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Temps de lecture estimé : 17 mn
12/01/14
Résumé:  Coralie a obtenu ce qu'elle voulait de son patron: une initation au plaisir. La formation continue
Critères:  fh hplusag fépilée plage voyage amour pénétratio fsodo -initfh
Auteur : Larges Épaules  (Homme 50 ans amoureux des mots et femmes)      Envoi mini-message

Série : Coralie, une fille de son temps

Chapitre 02 / 12
Coralie prend de l'altitude

Résumé de l’épisode précédent : Coralie travaille depuis un an dans un nouveau boulot, et un voyage d’affaires l’amène, son patron André et elle, en Andalousie. Ils se retrouvent bloqués sur place par une grève aérienne. Elle a demandé hier soir une faveur très inhabituelle à André. Il s’est laissé convaincre après pas mal d’hésitations.








Je me réveille seul le lendemain, au milieu de ces draps qui sentent l’amour. Le soleil est déjà haut, il doit être onze heures. Je suppose que Coralie a dû regagner sa chambre ou alors profite du soleil omniprésent en ce jour de mai.

J’appréhende un peu notre prochain contact en espérant que les événements de la nuit n’auront pas altéré notre relation.


Je la trouve en bas, à la réception, en grande conversation avec la réceptionniste.



Ce premier contact a été le meilleur possible, rien ne trahissait nos escapades dans son regard ou son comportement.



C’est donc très joyeux que nous prenons le petit déjeuner. Coralie se renseigne sur les beaux endroits de la côte où aller à la plage, de préférence isolés.


La boutique de la veille est fermée jusqu’à trois heures, ce qui oblige à continuer sans maillot de bain. Nous improviserons. Une chance que la réceptionniste nous ait passé de l’ambre solaire.

La route est courte jusqu’à la plage, et nous devisons sur la vie et ses surprises. Coralie a mis une jupe assez courte, un débardeur moulant. Elle se comporte normalement, mais n’hésite pas à prendre des poses un peu plus détendues, de celles que l’on a avec ses copains ou copines, mais rarement avec son patron. Il est vrai que nous sommes un peu en vacances.


Nous arrivons à la plage qui est en fait une succession de petites criques, et en repérons une vide. Nous bronzerons donc elle en culotte et soutif, moi en caleçon. Le beige et blanc d’hier a été remplacé par le même modèle en rouge et bleu.



Nous éclatons d’un rire complice.

Nous allons ensuite nous baigner. L’eau est délicieusement rafraîchissante et nous nageons ensemble derrière un groupe de rochers, dans une petite caverne. Il n’est pas facile de s’accrocher pour reprendre son souffle. J’y parviens et Coralie vient se coller à moi en s’accrochant à mes épaules.



Elle se décroche et continue longuement à nager vers le large pendant que je rejoins la plage. Une demi-heure se passe avant que Coralie ne revienne… Son corps est superbe, le froid a durci ses tétons devenus bien visibles, et sa culotte laisse apparaître clairement sa fente. Je repense à ses seins contre moi tout à l’heure et me dis que cela restera un grand souvenir.



Je vois Coralie très émue, et je la sens un peu perdue. Une petite pause permet à chacun de réfléchir un peu et Coralie se rhabille, alors que ses sous-vêtements ne sont pas encore secs.



Elle retire maintenant ses sous-vêtements en gardant sa jupe et son débardeur qui garde les traces d’humidité. Ses seins pointent à nouveau. Elle me dit avoir trop chaud et aimerait sans doute prendre une douche à l’hôtel.

Nous rejoignons la voiture, et elle me prend la main, naturellement, comme le ferait une petite fille qui n’aime pas marcher dans le sable.



L’atmosphère est donc nettement plus détendue dans la voiture vers l’hôtel, et nous parlons de choses et d’autres, comme si rien ne s’était passé. Elle a à nouveau les pieds sur le tableau de bord, et je suis très tenté de lui caresser les cuisses en sachant qu’il serait facile de lui toucher le sexe. Je préfère laisser durer ce moment d’harmonie entre nous. Je sais maintenant que quoi qu’on fasse, nos relations seront bonnes.


Arrivés à l’hôtel, nous prenons des nouvelles de notre avion du lendemain. Il semble que nous ayons eu raison de ne pas rouler vers Madrid, car la situation y est bloquée. Bonne nouvelle, tous les vols du lendemain, dont le nôtre à dix heures vers Paris, sont confirmés. Nous l’annonçons par SMS à nos conjoints. Le portable de Coralie sonne immédiatement, c’est Matthieu, et Coralie s’écarte un peu pour lui parler. J’entends distinctement Matthieu demander si je suis là aussi, et elle répond que non, je suis parti vers Madrid…

Dans l’ascenseur, Coralie me reprend la main, l’embrasse et dit en se collant à moi :



Coralie part dans un fou rire, et m’embrasse tendrement. La porte de l’ascenseur s’ouvre à notre étage, et nous voyons le fameux agent d’entretien, balai et aspirateur à la main. Il n’a toujours pas compris pourquoi nous étions hilares à sa vue.


Arrivés dans la chambre de Coralie, elle insiste pour me déshabiller elle-même, prend ma queue en bouche et me suce très gentiment. Elle noue ensuite un foulard sur mes yeux et me mène à la salle de bains. J’entends ses vêtements tomber au sol et elle m’emmène sous la douche tiède.



Commence alors un ballet de mains extrêmement érotique, qui a coûté une fortune en eau et savon. Elle évite longtemps de me toucher le sexe, et ses caresses seules m’amènent pas loin de la jouissance.



Elle se colle alors à moi et m’enlève le foulard trempé. Elle m’embrasse passionnément, et amène ma main sur son ventre en la faisant glisser vers le bas. Je sens son pubis rasé et je descends encore vers son clitoris et ses lèvres qui sont toutes nues.



La douche fut un bonheur, elle s’est appuyée contre moi, les jambes écartées, et je l’ai caressée doucement, en allant chercher du savon sur ses seins et son ventre. Elle essayait de masser ma queue avec son dos et ses fesses, sans trop de succès, car je ne voulais pas jouir tout de suite. Elle finit par jouir fort par mes doigts…



Elle nous ramène dans la chambre, étend des draps sur le lit et commence à me sucer doucement.



Cette pipe a été somptueuse de sensualité, de douceur. Ses mains massaient mes couilles, et je lui caressais les cheveux mouillés. Elle s’allongea ensuite à côté de moi, m’a embrassé longuement en partageant le sperme, ce qui me procura une sensation supplémentaire. Nous nous sommes ensuite longuement caressés en profitant de l’instant présent, la fenêtre à moitié ouverte amenant un vent tiède dans la pièce. Si ce n’était le paradis, cela y ressemblait sans doute.



Coralie se lève et se dirige vers le fauteuil en face du lit. J’ai l’occasion d’admirer sa ligne superbe, ses petits seins arrogants, en me disant que je n’en ai pas assez profité cette fois-ci.

Coralie relève les jambes, très impudique, et commence à s’astiquer le bouton en me regardant dans les yeux. C’est un spectacle étonnant mais émouvant et je ne peux pas m’empêcher de me dire que j’y penserai la semaine prochaine, quand elle entrera dans le bureau. L’idée m’amuse et je me dis que décidément, cette petite est exceptionnelle.

J’observe le désir monter en elle, et je me dis qu’il aurait été dommage que Coralie ne connaisse jamais le plaisir aussi intense.



Je me place derrière elle, et j’alterne les caresses sur ses tétons, son visage, sa tête….



Je vois Coralie proche de la jouissance et j’arrête le récit.



À ce moment, Coralie explose et crie. La voir ainsi m’a excité, mais je reste derrière le fauteuil et elle ne voit pas ma queue encore en phase de récupération.



Je n’ai pas encore retrouvé la forme, mais je prends ma petite Coralie dans les bras, et la porte sur le lit.



Nous avons un moment très tendre, de complicité et de caresses.



J’étais bien, avec elle contre moi, mais le temps avançait et nous commencions à avoir faim. J’avais envie d’un verre de vin rouge. Nous avons mangé très légèrement dans un restaurant de tapas de la ville. Coralie rayonnait et son sourire me remplissait le cœur de joie. Elle savait y faire pour m’allumer. De petites caresses innocentes, son chemisier entrouvert sur une poitrine nue, la pression remontait.



Je la vois sourire, et je devine ce à quoi elle pense, ce qui me fait rire.



Son pied se promène sur mes jambes, et remonte sur mes cuisses. Mon sexe est heureusement un peu loin.



Le retour à l’hôtel me laisse dans mes pensées, partagé que je suis entre le bonheur de l’instant et l’appréhension du retour. Coralie le comprend et devance mes craintes.



Nous sommes maintenant arrivés à l’hôtel. La tension sexuelle monte un peu, et elle m’embrasse à nouveau dans l’ascenseur. J’en profite pour lui pincer les tétons à travers le chemisier, ce qui la fait tressaillir.



Je suis très excité moi aussi. Une douche froide calme mes ardeurs. J’enfile un peignoir et rejoins Coralie. Elle m’ouvre, et je la vois en culotte. Ses petits seins pointent, ses yeux brillent.



Je mets un doigt dans sa culotte et peux vérifier que son sexe est trempé. En allant plus loin, il me semble aussi que sa rosette est détendue.



Je m’assieds sur le lit et invite Coralie à se coucher sur moi. Je ramène alors sa culotte en un fil, au milieu de ses lèvres. La vue de son abricot m’excite pas mal. Je commence à lui frapper les fesses en cadence. Doucement d’abord, plus vite et plus fort ensuite. Les fesses de Coralie, son merveilleux petit cul prend une teinte rosée, puis plus rouge. Je change d’angle et parviens à la frapper un peu sur le sexe. Je vois à la culotte qu’elle mouille de plus en plus. Elle soupire d’abord, puis pousse de petits aïe, et enfin crie.



Coralie obéit, mais je vois dans ses yeux qu’elle ne s’attendait pas à ce que je la fesse aussi fort. Elle reste debout à attendre les instructions. Elle a les mains croisées devant le sexe, et je la trouve à croquer.



Je vais alors chercher à la salle de bain une crème démaquillante neutre qui servira de lubrifiant. Je reviens dans la chambre et la trouve en position, son cul tout rouge relevé vers moi. Je commence alors un balai avec mes doigts entre son clitoris, son sexe et son anus. J’y mets un doigt d’abord, puis deux puis deux autres doigts dans le sexe. J’entends Coralie gémir, indiquer que c’est bon, qu’elle sent son cul s’ouvrir, mais qu’elle veut que je la prépare encore avant de la prendre.



Coralie s’ouvre alors les fesses au maximum avec les mains. J’ai envie de la prendre partout. J’appuie mon gland contre sa rosette ouverte. Je sens qu’elle tremble un peu.



Ma queue entre doucement et son sphincter s’habitue peu à peu à ma présence. Coralie lâche ses fesses et commence à se caresser le clitoris. Son anus est petit, et serre parfaitement mon pénis, ce qui me procure de grandes sensations. Coralie me dit que cela vient pour elle et qu’elle n’a plus peur. Je commence alors à bouger de plus en plus pour accompagner sa respiration. Elle commence à crier de plus en plus fort et jouit en s’effondrant sur le lit. Ma queue sort d’elle. Elle se retourne et me demande de la prendre.



Commence alors une sorte de danse orientale, faite de mouvements très lents, très profonds. Je la vois se tortiller en essayant d’augmenter mon plaisir tout en arrivant au sien. Elle a les cheveux collés de sueur, une main en train de se caresser le clitoris à nouveau et l’autre derrière elle. Elle me masse les couilles doucement puis son doigt entre dans son anus et masse ma hampe par l’intérieur.



La libération arrive, elle jouit en gémissant longuement, et j’éjacule en elle. Dès qu’elle se retire, elle vient sucer ma queue pour goûter le sperme mélangé à ses sucs. Elle s’allonge à côté de moi et se love contre mon corps.



Nous nous sommes endormis rapidement, dans un climat de grande tendresse.

Nous devions nous lever tôt le lendemain, pour prendre ce fichu avion. J’ai retrouvé Coralie à la réception en tailleur strict.



La pince disparut, et Coralie me regarda avec un sourire qui me fit fondre.