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Temps de lecture estimé : 9 mn
16/11/13
Résumé:  Un couple et des copains en week-end à la mer. Exhibition, voyeurisme et découverte des uns et des autres.
Critères:  fh jeunes copains vacances plage voir exhib intermast cunnilingu -voyeuroca -fellation
Auteur : Steph85      Envoi mini-message

Série : Sexe et copains

Chapitre 01
Un week-end à la mer - Partie 1

Un week-end à la mer – Partie 1




L’histoire que je vais vous raconter commence sur les bancs du lycée dans les années 80. À l’époque, j’avais 18 ans et j’étais en terminale dans un lycée de la banlieue parisienne. Je mesurais 1,80 m pour 75 kg, yeux et cheveux marron. J’étais déjà porté sur le sexe, mais plutôt timide avec les filles. Un petit groupe s’était formé en ce début d’année scolaire et s’était soudé au fil des jours. Il y avait Christèle, une jolie brune d’1,65 m, Valérie, une rousse assez fine d’1,60 m et Marie, une petite fausse blonde avec de magnifiques yeux verts. Côté garçons il y avait David, plutôt athlétique, un peu moins grand que moi, blond aux yeux bleus, et Laurent, brun comme moi mais mesurant dans les 1, 70 m. Nous étions donc six et nous entendions bien. Nous étions de plus en plus souvent ensemble en-dehors du lycée. Il n’y avait pas de relations autres qu’amitié jusqu’à Noël, où je me suis mis avec Christèle.


À ce moment-là, j’étais encore puceau ; elle non, mais elle n’avait que peu d’expériences. Elle m’a déniaisé et je n’ai pas tardé à lui faire découvrir les différentes façons de donner et recevoir du plaisir. Au bout de quelques mois, elle avait découvert la masturbation réciproque jusqu’à la jouissance, le goût du sperme et le plaisir de jouir en se faisant lécher. Petit à petit, elle prenait de plus en plus goût au sexe, mais je n’arrivais toujours pas à lui faire expérimenter la sodomie. Nous aimions nous retrouver seuls pour expérimenter de nouvelles positions. Nous étions le seul couple de la bande. David et Valérie ont eu des liaisons avec des personnes extérieures au groupe, mais ça n’a pas duré.


Au mois de mai, à l’occasion d’un pont, nous avons décidé de partir au bord de la mer. Les parents de Laurent avaient une maison à côté de La Tranche sur Mer, en Vendée. Le vendredi soir après les cours, nous avons donc chargé les deux 2 CV et sommes partis pour la côte. Arrivés à destination, nous avons découvert la maison. Elle était à 50 mètres de la plage. De la terrasse, nous pouvions voir la mer. Elle n’était pas très grande mais avait trois chambres, une salle de bain, une cuisine américaine et un salon/salle à manger.


En arrivant, nous avons déchargé les bagages et réparti les chambres : Christèle et moi dans une, les gars dans une autre et les filles dans la dernière. Une fois installés, nous sommes allés sur la terrasse boire une bière. Il n’y avait pas grand-monde en cette saison ; seule la maison de gauche semblait occupée, les cinq autres du quartier paraissaient vides. Une fois fini les bières, nous sommes allés nous coucher ; il était déjà plus de minuit et la route nous avait épuisés. David et Laurent n’ont pas manqué de nous dire (à Christèle et moi) de ne pas faire de bruit car ils avaient la chambre à côté de la nôtre et qu’ils n’avaient pas envie d’entendre des gémissements toute la nuit. Valérie dit alors que nous n’avions qu’à faire un 69 afin qu’on ait la bouche pleine et qu’on ne nous entende pas. Christèle répondit à Valérie qu’elle penserait à sa suggestion. C’était la première fois que nous parlions de sexe et de notre relation.


Le lendemain, nous nous sommes levés vers 8 h ; il faisait déjà chaud et beau. Nous nous sommes installés sur la terrasse pour prendre le petit déjeuner. Les gars étaient en caleçon de nuit ou short, Christèle avec un long tee-shirt qui lui arrivait à mi-cuisses, Valérie avec une nuisette et Marie en pyjama. En face de nous, la plage de sable fin s’étendait sur plusieurs dizaines de mètres (la marée était basse) ; la mer était bleu/vert avec quelques vaguelettes. Le paradis : le soleil, la mer et trois jolies filles.


Pendant le petit déjeuner, les gars (y compris moi) essayions de voir si Valérie et Christèle avaient des petites culottes. Je savais que Christèle n’en avait pas et ça m’excitait un peu de voir les autres reluquer ses cuisses pour essayer de le découvrir. Nous en profitions aussi pour découvrir les formes des filles, libres sous les vêtements de nuit. Valérie était longiligne et n’avait que peu de fesses. Elle avait une poitrine de la taille de petits melons ; bien qu’assez importante, elle était ferme. Marie était tout le contraire : elle paraissait avoir de petits seins (on ne voyait pas très bien avec son pyjama) mais avait de superbes fesses rebondies. Nous pouvions les admirer quand elle marchait et que son bas de pyjama lui rentrait dans la raie des fesses. Ça me donnait des frissons dans le caleçon. Christèle avait des hanches plus larges et un derrière moins rebondi ; elle avait des seins de la taille d’oranges, qui se tenaient parfaitement. Après avoir bu notre café, Christèle se leva et dit en me prenant la main :



Valérie répondit :



David renchérit :



Christèle m’entraîna à l’intérieur sans répondre. Cela me faisait bizarre de les entendre parler de nos relations sexuelles. Si nous parlions sans problème de sexe dans le groupe, on n’avait jamais parlé de nos relations personnelles.

Une fois dans la salle de bain, Christèle me demanda :



Tout en disant ça, elle mit sa main sur mon caleçon pour vérifier l’effet que ça me faisait. Je ne bandais pas vraiment mais comme ça ce fut fait. Elle glissa sa main dans mon caleçon et commença à me masturber. Je fis glisser ma main droite entre ses cuisses jusqu’à son sexe que je découvris déjà plus qu’humide.



Elle se déshabilla et fit couler l’eau de la douche pendant que je me mettais nu. Dès que nous fûmes sous l’eau, elle prit mon sexe et le guida en elle. Elle était vraiment excitée. Elle me souffla à l’oreille pendant que j‘allais et venais en elle :



Elle planta ses dents dans mon épaule pour ne pas faire trop de bruit et jouit intensément. Je me plantai profondément en elle et jouis à mon tour. Après avoir repris nos esprits, nous nous sommes rapidement lavés puis habillés afin de laisser la place aux autres. Lorsque nous les avons retrouvés sur la terrasse, David nous demanda :



Nous avons joué les innocents en lui répondant « Quoi ? ».

Les filles se sont levées en disant qu’elles allaient se préparer. En passant devant nous, Valérie nous jeta un regard envieux. Je leur proposai de venir leur savonner le dos. Christèle dit alors :



Lorsque les garçons furent prêts, le temps s’était couvert. Nous décidâmes d’aller faire un tour en ville et de faire les courses en même temps. Le soir, le ciel s’était découvert ; nous avons pu manger sur la terrasse et y sommes restés à discuter. Vers 1 heure du matin, nous sommes allés nous coucher. Il faisait lourd ; à 2 heures, je n’arrivais toujours pas à dormir. Je suis sorti prendre l’air sur la terrasse. Je me suis installé sur un transat. Après quelques minutes, Christèle vint me rejoindre ; elle s’allongea à côté de moi.


Il y avait un beau clair de lune ; nous profitions du paysage lorsque nous avons vu des silhouettes sortir de l’eau et se diriger vers la maison voisine. Lorsqu’ils ont été à une trentaine de mètres de nous, ils se sont arrêtés et nous avons reconnu nos voisins. Ils étaient entièrement nus. Elle, grande et élancée, avec des cheveux châtain qui lui arrivaient aux épaules ; lui, blond, assez grand et très musclé. Elle avait de tout petits seins et son sexe était entièrement rasé ; ce qui me provoqua une érection car c’était très rare à cette époque. Ils se sont allongés sur les serviettes qu’ils avaient mises là et ont commencé à se caresser.


Rapidement, on a vu la fille prendre le sexe de son partenaire en bouche. Nous ne bougions pas de peur de nous faire remarquer. J’avais glissé ma main sur la chatte de Christèle et elle tenait mon membre. Notre voisine ne tarda pas à se retourner sur son partenaire pour mettre son sexe à portée de sa bouche. Dans cette position, nous pouvions voir totalement son intimité. J’avais une envie folle faire comme eux. Elle s’est alors retournée pour le chevaucher. Nous la voyions monter et descendre en silence sur le membre de son partenaire. Après quelques minutes de ce traitement nous l’avons vue se crisper et jouir. Elle est alors descendue de lui et s’est mise à quatre pattes devant. Il l’a pénétrée rapidement, et après quelques va-et-vient, s’est figé et a joui en elle. Ils ont alors ramassé leur serviette et sont rentrés chez eux sans nous remarquer.


Dès qu’ils furent rentrés, Christèle s’est agenouillée au-dessus de moi, a pris mon sexe dans une main et l’a guidé à l’entrée de sa grotte brûlante de désir. Elle s’est laissé descendre lentement sur mon membre. Elle a posé ses mains sur ma poitrine et a commencé à monter et descendre lentement, savourant le frottement de mon sexe en elle. Quand elle prenait cette cadence, c’est qu’elle avait envie de faire durer le plaisir… J’avais intérêt à me contrôler si je ne voulais pas me faire traiter de tous les noms. Tout à coup, me surprenant, elle s’assit profondément sur moi et je sentis son ventre me compresser le sexe : elle jouissait. Elle jouissait même très fort. Je me suis dit que le spectacle avait dû terriblement l’exciter. Après avoir repris ses esprits, elle glissa à mes pieds et commença à me sucer. Je l’avais rarement vue aussi gourmande, c’était un régal. À cette allure, je n’allais pas tarder à gicler. Sachant qu’elle n’appréciait pas particulièrement que je me vide dans sa bouche, je lui ai repoussé la tête pour lui faire comprendre que le moment était venu. Elle leva la tête, me regarda dans les yeux et reprit sa fellation de plus belle. Je n’ai pas pu tenir plus longtemps et ai lâché de grandes giclées de sperme dans sa bouche, qu’elle s’empressa d’avaler.


À peine avalée la dernière goutte, elle remonta s’agenouiller sur mon visage. Elle plaqua son sexe dégoulinant de plaisir sur ma bouche ; elle était tellement excitée qu’elle se frottait et se branlait sur mon visage autant que je la léchais. J’attrapai ses fesses pour les pétrir autant que pour la maîtriser un peu. J’en profitai pour glisser un doigt dans son petit trou. Elle grogna de plaisir et se mit à jouir encore une fois très fort. Elle s’est glissée le long de moi et nous sommes restés comme cela une bonne heure avant de rentrer nous coucher.


Le lendemain matin, lorsque nous nous sommes levés vers 10 h, Marie, David et Laurent étaient déjà prêts. Valérie était en train de prendre son café ; elle nous lança un regard bizarre. Je me dis qu’elle se doutait de la raison de notre lever tardif. David demanda :



Je lui répondis :



Il rigola puis enchaîna :



En effet, il faisait un temps nuageux. La bronzette sur la plage était compromise. Marie proposa d’aller se promener sur le bord de mer. On dit « OK ». Elle dit qu’ils partaient tranquillement devant. Valérie est partie sous la douche pendant que nous finissions de prendre notre café. Après 10 minutes, Christèle partit la rejoindre pendant que je débarrassais la table. Un quart d’heure plus tard j’allai frapper à la porte, demandant à Valérie de se dépêcher un peu. Une ou deux minutes plus tard elle sortit. Lorsque nos regards se sont croisés, j’ai compris qu’elle nous avait vus cette nuit. En la croisant, je lui demandai doucement :



Elle se rapprocha de moi et me souffla à l’oreille :



Une fois dans la salle de bain, je racontai à Christèle que Val nous avait surpris en train de faire l’amour. C’est en lui disant cela que je réalisai qu’elle le savait, et que si elle avait été aussi excitée, c’est parce qu’elle savait que Val nous regardait. Elle me le confirma :



Elle sortit de la douche et me dit de me dépêcher. Une fois prêts, nous sommes partis retrouver les autres. Une certaine complicité était née entre nous trois, mais sans aucune gêne.

L’après-midi fut pluvieux ; nous sommes allés faire du shopping à la demande des filles. Au cours des essayages, Christèle ne ratait pas une occasion de m’allumer. Elle ne cessait d’avoir des petits regards en coin avec Valérie, comme si elles préparaient quelque chose. Rien ne se passa dans l’après-midi. La soirée fut tout aussi calme et j’en fus presque déçu. Nous sommes allés nous coucher assez tard et n’avons pas traîné pour nous endormir.