubis.


Sa chatte t’apparaît magnifique, débordante de désir. Ta langue continue et arrive sur ses lèvres, puis son bouton d’amour encore plus gonflé que tout à l’heure sous tes doigts. Tu ne tiens plus, la scène t’excite terriblement et tu sens à nouveau le picotement du désir dans ton ventre. Tu croques Ynès à pleine bouche maintenant, la lèches de haut en bas, passant par tous les plis de son sexe offert. Ynès gémit à chaque coup de langue et tu sens la vague de plaisir monter en elle. Elle mouille terriblement et est plus que trempée, son jus déborde de ta bouche jusque sur tes joues. Tu ne peux t’empêcher de sucer son clitoris, de le laper puis furieusement le pincer du bout des lèvres. Ynès se cambre à nouveau.


À quatre pattes, le cul vers le ciel, les fesses et la fente bien luisantes et bien écartées, et la tête au milieu du compas dessiné par ses jambes, tu es sur le point de donner le coup de langue ultime lorsqu’au loin la porte des vestiaires s’ouvre et qu’un bruit de pas commence à remonter dans votre direction…