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n° 15974Fiche technique24559 caractères24559
Temps de lecture estimé : 14 mn
01/01/14
Résumé:  Coralie est engagée dans un nouveau boulot et découvre ses différents aspects.
Critères:  fh hplusag collègues vacances hotel fmast pénétratio -prememois
Auteur : Larges Épaules  (Homme 50 ans, amoureux des mots et des femmes.)            Envoi mini-message

Série : Coralie, une fille de son temps

Chapitre 01 / 12
Phase d'envol

Je m’appelle André, j’ai quelque peu dépassé la cinquantaine et il me semble que la vie a été relativement clémente à mon égard. Je suis marié, père de trois grands enfants qui s’en sortent pas mal, quelques très bons amis, et les moyens d’assouvir mes modestes passions que sont la lecture et le bon vin. C’est une autre passion, le boulot, qui me permet d’équilibrer tout ce petit monde.


Bien entendu, les trente ans de vie commune avec ma femme n’ont pas été que faciles, mais nous avons globalement dépassé les épreuves, et je n’ai jamais éprouvé le désir d’aller voir ailleurs, si ce n’est en fantasme.


Je travaille pour un cabinet de consultance de réputation mondiale, spécialisé dans les process de production industrielle, et j’ai développé avec mes collègues un centre de compétence spécifique à l’aéronautique qui compte parmi les plus performants au monde.


Dans le cadre du développement d’un nouvel avion, notre plus gros client nous demande de mettre en place une équipe de spécialistes chargés d’aider leurs fournisseurs (tiers 1) mais aussi certains fournisseurs de leurs fournisseurs (tiers 2) à s’assurer de leur effectivité maximale dans le process de mise au point, fabrication, accréditation de leurs produits. Une tâche gigantesque sur 36 mois, d’une grande complexité, qui nécessitera la mobilisation d’une quarantaine de personnes dont j’aurai la responsabilité finale vis-à-vis du client.


Pour la période intense qui s’annonce, j’aurai besoin d’un bras droit dans ce projet. La personne en question se doit de montrer une grande disponibilité vis-à-vis du boulot, connaîtra au moins trois langues européennes, maniera l’informatique (mieux que moi), et sera idéalement passionnée par la tâche, car c’est le seul moyen d’y arriver. Bien entendu, nos niveaux de salaire sont élevés, et un succès de sa part dans le projet serait un sérieux lancement de carrière. Car bien entendu j’ai besoin de quelqu’un de jeune, mais pas trop : le modèle type c’est-à-dire 25 ans et quinze ans de carrière. Ah et enfin, condition essentielle : il faut que j’aie des affinités avec la personne, car nous allons nous côtoyer intensément pendant longtemps.


Forte de ce cahier des charges, la direction RH sélectionne dix CV, internes et externes, et nous décidons d’en retenir trois pour un entretien. Le premier candidat a un parcours et CV impeccables, mais après cinq minutes j’ai compris qu’en fait il trouvait injuste que ce ne soit pas mon poste qu’on lui propose. Le second, en fait une seconde, a le même genre de parcours, mais nous explique qu’elle est passionnée de plongée, et que son équilibre ne lui permet pas de se passer de six semaines annuelles sous les îles à admirer les petits poissons, au-delà des sports d’hiver bien entendu. Au fait, il n’est pas impossible qu’elle soit enceinte, et quand bien même ne le serait-elle pas, elle a du mal à comprendre comment on peut – même momentanément – faire passer son boulot avant sa vie privée. Je lui dis que je comprends naturellement ses préoccupations, qui ne sont malheureusement pas les mêmes que les miennes, et lui souhaite bonne chance. Je lui suggère d’envisager un accouchement sous l’eau dans les tropiques au milieu des poissons, en évitant les zones à requins, un accident étant si vite arrivé.


Nous arrive ensuite Coralie, 28 ans, mignonne sans être une star, avec la posture caractéristique des filles ayant pratiqué la danse classique. Cheveux châtains mi-longs retenus par une pince. Un tailleur classique qui semble avoir été cousu sur elle. Un léger maquillage, pas de bijoux si ce n’est une petite chaîne en or qui apparaît dans un décolleté très sage. La classe.


Elle travaille depuis trois ans à la concurrence où elle a bossé sur des projets industriels dans un domaine un peu similaire au nôtre. C’est son premier boulot après une école d’ingénieurs.

Ses parents diplomates l’ont trimballée en Allemagne, aux USA, en Espagne, et elle parle donc quatre langues essentielles à notre projet.


La conversation se poursuit, et je lui demande ce qu’elle sait de nous. Elle nous sort alors une description assez précise du projet (sensé être confidentiel), et elle explique avoir appris que sa boîte avait été en compétition et qu’elle rêvait d’en être. C’est en effet après avoir appris que nous l’avions remporté qu’elle avait envoyé spontanément son CV. Elle indique aussi que le poste proposé (être mon bras droit) serait son rêve, car apparemment sa boîte actuelle savait que nous étions sur le coup, et savait que je serais en première ligne. Je voyais bien que cette « confidence » lui en coûtait, elle si réservée, mais j’ai aussi perçu qu’il ne s’agissait pas d’une basse flatterie de sa part, même s’il n’est jamais désagréable d’entendre qu’on a bonne réputation.


Je lui demande alors de nous expliquer la manière dont elle voyait son rôle. Elle indique d’abord se sentir un peu « légère » pour un rôle au premier plan, mais qu’elle serait ravie de m’assister dans un rôle de coordination et d’analyse au sein du projet.

Je lui explique ensuite comment j’imagine le poste, mes attentes et exigences, les avantages et inconvénients du job. Tout cela lui semble clair et naturel, et elle indique par ailleurs que la disponibilité ne sera pas un problème. Elle est en couple, mais n’a certainement pas l’intention d‘agrandir la famille avant quelques années.

Je pense que nous avons trouvé la bonne personne, me réjouis de sa présence dans l’équipe, et nous engageons officiellement Coralie. Nous lui demandons de rejoindre l’équipe dès que possible. Elle nous remercie les yeux brillants, ce qui ne manque pas de charme.


La première phase du boulot implique de nombreuses réunions internes et externes, et Coralie s’implique à fond dans ce projet. Je ne suis pas déçu du tout et la qualité de sa prestation dépasse mes espérances. Après deux mois nous avons acquis une vitesse de croisière, et nous commençons à nous comprendre sans parler.


Sur plan plus personnel, nous avons eu l’occasion d’apprendre à mieux nous connaître également. Elle a une relation avec un homme de son âge, qu’elle a rencontré il y a huit ans déjà dans son école d’ingénieurs. Je comprends entre les lignes qu’ils sont heureux ensemble, mais qu’elle est un peu frustrée par certains aspects de la personnalité de son compagnon, qui en est encore à préférer les soirées foot, pizzas et bière avec ses potes. Elle aimerait mieux aller de temps en temps au ciné ou à l’opéra. Je comprends aussi qu’il a le sentiment d’être quelque peu délaissé par sa compagne qui a, il est vrai, des horaires parfois infernaux.

Tout cela est exprimé avec une extrême retenue, et seulement quand Coralie trempe ses lèvres dans un verre de vin, ce qui est rare. Je vous ai indiqué que j’appréciais énormément le bon vin, que je ne bois qu’avec parcimonie. L’idéal eut été que Coralie soit amatrice également, mais je ne désespère pas : les jeunes se mettent souvent à apprécier le vin après trente ans.


Après quelques mois, j’ai senti que ma femme m’en voulait peut-être de passer autant de temps avec une femme aussi jeune. Ce n’était pas vraiment de la jalousie, car elle aurait senti immédiatement si quelque chose de pas net se passait. J’ai donc habilement suggéré que nous invitions Coralie et son compagnon un soir à la maison, ainsi que nos enfants (ils ont pratiquement le même âge) pour faire connaissance.

Ainsi fut fait… Coralie et Matthieu vinrent à l’heure dite, et nos enfants Jean (26 ans) et Olivia (24 ans), tous deux autonomes et vivant à Paris, nous ayant rejoint.


Nous avons passé une très bonne soirée. J’ai eu l’occasion de voir qu’effectivement, Matthieu avait un penchant certain pour la boisson : apéritif, beaucoup de vin et digestif… Il n’a par contre pas brillé dans les conversations variées, et, de manière un peu vicieuse, j’ai amené la conversation sur le club de foot de la capitale dont il est fan, en essayant de me rappeler du nom de ce joueur suédois au nom slave. C’était ce qu’il fallait faire pour éveiller le garçon, même si j’ai surpris chez Coralie une pointe d’exaspération… Il est apparu par contre une connivence certaine entre Coralie et Olivia, ce qui me réjouit. Mon fils ne semble pas être insensible au charme discret de la même Coralie.


À la fin du dîner, quand tout le monde est reparti, ma femme me dit que j’ai de la chance d’avoir une telle collaboratrice, et qu’elle ne serait pas malheureuse de l’avoir comme belle-fille… L’idée ne m’avait jamais traversé l’esprit, mais il est évident qu’elle mérite mieux que Matthieu.

Coralie et moi collaborons maintenant depuis presque un an dans une belle harmonie, et sommes efficaces… Le bonheur ! Jamais je n’ai éprouvé pour elle de sentiment autre qu’amical et bienveillant. Le vieux routard que je suis sachant que mélanger sexe et boulot n’amène pas que du positif.

Nous en sommes arrivés à un stade du projet où il faut remettre à nos « clients » une première série de résultats.


La réunion est prévue en Andalousie, au siège d’un gros sous-traitant et prendra toute une journée. Ce sera un vendredi de mai, veille d’un week-end prolongé. Nous y allons à six, Coralie est de la partie, et arrivons le jeudi soir pour démarrer tôt le vendredi. Nous avons encore l’occasion de finaliser la présentation le soir, et prendre un repas convivial, histoire de contribuer au « team building », aspect des choses que les agendas nous avait empêché de faire suffisamment.


Notre réunion est un succès, le management espagnol s’engageant à mettre les choses en place plus rapidement que prévu et notre client est satisfait… Coralie a joué un rôle central dans la présentation, en convaincant nos interlocuteurs dans la langue locale. Je suis impressionné et ne manque pas de la féliciter, amenant un peu de rouge sur ses joues.


Arrive l’heure de quitter les lieux pour l’aéroport, et on nous prévient que l’aéroport local est en grève, et que notre vol est annulé. Il n’y aura pas de retour possible avant samedi après-midi ou même dimanche… Quatre d’entre nous décident de louer une voiture pour Madrid, dans l’espoir d’y trouver une connexion pour Paris. Je décide de rester en attendant le vol suivant, et Coralie hésite encore entre rester ou rejoindre Madrid avec les autres. Je lui indique que je compte explorer la côte toute proche le lendemain, qu’elle est la bienvenue, mais que je comprendrais très bien qu’elle préfère rentrer au plus tôt. Elle n’aime pas trop les longs trajets en voiture, me dit-elle, et préfère m’accompagner si cela ne me dérange pas.

Nos conjoints prévenus, nous retournons à l’hôtel pour y louer deux chambres pour une ou deux nuits.


Nous passons par le centre d’une petite ville toute proche, histoire d’acheter des vêtements plus seyants pour ce demi-week-end en perspective.

Il fait encore chaud vers 18 heures, mais décidons d’aller nous promener dans la nature locale. Nous pensions y voir des taureaux et peut-être des oliviers, mais nous sommes tombés sur d’immenses étendues de riz, d’un vert tendre à cette époque de l’année. Nous sommes un peu poussiéreux après la promenade et une douche s’impose avant de se retrouver pour la soirée.


Plutôt que reprendre la voiture sans trop savoir ou aller, nous décidons de passer une seconde soirée à l’hôtel et son restaurant où j’avais repéré la veille une série de beaux crus.

Coralie semble très détendue, ce qui doit être l’effet de sa très belle prestation de la journée, mais aussi des conditions idéales de la soirée.

Elle me parle de ses différentes expériences d’enfance dans tous ces pays, de ce qu’elle a aimé et détesté le plus. J’en arrive à évoquer mes souvenirs d’enfance et de jeunesse, de mes doutes et hésitations, passés et présents.


En passant à table, Coralie me demande de bien vouloir lui expliquer le vin, en me disant qu’elle aime ça, même si elle ne supporte pas très bien l’alcool. J’accepte bien entendu, en lui indiquant que je suis intarissable sur le sujet et qu’elle ne doit pas hésiter à me couper si elle en a marre. Cela la fait rire, et elle dit qu’elle le fera sur le vin, mais ne se l’autorisera pas dans nos conversations professionnelles, car on n’interrompt pas un gourou… Comment se fait-il que je ne découvre que maintenant que cette fille a de l’humour ?


Le choix de vins au verre est large, et nous goûtons environ huit vins. Nous avons bien mangé et les huit verres, que j’ai demandé de numéroter pour mes notes, sont largement entamés.

Coralie semble tout d’un coup renfermée avec des larmes au coin des yeux.



Aïe ! Nous voici sur un terrain glissant…



Coralie prend alors un verre de vin et le boit d’un coup. Je comprends qu’elle chercher à se donner du courage.



Elle fait mine de prendre un autre verre de vin, et j’essaye de la raisonner.



Je ne vois pas cela d’un bon œil, mais nous sommes à cinquante mètres des chambres. Au besoin je pourrais la porter.



Elle avale le second verre…



Catastrophe… Nous voici dans une forme de cauchemar.



Je me lève pour aller régler la note, en en revenant à la table, je réalise que Coralie a flûté un troisième verre. Elle est maintenant recroquevillée sur son siège, pleure à chaudes larmes. J’imagine qu’elle n’arrivera pas à marcher seule. C’est plus grave, elle ne parvient pas à se lever non plus. Je la prends donc dans mes bras et la traîne vaille que vaille vers l’ascenseur. Elle pleure toujours comme une madeleine, et me supplie d’entrer dans sa chambre avec elle. Je l’amène à la salle de bains et lui passe la tête sous l’eau froide. Elle n’est pas encore capable de marcher. Je la porte sur son lit et ramène une serviette que je place sous sa tête.


J’entre ensuite dans ma chambre, à côté de celle de Coralie et j’essaye de me calmer. Une douche ne me fera pas de mal, et j’entends Coralie dans la chambre à côté remettre cœur sur carreau. Moins de vin dans l’estomac ne lui fera pas de mal.


Je me couche, et repense à tout cela, en me disant que j’ai peut-être été bien bête de ne pas commencer l’initiation… Une autre occasion de ce type-là ne se représentera sans doute jamais. Mais je pense aussi aux conséquences de tout cela, et tout ce que je pourrais foutre en l’air.

J’ai allumé la télévision car je n’arrive pas à dormir. Deux heures ont passé depuis le drame. J’entends frapper à la porte, que je vais ouvrir. Coralie est là, à pieds nus dans un peignoir de l’hôtel, et me demande d’entrer. Elle a l’air beaucoup plus lucide, mais a toujours les yeux pleins de larmes.



Elle ouvre le peignoir et se dirige vers moi en pleurant… Le peignoir est par terre et je découvre une lingerie d’adolescente, dans le style Petit-Bateau avec un petit nœud sur la culotte.

J’avais décidé que toute cette histoire était ridicule, mais il faut bien avouer que mes dernières défenses étaient tombées. Je prends Coralie dans mes bras, et commence à la caresser sur les épaules et dans le dos. Ses sanglots diminuent, et son corps contre le mien s’apaise…


Nous nous sommes couchés, et j’ai commencé à l’embrasser doucement en lui disant que j’allais essayer de la rendre plus heureuse, à condition que cela n’influe pas sur notre vie professionnelle. Je serais trop malheureux de la perdre… Elle se tortille en tous sens, promenant ses mains partout sur moi.



J’ai alors retiré ses sous-vêtements lignés beige et blanc, et découvert ses très jolis seins et un pubis abondant.



Elle commença alors une sarabande effrénée avec sa main droite sur le pubis et plus bas. Après quelques instants j’ai compris qu’elle n’arriverait sans doute à rien comme cela. J’ai mouillé mes doigts et répandu la salive sur son clitoris, en la caressant doucement. Elle avait les yeux fermés, la respiration plus forte, et se mit à gémir doucement. Ce n’était pas de la simulation. J’en ai profité pour aller vérifier si elle était mouillée.



Coralie continuait à se caresser. J’étais allongé à côté d’elle, je lui suçais les seins, et l’embrassais. Parfois me venaient des flashes de culpabilité pour cette situation, mais j’en tirais aussi beaucoup de plaisir.

J’observais l’excitation monter en elle, et son bassin se cabrer. La jouissance était longue à venir, mais sans doute ne pratiquait-elle pas la masturbation régulièrement.

À un moment elle a voulu me prendre le sexe avec sa main libre et commencer à me masturber.



J’ai alors mis un doigt dans son sexe, puis deux… Elle a joui immédiatement, en criant pour tout l’hôtel.



Elle se mit entre mes jambes et a pris mon sexe en bouche, doucement d’abord, puis plus profondément. Elle allait trop vite, trop brusquement.



Son sexe est un peu odorant, comme épicé. Je sens que ma langue lui fait de l’effet, car elle gémit à nouveau. Mes doigts excitent son clitoris encore sensible. Mes mains se promènent partout sur ses jolis seins et aussi tout près de son anus, dont je teste la résistance doucement. Je me sens venir et change la position.



Nos bouches se joignent, mélangeant nos odeurs.



Je me mets derrière elle et je vois son cul très désirable et son sexe ouvert entre ses poils. J’entre en elle doucement d’abord, puis plus loin, plus fort. Cela lui arrache un cri de surprise, mais elle commence à se tortiller, à bouger, avec ma queue à fond en elle. La sensation est fabuleuse pour moi aussi, à l’étroit dans son petit sexe. Nous restons ainsi une ou deux minutes et elle s’effondre avec la tête dans l’oreiller. Encore plus cabrée, elle s’offre à moi entière, son anus humide devant moi. J’y risque un doigt, doucement, et ses râles augmentent encore.



C’en était fini l’instant d’après, j’avais joui en elle longuement et elle avait à nouveau crié son bonheur.