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Temps de lecture estimé : 25 mn
18/01/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  La star arrive à Nice, en prévision de son concert géant.
Critères:  #policier fh ffh frousses hotel voyage fdomine fgode fsodo
Auteur : Starpom      Envoi mini-message

Série : Le garde du corps

Chapitre 02 / 07
Une star pas comme les autres...

Résumé : Julien Renard, un ancien des Forces Spéciales à la retraite depuis peu, accepte une mission de protection rapprochée pour une Star de la chanson ayant reçu des menaces de mort.

Sa première journée de travail lui fait découvrir une facette insoupçonnée de la Star, sa sexualité particulière, sa façon de dominer ses collaboratrices, et son goût pour les situations ambiguës.

Pour l’instant, il arrive plus ou moins à contrôler la situation, mais cela va-t-il durer ?









Le pilote vient de faire l’annonce, nous sommes presque arrivés à destination.


Sympa de voyager dans un avion privé, un Falcon 900 de chez Dassault Aviation.

Je ne suis pas sûr que ce soit plus économique qu’un vol commercial, mais Marlène ne semble pas avoir de problèmes d’argent, manifestement.

L’avion est plein : outre Marlène et moi, il y a Diane, Amélie, Robert, le régisseur, Michael, son ingénieur du son attitré, Sophie, son attachée de presse et Sandrine, sa coiffeuse personnelle. Ainsi, bien sûr, que le pilote, le copilote et une hôtesse.

À bord, c’est confort total. Cuir, moquette épaisse, acajou… un palace volant, et relativement silencieux en plus. Sans parler des fauteuils club… Ça me change des avions militaires !


Je consulte l’agenda de la diva. Bon, rendez-vous à 13 h pour déjeuner au Negresco, où elle a pris une suite, la 107, au dernier étage… Deux autres chambres ont aussi été réservées : une pour les hommes, une autre pour les femmes. Trois par chambre, en gros…

Après-midi shopping de prévu… Aïe ! Je n’aime pas trop ça, elle va faire une cible facile.


Je m’assois à côté de Marlène, qui est plongée dans la lecture d’un roman depuis le décollage.



Allez hop, un SMS à destination de l’équipe qui contrôle le périmètre. Il faut qu’ils soient informés. Le SMS partira automatiquement lorsque l’on sera posé au sol.


L’atterrissage se déroule en douceur. Roulage, parking. Une voiture et un minibus nous attendent à la coupée.

Une fois la passerelle de débarquement installée, nous quittons l’avion et prenons place dans les véhicules. J’ouvre la portière à Marlène… Bon, très lourde, la portière. La voiture est blindée, parfait.



Je prends place à côté d’elle.



Parfait, ça. Au final, une mission de tout repos… Un coup d’œil sur mon smartphone : le SMS est bien parti.


Une demi-heure plus tard, nous voici au Negresco. Arf, il en jette, l’hôtel… Des chasseurs prennent nos bagages, des voituriers habillés en groom s’occupent des voitures. La classe, quoi…

Chacun se dirige vers sa chambre ou sa suite. Amélie m’intercepte au passage.



Elle me dit ça avec un petit sourire en coin…



Eh bien non, je n’ai pas l’intention de raconter quoi que ce soit à quiconque, quoi qu’il arrive.


Bon, suite 107… Ah oui, c’est presque tout le haut de l’hôtel, en gros. Tout l’étage pour la Diva et sa suite…

Salon, salle TV, une « petite » chambre pour moi, dans les 40 mètres carrés tout de même… Je vais finir par y prendre goût, si elle continue à me traiter comme ça.



Allons bon, elle a encore perdu sa robe ? Je la rejoins dans sa suite. Ouch… Ça, c’est de la suite ! 80 mètres carrés minimum, lit, divan, bureau, cabinet de toilette, meubles d’époque… Ça envoie du lourd !



OK : garde du corps/gigolo/barman. Je progresse…



J’hésite à lui répondre « Oui maman », mais François a été clair : classe, respect et efficacité. Ne pas compromettre de futurs contrats…


Je prépare deux whiskies-coca et les lui apporte dans sa chambre.



Il est midi ; encore une heure avant le repas. Normalement, l’équipe de protection a dû vérifier les lieux. Effectivement, un SMS m’indique que tout semble normal.

Je vais dans ma chambre pour appeler le siège.



Bon, j’ai faim, moi…



Il ne manquerait plus qu’elle dise « Rompez ! » Mais c’est vrai qu’elle veut tout diriger…

Je sors de « ma » suite, et vais toquer à la porte des filles.



Sandrine et Amélie me regardent. Diane n’est pas là, apparemment.



J’entre dans la salle de bain. Il y a de la buée. Je distingue vaguement Diane à travers le panneau de douche.



Je me déshabille rapidement ? J’ai le sexe au garde-à-vous ! Décidément, Marlène sait bien manipuler son monde, moi y compris. Enfin, je suis bien ingrat de me plaindre ; j’avoue que Diane me plaît beaucoup… Profitons-en !

J’entre dans la douche. Diane m’accueille avec un grand sourire. Elle a les cheveux trempés, elle est plus que craquante…

Immédiatement, elle saisit mon sexe d’une main et commence à me masturber.



Elle met du gel douche dans sa main et entreprend de me savonner de ses deux mains. Si elle continue, je vais jouir immédiatement, moi !



Elle décroche la douchette et me rince soigneusement. Le jet puissant me procure des sensations à nouveau… Quelle coquine, la Diane !



Elle se retourne. Je prends le flacon de gel douche, dirige le jet vers le mur, et entreprends de la savonner. Les épaules, le dos, les reins, et ses somptueuses fesses. Je m’y attarde, je les malaxe, les caresse…



Elle se penche un peu en avant et se cambre. L’odeur du savon est omniprésente.

Je glisse un doigt entre ses fesses et commence à lui savonner son petit trou. Elle se cambre encore plus.

Je remets un peu de gel sur mon majeur, et délicatement j’entreprends de le lui enfoncer dans son anus. Elle ne dit toujours rien, pas de mouvement de recul… Ma main gauche empoigne son sein et le malaxe.



Bon, il semblerait qu’elle apprécie…

Mon majeur est complètement enfoncé dans ses fesses. Je lui embrasse le cou. Au passage, j’arrête la douche. Mon sexe est appuyé sur sa hanche, dur comme du bois.



Je sors mon doigt du fessier de Diane, règle la douche. Nous nous rinçons. J’en profite pour l’embrasser et chahuter sa langue.



Hop, peignoir pour nous deux. Je ramasse mes vêtements. J’entrouvre la porte de la chambre. Le couloir est vide. Parfait.



Je lui tiens la main ; nous trottinons dans le couloir. Heureusement, la suite est tout à côté.

Elle est vide ; Marlène doit être dans sa chambre. Très bien. Nous entrons dans la mienne et je referme la porte. Je pose mes fringues sur un des fauteuils et range le Glock dans un tiroir.

Diane ôte son peignoir et s’allonge sur le lit. Elle est magnifique. J’enlève le mien. Mon sexe est un peu moins tendu, du fait de la course dans le couloir.

J’enjambe Diane. Je suis accroupi sur elle, et entreprends de l’embrasser. Elle saisit mon sexe et recommence à me caresser. Nous nous embrassons longuement. J’ai envie d’elle, c’est pas croyable.



Je me retourne. Diane happe mon sexe dans sa bouche, et je plaque la mienne sur sa chatte. Ma langue part à la recherche de son clitoris, le trouve, et commence à le lécher. C’est divin…

Je sens que Diane a des contractions. Son plaisir doit monter. Du reste, je ne suis pas loin d’éjaculer, moi… Elle suce divinement, la petite !

Je continue de plus belle. Elle soulève maintenant par intermittence son dos, de plus en plus fort…



Ça y est, elle a joui. Son sexe devient tout chaud, encore plus trempé… Diane accélère, je… je… je… Arf ! J’éjacule dans sa bouche. Elle l’a fait exprès !



Je me vide longuement. Elle continue à me pomper. Je vais pour la lécher encore un peu…



Évidemment, la porte s’ouvre, et Marlène entre dans ma chambre !



On a l’air malin, Diane et moi… Je suis à quatre pattes sur elle, mon sexe dans sa bouche, les bras retenant les jambes de Diane bien écartées, sa chatte bien en vue… Le temps est comme suspendu…



Marlène contourne le lit, se penche sur Diane et l’embrasse sur la bouche. Leur baiser est long. Je n’ose pas bouger… C’est un truc de dingue, ça…



Elle se redresse.



Demandé aussi gentiment, comment refuser ? Je me relève et m’allonge, épaule contre épaule avec Diane.



Elle s’agenouille sur le lit, penche la tête vers mon sexe et le prend en bouche. Pourtant, vu la situation, il est tout mou… Je sens sa langue qui me titille le bout du gland.

Diane se redresse et se met de côté, appuyée sur le coude. Elle m’embrasse.

J’ai la main à quelques centimètres des fesses de Marlène, mais je n’ose pas bouger. Mon sexe reprend un peu de vigueur, vu le traitement de faveur de la diva… J’ai ses cheveux sur les abdos. Ils sont abondants et parfumés. J’ai à nouveau une érection.


Marlène me prend le poignet et guide ma main droite vers ses seins. Je passe ma main entre son bustier et son soutien-gorge, et commence à lui caresser les seins.

Avec les doigts, j’arrive à me glisser sous le bonnet du soutien-gorge. Je taquine le bout d’un sein, qui est tout dur.


Diane se relève, contourne le lit, s’agenouille derrière Marlène. Elle saisit sa jupe, la replie sur ses reins. Ensuite, elle fait glisser lentement sa culotte vers le bas. Enfin, elle plaque sa bouche sur le sexe de la diva et entreprend de la lécher.

De son côté, Marlène accélère le mouvement. Je ne vais pas tarder à jouir, moi… Elle est moins « soyeuse » que Diane, plus brutale. Mon sexe coulisse dans sa bouche de plus en plus rapidement.

Quelques instants plus tard, Marlène se redresse brutalement, la tête en arrière. Mon sexe retombe sur mon ventre…



Diane vient de la faire jouir.

Elle se relève, remonte sa culotte, remet sa jupe.



Et hop, elle sort de la chambre !



Diane s’agenouille sur moi, prend mon sexe et s’empale dessus. Elle commence à s’agiter pour le faire coulisser dans son ventre.



Elle s’agite de plus en plus vite. Ses seins bougent dans tous les sens. Je les attrape et les caresse.



Vite, je me dégage, bascule Diane sur le côté. À ce moment-là, j’éjacule et lui projette du sperme sur son corps…



En disant cela, elle étale mon sperme sur son ventre, ses seins…



Elle entre dans la salle de bain. Quelques instants plus tard, j’entends le bruit de la douche.

Décidément, elle a une sexualité compliquée, la diva. Ceci étant, ça a l’air de plaire à Diane. Elle doit aimer lécher sa patronne. Serait-ce pour la prime ? Ou par plaisir… Les deux, je pense.

Diane me rejoint sur le lit.



Après un bon déjeuner dans un petit restaurant de la promenade des Anglais, nous rentrons à l’hôtel.

Rien de mieux qu’une daube provençale pour reprendre des forces…


Je vais faire le point avec le responsable de l’équipe de protection. Tout est carré : les lieux ont été reconnus, les véhicules sont prêts ; ça semble baigner.

Je vais jeter un œil au bar de l’hôtel. OK, des clients, rien de bien inquiétant. Ah ! si, un journaliste je pense, vu l’attirail photo qu’il transporte.

Je retourne dans ma chambre. Il est 15 h. Je m’allonge sur le lit, j’allume la télé sur BFM, histoire d’être un peu au courant de ce qu’il se passe en France et ailleurs.

On frappe à ma porte.



Marlène entre. Elle referme la porte.

Elle vient s’asseoir sur le lit. Elle est en peignoir.



Mais où veut-elle en venir ? C’est quoi ces questions bizarres ?



Le silence s’éternise…

Je m’assois à côté d’elle.



Limite si elle ne se met pas en colère…



Bon, encore une corde à mon arc… Psy… Je ne suis pas sorti de l’auberge, moi…



Elle a la tête baissée ; elle est attendrissante. Je sens que je vais faire une connerie. Tant pis, après tout, c’est elle qui est venue vers moi. Je lui soulève la tête doucement et l’embrasse. Au début, elle garde les lèvres serrées. J’essaie de les lui écarter avec ma langue ; enfin, elle ouvre la bouche. Nos langues se chahutent… D’une main, je lui caresse les cheveux, la nuque. Délicatement, je défais le nœud de son peignoir. J’écarte les pans du vêtement. Elle est nue dessous. Je lui empoigne un sein, et le caresse…

Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle ne réagit pas beaucoup. Elle est appliquée, mais sans plus. J’hésite… Continue, continue pas ?



Super romantique. Bon. Je lui enlève le peignoir. Elle sort les bras des manches. Elle est nue, assise au bord du lit sur le peignoir. Je me lève, me déshabille. Ensuite, je m’agenouille sur le lit, derrière elle. Je passe les bras sous les siens et lui prends les seins. Je les caresse, les malaxe doucement. Toujours pas l’ombre d’une réaction… À tel point que je ne bande quasiment pas. Je ne sais pas trop quoi faire… Avoir une aussi jolie femme entre ses bras, ne pas bander, avoir mille questions qui tournent dans la tête… J’aurais mieux fait de faire une sieste.



Bon, je fais quoi, moi ? Je la viole ? Je me rhabille ? On fait un scrabble ? Pfff, pas facile !

D’un coup, je serre un peu brutalement ses seins.



Je les malaxe, pince le bout… Ensuite, je l’allonge sur le lit, la fais pivoter pour qu’elle soit dans l’axe du lit et la retourne sur le ventre. Je m’agenouille. Mon sexe est contre ses fesses. Je m’assois sur elle. Je lui masse le dos, les bras.

Elle ne dit toujours rien.

Je me penche en avant et frotte mon sexe contre sa raie. J’appuie fort… Ses cheveux sont étalés sur le lit, et forment une couronne. Je lui embrasse le cou, tout en continuant à me masturber contre son magnifique petit cul.

Bon, ben rien, pas de réaction. Ça casse un peu tout…

Je m’agenouille à côté d’elle.



Je lui mets une petite tape sur les fesses.



Ah, ben voilà autre chose… Une deuxième claque, toujours légère…



Elle cambre les reins et soulève les fesses.

Bon bon bon… Une troisième, un peu plus appuyée, mais toujours légère…



Vraiment déjantée, la patronne…



Elle ne se fait pas prier. Elle a maintenant les fesses en l’air. Elle tourne la tête et me regarde.



Décidément, elle fait une fixation sur la sodomie, ou quoi ?



Je lui remets une petite tape sur les fesses.



Je mets un doigt dans sa chatte. Elle commence à être humide…



La diva se relève et se met à genoux face à moi… Son visage s’anime enfin… Elle est devenue exubérante ; rien à voir avec la femme atone qu’elle était il y a cinq secondes…



Marlène se lève, remet son peignoir, me passe la main dans les cheveux et sort de la chambre.



Elle sort en sautillant, aérienne presque… Quelle transformation !

Bon, quand elle a une idée derrière la tête, elle ne l’a pas ailleurs, la miss…

Je prends mon téléphone et appelle Diane.



Cool, cool, ça, on va voir. Quand je vais lui dire que Marlène veut que je l’encule devant elle, elle risque de déchanter…

Marlène est de retour, avec un sac de voyage noir.



Effectivement, on vient de frapper à ma porte.



Diane entre. Elle est elle aussi en peignoir, que du reste elle enlève dès que la porte est refermée. Elle est vraiment bandante !



Diane s’exécute. Elle se cambre bien, relève bien ses magnifiques fesses, bien écartées. Ah ! la vache, elle doit deviner ce que veut sa patronne, ce n’est pas possible autrement !



Et paf, elle lui claque les fesses ! Elle y est allée gaiment, bien plus que moi tout à l’heure…



Paf ! Bon, au moins, elle a tapé moins fort. J’ai eu peur un instant qu’elle s’emballe, la diva.



Elle ouvre son sac pendant que je fesse Diane. Je tape doucement, plus caresses que claques. Je n’aime pas la violence gratuite… Diane dandine des fesses…

Marlène sort de son sac un gode bleu et un flacon de gel. Elle enduit le gode de gel.



Diane est à fond dans son rôle de petite fille apeurée…



Marlène apprécie ce genre de situation, manifestement… Elle a une main entre ses cuisses et se caresse gaiement…

Elle présente le gode entre les fesses de Diane et l’enfonce progressivement.



Elle est en train de partir en vrille, la diva… Elle enfonce complètement le gode dans Diane.



Je m’exécute. Je fais semblant de forcer ; je ne tiens pas à faire mal à Diane…

Diane enfonce sa tête dans l’oreiller comme si elle souffrait. Enfin, j’espère qu’elle simule vraiment !



Elle enfonce et ressort le gode avec une amplitude et une vitesse de plus en plus grandes.

Diane gémit… De temps en temps, Marlène claque les fesses de Diane. Enfin, elle sort le gode des fesses de Diane.



Elle me tend un préservatif. Je l’enfile sur mon sexe, me positionne derrière Diane.



Marlène se branle de plus en plus vite. Elle va finir par jouir, si ça continue.

Je m’enfonce doucement dans les fesses de Diane. Une fois bien à fond, je commence mes mouvements de bassin.



J’augmente l’amplitude du mouvement. Mon sexe rentre et sort du cul de Diane de plus en plus vite… Marlène s’allonge sur le lit, la tête à côté de celle de Diane.



La vision de mon sexe rentrant entre les fesses de Diane est fantastique.

Marlène a ses jambes écartées et continue à se besogner fougueusement… Elle passe une main sous le torse de Diane. À tous les coups, elle est en train de lui pincer les seins…



Je sors des reins de Diane, ôte le latex, le jette dans un coin de la chambre. Ensuite, je me mets sur Marlène, la pénètre brutalement. Je sens sa main qui continue à la branler pendant que je lui fais l’amour.



Diane est toujours à quatre pattes. Elle se caresse aussi. Elle a toujours les fesses en l’air.

Je serre très fort dans mes bras la diva et m’enfonce en elle le plus loin que je peux. Son sexe est trempé.

D’un coup, je sors mon sexe de son ventre, la retourne, la mets elle aussi à quatre pattes et je la reprends, en levrette cette fois…



Elle continue encore et toujours à se masturber avec sa main…

Diane se relève. Elle me sourit. On s’embrasse. Je ne vais pas tarder à éjaculer…

Je continue à prendre la diva. Mon ventre claque sur ses fesses…



Ça y est, Marlène a joui… Tout l’hôtel a dû l’entendre… Quelle nature, cette femme !



Je continue. Le plaisir monte… Marlène a de très jolies fesses, qui battent la cadence. Plus petites que celles de Diane.

Diane passe derrière moi et me saisit les bourses. Elle serre… Vite, je sors et j’envoie mon sperme sur les fesses de Marlène…



Elle se penche sur les fesses de sa patronne et lèche soigneusement mon sperme.



Diane lèche maintenant le sexe de Marlène.



Diane prend mon sexe dans sa bouche et me suce soigneusement partout.



Diane se lève, enfile son peignoir puis sort de la chambre.



Nous sommes allongés sur le lit, côte à côte.



Euh… Je demande un temps mort… Mariés ? Elle a pété un fusible ou quoi ?



En disant cela, elle roule sur le côté, se plaque contre moi et m’embrasse goulûment. Sa main attrape mon sexe et le caresse.

Elle regarde ensuite sa montre.



Mais elle se fiche de moi, en plus ! Heureusement, son grand sourire ramène les choses à une juste proportion.



Elle sort de ma chambre, toute nue. Son peignoir est resté sur mon lit. Je le porte à mes narines ; il sent bon, le parfum de Marlène l’a imprégné.


« Bon, allez, fini le plaisir, au boulot. Il y a un taré dans la nature que je dois intercepter. » Je m’habille. Jean, tee-shirt, blouson ample pour masquer le holster du Glock.

Je sors le pistolet, éjecte le chargeur. Il est plein. Je manœuvre l’ensemble mobile. Tout fonctionne parfaitement, aucune munition n’est engagée dans le canon. Je remets le chargeur et range l’arme dans son étui.



(à suivre)