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Temps de lecture estimé : 19 mn
18/11/13
Résumé:  La complicité, l'exhibition et le voyeurisme s'installent de plus en plus lors de la fin du week-end.
Critères:  fh jeunes vacances plage voir exhib
Auteur : Steph85      Envoi mini-message

Série : Sexe et copains

Chapitre 02
Un week-end à la mer - Partie 2

Résumé de l’épisode précédent : Lors d’un week-end entre copains à la mer, un groupe d’amis commence à dévoiler leurs anatomies, et plus pour certains. Ma copine découvre qu’elle prend du plaisir à s’exhiber devant nos copains. Une certaine complicité commence à s’installer entre certaines personnes.








Un week-end à la mer – Partie 2




Le lendemain matin il faisait un superbe soleil. Christèle et moi étions les premiers levés ; nous avons préparé le café. J’avais régulièrement une main qui vagabondait sous son tee-shirt de nuit. Heureusement que j’avais un slip en dessous de mon short : ça cachait partiellement mon début d’érection. Dès qu’elle était à côté de moi, je lui titillais le clitoris ou la pénétrais légèrement avec un doigt. Elle semblait apprécier. Lorsque le café fut prêt, nous nous sommes installés côte à côte à la table de dehors. J’ai aussitôt glissé une main sur son sexe ; elle écarta un peu les cuisses pour faciliter mon travail. C’est à ce moment que les gars arrivèrent. Je retirai ma main de l’intimité de Christèle. David s’installa en face de Christèle, et Laurent de moi. Les filles arrivèrent et s’installèrent face à la mer, Marie à côté de Christèle et Val à côté de moi.


À un moment, David fit tomber sa serviette et se baissa pour la ramasser. Quelques minutes plus tard, elle tomba de nouveau. Je regardai les cuisses de Christèle et remarquai qu’elle n’avait pas rabaissé son tee-shirt ni resserré ses jambes. En se penchant, David pouvait voir le sexe de ma chérie. En croisant son regard, j’ai compris qu’elle s’en était rendu compte et que ce n’était pas pour lui déplaire.


Comme nous avions fini notre petit déjeuner, je proposai à Christèle d’aller nous doucher. Elle me précéda dans la salle de bain. Dès que j’ai refermé la porte, elle se jeta dans mes bras et me demanda de la prendre. Je la retournai face au lavabo et glissai ma queue entre ses fesses à la recherche de son sexe. Je la pénétrai profondément, ce qui lui fit pousser un petit gémissement de bonheur. Elle était déjà trempée d’excitation. Tout en la prenant, je lui demandai si ça lui avait plu de montrer sa chatte à David. Je ne sus pas si le « oui » qu’elle poussa fut pour répondre à ma question ou pour me dire de continuer à la prendre comme ça.


Je la fis reculer un peu afin qu’elle soit penchée en avant, les mains sur le lavabo. De cette façon, je pouvais voir mon sexe aller et venir dans le sien ainsi que son petit trou que je ne tardai pas à caresser du pouce. Par moments, je me retirais d’elle et mouillais mon pouce dans son sexe avant de la reprendre et de lubrifier son anus. J’y rentrai le pouce petit à petit. Tout en la besognant, je la prenais par derrière avec mon pouce. Elle se mordait les lèvres pour ne pas faire de bruit. À un moment je me suis retiré d’elle et ai posé mon gland sur son anus. Elle ne dit rien, alors j‘ai poussé un peu. Mon gland était à moitié entré quand elle me dit :



Je me suis retiré et ai repris mes va-et-vient dans son sexe. Je faisais des mouvements amples, sortant presque entièrement et rentrant lentement. Elle gémissait à chaque pénétration. Après quelques minutes, je me mis à la prendre plus violemment. Elle jouit presque aussitôt en provocant ma jouissance.


Nous nous sommes rapidement lavés en sommes allés retrouver nos amis. Ils étaient en pleine discussion au sujet du planning de la journée. Tout le monde voulait profiter de la plage, mais il y avait quelques courses oubliées la veille à faire. N’étant pas un fana de la plage, je me proposai d’y aller. Christèle dit qu’elle m’accompagnerait. Nous sommes donc partis, laissant nos camarades aller à la plage.


Arrivés au centre commercial, Christèle me dit qu’elle mangerait bien du poisson. Comme il y avait un monde pas possible à la poissonnerie, elle me proposa d’aller faire les autres courses pendant que je m’occuperais du poisson. Lorsque je suis sorti de la poissonnerie, Christèle sortait des caisses. Nous sommes rentrés à la maison. Le temps de décharger les courses et de se mettre en maillot de bain et nous sommes allés retrouver nos copains. Dans le coin où nous étions, il n’y avait que nos voisins à une vingtaine de mètres. À part eux, il n’y avait personne à moins de cent mètres. Notre voisine était seins nus ; ils étaient effectivement petits, mais tout mignons, avec de grosses pointes. On avait envie de les prendre en bouche.


Du côté de nos copains, David et Laurent étaient en short de bain. David était pratiquement imberbe, n’avait pas un poil de graisse et on pouvait voir sa musculature. Aux poses qu’il prenait, on voyait qu’il en jouait pour épater les filles. Laurent, de son côté, était légèrement enrobé, mais sans être gros. Il n’avait que quelques poils sur le torse. Moi, j’étais fin, avec une petite couche de graisse « pour protéger mes muscles » comme je disais. Ils étaient à moitié allongés à regarder les filles s’enduire de crème solaire. Valérie avait un deux-pièces rose ; sa poitrine était vraiment conséquente mais se tenait bien. Ce qu’avait laissé entrevoir sa tenue de nuit se confirmait : elle n’avait pratiquement pas de hanches ni de fesses. Elle était tout de même très jolie, mais pour moi qui aimais plus les fesses que les seins, je préférais Marie.


Cette dernière avait mis un maillot une pièce bleu turquoise et noir assez échancré aux hanches, ce qui mettait en valeur son postérieur bien rebondi. Elle avait une taille assez fine. Il n’était pas aisé de juger de la taille de ses seins avec ce maillot. J’aurais dit de la taille et de la forme d’une demi-pomme. Christèle était certainement la mieux proportionné : elle avait des fesses, des hanches et des seins. Elle manquait peut-être un peu de fesses et avait légèrement trop de hanches ; par contre, ses seins étaient vraiment superbes.


En arrivant, je me suis assis à côté des gars et ai retiré mon tee-shirt. Christèle s’est mise devant moi et a fait de même. Elle avait un deux-pièces noir, assez mini en bas (deux triangles joints par une ficelle) ; une bonne partie des fesses était dégagée. Elle prit de la crème solaire et commença à s’en mettre sur les jambes puis les bras. Comme elle nous tournait le dos, elle se retourna pour me demander si je voulais qu’elle me badigeonne. Je lui répondis que j’allais d’abord aller me baigner. Elle pivota pour se mettre face à nous et commença à se mettre de la crème sur le ventre. Elle jeta un regard vers notre voisine torse nu, mit ses mains derrière son dos et retira son haut. Elle me regarda, attendant une réaction qui ne vint pas. Elle prit de la crème dans ses mains et en enduisit ses seins. Les gars savouraient le spectacle ; pour un peu, ils en auraient bavé. Voir une copine de classe à moitié nue, c’était particulièrement excitant. Valérie semblait s’amuser de la situation et Marie paraissait étonnée que Christèle se montre à moitié nue.

La matinée se passa tranquillement ; les gars semblaient s’être habitués à la poitrine nue de Christèle. S’ils continuaient à l’admirer, ils ne la fixaient plus comme au début. Après déjeuner, nous sommes allés nous reposer un peu. Une fois dans notre chambre, Christèle m’a dit :



Songeuse, elle ajouta :



Je lui fis remarquer :



Elle se blottit contre moi et me dit :



Elle glissa sa main sur mon sexe et dit :



Ce compliment dut lui plaire et elle s’assoupit contre moi.


Après une grosse demi-heure de repos, nous nous sommes levés et avons décidé de continuer à nous reposer sur la plage. Une fois arrivés, nous nous sommes mis en maillot et tartinés de crème solaire. J’ai insisté sur l’intérieur des cuisses et le derrière de Christèle. Je lui ai rentré le maillot entre les fesses pour lui faire comme un string ; elle n’a rien dit et est restée comme ça. Elle n’a remis son maillot correctement qu’après que les gars soient arrivés et aient pu admirer son cul. Un peu après, les filles sont arrivées. Elles se sont installées. Val a mis ses mains derrière son dos et a retiré son haut. Marie l’a regardée d’un air triste, comme si elle lui en voulait de ne pas oser faire la même chose, de la laisser seule avec son haut de maillot. Les gars avaient les yeux qui leur sortaient de la tête. Moi, j’admirais ses seins : ils étaient vraiment imposants, mais bien fermes et très jolis. Christèle lui lança un regard réprobateur : elle lui en voulait de lui voler l’attention des gars. Je m’amusais de cette situation. Elle ne dura pas longtemps et bientôt nous ne fîmes plus attention aux seins nus de nos copines.


Nous avons profité de la mer et du soleil, alternant les séances de bronzage, les parties de volley et les baignades. Après chaque partie de volley, les garçons avaient le plaisir de voir Valérie et Christèle se remettre seins nus. Ces parties se terminaient généralement en mêlées, et Christèle me signala qu’à ces occasions ainsi que pendant les batailles dans l’eau, David la pelotait. Elle m’avoua qu’elle trouvait cela plutôt excitant et ne faisait rien pour l’en empêcher. Je dois avouer que cette révélation m’excita un peu aussi.


L’après-midi prit fin et nous sommes allés nous laver avant de nous installer sur la terrasse pour l‘apéritif. Il faisait tellement bon que nous sommes restés dehors pour le dîner qui traîna. Comme l’avant-veille, il faisait un superbe clair de lune et nous voyions presque aussi bien qu’en plein jour. Vers 23 h, nous avons vu nos voisins sortir, aller sur la plage, se déshabiller et aller se baigner totalement nus. Cela ne les dérangeait pas de se promener nus devant des inconnus. Lorsqu’ils sont ressortis de l’eau environ une demi-heure après, j’ai remarqué un certain trouble chez David et Laurent quand ils ont découvert le sexe glabre de notre voisine.

Lorsque les douze coups de minuit ont sonné au clocher, Laurent a dit :



Valérie répondit :



Tous les regards se sont alors tournés vers elle. Elle nous dit :



Je répondis :



Marie demanda d’une petite voix :



C’est Christèle qui répondit :



Je sentais qu’avoir l’occasion de se montrer nue à nos copains l’excitait. Nous fûmes donc tous d’accord pour un bain de minuit, même Marie. Nous sommes allés chercher nos serviettes de bain et avons pris le chemin de la mer. À une vingtaine de mètres de l’eau, nous avons posé nos serviettes et commencé à nous déshabiller. Nous avons retiré nos hauts ; Marie nous tournait le dos. Alors que les gars prenaient leur temps pour mater les filles, Marie retira rapidement sa culotte et fonça dans l’eau avec Valérie sur ses talons. Christèle, quant à elle, retirait tranquillement sa culotte, laissant tout le temps à nos copains de reluquer sa toison brune. Elle alla tout aussi tranquillement dans l’eau, laissant les garçons admirer ses fesses nues. Nous avons rejoint les filles dans l’eau et commencé à chahuter. David était souvent après Christèle. Laurent et moi chahutions plutôt Valérie. Par moments, j’allais taquiner Marie pour qu’elle ne se sente pas délaissée. Je prenais soin de ne pas la peloter pour ne pas la gêner. Après un quart d’heure de bataille, nous nous sommes calmés. Christèle est venue se coller à moi alors que les autres se sont mis à discuter. Elle me souffla à l’oreille que David n’avait pas arrêté de la peloter, qu’il s’était arrangé pour lui caresser les seins et les fesses et qu’il lui avait même mis une main carrément entre les cuisses. Je fis de même et constatai qu’elle était mouillée, mais pas seulement par la mer. Je lui en fis la remarque ; elle me répondit que ça ne devrait pas me déranger puisque c’est moi qui allais en profiter.


En discutant, nous nous étions rapprochés du bord et avions de l’eau jusqu’au cou en étant assis dans l’eau. Valérie se leva et dit qu’elle sortait. Elle était face à moi et je pus voir son sexe. Elle avait deux grandes lèvres bien dessinées et recouvertes d’une légère toison rousse. Elle alla rapidement sur la plage s’envelopper dans sa serviette. Christèle glissa sa main entre mes cuisses pour voir le résultat de l’exhibition de Val. Constatant mon début d’érection, elle me souffla à l’oreille :



Elle enchaîna :



Je fus alors perplexe, n’osant comprendre son allusion. Elle poursuivit :



Je n’en revenais pas, et je me suis retrouvé avec une érection totale. Pendant cette discussion, Laurent était sorti et David et Marie s’étaient rapprochés de nous. Christèle me demanda si je sortais avec elle. Je lui répondis que j’allais rester un peu dans l’eau. Elle savait très bien que je n’étais pas en état de sortir convenablement de l’eau. Elle se leva face à moi et dos aux autres, se pencha pour m’embrasser puis se retourna et partit. Je me doutais du spectacle qu’elle avait donné à Marie, et surtout David.


Nous sommes restés à discuter le temps que nos érections retombent. Marie nous tenait compagnie. Après un petit quart d’heure, David était en état de sortir ; moi, pas totalement encore. Il se leva et sortit de l’eau. Je restai alors seul avec Marie. Elle me demanda si c’était vrai que son derrière me faisait fantasmer. Cette question me fit instantanément rebander. Je lui répondis que son cul était vraiment très joli et qu’il ne me laissait pas insensible. Elle me dit alors :



J’étais assez surpris d’entendre ces paroles dans la bouche de Marie. Elle était plus réservée, d’habitude. C’était la première fois que je l’entendais parler de sexe. Elle se mit à genoux dans l’eau et cria à Valérie de lui apporter sa serviette. Ce faisant, elle avait le buste hors de l’eau et me montrait sans complexe ses petits seins. Ils étaient tout mignons avec leur bout qui pointait. Était-ce la fraîcheur ou l’excitation ? Pas moyen de savoir. Lorsque Val fut au bord de l’eau avec sa serviette, elle se leva sans pudeur, me montrant son sexe. Il était peu fourni, avec des grandes lèvres bien dessinées. Je pus constater qu’elle n’était pas blonde mais brune, mais surtout qu’elle était excitée : on voyait un fin sillon rose au milieu de son sexe. Elle se pencha vers moi, m’embrassa sur la joue en me susurrant à l’oreille :



J’en restai bouche bée. Elle se retourna, me montrant ses fesses, resta quelques instants avec son derrière à cinquante centimètres de mon nez. Elle fit deux pas, se pencha pour prendre de l’eau dans ses mains et s’arroser le torse. Elle me montra ce que Christèle lui avait montré. J’eus à nouveau le sexe prêt à éclater. Elle tourna la tête pour voir l’effet qu’elle avait fait puis gagna la plage. Je vis alors que Christèle avait suivi Val avec ma serviette. Malgré mon érection, je sortis de l’eau. Marie et Valérie ne se sont pas privées du spectacle, fières d’y avoir participé. Je me suis séché et ai enroulé ma serviette autour de mes hanches, cachant mon érection qui commençait à décliner. Alors que nous allions vers nos copains, Valérie s’est penchée et m’a dit à l’oreille :



Cela a suffi à me refaire bander comme un fou. J’étais surpris qu’elles se racontent toutes ces choses. Val ne pouvait pas connaître le degré d’excitation des autres si elles ne lui avaient pas dit. En voyant la tente que j’étais en train de monter, j’ai eu droit aux railleries de mes cinq amis. Nous sommes rentrés à la maison et, en entrant dans notre chambre, ils nous ont lancé des regards envieux, sachant ce que nous allions faire.


À peine entrés dans la chambre, Christèle m’enleva ma serviette et me poussa sur le lit en me caressant la bite qui avait repris instantanément une position verticale. Elle me fit tomber sur le lit et me chevaucha tête-bêche. Elle prit aussitôt ma queue en bouche et me présenta son sexe à lécher. Elle n’avait pas remis sa culotte après le bain, mais juste sa jupette. Je lapais avec délice son sexe trempé, suçant de temps en temps son bouton d’amour. Elle gémissait presque en continu et poussait de petit grognements de plaisir chaque fois que je la pénétrais avec ma langue ou que je m’occupais de son clitoris. Je malaxais en même temps ses fesses. En voyant son petit trou plissé, je me risquai à y poser la langue. J’eus droit à un grognement en réponse. Je me mis à le lécher afin de le lubrifier, puis le caressai avec un doigt en y entrant une phalange. Sentant que je ne tiendrais pas longtemps, Christèle avait arrêté sa fellation. Elle se retourna sur moi et me demanda :



Sans attendre ma réponse, elle était descendue du lit pour aller chercher le tube de vaseline dans son sac. Elle revint sur le lit, s’assit à califourchon sur moi et me dit :



Elle se mit aussitôt à côté de moi à quatre pattes, me présentant son derrière. Je pris la vaseline et commençai à lui en enduire l’anus en faisant pénétrer un, puis deux doigts. Elle gémissait de plaisir. Après quelques minutes de ce traitement, elle se cambra encore plus et me dit :



Je me présentai derrière elle, la pénétrai normalement pour me lubrifier, puis posai mon sexe sur son petit trou. Malgré la parfaite lubrification, je n’arrivais pas à la pénétrer : dès que je poussais trop fort, elle se fermait malgré son envie de se faire prendre par là. Voyant cela, je descendis du lit et lui dis de venir s’accroupir sur moi. Une fois en place, elle prit ma bite et la guida vers son anus. Elle commença à descendre lentement. Je sentis son petit trou s’ouvrir peu à peu, millimètre par millimètre. Elle me regardait droit dans les yeux, heureuse de me sentir entrer en elle. D’un coup, mon gland fut dans son cul. Elle s’arrêta quelques instants, puis reprit sa descente plus rapidement. Je fus bientôt totalement dans son cul. Elle commença alors à remonter lentement puis, dès qu’elle sentait mon gland au bord de son trou, elle redescendait tout aussi lentement. À un moment, elle se pencha un peu plus en arrière et je pus voir son sexe : il était ouvert comme je ne l’avais jamais vu ; il coulait littéralement de plaisir, j’en avais le pubis trempé. Elle grognait à chaque descente et gémissait à chaque montée.


Je savourais cette nouvelle façon de faire l’amour ; c’était chaud et serré. Je la laissai aller à son rythme. Plus elle montait et descendait, plus elle prenait du plaisir et plus elle semblait avoir du mal à tenir la cadence. Elle décida alors de changer de position. Elle se mit à quatre pattes et me demanda de l’enculer. Je ne me fis pas prier et la pénétrai, comme demandé. J’allais et venais en elle lentement, ressortant presque totalement. Par moments, je sentais son anus se crisper sur ma queue. Elle mordait les couvertures à pleines dents pour couvrir ses gémissements. Je pris ses seins en mains. Ils étaient durs comme du béton, preuve de son excitation. Je glissai une main vers son sexe et commençai à la masturber. Elle se mit aussitôt à jouir très fort. C’en était trop pour moi ; je saisis ses hanches et me plantai profondément en elle, déversant ma semence au fond de son cul. Cela lui provoqua une nouvelle jouissance. Nous sommes restés quelques minutes sans bouger, moi planté en elle, puis je la pris dans mes bras et je nous mis sur le lit sans sortir de son cul. Nous nous sommes endormis comme cela.


Le lendemain matin, nous sommes allés retrouver nos copains pour le petit déjeuner. En arrivant sur la terrasse, les regards qu’ils nous ont jetés ne laissaient aucun doute sur leurs pensées. Christèle expédia son café et ses tartines et me fit comprendre que je devais m’activer. Je ne voyais pas pourquoi, mais me dépêchai quand même. Nous sommes allés prendre notre douche. Une fois dans la cabine, Christèle me tourna le dos et me dit :



Je me suis collé contre elle et ai commencé à la caresser. D’abord les seins, puis le sexe ; il était déjà plus qu’humide. Je mis ma queue dans son ventre et commençai à lui faire l’amour. Elle commença à gémir. Après quelques va-et-vient, je me retirai d’elle. Elle se cambra pour me faire comprendre que je devais changer de trou. Je posai ma queue sur son trou, me demandant si elle allait être assez lubrifiée. Je n’avais pas à m’en faire : ça entra tout seul et je me retrouvai au fond de son cul avant de pouvoir dire ouf. Je restai ainsi quelques instants, savourant le plaisir que me procurait cette pénétration. Je commençai à aller et venir en elle, d’abord lentement, puis en accélérant. Elle souffla entre deux gémissements :



Je ralentis le rythme et m’appliquai à faire coulisser ma bite sur toute sa longueur. Lorsque je voulus caresser son sexe, elle prit ma main et la mit sur un sein. Je compris qu’elle voulait jouir uniquement de la sodomie. Je lui caressai donc les seins en la besognant. Je sentis son anus se crisper sur ma queue, presque à m’en faire mal. Elle se cambra encore plus et je me plantai le plus profondément possible en elle. À chaque spasme de jouissance, son trou se serrait sur ma bite. Elle jouissait comme une folle. Quand elle eut finit de jouir, je voulus me retirer d’elle pour ne pas lui faire mal. Elle m’arrêta en me disant :



Après quelques va-et-vient, je la plaquai contre moi et me vidai en elle. C’était vraiment fabuleux. Lorsque je me suis retiré de son cul, elle dit qu’on avait intérêt à nous dépêcher si on ne voulait pas se faire charrier.

Nous nous sommes rapidement lavés. Alors que je finissais de me rincer, elle s’agenouilla et se mit à faire pipi. Ça me fit bander. Voyant cela, elle demanda :



Elle se releva, m’embrassa et sortit de la douche. Je fis de même. Nous nous sommes essuyés et habillés rapidement. En sortant, nous avons croisé Val qui demanda doucement à Christèle :



Christèle ne répondit rien mais lui fit un grand sourire. Je me suis demandé de quoi elle parlait. Est-ce qu’elle savait que Christèle m’avait offert ses fesses ? Je me demandais jusqu’où allaient les confidences entre les trois filles. Je me promis d’éclaircir ça dès que l’occasion se présenterait.


La journée fut ensoleillée ; nous avons profité de la plage et de la mer. David ne ratait pas une occasion de peloter Christèle. Quant à elle, elle continuait de s’exhiber dès que possible. Val s’amusait à m’allumer ouvertement tandis que Marie le faisait discrètement. Le résultat était que ni Christèle ni moi n’avions besoin de beaucoup de préliminaires pour faire l’amour.


Le soir, après avoir fait l’amour, je demandai à Christèle si elle n’exagérait pas un peu d’allumer David comme elle le faisait. Elle me répondit que ça l’excitait beaucoup et qu’elle avait prévenu David qu’il ne devait rien espérer de plus, et qu’il lui avait répondu qu’il comprenait mais que ça ne lui déplaisait pas.


Le lendemain, la journée fut nuageuse, voire pluvieuse. Ça tombait bien car il fallait qu’on fasse le ménage et des courses. On répartit les tâches : les gars au ménage et les filles aux courses. Les filles sont rentrées assez tard des courses ; nous avions préparé le déjeuner. En rentrant, je remarquai que Christèle et Valérie avaient un regard bizarre. Je me demandais ce qu’il avait bien pu se passer entre elles.


Après avoir mangé, nous avons décidé d’aller faire une sieste. J’en profitai pour lui demander ce qu’il s’était passé avec Valérie le matin. Elle me répondit qu’il ne s’était rien passé, mais je ne la croyais pas. Je lui demandai alors ce qu’elles se racontaient entre filles. Elle me répondit, après quelques secondes d’hésitation :



Je sentais bien qu’elle avait quelque chose sur la conscience. Après quelques minutes de silence, elle finit par m’avouer :



Et après quelques instants :



J’en restai sans voix ; mais rien que de penser à la scène, je commençai à bander. Elle ajouta timidement :



Je la regardai dans les yeux et lui demandai :



Sur ce, elle se retourna en me disant :



Elle me prit la queue en bouche et me présenta sa chatte à sucer. Elle était déjà bien mouillée. Nous avons pris notre temps, faisant durer le plaisir. Au bout d’un quart d’heure / vingt minutes, elle retira son sexe de ma bouche et se retourna pour pouvoir me sucer les yeux dans les yeux. Elle s’appliqua à me faire jouir et à boire tout mon sperme. Une fois qu’elle eût bien nettoyé ma queue, elle s’allongea sur le dos, les cuisses grandes ouvertes. Je compris de suite sa volonté et mis ma tête au creux de ses cuisses. Je léchais, suçais, pénétrais, caressais de ma langue et de mes doigts pour lui faire atteindre l’orgasme, qui ne tarda pas à venir. Elle serra ma tête avec ses cuisses et l’appuya de ses mains sur son sexe. Elle jouit longuement.


Le lendemain, nous chargeâmes les voitures et prîmes la route en début d’après-midi. David et Laurent étaient dans une des voitures, Christèle et moi dans l’autre, et Val et Marie voyageaient entre les deux. À l’arrivée, nous avons raccompagné Valérie chez elle et les garçons ont déposé Marie.