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n° 15982Fiche technique48826 caractères48826
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Temps de lecture estimé : 35 mn
04/01/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Pour occuper sa retraite de militaire, un ancien des Forces Spéciales accepte une mission de protection rapprochée.
Critères:  #policier ffh fbi frousses hotel fdomine pénétratio
Auteur : Starpom      Envoi mini-message

Série : Le garde du corps

Chapitre 01 / 07
Une star pas comme les autres...

Après vingt ans de bons et loyaux services au sein du C.O.S. – le Commandement des Opérations Spéciales – me voici retraité, à quarante ans pile !


Certes, une retraite correcte, fruit de mes années passées dans l’armée, avec toutes les annuités liées au service en Outre-Mer, en première ligne, m’est versée tous les mois mais… je m’ennuie.


Ma femme ayant jugé bon de me quitter il y a quelques années, au prétexte que j’étais toujours par monts et par vaux et que je la laissais sans nouvelles, je me retrouve tout seul comme une andouille dans mon coquet deux-pièces.


Comme tous les matins, je descends au petit troquet qui fait l’angle en bas de chez moi, pour mon traditionnel café-crème-croissant-journal. Comme d’habitude, le patron me hèle par un « Bonjour Chef » habituel. La routine, quoi…



Allez, le journal… Hmmm… bon, le chômage en hausse, comme toujours, malgré les promesses présidentielles, des boîtes licencient, incendies, accidents de la route… c’est sûr que ça met le moral au beau fixe pour démarrer une journée, ces news…


Allez, un coup d’œil sur les offres d’emploi, sait-on jamais. L’une d’entre elle attire mon attention :


« Société de sécurité cherche professionnel de la protection rapprochée avec références.

Poste nécessitant fréquents déplacements.

Casier judiciaire vierge.

Rémunération attractive. »


Un numéro de téléphone, une adresse mail… Point barre.


Pensif, je termine mon petit déjeuner, remonte chez moi et allume mon ordinateur. J’ouvre mon logiciel de messagerie, Windows Mail, que j’ai bidouillé pour faire fonctionner sur mon Windows 8. Je clique sur « Nouveau message », la fenêtre s’ouvre.


« Madame, Monsieur,

Je fais suite à votre annonce parue dans le Parisien de ce jour, concernant le poste de protection rapprochée.

Vous trouverez en attachement mon CV, où vous pourrez constater que, dans un passé très récent, j’avais pour mission entre autres la protection de l’ambassadeur de France en Afghanistan, mission remplie sans incident notoire.

Espérant que ma candidature saura attirer votre attention, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée. »


Bon, ok : un peu léger, le message ; mais d’un autre côté, ils cherchent un agent de sécurité, pas un membre de l’Académie Française…


D’autant que mon CV est plutôt complet :


Brevet Élémentaire de fusilier-marin,

Brevet d’Aptitude Technique de fusilier-marin,

Brevet Supérieur,

Breveté Commando,

Affectation au Commando Hubert,

Affectation au Commando Kieffer,

Missions en Afghanistan, en Lybie, en Syrie, au Liban,

Détaché auprès de la Légion Étrangère en Guyane,

Multi-médaillé, DefNat Bronze, Argent et Or, Mérite, etc… plus toutes les médailles reçues pour avoir simplement été au bon endroit au bon moment : un sacré placard !


La seule fois où j’avais reçu une réponse favorable, c’était pour un poste de gardien de nuit dans un hypermarché, au SMIC !


Au final, je me demande si j’ai bien fait de prendre ma retraite militaire, mais l’armée, comme tout le monde, dégraisse aussi ses effectifs… une question de budget, paraît-il.


Bon, ce n’est pas tout ça, mais il faut que j’aille faire quelques courses : mon frigo commence à être bien vide…

Au moment où je vais pour fermer la porte de mon appartement, mon portable sonne.



Le gars raccroche.


Blackbird, le nom me dit vaguement quelque chose… Ah oui, ça me revient… Ils s’occupaient de la protection des journalistes à Kandahar…

J’ai déjà croisé leurs chemins. Ceci dit, je n’ai pas de mauvais souvenir associés. Bien, voyons voir ça, Google est mon ami, après tout…


Ah ok, c’est quand même une grosse boîte, genre armée privée. Siège au Luxembourg, ben voyons… Chiffre d’affaires… Houlà ! Pas mal !!

Ah, voilà le trombinoscope… Voyons, Delaporte… Le voilà ! Vice-Président ! Ah oui, quand même… Il y a même son pedigree… Capitaine à la Légion Étrangère, dix ans de service.

« Un bon berger allemand comprend 200 ordres… Un bon légionnaire 100 ! » Cette vieille blague me revient à l’esprit… Mais pour avoir travaillé avec des légionnaires, je peux assurer que ce n’est qu’une blague nulle.


Bon, il est temps de me préparer. Douche, rasage de près, tenue passe-partout classique, pompes bien cirées… J’ai presque une heure de tramway et bus pour aller au boulevard Carnot. En voiture, ce n’est pas jouable : impossible de se garer ; et puis, avec le trafic, je mettrais autant de temps.


Le trajet se déroule tranquillement. Me voilà au pied de l’immeuble.

Un grand immeuble neuf, avec beaucoup de baies vitrées, une plaque en bronze discrète :


Blackbird Security Agency

Accueil au RDC


Il est 12 h 50, je suis un peu en avance.


L’hôtesse d’accueil est à son poste. Une petite brune, avec un casque téléphonique sur la tête, et un badge nominatif : « Camille ».



Décidemment, c’est une manie de m’appeler par mon ancien grade !



Je me retourne. La vache, je ne l’ai pas entendu arriver. Euh… il ne ressemble pas du tout à la photo du trombinoscope du site !



Ça commence bien. Je viens d’être testé. Il faut que je reste sur mes gardes.


Nous prenons l’ascenseur, direction le septième.

La double porte s’ouvre en chuintant. Moquette épaisse, bruit feutré. Je dois avouer que c’est assez impressionnant.



Cyril m’indique une porte ouverte. J’entre.


Un grand bureau directorial, avec François Delaporte assis dans un fauteuil club en cuir devant une table basse ; à ses côtés, dans un autre fauteuil, une femme avec une grande chevelure rousse. Du reste, elle m’est vaguement familière.



Ah oui, effectivement, c’est Marlène Monjot, une chanteuse très célèbre ; on la voit partout, à la télé, dans la presse.



Elle me tend la main. Galant, je m’incline et lui fait un baisemain, sans la toucher, comme il se doit.



Ah… bon, wait and see ; manifestement, il y a anguille sous roche : il doit me manquer des éléments d’appréciation…



Dans deux minutes, elle va regarder mes dents, si elle continue…



C’est intéressant comme François Delaporte passe de l’onctuosité mielleuse au pète-sec en un rien de temps…



Nous entrons dans une salle de conférence. Une grande table ovale, des fauteuils, projecteur, écran mural : la totale… Nous nous asseyons face à face.



Il me tend une chemise cartonnée. Je l’ouvre. À l’intérieur, plusieurs feuillets ; à chaque fois le même texte.


« Tu montes sur scène et tu es morte. »



Il me fait glisser une photo sur la table. Je la bloque au passage. On y voit dessus une fenêtre de voiture percée par un projectile.



Ouch… Elle ne va pas être de tout repos, s’ils sont près à aligner autant d’euros…



Vache, il est direct, le père François… Après tout, c’est bien payé, c’est excitant comme boulot, elle a l’air sympa la Marlène, et pas mal foutue en plus… Et je n’ai pas de boulot…



Nous retournons dans son grand bureau. Marlène est toujours assise, en train de pianoter sur son iPhone.



Elle me toise… Elle me détaille de haut en bas. J’ai bien fait de cirer mes pompes, moi…

Ça s’éternise. S’il faut, je viens de perdre la mission…



Il lui tend un document de plusieurs pages, relié en spirale, avec couverture cartonnée. Elle l’ouvre, le feuillette.



Elle sort de son sac un stylo qui doit largement coûter le prix de deux mois de mes services. Elle paraphe les pages, et signe la dernière.



Diable, elle s’emballe, la star… Heureusement, François intervient :



« Ok Julien, zen… Il faut vite reprendre la main, sinon, tu vas te faire bouffer. »



Elle sort dans un tourbillon de chevelure rousse, environnée d’un parfum enivrant que je n’avais pas remarqué jusque-là.



Il prend le téléphone, appuie sur une touche.



Il raccroche.



Il me fait glisser un document. Incroyable, il a tout prévu !



Je le lis. C’est un CDD renouvelable. Tout est mentionné manifestement. La rémunération est conforme à sa proposition. Ah, il est mentionné le port d’arme, je ne l’ai pas…



« Non mais je rêve, je vais me réveiller dans mon lit ou quoi ? C’est quoi, cette boîte… »



Ce sont des munitions pour la neutralisation rapide à courte distance, sans dégâts collatéraux : l’ogive se fragmente à l’impact et ne ressort pas. L’idéal en milieu fermé.



J’appose mon paraphe sur les pages et signe la dernière. Trois fois. Il me donne un des documents.



Il me tend la main.



Je me demande ce qu’il a voulu dire par là…


Armurerie, accueil pour les papiers, le téléphone, le smoking, la radio avec l’oreillette : me voilà paré pour ma mission.



18 h 50, j’arrive dans le hall du Sofitel. Impressionnant est le mot qui me vient à l’esprit. Propreté clinique, température idéale, musique feutrée. Je comprends que Marlène soit descendue dans cet hôtel.



Arrivé au second, je marque un temps d’arrêt. Moquette épaisse, couleurs feutrées, on frise la perfection. 219… 221…ah, voilà… 223.


Je sonne.

En smoking, avec le Glock sous l’aisselle, j’ai l’impression d’être dans un mauvais James Bond…

Un valet m’ouvre.



Il me laisse entrer. Un salon immense, meublé avec beaucoup de goût.

Il y a un monde fou… Trois jeunes femmes l’air affairé, et deux gusses qui me scrutent.

Marlène me hèle depuis sa chambre.



Allons bon, c’est quoi ce cirque ? Je bondis dans la pièce et trouve Marlène en sous-vêtements blancs en dentelle, en train de vider une armoire en jetant les vêtements sur le grand lit à baldaquin.



Je fouille la pièce du regard, mais nous sommes seuls.



La vache, comme elle est jolie, avec ses sous-vêtements en dentelle. L’ambassadeur de France en Afghanistan était beaucoup moins attirant, limite repoussant… J’avise une robe blanche brillante, pendue sur un cintre à un montant du lit.



Une petite brune d’une trentaine d’années, un poil enveloppée, entre dans la chambre, l’air inquiet…



Marlène est en colère, elle a les mains sur les hanches, penchée en avant, comme prête à se bagarrer. Elle est vraiment bien foutue : pas de ventre, de belles jambes, et… un drôle de caractère.



Diane sort de la chambre en m’adressant un petit sourire contrit. Elle ferme la porte.



Elle ôte son soutien-gorge, le jette sur le lit. Elle a des seins magnifiques, pas très volumineux, mais bien fermes manifestement. Et la pudeur ne semble pas être une qualité dominante chez elle. Je sens des fourmillements dans mon sexe. Stop, boulot, point barre.


Elle enfile la robe par le bas, met les bretelles, et me tourne le dos.



Je remonte délicatement la fermeture Éclair. Je suis debout derrière elle, je sens son parfum envoûtant. Ce ne serait pas ma cliente, j’aurais tenté le coup de lui caresser les seins. Mais là, pas bon. Je fais attention à ne pas la toucher, juste la fermeture.



« Ben tiens… Bodyguard-gigolo, en gros. Bon, y’a pire : elle est sublime dans sa robe, et pas trop chiante pour l’instant. Enfin, mis à part l’altercation avec Diane… »



Je lui ouvre galamment la porte tout en appuyant sur le contacteur PTT de mon oreillette.



Elle hésite, réfléchit…



Nous sortons de l’ascenseur et nous dirigeons vers les cuisines.


Il y a un monde fou ! Tous les cuisiniers et les commis sont surpris de voir la grande Marlène Monjot traverser leur lieu de travail. Tous lui sourient, un petit geste. Elle envoie des baisers avec sa main, un sourire pour chacun ; au final, elle est plutôt sympa.

Nous passons devant le chef, très réputé d’après ce que j’ai lu sur la pub de l’hôtel : 3 étoiles ou un truc comme ça.



Elle lui colle une bise sur la joue. Le gars est rouge pivoine… Elle sait manipuler son monde, la star…

Enfin, la porte de sortie. Je jette un œil : la voiture est là, portière ouverte. Le chauffeur me fait un signe de la tête, tout est clair. Go.



Elle monte la première ; je m’assois à côté d’elle à l’arrière. La voiture démarre sans secousse, ni bruit. Ah, les moteurs V12… Quel bonheur, tant qu’on ne paye pas le plein ! Je regarde derrière : rien de particulier. Bizarre. Personnellement, j’aurais mis une équipe à toutes les issues, si je voulais faire des photos ou… autre.


Une petite demi-heure plus tard, nous sommes rendus à destination. Un petit château ou un grand hôtel particulier, avec un défilé de voitures, genre salon de l’auto. Ferrari, Corvette, Mercedes, en veux-tu en voilà ; une Clio, une…



Le chauffeur s’extrait de la file et entreprend le tour du pâté de maisons, à basse vitesse. J’appuie sur le contacteur de l’oreillette.



Une minute passe…



Marlène commence à s’impatienter.



La Mercedes se gare devant l’entrée ; un huissier ouvre la portière. Je sors et jette un coup d’œil panoramique en bloquant la sortie à Marlène.



Tout semble ok ; je repère l’équipe périphérique. Pouce en l’air. Bien.

Je tends galamment la main à Marlène pour l’aider à sortir. Elle me fait un grand sourire, pendant que de multiples flashes crépitent.



Heu…


Elle fait de petits gestes de la main en direction de la foule massée derrière les barrières.



Elle leur envoie des baisers, comme tout à l’heure dans la cuisine.



Un jeune gars tend désespérément un micro vers nous. Un cameraman est à ses côtés, la diode rouge allumée. Ok, on est filmé.

Marlène tend son visage vers moi. Je baisse la tête pour qu’elle puisse me parler discrètement



Je scrute vite fait la foule autour de l’équipe de tournage… Rien de bien particulier, mais la foule est toujours inquiétante.



Un gazman avec une paire de menottes fixée à un IED… Julien, on n’est pas en Afghanistan ! Mais tant pis, sécurité oblige.


Nous nous approchons du micro. J’attrape au vol des commentaires « C’est qui, le type ? », « Il a l’air con, le mec ! », « Ah, elle s’est trouvé un homme… », et ainsi de suite. Je n’écoute pas pendant que Marlène fait son show devant la caméra : je surveille pour tenter de détecter un mouvement anormal, tout en restant souriant. « Ah, bah, je les aurai bien gagnés, les 7 000 euros ! »



Marlène vient de m’attraper le bras en se tournant vers moi. Zut, je n’ai pas entendu un mot de ce qu’elle vient de dire avant. Tant pis



« Combien de quoi ? Ça part en vrille, là… » Heureusement, Marlène répond à ma place :



Enfin, nous nous dirigeons vers les escaliers, toujours sous les flashes.



« Bon, un lac, une pierre, une corde vite ! Elle est shootée ou quoi ? »



« Terrain glissant… comment faisait l’ambassadeur déjà quand il avait une question piège… ah oui… »



« Voilà : plus bateau, tu meurs… »



Heureusement, le dîner se passe sans anicroche. Un repas délicieux, des conversations variées, tout le monde aux petits soins pour ma « dulcinée ». De temps en temps elle me fait des commentaires sur les invités, à l’oreille. Je souris à chaque fois, comme si nous étions complices.

Évidemment, au dessert, il faut bien qu’un des convives mette les pieds dans le plat !



Le gars n’ose pas insister, mais tous les regards sont fixés… sur moi. Heureusement, la fin du repas arrive, et nous pouvons enfin partir.

Une fois dans la voiture, je hasarde une question.



Arrivés à l’hôtel, on se fraye un passage dans le groupe de fans pour descendre dans le parking.

Ascenseur. Suite 223. Ouf, quelle soirée !



Nous nous dirigeons vers sa chambre. Au passage, elle demande à Diane de venir aussi. Une fois dans la chambre, elle ferme la porte.



Je suis scotché ! Je regarde Diane ; elle a la tête baissée, mais un petit sourire est néanmoins sur son visage. Dans quoi me suis-je fourré, là ?



Putain, je ne m’en sors pas, je patauge dans la semoule.



Bon, ça ne loupe pas, je me remets à bander. Une aussi jolie femme qui vous tient des propos pareils, ça ne laisse pas indifférent.



Diane enlève un à un ses vêtement. Elle a une sacrée poitrine, bien ronde, un poil de ventre, une chatte un peu fournie. Elle se tourne pour poser ses vêtements sur un fauteuil. Un beau cul, woahhh… Je suis en érection totale, maintenant…



J’enlève ma veste, dégrafe le holster, range l’arme dans un tiroir. Puis la chemise, chaussures, pantalon, chaussettes. Je suis en caleçon.

Diane s’agenouille devant moi et entreprend de me masser l’entrejambe. C’est divin. Elle y va doucement ; elle me malaxe les testicules, puis caresse mon sexe à travers le tissu. Elle me regarde et me sourit.


Je me penche en avant et lui embrasse la bouche pendant qu’elle continue à me serrer les testicules. Nos langues se taquinent. Diane baisse mon caleçon, prend mon sexe en main, puis le met dans sa bouche. Elle commence une fellation profonde, douce, chaude… je risque de ne pas tenir longtemps.



Elle commence à me les briser avec ses « mes enfants », « les garçons »… On a quasiment le même âge, après tout. Wahouuuuuuuuuuuu. Diane vient de me lécher le bout du gland, c’est trop bon…


J’entends un bruit de tissu froissé. Je tourne la tête : Marlène vient d’ôter sa robe ; elle est en train de dégrafer son soutif. Hop, sur le lit, le soutif. Elle enlève maintenant sa culotte. Ah, j’en étais sûr… Sa toison est rousse aussi : c’est une vraie rousse. Une rousse sublime au demeurant.

Elle s’assoit dans le fauteuil, jambes écartées, et commence à se caresser.



Je relève Diane, la prends dans mes bras et la dépose sur le lit, sur le dos. Je lui relève les jambes, les écarte. Je m’allonge sur le lit, la bouche sur sa chatte, et entreprends de la lécher pour lui rendre la pareille. Je lui lèche soigneusement le clitoris, et je sens qu’elle réagit. Elle a des petites contractions annonciatrices de son plaisir.

Mes mains remontent le long de ses flancs, puis j’empoigne ses seins. Je les malaxe doucement. Les tétons sont déjà durs. Je les taquine. Je les serre entre pouce et index.



Pas de soucis ; je malaxe à nouveau ses globes moelleux.



« Ah, allons bon, la star a des exigences sado, ou quoi ? »

Je fais semblant de serrer le bout des seins de Diane, mais en fait, je ne force pas. Marlène s’en rend compte, manifestement.



Elle se lève de son fauteuil, s’agenouille à côté de nous. J’ai ses fesses à dix centimètres de mon visage enfoui dans la chatte de Diane.



Elle enlève ma main d’un sein de Diane, lui prend le bout entre ses doigts et serre… fort…



Elle a les larmes aux yeux, la pauvre. J’hésite à intervenir.



Pas très cool avec le petit personnel, la Marlène. Néanmoins, je m’exécute. Il faut dire que je suis dans un état, moi…

Je me relève, présente mon sexe devant la fente de Diane, et d’une poussée modérée la pénètre.



Elle se positionne à genoux derrière moi, me prend les hanches et imprime un mouvement long et rapide. Elle me tire tellement en arrière que mon sexe sort de Diane. Marlène a dû s’en rendre compte ; elle se plaque contre moi, prend mon sexe dans sa main droite, le présente devant l’orifice de Diane et me pousse brutalement en avant d’un coup de reins. J’ai sa poitrine écrasée contre mon dos.

Je m’enfonce brutalement dans son intimité, à fond. Mes testicules viennent buter contre les fesses de Diane.



Marlène se lève du lit, fait le tour et s’agenouille devant moi, derrière la tête de Diane. Elle empoigne ses seins et les malaxe.



Ah, fini le tutoiement. Je m’extrais du corps de Diane et la retourne, comme demandé.

Spontanément, elle enfouit sa tête entre ses bras, cambre les reins pour me présenter ses fesses. Je la reprends d’une seule poussée. Elle ruisselle, ça rentre tout seul. Je commence mes va-et-vient.

Marlène s’allonge, écarte les jambes, puis elle saisit les cheveux de Diane et la force à relever la tête. Elle descend un peu, présente son sexe à la bouche de Diane. Elle appuie ensuite la figure de Diane sur sa chatte. Immédiatement, Diane commence à lécher sa patronne. Je continue à la prendre. Le spectacle est hyper érotique, je sens le plaisir venir.



Elle tient la tête de Diane à deux mains et lui imprime le mouvement qu’elle aime.


Un peu dépité, je sors mon sexe du ventre de Diane. Je recalotte mon gland, puis m’assois sur le lit. Le spectacle est des plus sympathiques. Diane est toujours à quatre pattes, et lèche sa star de patronne.


Je commence à me masturber.



Allons bon. Dans l’état où je me trouve, m’obliger à regarder sans rien faire, ce n’est pas le top ! Je regarde les fesses de Diane. Sa position fait qu’elles sont écartées, son petit trou est bien visible. Tentant…



« Aïe, ça y est : emmerdes en approche… »



Putain, elle est en train de partir, on commence à ne plus comprendre ce qu’elle dit. Il faut dire que Diane y va gaiement. Tiens, elle doigte Marlène maintenant, je n’avais pas vu.



La figure de Diane est trempée du plaisir de Marlène. Bon, faut que je trouve une solution, j’en peux plus, là…



Ah bah non, la sodomie, ce n’est pas trop mon truc. Mais présenté comme ça, résultat immédiat. Mon sexe est dur comme du bois. Je m’approche de Marlène. Elle se masse les seins, tout en écartant les jambes. Je me présente devant l’ouverture et la pénètre doucement. Elle semble apprécier.



Je la prends de plus en plus vite, de plus en plus profond. Je sens son plaisir monter, et le mien aussi.



Marlène vient de jouir.


À ce moment-là, une main empoigne mes bourses et les serre modérément. Immédiatement, j’éjacule. J’ai à peine le temps de sortir du ventre de Marlène ; je l’asperge du nombril jusqu’aux seins… Je me vide en plusieurs saccades. Je me retourne. Diane continue à me tenir les testicules…



Bien joué ! Ceci dit, je n’avais pas l’intention de la sodomiser.



Diane s’exécute.



Elle se lève du lit et s’enferme dans la salle de bain. Diane et moi sommes sur le lit, nus.



Elle est limite hilare…



Surréaliste, la conversation. Nous sommes face à face, à genoux sur un lit, nus… Elle a croisé ses mains sur son ventre. J’ai à nouveau envie d’elle. Je lui caresse l’épaule…



Elle saute du lit, enfile à toute vitesse ses fringues et sort de la chambre. J’entends l’eau couler dans la salle de bain. Je suis perplexe… J’aimerais bien me rhabiller, mais aussi me laver… Et puis dormir un peu, il est tard…

Enfin, l’eau est coupée. Quelques instants plus tard, Marlène surgit de la salle de bain, une serviette enroulée autour de ses cheveux.



Ok, message reçu. Je me resape et je sors. Diane a disparu ; il n’y a qu’une petite blonde assise dans un canapé, en train de feuilleter un magazine.



Avec toutes ces péripéties, j’avais complètement zappé ça.



Jolie, Amélie… Blonde comme les blés, fine, pas très grande, mais un joli petit minois. Je comprends mieux pourquoi Marlène « s’amuse » avec elle aussi. Elle est complètement différente de Diane.



« Et Diane ne sait pas se taire… », pensais-je en même temps.



Tout en devisant, nous parcourons le couloir et arrivons devant la chambre 211.



Elle entre dans ma chambre. Je la suis. Elle ferme la porte à clé.



Houlà, ça dérape, là… Ceci étant, Amélie… très jolie ! Et elle a les yeux qui brillent.



Elle enlève son vêtement à toute vitesse, s’allonge sur le lit et écarte les jambes. Elle a le sexe rasé, sa fente est bien visible.



Immédiatement, Amélie se met aussi à se masser les seins. J’ai de nouveau une érection. Je me désape et m’agenouille entre les jambes d’Amélie.



Je pénètre Amélie d’une poussée lente mais régulière, comme tout à l’heure avec Marlène. Elle mouille déjà, la gamine… Quelle équipe !


Pendant près de dix minutes, je lui fais l’amour. Amélie halète. Je ne l’embrasse pas, vu que je n’avais pas embrassé Marlène. Je n’y avais même pas songé, en fait. Étrange…

Enfin, je sors et éjacule sur son ventre.



Hop, elle disparaît en trente secondes, à peine rhabillée.


Une douche, au dodo. Quelle soirée ! Je me demande ce que me réserve la suite de la mission… Je suis vidé.




À suivre