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n° 15929Fiche technique41768 caractères41768
Temps de lecture estimé : 25 mn
28/11/13
Résumé:  Lucile a dévoilé à Marc son jeu d'exhibition et son envie d'aller plus loin. Elle l'incite à inviter son meilleur ami. Ils en tirent beaucoup de plaisir mais Philippe, après coup, se sent mal à l'aise. Elle le rassurera et Marc avouera son désir extrême.
Critères:  h fh fhh extracon extraoffre cocus
Auteur : Bicocu      Envoi mini-message

Série : La voie du cocu

Chapitre 03
Loup y es-tu ?

Résumé des épisodes précédents (récits n°15135 et 15905)  : Marc et Lucile forment un couple très uni et très amoureux. Bien que Marc soit très loin de pouvoir réellement la satisfaire sexuellement, elle s’en est accommodée du fait de ses autres qualités. Lui se rend bien compte que sa précocité trop fréquente et la petite taille de son pénis sont, pour elle, une source de frustration et décide donc de l’amener sur la voie de l’adultère consenti. Pour l’aider à vaincre ses réticences à le rendre cocu, il introduit dans leurs jeux sexuels l’usage de godemichés avec lesquels Lucile se donne de plus en plus de plaisir. Cependant, elle rejette toujours la proposition de Marc qui consisterait à se donner à d’autres hommes. Mais, un jour où elle nettoyait les vitres de son appartement dans une tenue très légère, elle s’aperçoit qu’elle est observée. Elle rentre alors dans un jeu d’exhibition et de voyeurisme avec cet inconnu devant lequel elle prend plaisir à se masturber. Ce jeu qui constitue déjà pour elle une forme de tromperie à l’égard de son mari l’amène à revoir sa position et elle finit par accepter de libérer son instinct et de passer à des expériences plus concrètes.








Marc et Lucile se sont endormis heureux car ils savaient que leur couple allait prendre un nouveau chemin pour le bonheur de chacun. Lucile s’était finalement rendu compte qu’elle avait besoin de vivre des aventures sexuelles indépendamment de l’amour qu’elle éprouvait pour son mari. Son corps réclamait davantage. Elle savait que, maintenant, elle pourrait laisser libre cours à ses pulsions. Elle avait, avec de nombreux efforts et par amour pour Marc, freiné, étouffé même, sa nymphomanie, mais c’était fini ; elle allait relâcher la bête pour son propre plaisir et par amour pour Marc. Son sommeil était agité de rêves érotiques. Elle se réveilla et passa en revue tous les hommes qu’elle connaissait et qui la draguaient plus ou moins ouvertement. Elle fit le tri dans sa tête entre ceux qui lui faisaient envie et ceux qui pourraient toujours courir… Elle se dit qu’un bon amant devait avoir de l’humour et être cultivé pour que les relations soient enrichissantes. Elle ne coucherait donc pas avec n’importe qui. Elle passait également en revue les hommes qui lui plaisaient et qui n’avaient jamais laissé paraître une quelconque attirance à son égard. C’était le cas de Philippe, le meilleur ami de Marc, avec qui elle aimerait bien s’envoyer en l’air.


Pendant qu’elle rêvassait de ses futurs amants, Marc dormait à côté d’elle. Elle le trouvait beau. Il semblait détendu, heureux. Elle reprit ses pensées libidineuses tout en l’admirant. Elle glissa une main sur son corps, son pubis pour atteindre enfin l’ouverture de son sexe. Elle écarta délicatement les lèvres de sa chatte et, fermant les yeux, se laissa aller à ses pensées. Elle se masturbait au rythme des visages qui défilaient dans sa tête : Philippe et d’autres amis, quelques collègues, un cousin, des voisins ou encore ce plombier qu’elle avait fait venir pour une fuite au chauffe-eau et dont elle avait admiré la corpulence. Tous ces hommes passaient et repassaient dans sa tête quand elle repensa aux propos de Marc :



Ce « et même » la travaillait ; elle avait dit qu’elle savait de qui il s’agissait mais en fait elle avait un doute. C’était évident que Marc avait pensé à quelqu’un de sa famille et il n’y avait pas grand monde à l’exception d’un oncle qu’ils ne voyaient que rarement, Christophe le frère de Marc ou encore… leur père, René. C’est vrai que son beau-père était un homme élégant de même pas soixante ans. Elle se souvint de la première fois qu’elle avait rencontré les parents de Marc. C’était un couple étonnant. Ils semblaient extrêmement unis et tout dans ce foyer respirait la joie de vivre. René l’avait tout de suite impressionné. Il paraissait solide et droit mais était également plein d’humour, comme Marc. Elle avait tout de suite senti qu’il n’était pas insensible à ses charmes. Cela se voyait dans ses regards et dans son attitude. Il ne manquait jamais de lui faire des compliments. Il n’y avait cependant rien de déplacé. René ne l’avait pas non plus draguée, mais si elle changeait de coiffure, il le remarquait et lui adressait toujours quelques mots flatteurs. Brigitte, sa belle-mère, était une femme accueillante. Elle aurait aimé connaître mieux. Malheureusement, elle était morte dans un accident de circulation, fauchée par un chauffard. René en était resté profondément abattu… Il avait perdu le goût de tout et avait été arrêté pendant plus de six mois. Durant cette période, il avait habité alternativement chez eux ou chez Christophe. Il finit par surmonter son état dépressif, mais ne reprit pas son travail. Il décréta que la vie était trop courte et que s’il ne prenait pas sa retraite tout de suite il risquait de ne jamais profiter de ses enfants et petits-enfants. Il vendit alors tout ce qu’il avait à Paris pour acheter une jolie maison dans l’arrière-pays niçois, du côté de Menton. Un endroit où, disait-il, tout le monde aurait plaisir à venir. Marc avait sans doute pensé à son père dans ce « et même… », Lucile en était certaine maintenant.


Ces pensées avaient eu pour effet d’effacer de son rêve éveillé tous les autres visages pour ne laisser que celui de René. Ses doigts reprirent leur activité dans son intimité et elle astiquait maintenant son clitoris avec une frénésie nouvelle. Elle se voyait dans un lit avec son beau-père ; de son autre main, elle se caressait les seins. Elle était sûre que René les apprécierait, qu’il les téterait, les caresserait. Puis, n’y tenant plus, ses deux mains se joignirent sur son sexe, deux doigts s’enfoncèrent dans son puits d’amour, son corps se cambra et elle reteint un gémissement. Elle venait de jouir.


Quand Lucile se réveilla, Marc était déjà levé. On était samedi, il faisait beau, le week-end s’annonçait agréable. Elle entendait la douche couler et son homme qui chantonnait. Lucile se leva et écarta les rideaux pour profiter de la lumière. Elle jeta un regard amusé en direction des fenêtres du voisin voyeur, il n’y avait personne… Elle rejoignit son chéri sous la douche.



Marc la savonna et elle se laissa aller à ses pensées, savourant les douces caresses de son homme. Une autre idée lui vint à l’esprit. Ils avaient parlé d’avoir un enfant, elle allait devoir arrêter la pilule et les préservatifs lui provoquaient des cystites et des réactions allergiques. Allaient-ils prendre le risque d’avoir un enfant de l’adultère ? Elle chassa cette pensée de son esprit…


Lucile décida de s’habiller sexy. Elle voulait plaire, séduire. Elle voulait faire tourner les regards, susciter le désir et que Marc puisse le voir. Elle avait envie de l’allumer un peu. Elle enfila donc un petit string en dentelle rose qui laissait entrevoir sa chatte soigneusement épilée et le petit triangle court sur son pubis, une petite jupe aussi courte que légère avec un petit haut vaporeux dont la transparence ne cachait rien de sa poitrine libre. Elle compléta par un trait de maquillage, juste pour souligner son regard et un peu de parfum. En se regardant dans le miroir de la chambre, elle fut assez contente du résultat. Elle avait eu peur de faire un peu pute mais non, elle faisait juste chaude comme il faut ! Un appel au viol comme diraient certains de leurs amis. En la découvrant ainsi Marc en resta bouche bée et mit quelques secondes avant de pouvoir s’exprimer.



Prends des œufs, un rôti, une salade et quelques légumes. Prends aussi un peu d’apéro, on n’a plus rien. Prends également du pain et un dessert à la boulangerie et surtout n’oublie pas de ramener le plus important.



Marc et Philippe rentrèrent avec les courses deux bonnes heures plus tard. Elle avait eu le temps de faire le ménage qu’elle voulait, de dresser la table et de sortir les verres pour l’apéro. Elle accueillit Philippe avec plaisir en appuyant légèrement sa bise sur le coin de la joue, très proche des lèvres de leur ami. Philippe n’en parut pas surpris. Il apprécia le doux parfum de son amie et se sentit légèrement troublé par ce contact.



En disant ça, elle se rapprocha de Philippe et lui a refit une bise appuyée toujours très proche des lèvres. Philippe rougit un peu.



Les deux hommes posèrent les bouteilles d’apéro sur la table basse et rejoignirent Lucile en cuisine. Elle demanda à Marc d’éplucher et de couper les oignons pour le rôti pendant qu’elle préparait la salade et que Philippe épluchait des patates. Marc fit remarquer, en plaisantant, que, comme par hasard, c’est lui qui avait « le truc qui fait pleurer ». Lucile rétorqua que son rimmel risquerait de couler et, serrant Philippe contre elle, dit :



Les quelques bises qu’elle avait déposées, plus tôt, à la bordure des lèvres de Philippe n’avaient pas parues le choquer. Marc avait sans doute parlé avec Philippe de son fantasme. Une foi, Marc dans la cuisine, elle se rapprocha de leur invité pour lui demander à l’oreille.



Marc revint avec les glaçons dans un petit seau et quelques rondelles de citron dans une petite assiette.



Lucile prit un air faussement courroucé. Marc, qui revenait de la cuisine, s’arrêta dans l’embrasure de la porte. Il observait, Attendant le moment où ils iraient plus loin.



Lucile se leva et tourna sur elle-même à la manière d’une ballerine, ce qui eut pour effet de soulever sa jupe et de dévoiler ses attraits. Philippe ne put s’empêcher de la regarder, il était déstabilisé par la vision fugace ses fesses et de sa culotte. Son trouble grandit.



Il saisit Lucile par le haut des cuisses et l’assit à califourchon sur ses jambes. Lucile se laissa mener. Dans cette position, elle sentait, entre ses cuisses, la bosse qui déformait le pantalon de son ami. Il l’enserra dans ses bras et approcha ses lèvres de sa bouche pulpeuse et si attirante. Marc assistait à la scène. Il voyait sa femme de dos, les cuisses écartées au-dessus de celles de son ami. Ils s’embrassaient fougueusement. Il voyait une main de Philippe s’aventurer sur les fesses de Lucile et suivre la ficelle du string. Il était troublé. Son cœur palpitait violemment. Il voulut voir de plus près mais ne souhaita pas gâcher l’instant. Finalement, il s’approcha tout doucement et s’assit dans le fauteuil en face des deux amants qui n’interrompirent pas leur baiser tout de suite. Philippe avait glissé un doigt entre les fesses de Lucile qui semblait s’introduire sans scrupule dans le premier orifice qu’il avait rencontré. Lucile ne semblait pas s’en offusquer ; au contraire, elle bougeait le bassin de façon à faciliter cette intrusion. Marc, le visage cramoisi, avait les yeux écarquillés fixant cette première pénétration adultérine de sa femme. Le sang tapait dans ses veines, il sentait son sexe se raidir dans son pantalon et ne pouvait s’empêcher de masser la protubérance qui le déformait. Il commença alors une discrète masturbation quand Lucile se retourna pour le regarder.



Puis, elle se retourna vers Philippe.



L’apéro et le repas se passèrent tranquillement, les trois amis plaisantaient, l’ambiance était détendue. Philippe laissait négligemment une main sur les cuisses de Lucile et il ne pouvait s’empêcher de l’embrasser. Ils semblaient former le véritable « couple légitime » de la pièce. Marc les regardait sans montrer aucun signe de jalousie, il savait que, tout à l’heure, ils iraient s’isoler dans la chambre. Il attendrait dans le salon. Allait-il devoir attendre le départ de Philippe pour pouvoir retoucher son épouse ? Pourrait-il assister à leurs ébats ? Instinctivement, il s’était occupé de tout le service et maintenant le repas terminé, il entreprenait de débarrasser la table. Quand il sortit de la cuisine avec le café, il vit que le salon était vide. Il entendait dans la chambre, dont la porte était fermée, le rire cristallin de sa femme. Il approcha son œil de la serrure, mais la clé était engagée et l’empêchait de regarder. Il appuya délicatement sur la poignée, mais la porte était bien fermée. « Pas le droit de voir », pensa-t-il. Lucile et Philippe chuchotaient et, de temps en temps, il pouvait entendre leur souffle. Il les imaginait nus sur le lit, se caressant. Puis il n’entendit plus que la voix de Philippe alors que Lucile laissait échapper des « hmm » et d’autres bruits de succion. Philippe semblait apprécier l’utilisation d’un vocabulaire descriptif et un peu vulgaire. Ce détail surprit Marc ; il se demanda si ce n’était pas exprès pour lui qui ne pouvait qu’écouter. Il comprenait que Lucile était en train de faire une fellation à leur ami. Il avait collé son oreille à la porte pour mieux entendre.



Marc pouvait entendre les couilles de son pote claquer sur le cul de Lucile. De toute évidence, il la prenait avec beaucoup d’enthousiasme…



De toute évidence, Lucile prenait du plaisir. Marc aurait voulu voir, mais il ne pouvait qu’entendre. Lucile gémissait de plus en plus en plus fort. Marc se sentait un peu frustré, exclu momentanément du plaisir de sa femme. Il se sentait réellement cocu ! Et ce sentiment prit le dessus dans son esprit et fit instantanément renaître son excitation. « Je suis cocu ! » pensait-il. « Je suis enfin cocu ! » Il se répéta cette vérité et défit son pantalon, l’oreille toujours collée à la porte. Il sortit sa verge tendue à lui faire mal et se masturba au rythme des grincements du lit et des gémissements mêlés des deux amants. Son excitation était telle qu’il explosa très vite, répandant son sperme sur la porte de la chambre. Il laissa son pantalon et son slip par terre devant la porte et retourna s’asseoir dans un fauteuil. Dans la chambre le rodéo semblait ne pas s’arrêter. Il entendit enfin les deux amants atteindre l’orgasme et hurler leur plaisir. Alors il se laissa sombrer dans un sommeil léger. Il fut réveillé par de nouveaux bruits quelques minutes plus tard. Il retourna à la porte de la chambre pour écouter de nouveaux les ébats de sa femme.



Philippe était en train de sodomiser Lucile, ça ne faisait aucun doute. Lui ne passait pas souvent par cette ouverture. Il reprit son sexe en main. Même s’il ne rebandait pas facilement, il sentait que l’excitation revenait. Il entendit le couple de l’autre côté de la porte gémir de plus belle. Lucile hurla carrément et fut rejointe par Philippe.



Puis plus rien pendant quelques secondes que les souffles bruyant des deux amants. Marc restait l’oreille collée à la porte. Il serrait son sexe tendu dans sa main droite.



Philippe ouvrit la porte à Marc. Il était nu. Marc admira le corps athlétique de son ami, son regard se posa sur sa bite encore à moitié gonflée. Elle pendait mollement, un filet de sperme s’en échappait encore et elle portait les traces de son dernier assaut. Elle devait mesurer déjà une bonne quinzaine de centimètres. Il se demanda si, en érection, sa taille se rapprochait de celle de « Ben ».



Marc se dirigea vers Lucile, il l’embrassa d’abord tendrement puis ses mains descendirent le long du corps, la poitrine, le nombril,… Il apprécia la chaleur qui s’en dégageait. Il aventura un de ses doigts entre les lèvres intimes de Lucile et le ressortit poisseux de mouille et de sperme. Il porta le doigt à sa bouche et le lécha. Puis il s’accroupit entre les cuisses de sa chérie et entreprit de la lécher. Lucile l’encourageait :



Marc s’activait avec méthode et douceur. Lucile gémit doucement. Elle lui maintenait la tête en place, tout en le traitant de cocu. Quand elle lâcha prise, Marc se redressa et la pénétra avec fougue. Il la baisa de toutes ses forces et sentit qu’il ne tiendrait pas longtemps. Quand il annonça qu’il allait décharger, Lucile le dégagea de sa chatte et il se répandit sur les draps qui avaient déjà perdus de leur fraîcheur.



Ils retrouvèrent Philippe dans la salle de bain et Lucile le rejoignit sous la douche, bientôt suivie de Marc. Ils rigolèrent car ils étaient un peu serrés et les deux hommes entreprirent de savonner le corps de Lucile qui se laissa faire avec plaisir. Philippe était un peu rassuré de voir son copain de si bonne humeur après l’aventure qu’ils venaient de vivre. Il se dit que Marc était vraiment quelqu’un d’étrange et de très courageux. Car après tout, il fallait quand même du courage pour accepter que sa femme couche avec un autre homme ; même si on rêve d’être cocu. Lui n’en serait pas capable ! Il en concevait un respect encore plus grand à l’égard de son ami. Néanmoins, il trouvait la situation vraiment incongrue… malsaine même. Les deux hommes sortirent les premiers de la salle de bain et Marc proposa à Philippe de prendre enfin le café.



Lucile raccompagna Philippe après le dîner. Marc se mit devant la télé en l’attendant. Il espérait que ce soit long… Cette première expérience était un succès en demi-teinte. Lucile et lui en avaient tiré un plaisir énorme mais ce n’était pas le cas de Philippe qui repartait plein de scrupules. Elle rentra vers deux heures du matin. Marc dormait et elle le réveilla.



Lucile n’ajouta rien à cette discussion. Elle savait déjà qu’il en serait ainsi, que Marc attendrait vraiment qu’elle soit enceinte. Il fallait juste qu’elle trouve un père. Elle ne voulait pas n’importe qui. Il fallait qu’il soit beau, intelligent, au moins autant que Marc si cela était possible, et surtout… bien monté.