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Temps de lecture estimé : 24 mn
11/02/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  L'aveu de ce rêve m'a perturbé. Où est le fantasme ? Où est la réalité ? Je mène une enquête et me retrouve pris à mon propre piège.
Critères:  2couples couplus jalousie trans fellation préservati sandwich fsodo hsodo confession -travesti
Auteur : VincenLise  (RobertAne)            Envoi mini-message

Série : Un prénom qui sent le soleil

Chapitre 02 / 02
Tarzan sans sa forêt

Résumé du premier épisode :


Une nuit, j’ai surpris ma femme Lucie à se caresser. Elle m’a avoué avoir fait un rêve où j’invitais un autre homme avec nous. Son récit nous a bien chauffés et je l’ai baisée avec envie. Mais l’homme qu’elle m’a décrit, fort, puissant et musclé, ressemble trait pour trait à son moniteur de sport dans la salle qu’elle fréquente. Le rêve n’est-il qu’un fantasme ?






Les semaines suivantes je me suis transformé en cocu potentiel qui surveille sa femme, par tous les moyens possible. Je ne suis pas très fier du rôle que je joue mais je m’y conforme en me disant qu’il vaut mieux savoir. Combien de fois je me pose la question sur ce que je ferais si je découvrais quelque chose ?


Régulièrement, je vais attendre Lucie à la sortie de son cours de gym et vais jusqu’à prendre un abonnement pour avoir accès aux locaux. Cela me permet de faire connaissance avec le fameux « Lorenzo », véritable star de la salle, chéri de ces dames et même de ces messieurs. C’est un gars sympa, pas avare de conseils. Malgré tous mes efforts je ne note aucune familiarité avec Lucie. Bien sûr ils se tutoient, plaisantent et chahutent même, mais jamais je ne les vois ailleurs que dans la salle ou dans le hall d’entrée. La bise est le moment où ils sont le plus proche et manifestement c’est un salut très fréquent dans ce milieu car « Lorenzo » passe son temps à « biser » ses élèves.


Parallèlement je surveille les mails et la messagerie de Lucie. Rien. J’essaye aussi de la questionner « sur l’oreiller », faisant allusion à ce rêve, à l’environnement qui correspond trait pour trait à une plage près de notre résidence secondaire, à la scène de voyeurisme tout en abordant à peine le Tarzan providentiel. Rien, rien de marquant. Le seul point est que petit à petit ce rêve perd son côté tabou. En plaisantant, je lui prédis que l’été prochain, je trouverai cette plage qui existe vraiment aux dires de ce voisin et que je l’entraînerai pour que nous allions regarder. Elle ne proteste même pas.


Pour le Tarzan, pas moyen d’avoir des détails. Elle prétend ne plus s’en souvenir. Reste cette scène de double pénétration et surtout cette demande évoquée dans le rêve de possessions plus entreprenantes. Depuis cette nuit je m’applique à reproduire la scène, sans le deuxième sexe d’homme bien sûr. Mais j’ai commandé un gode plus gros et régulièrement je m’en sers comme deuxième queue. Elle ne proteste pas, au contraire s’y prête volontiers, et pour peu que je devienne un peu dominant, elle atteint de beaux orgasmes.


Là aussi, lorsque je plaisante en disant que bientôt je ne pourrai plus la satisfaire et que je vais passer une annonce pour trouver un Tarzan, elle ne fait que rire. Mais il y a beaucoup de la coupe aux lèvres, du rêve à la réalité. Ce n’est pas parce que je bande lorsque je m’imagine surprendre Lucie en situation avec son prof, la bouche pleine de la queue déployée, que je suis prêt à le vivre vraiment. Et elle ? Pourrait-elle faire l’amour avec un autre ? Peut-être ! Mais devant moi ? Qui sait ?


Ce qui m’a décidé à sauter le pas ? Probablement parce que Lucie m’a parlé d’une copine qui avait largué son mec car « au lit c’était devenu la routine ». J’ai contacté Lorenzo sans lui dire que Lucie était ma femme. Je suis resté vague sauf en lui décrivant le rêve et que je voulais faire la surprise à mon épouse pour son anniversaire. Il n’a même pas été surpris, comme si on lui proposait tous les jours de venir faire le troisième dans un couple. Un moment j’ai même cru qu’il allait refuser. Alors j’ai dit que ma femme était la Lucie qui venait à son cours. À ce moment son œil s’est allumé, mais pas d’exclamation du genre « Si c’est Lucie, alors d’accord ». Il m’a dit :



Quand je pense que ma Lucie fantasme sur ce mec !



Alors si elles se connaissent ! En plus cela me fera une partenaire.



Ce n’est pas hypocrite ce genre de question ? Mais je n’ai pas l’habitude de jouer les entremetteurs.



Waouh, une lesbienne ! Je serais curieux de voir cela. Nous prenons rendez-vous, non sans qu’il insiste bien en disant :



J’étais prêt à tout accepter !



Voilà la réaction de Lucie. Alors que je m’attends au minimum à une réticence, d’inviter un homme dans notre couple, elle ne fait que me dire que je ne me rends pas compte de ce que j’ai fait, non pas pour elle, mais pour moi.


Quoi, elle a peur que je flanche devant le spectacle de ma femme avec un autre ou une femme. Je n’ai pas encore parlé de Carmina. Une chose à la fois. Ses remarques ne font que renforcer ma détermination.



Elle éclate de rire.



Elle m’inquiète. Quel est le lézard ?



Le soir est arrivé. Lucie s’est faite belle. Elle est restée longtemps dans la salle de bain et j’ai même reconnu l’odeur de la crème qu’elle utilise pour faire disparaître les quelques poils rebelles. Elle m’a charrié en me disant que je devrais moi aussi faire le ménage pour montrer le meilleur à nos invités. Je l’ai écoutée, ce n’est pas tous les jours qu’une belle brune vient à la maison.


Lucie reçoit nos invités. Bises de circonstances. Je découvre Carmina, brune mince avec une poitrine qui déforme sa robe où j’imagine déjà y glisser ma queue. Mais on n’est pas des sauvages et on bavarde comme si de rien n’était, alors que je ne peux pas dégager mon regard du décolleté de la femme. Une poitrine comme cela doit être un nid douillet où une queue peut disparaître sans effort. En revenant de la cuisine avec une nouvelle bouteille de champagne, j’ai la surprise de découvrir que Carmina est en train de rouler une pelle à ma Lucie. En silence je rejoins Lorenzo sur le canapé et tout en ouvrant la bouteille je ne quitte pas des yeux le couple en face. Lucie se laisse faire, petite chose entre les mains d’une maîtresse. Son regard croise le mien. J’y lis la surprise et j’essaie de la rassurer d’un sourire. Sa partenaire l’abandonne un instant pour reprendre sa coupe de champagne, et la conversation reprend comme si rien ne s’était passé.


Je n’ose bouger. Je me souviens des conseils de Lorenzo. Ne faites rien, laissez-nous tout organiser. Lucie me questionne du regard mais je fais l’homme qui sait et qui assure. Carmina reprend son jeu de séduction. Elle prend Lucie par la main pour la faire lever et entreprendre un corps à corps où Lucie n’est toujours qu’une poupée entre les mains qui la caressent et une bouche gourmande qui fouille la sienne. Les deux femmes sont de la même taille, seins contre seins, pubis contre pubis. Lorenzo se penche vers moi et me dit :



Lui aussi a remarqué que ma femme, même si elle ne repousse pas Carmina, ne cesse de regarder dans notre direction. Trois clics et je transforme notre salon en une zone d’ombres qui s’éclaircit un peu lorsque nos yeux s’habituent. Il a raison, tout semble plus diffus et intime. Le seul éclairage que j’ai conservé est celui du couloir qui mène à la cuisine. Ainsi, Lorenzo et moi sommes à contre-jour. Les femmes ne doivent plus que nous deviner, ombres chinoises émergentes de la tache noire créée par le canapé.


Je redeviens un spectateur attentif, guettant chaque mouvement des deux corps qui se frottent. Enfin, je vois les mains de Lucie accepter de se détacher des épaules de son amie pour aller se poser sur ses hanches. Il me semble aussi que le baiser est plus intense, que les visages bougent, signe de langues qui bataillent. Depuis longtemps Carmina caresse le corps de ma femme et c’est sans surprise que je vois sa robe se détacher, d’abord des épaules, puis glisser jusqu’au sol sans que les deux femmes se séparent vraiment. Elle ne laisse pas Lucie reprendre son souffle et s’attaque à la lingerie.


La bataille est gagnée. Ma femme est nue, poussée contre le fauteuil par sa maîtresse et alors qu’elle s’y installe, Carmina fait tomber chemisier et jupe pour ne garder qu’une culotte. Je peux voir cette poitrine de rêve, lobes parfaits, gros mais pourtant fermes, portant fièrement une féminité magnifique. Il est évident que la chirurgie a fait son œuvre sur cette femme et lui a donné des attributs de déesse.


La seconde suivante je n’ai plus que le spectacle de Carmina penchée entre les jambes de ma femme. Une croupe charnue dont la raie cache le fin tissu de la culotte. Des hanches que je me retiens de ne pas aller prendre à pleines mains. Des épaules rondes et surtout une chevelure qui ondule au rythme de la tête qui s’active. Une tête qui disparaît entre les cuisses de ma douce Lucie. Ma douce femme que la pénombre a libérée. Il fait cependant assez clair pour que je puisse voir sur son visage la progression des caresses de sa maîtresse. Les cuisses sont largement ouvertes pour offrir sa féminité. Je connais ce petit pincement des lèvres, ce plissement des yeux et ces petits souffles qui accompagnent son plaisir. Je voudrais m’approcher pour mieux profiter du spectacle mais n’ose pas, de peur de détruire l’ambiance.


Pourtant Lorenzo se lève. Debout il paraît encore plus grand depuis la place que je tiens. Je le vois faire sauter ses habits, sans un bruit et se rasseoir. D’un geste il m’invite à faire comme lui. Quelques secondes plus tard je libère ma verge déjà bien tendue du spectacle et le rejoins sur le canapé. Les femmes s’activent. Lucie gémit. Soudain une main rampe sur mon bas-ventre et vient se saisir de ma verge dure. C’est mon voisin qui explore mon dard. Quelle étrange situation ? Jamais un homme ne m’a branlé. Ce n’est pas désagréable. Mais peut-être attend-il que je fasse comme lui ? J’ose avancer une main. Elle rencontre un ventre plat, descend à la recherche d’un sexe que je ne découvre que mollement alangui, sans la vigueur que je m’attendais à y trouver. Le spectacle des femmes ne lui a pas encore apporté l’excitation nécessaire.


Bien vite, je sens que le membre réagit à mon contact. Le serpent semble ramper sur le ventre. Il se déploie lentement. Enfin la verge durcit et ma main peut s’emparer d’un bâton d’homme. Je ne résiste pas à la curiosité d’aller palper les bourses avec mon autre main. Il fait trop sombre, mais mes doigts sont des yeux qui découvrent que la bosse du pantalon de sport n’était pas une coquille falsificatrice. Lorenzo est fort et musclé de partout. La bite est en accord avec l’homme, longue et large. J’ai bien du mal à en faire le tour avec la main et les bourses ne sont pas en reste. J’ai une pensée coquine pour Lucie qui va devoir s’enfiler ce morceau de gourdin. Le Tarzan de son rêve en avait-il une si longue ? Mari prévenant, je décide cependant de protéger son petit cul d’un tel monstre.


Mais Lorenzo en veut plus. Alors que j’entends les gémissements de Lucie qui jouit de sa maîtresse, une main puissante se saisit de mon cou pour me forcer à fléchir le corps. Ma tête se retrouve sur le ventre de l’homme et pour éviter de me rompre les reins, je m’agenouille sur le canapé. La main continue de me pousser pendant que l’autre présente le sexe vertical. La pression cesse. Je suis libre de mes mouvements. Seule la verge est maintenue bien verticale, monument dressé en face de mon visage. Je vois maintenant ce que l’ombre me cachait mais que mes mains avaient identifié. Elle est encore plus grosse que je pensais. Que faire ? Mon cerveau se torture. Je ne suis pas certain qu’il soit tout à fait serein et libre de toute contrainte. Mon sang doit charrier des flots d’hormones. Si je refuse, nos invités ne vont-ils pas partir car je n’aurai pas joué leur jeu ? Alors, fini ce qui avait bien commencé.


Il suffit que je fasse ce que Lucie me fait si souvent. Mes lèvres touchent pour la première fois le bout d’un gland, découvrant cette douceur et la peau si fine qui semble si fragile. J’y découvre la fameuse goutte que tous les hommes sécrètent dès qu’ils sont excités. Goût anodin, sans saveur, ni odeur. Étrangement je pense un instant que c’est moi qui ai déclenché cette érection. Mes mains. Mes doigts. Mes branlettes. Ma présence, peut-être ? Je m’essaye à avaler le gland, mais renonce devant sa taille. Comme tous les hommes, j’ai toujours une pensée que je reconnais inconvenante dans le monde où nous vivons, devant ces femmes qui ont de grandes bouches. Des actrices bien connues, des passantes dans la rue que mon cerveau imagine fellatrices divines, capables de nous pomper avec ardeur. Pardon pour ces pensées malhonnêtes. Mais après tout, n’est-ce pas du même genre que ces femmes qui se font refaire les lèvres pour les gonfler ?


Si je ne peux pas l’avaler, au moins je peux le sucer et le lécher. Étrangement la queue est lisse, uniquement marquée par la base du gland. La hampe est une tige bien droite avec une peau légèrement graveleuse mais sans plus. Même les bourses sont lisses. Je les imagine, machine à produire du sperme qui va bientôt aller inonder la chatte de ma Lucie. Mais non, suis-je bête. Pas question. Protection obligatoire. Le jus que je sens sourdre dans les couilles ne va se répandre que dans la capote ou peut-être en dehors du vagin.


La pièce est maintenant silencieuse. Je n’entends plus que le bruit de ma bouche et de ma langue qui s’activent. Qui s’activent au service de Lucie, pour bien préparer cette verge, la rendre encore plus dure mais aussi plus humide et glissante afin que son vagin la reçoive avec plaisir. L’ombre bouge. Un autre visage s’approche. Je reconnais ma femme qui vient me rejoindre. Nos langues, dans une perversité que je n’aurais jamais imaginée, se rejoignent autour de cette queue, mât dressé pour des assauts futurs. Nous jouons, complices dans la luxure, comparses d’un rêve inachevé, avec le bâton tendu.


Je sursaute. Quelqu’un vient de se glisser derrière moi. Cela ne peut être que Carmina. Elle me branle de ses mains de femme, plus douces que celles de Lorenzo. Mieux, sa bouche et sa langue se glissent dans mon sillon que je lui propose dans une position plus féminine que masculine. Sa main me caresse. Sa langue glisse de mes bourses à mon petit trou, dans une feuille de rose que je n’ai jamais osé demander à Lucie. Pire, un doigt semble vouloir forcer le passage. Il entre et elle joue à le faire avancer et tourner comme un homme le fait dans la chatte de sa maîtresse. Et toujours cette bouche qui semble se délecter de ma raie comme d’une gourmandise.


Mais Lorenzo bouge. Il doit se sentir prêt. Lucie comprend. Moi aussi. Il se cale dans le canapé. Si je recule, je suis assez prêt pour tout voir. Car je veux tout voir, tout enregistrer dans mes neurones, afin de revivre ce que j’imagine depuis tous ces mois, après ce rêve déclencheur. Elle se redresse. Juste assez pour avancer et s’agenouiller sur l’objet de son désir. Elle ferme les yeux. Est-ce qu’elle se voit dans la forêt, plongée dans ce rêve érotique alors que Tarzan va l’embrocher ? Peu importe que ce soit elle qui s’embroche ou lui, en tout cas la queue de Lorenzo me semble un monstre à la porte d’une chatière minuscule. Pourtant la chatte s’ouvre sous la poussée du gland, pointe arrondie et profilée pour l’usage. J’imagine aussi que le travail de Carmina associé à ma salive favorise l’intromission. Lucie garde les yeux fermés mais sa bouche est ouverte. Pensée idiote de mâle pervers et qui imagine que la queue qui avance chasse l’air de la grotte humide, et que cet air ressort par la bouche.


Un instant d’inattention et la queue a déjà disparu. Comment un tel mandrin peut-il posséder ma douce Lucie ? Miracle ! Sa fente distendue écrase maintenant les couilles du taureau. Elle est assise sur lui, chevillée par un axe de chair improbable. Je n’ai plus qu’une pensée, aller prendre ma place. Participer au grand mystère de la sexualité et réaliser ce que mon imagination envisage depuis des nuits.


Lucie se penche en avant dès que mes mains se posent sur ses épaules. Nous sommes dans le même trip. Son anus est humide et ma queue trouve le chemin, missile dirigé par mes hormones. Entrer est facile, humide et glissant, chemin manifestement déjà préparé par Carmina, adjointe à notre plaisir. La suite est plus rude. En rêver, le penser, l’imaginer, le construire ! Bêtises. La place est occupée. La queue de Lorenzo est en place et ne cède pas de terrain. Centimètre par centimètre je force le passage. J’ai peur de blesser ma douce Lucie, mais si elle souffre, rien ne sort de ses lèvres. Enfin, je prends la place qui me revient. C’est fait. Ma douce femme est prise en sandwich, fantasme maintenant assumé. Je n’ose bouger, lui laissant l’initiative. Après tout c’est elle qui est envahie par le monstre de Lorenzo. Ma propre queue n’est qu’un complément, mais indispensable, queue de mari, propriétaire des lieux qui accepte de sous-louer pour le plaisir de la femme.


À nouveau je sens Carmina qui vient ajouter sa touche sur mes bourses et ma raie. C’est agréable, ce petit plus. Ce petit plus que je dois certainement transmettre aux autres.


Waouh ! La coquine pousse à nouveau son doigt dans mon anus. La secousse a ébranlé l’édifice mais la vague retombe alors que le doigt me quitte. Mais elle joue avec son pouce car je sens que c’est plus gros. Une poussée et il force. La coquine. La coquine, la coquine. Le pouce est trop… Il est trop… Je suis coincé, enchâssé dans le cul de Lucie. Ce n’est pas un pouce, non. C’est plus gros, plus long, comme si… comme un… comme une… une queue, une queue d’homme. Ma main découvre des bourses. Carmina est un homme. Il m’encule. Il me sodomise.


Mais comment ? Un éclair et je comprends la surprise de Lucie lorsque j’ai parlé de Carmina. Elle savait. Elle savait que c’était un homme. Enfin, en réalité mi-homme, mi-femme. Des seins de déesses ! Un sexe normal ! Elle, il ? est tout contre moi. Son sexe est en moi. Je sens sa queue et la pointe de ses seins en même temps.


Lucie tourne la tête et sourit. La s… elle s’est bien gardée de vérifier ce que je savais au sujet de sa copine. Elle jubile. C’est son jour de gloire. Son fantasme en cours d’assouvissement grâce à moi et en prime son petit chéri de mari est enfilé par-derrière. J’ai de l’amour propre. Je ne vais pas crier au scandale, jouer au mari « chochotte », incapable de supporter ce qu’il demande à sa propre femme. Si, j’en ai lourd sur la patate, ou plus exactement gros dans mon cul, mais je ne le montre pas. Au contraire, je réponds par un sourire. Lucie se tortille. Ma propre queue m’entraîne avec elle et par ce mouvement mes fesses et ce qu’elles contiennent bougent autour de la bite de Carmina.


Ouf ! Heureusement que ce n’est pas celle de Lorenzo. La sienne je la sens bien contre ma verge, hampe contre hampe, son gland devant atteindre des profondeurs insondables. Ma Lucie est gâtée. Est-ce qu’elle retrouve les sensations de son rêve ?


Mon enculeur(se) bouge maintenant. Je sens ses mains venir sur mes hanches pour les saisir et j’ai la nette impression de me transformer en maîtresse lorsqu’il commence à bouger son dard en moi. Lucie a-t-elle les mêmes sensations que moi ? Son conduit anal est-il plus innervé que le mien ? Question idiote, et pourtant je n’avais jamais réfléchi si le gay passif avait aussi son plaisir, autre que celui de voir son amant jouir en lui ? En tout cas me voilà passif, enfin c’est une façon de dire car Carmina ne se contente déjà plus de petites poussées mais, comme je ne proteste pas, toujours cet amour propre, il passe à la vitesse supérieure. Son ventre claque contre mes fesses et me pousse chaque fois un peu plus dans Lucie. Ma queue rampe contre la queue de son amant, gagnant millimètre après millimètre.


J’ai la bizarre impression que mes couilles sont devenues des boules qui oscillent entre celles de Carmina et Lorenzo. La partie tourne un peu à la débandade lorsque Lucie décide de jouer sa propre partition. Moi aussi, je suis en sandwich entre Lucie et mon enculeur. Je décide de les laisser faire et de ne devenir qu’une chose entre leur corps. C’est agréable de se laisser faire et je comprends les femmes qui se soumettent à leur amant. Pas de décision à prendre, juste se laisser porter par le plaisir et ouvrir ses sens au maximum pour profiter de chaque instant.


J’écoute la douce musique des queues qui pistonnent, des liquides qui « floquent », des chairs qui frappent et surtout les gémissements de ma Lucie. Ses reins sont des furies qui s’activent, poussant nos mandrins au plus profond de ses orifices, les tordant pour mieux les sentir et se baiser avec. Chaque mouvement est accompagné par un soupir. Chaque soupir chasse le suivant, plus long, plus fort. Je la connais bien, ma Lucie. Je sens lorsque sa voix change, précurseur de l’orgasme qui monte, et que les souffles vont se transformer en cris de plaisir. Elle s’active si bien que je ne résiste plus. Moi aussi, la jouissance arrive et j’inonde son cul de mon jus ajoutant mon râle à ses gémissements.


Mon enculeur continue son action, et sa queue transporte à la mienne toute la puissance de la possession. Enfin je le sens faiblir, ralentir et jouir en moi. Quelle étrange sensation de sentir que quelque chose se déverse alors que la capote en retient tout le fluide ! Mais c’est aussi une succession de frissons qui accompagne l’éjaculation. J’imagine ce qu’une femme doit ressentir avec un sexe en elle alors que son amant éjacule au plus profond de sa grotte le flot de liquide brûlant qui jaillit avec force et apporte l’ultime liqueur qui va se joindre à la sienne.


Tout concentré sur ma personne, je ne vois pas que Lorenzo jouit à son tour. La capote doit exploser si les couilles libèrent tout ce que ma main a senti tout à l’heure.


C’est le temps du repos. Lucie se charge de faire circuler des verres. Lorenzo est à ma gauche, Carmina est à ma droite, Lucie s’est assise en face. Quelques paroles sont échangées, étrangement des mots pudiques comparés à la violence sexuelle de notre partie. Chacun confirme que c’était bien. On ne me demande pas si j’ai apprécié la sodomie. Les petits fours sont bienvenus. Le sport ouvre l’appétit. Carmina se rapproche de moi. Penchée sur moi, la cachottière vient pour m’embrasser. Baiser surprenant. Goût de lèvres parfumées, langue inquisitrice et surtout ses deux magnifiques mamelons à portée de mes mains. C’est la femme que je caresse et qui réagit lorsque je pince les tétons. Mais je sais maintenant que si je descends le long de son corps, c’est un sexe d’homme que je vais découvrir. Peu importe, je me laisse embrasser et déguste ce plaisir simple et presque oublié avec ma femme.


Je sens aussi que le canapé bouge sur ma gauche. Je ne vois rien, le visage de Carmina augmente encore la pénombre, mais mon ventre perçoit un contact. Une bouche embrasse mon nombril, lèche mon ventre pour aller découvrir ma verge en repos et alanguie sur mon pubis humide des traces de sperme. La bouche se saisit de mon sexe, petite chose molle, et le gobe jusqu’aux couilles. Carmina me quitte et je peux voir alors que la bouche est celle de Lorenzo. Maintenant je vois mieux. En relevant la tête je remarque qu’une lampe a été rallumée. Pas la peine de demander qui l’a fait. C’est Lucie. Lucie, presque hilare, accroupie à quelques pas et qui profite du spectacle. Nos regards se croisent et ses yeux pétillent de malice. Elle se régale du spectacle de son mari qui se fait sucer par un homme, et quel homme, le Tarzan de son rêve qui se transforme pour l’occasion en bouche gourmande ! En plus il n’est pas seul, Carmina s’est aussi approchée comme si ma pauvre petite queue était devenue le centre du monde.


Quel spectacle ! Deux hommes agenouillés pour mon sexe. Un sexe qui donne des signes de vigueur retrouvée. Peu lui importe le genre de la bouche qui le pompe, je le sens se déployer, toujours au chaud et au secret dans la bouche de Lorenzo. Un œil à gauche et un œil à droite me montrent que les sexes des hommes qui se battent autour de ma verge montrent aussi de l’intérêt. Je m’en empare pour les branler. Les deux hommes grognent sous mes caresses et Lorenzo abandonne un instant mon mât dressé pour échanger un baiser plus que baveux avec Carmina.


Ce spectacle m’intrigue. Serait-ce possible que Lorenzo… Un regard vers Lucie me conforte. Elle sourit devant tant de questionnements. Mais que je suis bête ! J’ai devant les yeux la réponse à toutes mes questions. Lorenzo est gay, ou au moins bisexuel. Voilà encore la raison des questions de Lucie devant mes invitations. Elle savait. Décidément elle s’est jouée de moi.


Chacun à leur tour les deux hommes me sucent, échangeant des baisers comme des amants. De mon côté j’astique leur sexe avec entrain, persuadé que la soirée n’est pas terminée. Lucie qui s’est levée revient avec une capote et les hommes lui cèdent la place pour qu’elle m’en recouvre. Par geste elle semble organiser le tableau suivant. Lorenzo monte sur le canapé pour s’y agenouiller tout en s’appuyant sur le dossier. Carmina en fait le tour et donne à Lorenzo son sexe en bouche.


C’est Lucie qui me conduit derrière son Tarzan. Les fesses sont musclées, les cuisses des poteaux. Mais la raie semble délicate tant la chair est lisse et rose. Lucie, ma Lucie, celle que je trouve parfois trop sage, place ses mains si menues sur les lobes musclés. Elle écarte doucement les chairs et je vois, littéralement hypnotisé par tant d’audace, son doigt qu’elle vient de mouiller de salive, montrer puis entrer dans la corolle sombre et totalement fermée du petit cul de cet homme si grand. Un, deux aller-retour et l’anus s’assouplit. J’assiste sans un mot à ce viol accepté et même souhaité car le petit trou semble vouloir vivre et respirer.


Un geste sans réplique et elle me livre l’anus de son Tarzan. Est-ce improvisé ou délibérément calculé ? Peu importe. Comme j’hésite elle me pousse en avant. Lorenzo est concentré sur la fellation de la queue de son amant. Un amant qui d’ailleurs ne se prive pas de donner des coups de reins ravageurs afin de pousser son engin le plus loin possible. Moi, j’avance précautionneusement. Le mouvement des coussins qui plient sous mon poids doit donner une idée de ce qui se trame derrière Tarzan. Peu lui chaut, comme on disait avant. Au contraire, je devine un mouvement des cuisses qui se préparent.


Comme le grand César, grand consommateur d’amants, je décide de passer le Rubicon. Ma queue trépigne d’impatience et pointe le trou du cul de cet homme agenouillé devant moi. Une simple poussée et l’anus s’ouvre devant ma légion qui continue sur sa lancée. Alea jacta est ! Le cul est vaincu sans grande bataille. C’est presque trop facile. Déjà mon ventre est contre les fesses, mes couilles frappent les siennes. Un grognement bien discret, car étouffé par la bite de Carmina qui s’active dans la gorge de notre amant commun, montre que ma venue est bien sentie. Lucie, devenue femme maquerelle, me flatte les bourses et me susurre à l’oreille :



Elle se moque, mais je m’en fous. Enculer cet homme si fort, si grand ou même les fesses sont des muscles d’acier m’apporte une sorte de puissance dominatrice. Pourtant il manque quelque chose. Mais oui, Lucie n’est que spectatrice. Trois hommes présents et ma femme est seule. Je décide de réagir. Et si j’en profitais pour la punir gentiment de ses sarcasmes ?


J’abandonne mon amant un instant. Lorenzo, tout en continuant de sucer Carmina, me suit du regard. J’attire Lucie sur le canapé, la plaçant en levrette, en poussant sa tête afin qu’elle me montre ses reins bien cambrés. Souvent maintenant je la prends dans cette position car elle apporte une sorte de soumission et se prête bien aux baises très actives.


Pendant que j’entreprends de lui limer l’anus avec un doigt, puis deux, puis trois, laissant couler un maximum de salive afin d’assouplir son petit trou, je fais signe à Lorenzo de mettre une capote. Il comprend aussitôt mes intentions. Je continue de limer ma femme pendant qu’il se place. Par-dessus, la dominant. Il est maintenant placé. Sa queue, longue et forte, reste cependant assez souple pour qu’il puisse la diriger vers le bas. Vers le petit trou, diaphragme maintenant luisant et entrebâillé dans une posture indécente. Le gland monstrueux paraît moins gros, écrasé par le latex, mais lorsqu’il se place au contact de l’anus, j’ai la désagréable impression de faire une erreur de confier le mignon petit cul de ma femme à ce mandrin plus habitué aux culs des hommes. Pourtant ! Et pourtant ! Il passe son chemin.


Oh ! Lucie s’étonne et grogne contre le coussin. Elle ne devait pas s’attendre à ce traitement, mais je suis un mari bafoué, surtout par le silence de son épouse qui savait et qui n’a pas voulu me prévenir.


Carmina, le sexe à l’air, abandonné par la bouche de son amant, vient se replacer. Le jeu a changé et maintenant il enjambe le dossier du canapé pour approcher sa queue de son amant. Pour l’instant la bite est proposée mais pas en bouche. Lorenzo est trop occupé à contrôler la sodomie de ma femme et je l’en remercie. C’est avec délicatesse qu’il pousse sa bite dans le cul qui semble s’adapter à l’engin. Je remercie Lucie d’avoir augmenté l’éclairage car maintenant je peux voir. Je peux voir l’anus étouffer la verge, tentant de l’étrangler par la force des muscles du sphincter. Mais c’est oublier la force du conquérant qui avance. Je peux voir la hampe avancer lentement, sans à-coups dans un cul qui s’adapte.


Maintenant Lucie sait que ce n’est pas moi qui l’encule. Elle sait que c’est le bâton de son Tarzan, rêvé et vécu dans sa chatte. Avait-elle osé imaginer ce scénario ? Cette queue d’homme dans son cul, plus habitué à la douceur de ma verge maritale que ce bâton habitué à d’autres orifices masculins. Si elle gémit, elle a la délicatesse de laisser ses reproches dans le tissu du canapé.


Maintenant que Lorenzo a glissé une grosse partie de son engin dans le cul de ma femme, il décide de reprendre la fellation abandonnée et cela au grand plaisir de Carmina. Là où elle est, elle doit avoir une belle vue sur le spectacle de ma femme enchâssée par ce vit. Moi aussi, une certaine fébrilité me reprend. Je suis excité. Je bande comme un ours. La capote va exploser sous la pression. Sans réfléchir je m’enfile dans le trou de Lorenzo.


La boucle est bouclée. Je suis le maître du monde. Je domine tout le monde. Tout le monde doit se soumettre à ma loi. D’abord Lorenzo. Je ne me lasse pas de l’enfiler et lui faire sentir ma queue dans son cul. Quelle impression de puissance ! Il doit faire deux fois mon poids, que du muscle, et sa bite fait bien un tiers de plus que la mienne et pourtant c’est moi qui l’encule, c’est moi qui lui imprime la possession. Lucie également. Chaque coup de queue de ma part se traduit par une avancée dans son cul. Alors Chérie ? Tu te moques toujours ? Je ne suis pas sadique et je sais qu’elle apprécie, une fois l’invasion acceptée. C’est incroyable, il va falloir que je commande des godes encore plus gros. Un instant je m’inquiète d’une addiction aux grosses bites. Mais non c’est juste un fantasme masculin.


Et Carmina ! La coquine. Le coquin. Lui aussi est dépendant de moi. Dépendant de mes coups de reins qui enculent son amant et qui le projettent un peu plus au fond de sa gorge. Chaque poussée est un délice. Chaque retrait est une promesse. Le trou de Lorenzo semble bâiller et attendre une nouvelle saillie. Combien de minutes passent ? Je ne sais pas. Mes sens sont d’une acuité décuplée. Je vois les lèvres de mon amant enserrer le sexe de Carmina avec des filets de salive qui suintent et qui goûtent sur les épaules de ma femme. Je vois Lorenzo enchâsser son sexe dans le petit cul de mon épouse, suivant le rythme que je lui impose. Maintenant le conduit a dû s’assouplir car il parvient à la posséder à fond, amenant son ventre contre les petites fesses.


Ahhhh… Est le cri de Carmina dont la jouissance arrive. Les deux hommes doivent être familiers de cette pratique car Lorenzo ne recule pas et accepte le don de sperme dans sa gorge. Le spectacle est d’un érotisme terrible. Qui aurait cru que je sois sensible à ces échanges entre hommes ? Qui aurait cru me surprendre en train de sodomiser le Tarzan de ces dames et de ces messieurs ? Je jouis à mon tour, libérant dans la capote ma sève fraîchement fabriquée. Mon pieu redevient un sexe, encore gonflé mais dont la raideur n’est plus suffisante pour garder sa place dans le cul de mon partenaire.


Lorenzo est maintenant libre. Libre de se concentrer sur Lucie. Ma femme n’est plus cette chose agenouillée, cambrée, se cachant le visage dans le coussin. Progressivement elle se redresse, prenant bien soin de ne pas déranger l’ordre établi du bâton occupant ses reins. Maintenant elle s’appuie sur le canapé et Lorenzo la possède en levrette, position plus confortable pour eux deux. Moi je suis toujours subjugué par la beauté de la scène. La réalité dépasse la fiction. Le rêve n’est plus qu’un souvenir diffus alors qu’il a occupé mes pensées pendant de longues semaines. C’est bien mieux. C’est plus fort. C’est plus sexe. Jamais je n’avais imaginé un tel spectacle. Lucie, ma Lucie secouée, ébranlée par ce membre viril qui déforme son anus mais qui semble lui donner tant de plaisir. Du plaisir que la main qu’elle a glissée contre sa chatte doit contribuer à lui donner.


Je m’assois à côté d’elle pour partager cet instant. Nos regards échangent tout l’amour et la sensualité du monde. Malgré la force du plaisir attendu elle me sourit. J’y lis la joie de cet instant et de ce qui va venir. Le plaisir qui monte. Les lèvres qui se déforment pour un rictus que l’on pourrait prendre pour un signe de douleur, mais que les petits « oui, oui » transforment en signe de plaisir.

La sarabande de ses reins montre qu’elle a pris son plaisir en main. C’est elle qui maintenant monte et descend sur le mandrin et Lorenzo n’est plus que l’instrument de sa jouissance. J’entends clairement sa main frapper son clito avec force alors qu’elle s’immobilise. Lorenzo est soudé à elle. Il ne bouge plus. Encore quelques tapes et soudain un cri, presque un hurlement s’échappe de ses lèvres. Un cri rauque, profond qui semble venir de ses tripes. Des frissons, des secousses la parcourent.


Enfin elle se calme et me rassure d’un sourire. Elle s’extirpe du mandrin et vient s’effondrer à côté de moi. La partie est finie. Mais non. Face à elle Lorenzo affiche toujours une queue raide qu’il vient de libérer de la protection du latex. Il ne faut pas sous-estimer la vigueur de Tarzan, fidèle à la devise des scouts, toujours prêt. Lucie n’est pas égoïste. Elle tend la main pour se saisir de l’instrument qu’elle vient à peine de relâcher. Elle joue avec et je peux deviner ses pensées : comment ai-je pu me faire enculer avec ce monstre ?


Lorenzo s’avance un peu plus et dirige le mandrin vers les lèvres de ma femme. Elle ne se refuse pas, montre même de la curiosité et de l’expérience pour le sucer et le lécher. D’une main elle le branle, de l’autre elle masse les bourses. Puis elle semble redécouvrir ma présence à ses côtés. D’une rotation elle dirige la queue vers moi et Lorenzo ne se gêne pas pour me la confier. Que faire, si ce n’est tenir mon rang ? Moi aussi je suce, lèche et masse. Nous nous passons l’objet comme une pièce de valeur. Soudain le premier jet fuse, arrosant le visage de Lucie. Elle arrive à diriger le suivant dans sa bouche et le garde un moment. Les flots doivent être généreux, mais elle fait ce qu’elle me fait toujours, conserver la semence et la déglutir dans ce mouvement d’une sexualité fantastique.


J’adore lorsqu’elle fait cela, car son visage montre tous les signes de la luxure et de la dépravation. Et c’est une grande fierté d’avoir une épouse terriblement « salope » dans ces instants et de la retrouver quelques instants plus tard, petite femme aimante et délicate.


Enfin elle libère le mandrin de Tarzan qui semble exténué de sa prestation. Mais, comme une dernière touche apportée à un tableau, la signature du peintre, Lucie se penche vers moi et m’embrasse goulûment, me faisant partager le goût fade mais épais de la liqueur de notre amant commun. Tout un programme !