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Temps de lecture estimé : 10 mn
13/02/14
Résumé:  L'éveil à la sexualité et la toute première fois.
Critères:  f fh ff jeunes cousins vacances plage odeurs fmast cunnilingu confession -initiatiq -prememois -initff -fhomo -plage
Auteur : Moivirg  (Quelques années et une envie d'écrire et d'être lu)            Envoi mini-message

Série : Moi et les autres

Chapitre 01
Éveil à la sexualité


Un soir, seule à la maison, j’ai trouvé dans la chambre de mes parents un livre dont je n’ai pas oublié le titre : « Le Goût du Péché ». J’ai pris ce livre qui raconte les histoires d’une mère et sa fille qui tuent leur ennui dans un hôtel de la côte normande.


En lisant ce livre, je crois avoir ressenti ma première vague de plaisirs défendus. Il suggérait des caresses que j’ai mises en pratique sur moi. C’est la première fois que je touchais ma fente pour une autre raison que de la sécher. J’ai vite senti que quelque chose se passait entre mes lèvres vierges. Comme j’étais allongée, j’ai relevé mes genoux et écarté mes cuisses faisant ainsi ouvrir mon sexe. Mes doigts sont partis l’explorer et j’ai vite découvert le petit bouton d’amour blotti en haut de ma fentine. À peine effleuré, il a réagi en se durcissant et mon ventre s’est mis à picoter. J’ai continué mon exploration et ai glissé un doigt dans ma fente jusqu’au moment où il a buté contre mon hymen. Je suis revenue vers mon pistil que je me suis amusé à taquiner. Tout un coup, j’ai senti un feu dans mon bas-ventre et j’ai explosé. Je me demandais ce qui m’arrivait car mon sexe palpitait et une boule avait grossi dans mon ventre. Je me suis apaisée et la chaleur m’a quittée comme elle était venue. Ce fut la première fois que je jouis sans le savoir vraiment. Je le sus en continuant la lecture de ce livre. Ce livre je l’ai caché et ai usé les pages de cette écriture suggestive. Il m’a procuré bien du plaisir. Je crois que je me faisais jouir sans rire tous les jours voire plusieurs fois par jour.


Ce fut donc ainsi que je découvris le plaisir seule dans ma chambre.


Pour ma première fois, j’avais 18 ans. Pendant de longues années, j’allais tous les ans chez mon oncle au bord de mer près d’Étretat. Il y a une maison les pieds dans l’eau et il y avait surtout son fils Fabien qui a deux ans de plus que moi. Nous nous arrangions bien depuis de longues années. Nous nous sommes découverts plus que de l’amitié alors que je venais de connaître mes premiers émois.


Quand je parle de nous découvrir, nous avons commencé à nous explorer. La première fois, nous étions dans les dunes. Peu vêtus par cette chaude journée, nous sommes allés dans les dunes près de la mer. Nous avions étalé nos serviettes de bain dans les oyats et sommes allés nous baigner. De retour, Fabien a pris sa serviette et a commencé à me sécher. J’en ai fait de même à son endroit. Nous nous sommes allongés au soleil pour parfaire nos bronzages.


Je crois m’être endormie quand soudain, j’ai senti quelque chose me chatouiller ; pensant à un insecte j’ai fait le geste de m’éloigner mais je me suis aperçue à ce moment que c’était Fabien qui jouait avec une herbe. Je l’ai laissé faire et il est descendu sur mon dos le long de ma colonne vertébrale. J’avais des frissons qui me parcouraient le corps. Je faisais celle qui dormait. Il s’est enhardi et il a glissé le brin d’herbe sur mon maillot au niveau de mes fesses pour atteindre mes cuisses. J’ai soupiré comme je l’avais lu et fait pendant que je me touchais lors de la lecture du livre érotique. Fabien s’est arrêté ; pourquoi ?


J’ai fait mine de m’éveiller et je l’ai regardé ; il ne soutenait pas mon regard. Je me suis approchée de lui et lui ai posé un baiser au coin de ses lèvres. Il faut dire que nous avions l’habitude de nous bisouiller mais jamais si près de la bouche. Fabien n’a pas été dupe, il a répondu à ce petit baiser en m’en déposant un sur la bouche. Allongés face à face, nos visages se sont touchés et nos bouches se sont unies. J’ai aimé ce premier baiser chaste. Fabien a pointé sa langue sur mes lèvres et y a forcé sans mal le seuil de ma bouche. Nos langues se sont touchées, nos salives mélangées. Nos dents se sont heurtées. Il m’a pris la tête et j’avais l’impression qu’il voulait entrer entièrement dans ma bouche. Nos salives mêlées coulaient sur nos mentons, nous étions baveux. Nous avons repris notre respiration et avons continué à nous embrasser. Fabien m’a passé la main derrière le dos cherchant à enlever l’agrafe de mon petit soutien-gorge. Il triturait l’attache sans y parvenir. Je l’ai laissé s’escrimer un moment. Je trouvais tellement bon de mêler ma langue à la sienne. Il m’aspirait, je me laissais faire. Ma langue pénétrait dans sa bouche et à mon tour j’aspirais sa langue et sa salive.


Tout à coup, j’ai senti mon soutien-gorge céder et mes petits seins se sont retrouvés à l’air libre. Fabien a soupiré dans ma bouche. Je le sentais content de son exploit. Pour ma part, je le tenais serré dans mes bras. Il m’a tout doucement poussé en arrière pour voir mes petits seins à l’air. Mes tétons étaient tout roides. Les petits bouts turgescents pointaient sur leur couronne brune. Fabien a avancé ses mains ouvertes vers mes globes et a fait rouler dans sa paume mes tétins dressés. Je sentais la racine de mes tétons qui bougeaient et la chaleur de sa paume mêlée à celle du soleil. Des picotements me parcouraient l’échine et de la chair de poule dressait la peau de mes aréoles. Je lui ai fait de même et je fus étonnée de voir qu’il réagissait comme moi. Nous étions à genoux face à face ; moi la poitrine dénudée et nous deux les tétons dressés. Nous nous sommes encore unis dans un délicieux baiser très baveux. Nos corps se touchaient et mes seins s’écrasaient sur sa poitrine.


Nous avons entendu du bruit et nous nous sommes couchés sur nos serviettes. Moi sur le ventre et Fabien aussi, il voulait certainement cacher l’émoi qui le gagnait. Je venais de remarquer que son slip était déformé par ce que je supposais être son sexe. Des gens sont passés près de nous en discutant mais sans prêter plus d’attention. Nous nous trouvions à nouveau allongés face à face.


Fabien plongeait ses yeux dans les miens et je pense qu’il attendait un signal de ma part. J’ai pointé ma langue au bord de mes lèvres qui avaient encore le goût de sa salive. Il dut prendre cela pour une invite. Il se rapprocha et nous nous sommes collés l’un à l’autre. Ses mains sont descendues dans mon dos. Il a palpé mes fesses, massé mon dos. De mon côté, forte des expériences lues dans le livre « volé », je fis de même. Ma main suivit sa colonne vertébrale et atteignit son slip. Je glissais ma main sur ses fesses pendant qu’il me faisait de même. Il ne fut pas long à descendre mon slip sur mes genoux. Je jouais des jambes et bientôt je fus nue à sa merci. Je fis de même de son slip et vis apparaître un sexe pointé sur moi. Il était beau, dressé dans une touffe de poils blonds. Nous nous sommes légèrement écartés l’un de l’autre afin de nous regarder. Il pouvait voir ma toison duveteuse à la fourche de mes cuisses et moi, j’étais fascinée par son doigt de chair. Il avança la main vers mon sexe tandis que moi, je le prenais en main. C’était chaud et dur tout en étant très doux. Il fit glisser un doigt le long de ma fentine. Ça me procurait des frissons à l’intérieur de moi. Fabien soupira. Il me prit la bouche tout en continuant à me caresser.


Comme je l’avais lu, je lui caressai le sexe. J’imprimai avec ma main un mouvement de va-et-vient. Son sexe frémit et il suivit mon mouvement mimant un acte. Je sentis mon sexe s’humidifier et je soupirai d’aise. Fabien commença à gémir. J’arrêtai ma masturbation mais il me dit dans un souffle de continuer. J’accélérai le mouvement et tout à coup, il se mit à crier en projetant le ventre en avant à plusieurs reprises. Il jouit en longs jets crémeux qui s’écrasèrent sur mon ventre. Il avait arrêté de me caresser et soupirait longuement telle une bête à l’agonie. Il était tout rouge et en sueur. Pour ma part, les picotements m’avaient quittée. Seul témoin d’un début de plaisir, ma vulve était rouge et laissait échapper mon jus d’amour qui coulait vers mes fesses.


Après cet instant de plaisir pour Fabien, nous n’osions plus nous regarder. J’ai fini par essuyer son sperme dans ma serviette et nous avons repris notre séance de bronzage avant d’aller à nouveau nous plonger dans la mer, rhabillés bien entendu. Ce jour-là, nous en sommes restés là mais avons poursuivi nos bisouillages tout l’après-midi. Nous sommes rentrés à la maison vers 19 heures et pensions déjà au lendemain.


L’année suivante, je suis retournée en vacances avec mes parents. Mon cousin n’était pas là mais il y avait Mélanie, une fille de mon âge, filleule de mon oncle que je connaissais pour l’avoir vue l’an dernier lors d’un week-end. Nous avions d’ailleurs sympathisé et échangé beaucoup. C’est donc avec beaucoup de plaisir que je retrouvai Mélanie. Nous avons donc entamé nos vacances à la mer sous un chaud soleil d’été. Nous allions à la plage tous les jours et de fil en aiguille, nous avons parlé de nos flirts respectifs mais je sentais que Mélanie était réservée sur le sujet. Je lui posais des questions et elle ne répondait pas. Je l’ai poussée et elle finit par me dire qu’elle n’aimait pas les garçons mais qu’elle préférait les filles ayant laissé une amie dans son village. Je lui ai raconté mes aventures avec Fabien au cours de l’été dernier. Lui disant que j’avais trouvé cela très bien mais que je voulais aussi savoir si avec les filles, c’était bien. Elle m’a raconté ce qu’elle faisait avec sa copine.


Nos jeux de plage s’en sont trouvés modifiés ainsi que nos rapports. Nous étions sans cesse à nous rapprocher. Nous échangions des gestes, des caresses, nos mains se frôlaient. Nous nagions ensemble et restions l’une près de l’autre dans l’eau. Nos mains se découvraient. Mélanie osait aventurer sa main vers mon entrecuisse me disant de faire de même. Une fois, nous nous sommes dévêtues dans l’eau. D’une main nous tenions nos maillots et de l’autre, nous avons investi nos corps. J’ai palpé ses seins petits il est vrai mais doux. Pendant ce temps, Mélanie m’a glissé un doigt sur ma fentine. J’ai adoré. Je tressaillais à chaque passage. Nous avons échangé un baiser mais les choses en sont restées là. Ce qui n’est quand même pas mal. Nous avons retrouvé nos serviettes, très complices. Nous nous sommes engagées sur la dune pour trouver un coin tranquille afin de mieux de nous explorer. J’ai connu la saveur de mon premier sexe féminin étranger (je connaissais le mien). J’ai goûté au doigt de Mélanie en moi. Elle m’a fait jouir en un tour de main et moi après, je l’ai aussi fait jouir mais avec ma langue comme me l’avait fait Fabien la première fois. Nous nous sommes rassasiées l’une de l’autre jusqu’à l’heure de rentrer. Nous nous sommes promis de recommencer dès que possible.


Nous avons soupé et avons passé la soirée à regarder la télévision ; un orage ayant éclaté. À l’heure du coucher, nous sommes parties comme des folles dans la salle de bain. Nous avons fait notre toilette et nous sommes parties avec fougue dans notre chambre. Cette fougue ne nous laissait pas même le temps de nous dévêtir.


À peine la porte de la chambre refermée, nous nous sommes jetées dans les bras l’une de l’autre, et avons échangé un baiser des plus savoureux, mêlant nos langues et échangeant nos salives. Nous nous caressâmes à travers les vêtements. La main de ma maîtresse, s’insinua à travers les boutons de ma chemise vers ma poitrine. Je l’ouvris pour lui donner accès à ma peau. Elle tira sur les bretelles de mon soutien-gorge pour dénuder mes seins qu’elle prit en bouche. Que ses attouchements étaient agréables ! Mais je ne la laissai pas finir, je voulais moi aussi profiter de son corps. Je me coulai à ses pieds, remontai sa robe jusqu’à la taille et baissai prestement sa culotte de dentelle pour m’occuper du son sexe déjà humide. Pour m’offrir un meilleur accès, elle posa une de ses jambes sur mon épaule : elle était largement ouverte, permettant à ma langue de s’immiscer dans les moindres recoins de ses muqueuses.


Après la langue, j’y mis un, puis deux doigts. Je fouraillai en elle et elle jouit. Elle ne juta pas comme moi, mais je dus la retenir pour qu’elle ne tombe pas sur le sol. À ma totale merci, je lui enlevai ses vêtements tout en pelotant ses seins, son beau cul rebondi et toutes les autres parties de son corps. Elle ne fut pas longue à reprendre son souffle. Alors j’ôtai moi aussi mes vêtements et me mis à califourchon au-dessus de la tête, lui offrant mon sexe à sa vue et à sa langue, qu’elle agita tout de suite. Moi, dans cette position, je pus m’occuper de ses seins, que je caressai, que j’agaçai, que je pétris.


Ses mouvements autour de mon sexe et de mon cul étaient absolument divins. Elle y mit la langue, les doigts sans retenue. Pourtant je résistais pour ne pas jouir immédiatement. Mélanie avait commencé à m’initier pour retenir mon plaisir afin qu’il soit plus intense. Ainsi lorsque j’explosai, la jouissance était beaucoup plus violente, plus agréable ; c’était comme un rayon qui me traversait de part en part me vrillant le corps ; je vibrais alors de tout mon être obtenant une osmose à la fois douloureuse et douce comme de l’ouate. Le plaisir irradiait ma tête, mon ventre, mes seins, mon sexe et même mes jambes qui devenaient incontrôlables.


Avant de jouir, nous nous élancions vers la chambre et c’était sur le grand lit que nous continuions nos ébats. Nous collions nos chattes l’une à l’autre, sexe contre sexe ; par un doux mouvement, nous nous branlions ainsi mutuellement. Il ne fallait plus attendre très longtemps dans cette position pour atteindre le firmament. Nous explosions conjointement, une explosion de nos entrailles. Après cette irradiation, nous nous enlaçâmes tendrement.


Nous nous endormîmes ainsi, dans les bras l’une de l’autre. Lorsque je me réveillai, il faisait nuit noire, pourtant la lampe du couloir était restée allumée et éclairait la chambre. J’eus l’idée de recueillir dans mon sexe un peu de mes sécrétions. Je passai ce doigt humide sous le nez de ma maîtresse alanguie. Ses narines palpitèrent et elle soupira. Alors je portai ma bouche à ses seins, voir si je pouvais ainsi exciter ses beaux mamelons sans la réveiller. J’y allais tout en douceur, avec le bout de la langue, par petites touches. Les pointes s’érigèrent, la poitrine durcit et ma compagne gémit doucement. Je me disais que le sexe pouvait lui aussi subir le même traitement durant son sommeil. Ayant les jambes ouvertes, je ne trouvai aucune barrière pour accéder à sa douce toison. Enfin j’allai à la découverte de ses lèvres intimes qui se couvrirent rapidement de cyprine.


Mélanie m’avoua s’être réveillée alors que je m’occupais de son sexe, mais avait choisi de me faire croire qu’elle dormait encore, tant mes léchouilles étaient délicates et agréables. Elle ne voulait pas briser cette douce sensation.



(À suivre…)