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Temps de lecture estimé : 9 mn
19/03/14
Résumé:  Mélanie et moi allons nous promener en forêt quand un orage nous oblige à nous réfugier dans une cabane de bûcherons qui sera le théâtre de nos tendres excès.
Critères:  ff jeunes copains forêt campagne cunnilingu fdanus
Auteur : Moivirg  (Quelques années et une envie d'écrire et d'être lu)      Envoi mini-message

Série : Moi et les autres

Chapitre 02
Mes envies avec Mélanie

Résumé de l’épisode précédent : J’ai découvert les joies du plaisir solitaire. Par la suite lors des vacances, j’ai découvert le corps de mon cousin Fabien puis celui de mon amie Mélanie.








Moi et les autres




Quelques jours plus tard, nous décidons de nous promener dans une forêt proche. Nous sommes ainsi vêtues : moi en jupe courte et un petit chemisier sous un blouson en jeans, Mélanie en jupe en jean et un petit chemisier également. Pour tout dire, vêtues comme deux jumelles que nous sommes. L’une brune et l’autre blonde.


Nous cherchons un lieu pour nous réfugier quand nous apercevons à travers le rideau de pluie une maison forestière. Mélanie pousse la porte qui s’ouvre. Elle est inhabitée, certainement occupée lors des travaux forestiers d’automne et d’hiver. Personne aux alentours : nous ne risquons pas d’y être dérangées, ces lieux sont rarement fréquentés en été et surtout par cet après-midi orageux.


Nous sommes complètement trempées. Nos chemisiers collent à notre peau. Je peux apercevoir la pointe des seins de mon amie qui se dressent contre le tissu.


Nous pénétrons à l’intérieur de cette cabane, abri de bûcherons, composée d’une cuisine-salle à manger agrémentée d’une cheminée et d’un bûcher. Nous décidons d’y allumer un feu afin de faire sécher nos affaires. Quelques minutes nous suffisent pour allumer un beau feu qui réchauffe la pièce et nous permet d’enlever nos chemisiers et de les exposer à la chaleur.


Toutes les deux, nous nous retrouvons torse nu attablées côte à côte près du feu, proches l’une de l’autre. Dehors l’orage tonne, il pleut à verse, il fait sombre et des éclairs percent l’obscurité qui s’est installée.


Mélanie a peur de l’orage et se rapproche de moi. Pour la rassurer, je mets ma main sur sa cuisse et l’enlace. Je me penche vers elle et l’embrasse, d’abord timidement sur les joues. Je tourne son visage vers moi, et de ma langue je force sans peine sa bouche. Ma langue trouve la sienne et la combat. Je l’aspire et la pénètre voracement. Elle répond à mon baiser. Tout doucement, ma main remonte vers son entrecuisse. La coquine écarte les jambes, facilitant mon ascension. Mes ongles éraflent sa cuisse, lui procurant des frissons. Quelle n’est pas ma surprise quand j’atteins son sexe qui est dépourvu de toute entrave : elle ne porte aucun sous-vêtement ! Son sexe bâille déjà, attendant ma visite.


Mes doigts écartent ses lèvres déjà moites pour atteindre son bouton d’amour. Je saisis son clitoris entre deux doigts et le fais sortir de sa petite gangue de peau. Pendant ce temps, Mélanie s’active aussi. Sa main suit le même chemin que la mienne, mais à l’intérieur de mes cuisses. Elle écarte le tissu de mon string. Ses doigts frottent mon sexe et tout comme elle, je savoure cet instant délicieux. Ses doigts jouent avec mon bouton d’amour pendant que je la branle doucement. Sa respiration comme la mienne s’accélère. Son doigt me pénètre doucement, frappant mon hymen. Son pouce joue encore avec mon clitoris. Mes doigts continuent leur branle et je sens que son jus commence à couler. Je retire mes doigts pour être toute à mon plaisir. Je me sens couler ; du jus sourd de ma fente, empoissant les doigts de Mélanie. Je prends mes doigts en bouche et lèche le jus de Mélanie. Le plaisir commence à me submerger et tout à coup je feule, ne pouvant contenir la vague de plaisir qui me soulève le bassin. Je jouis longuement, étouffant mes cris dans la bouche de Mélanie.


Mélanie n’a pas eu son content de plaisir. La pièce s’est complètement réchauffée avec le feu d’enfer que nous avons allumé. Je pousse Mélanie vers le canapé qui trône devant la cheminée. Je m’y assois. Mélanie se trouve debout face à moi, le dos au feu. Elle relève lentement sa jupette. Ma bouche suce son nombril et descend vers ses lèvres. Ma langue les écarte et atteint son clitoris. Il est très doux au toucher lingual et j’en fais plusieurs fois le tour avant de l’aspirer pendant que mes mains empaument ses fesses. Son sexe est à hauteur de mon visage. Je sens son odeur ; son sexe est luisant de son jus d’amour. Son petit clitounet pointe hors de sa gangue de chair, tel un petit sexe. On dirait un petit sexe d’homme, du moins son petit bout tel un méat distendu comme celui de Fabien.


Mes doigts parcourent son sillon fessier pour atteindre son petit trou étoilé. Je gratte à la porte de son antre. Elle vient à la rencontre de mes doigts. Je les retire afin de les humecter de salive et je repars à la conquête de son petit cul. Je mouille le pourtour de son anus et y enfonce mon doigt tout doucement. Mélanie se recule, refusant ce contact. Je ramène mon doigt en avant et investis son sexe. Mon doigt pénètre son antre d’amour et commence un va-et-vient que Mélanie accompagne. Je vais et viens entre ses lèvres gonflées de plaisir. Tout en masturbant mon amie, de mon autre main je réinvestis son sillon culier et recommence mon exploration refusée dans un premier temps. Mes doigts glissent dans sa fente et mes autres doigts viennent s’imprégner de son nectar que j’étale sur son petit anneau froncé.


Nos positions étant inconfortables, j’arrête mes va-et-vient et invite Mélanie à prendre ma place. Avant qu’elle ne s’assoie, je lui retire sa petite jupe. Elle est à présent nue sur le canapé, à ma merci.


Je m’agenouille entre ses cuisses que je relève, la mettant sur le dos. Ma bouche s’empare de son sexe qui suinte. Je me délecte et lape son clitoris tout raide. Je l’aspire et le fais aller et venir entre mes lèvres. Tantôt le mordillant, tantôt le tétant goulûment, j’aspire son jus. Mélanie me prend la tête et m’applique fortement la bouche sur sa fente. Je pointe ma langue et la pénètre ainsi à plusieurs reprises, revenant constamment sur son clitoris. Je descends plus bas et viens lécher son anus tout en jouant toujours avec son sexe avec mes doigts. Ma langue tapote son anus que je sens s’ouvrir, laissant libre le passage à la pointe de ma langue.


Mélanie gémit doucement et ponctue ses cris de contraction de son sexe. Je reviens vers son clitoris que j’aspire tout en la pénétrant de mon pouce. Son jus coule dans ma bouche, je m’en délecte et dois avoir la figure barbouillée de sa cyprine. Un autre doigt rejoint mon pouce et telle une petite bite, je la défonce. Je suis à présent debout et ma main poursuit son va-et-vient entre ses cuisses. Je la possède à fond. Ma bouche tète son sein. Elle râle doucement. Pour étouffer ses cris, je l’embrasse et avale ses cris de jouissance pendant que ma main se poisse. Mélanie jouit ; son bassin se contracte, mes doigts sont enserrés dans son fourreau. Je sens son vagin se contracter à plusieurs reprises pendant que je bois sa salive dans des cris étouffés.


Nous restons quelques instants ainsi collées l’une à l’autre. Puis Mélanie m’attrape et m’attire sur elle sur le canapé. Nous nous retrouvons en position de 69 et nous nous gavons de nos sucs, faisant à nouveau venir le plaisir. Je suis imbriquée dans Mélanie et nous ne formons plus qu’un seul corps de plaisir qui nous submerge au bout de quelques minutes. Nous restons ainsi enlacées ; le temps que le feu qui nous dévore s’apaise. Revenues de nos émotions, nous prenons un mouchoir en papier pour faire une rapide toilette de nos entrejambes poisseux. Nous nous essuyons le visage et nous nous rhabillons. L’orage s’est éloigné et nous pouvons poursuivre notre promenade. Main dans la main, nous sillonnons la campagne alors que le soleil refait son apparition.


Au bout de quelques kilomètres, nous nous retrouvons près d’une cascade dans une petite clairière. De la mousse borde la lisière de cette petite retenue d’eau. Le soleil a fait disparaître l’humidité ambiante, et d’un commun accord nous nous allongeons sur ce doux tapis.


Mélanie me demande comment j’ai trouvé l’instant que nous avons partagé dans la cabane forestière. Je lui réponds que jamais je n’avais connu un aussi grand plaisir et que je voudrais que nous puissions recommencer tout au long de nos vacances. Elle me répond « Chiche » et la voilà qui vient se mettre à califourchon sur mon dos. Je ne peux plus bouger et suis à sa merci.


Assise sur mes reins, Mélanie relève ma jupette et vient caresser mes fesses par-dessus ma culotte. Elle fait naître en moi des frissons. Avec ses ongles, elle gratte le tissu et le tire doucement en arrière. Le tissu écrase ma vulve qui est encore excitée du bonheur et du plaisir que nous nous sommes donnés. Je soulève mon bassin afin que Mélanie comprenne que j’ai envie qu’elle m’enlève mon slip. Effectivement, elle comprend et descend ce bout de tissu au bas de mes cuisses.


Mélanie se retourne et se trouve toujours assise sur mes reins, mais la tête tournée vers mes jambes. Elle commence alors un massage de mes fesses. Les écartant, je sens ses doigts venir courir le long de mon sillon fessier. Cet écartement met à jour mon petit trou plissé. Je m’amuse à le contracter et le décontracter comme je le ferais avec ma bouche appelant un baiser. Mélanie vient tâter mon petit anus avec son doigt et l’égratigne légèrement avec son ongle. Des frissons me parcourent et viennent, telle une vague gigantesque, soulever mon bassin, mettant ainsi mon fessier plus à la portée de mon amoureuse. Tout à coup, je sens de l’humidité couler le long de ma raie. Maline, Mélanie a laissé échapper un filet de salive, préparant l’intrusion de l’un de ses doigts qu’elle a porté à sa bouche.


Je sens ses doigts titiller mon anus et frapper à la porte. Je me décontracte totalement, permettant l’intromission de sa première phalange. Tout doucement, elle investit mon anus et fait aller et venir son doigt sans me pénétrer totalement. J’arrive à glisser ma main et empalme mon mont de Vénus ; je presse ma vulve et sens mon petit bouton surgir de sa gangue. Il vient se coller à ma paume et, d’un mouvement lent, je me masturbe, glissant un doigt dans ma vulve. Mélanie continue son intromission et je sens poindre mon plaisir comme une boule de feu au centre de mon ventre. Je me retiens afin que cela soit plus puissant. Mélanie, ayant senti l’arrivée de mon plaisir part les contractions de mon anneau autour de son doigt, l’y enfonce plus avant ; et à ce moment-là, n’y tenant plus, je me lâche et pars dans des contractions orgasmiques. Cette vague est si violente que je désarçonne Mélanie et perds ainsi la source de mon plaisir, mais la boule de feu n’en finit pas. Je suis tout essoufflée et ai de la peine à reprendre pied. Mélanie me regarde, envieuse du plaisir qu’elle m’a donné.


Mélanie est allongée sur le dos tandis que moi, toujours dans la descente, je suis restée sur le ventre. Je la regarde, les yeux pleins de reconnaissance, et viens ramper vers mon amie. Je viens entre ses cuisses que j’écarte, l’obligeant à enlever sa jupette. Comme elle ne porte aucun sous-vêtement, je peux voir sa vulve ombrée de ses poils noirs. Mes mains remontent de ses genoux vers le haut de ses cuisses que je caresse tendrement. J’oblige Mélanie à plier ses jambes et viens plaquer ma bouche sur sa fentine dont je sens la chaleur. J’aspire son clitounet et le pince entre mes lèvres. Par instants, je le délaisse et viens laper le jus qui vient sourdre entre ses lèvres intimes. Quel bon goût dans ma bouche ! Je reviens vers son bouton d’amour et alterne tantôt son bouton, tantôt sa fentine. Mes doigts rampent sur son ventre, agaçant son nombril, avant de venir saisir à pleines paumes ses petits seins que je presse, faisant pointer ses petits tétons. Je les saisis entre mes doigts et le fais rouler.


Mélanie commence à gémir. J’en profite pour venir de mes doigts investir son sexe qui commencer à bâiller. Prenant entre mes lèvres son clitoris, mon pouce entre dans son antre chaud et commence un lent va-et-vient. Mon autre main me permet de toujours tenir son tétin dressé et de le pincer fortement au moment où je sens que Mélanie approche du point de non-retour. Sa vulve se contracte, libérant un flot de cyprine que je m’empresse de boire à la source. Elle me tient à la tête mais, n’y tenant plus, elle m’écarte pour laisser le plaisir l’envahir. Je la regarde se convulser et s’apaiser.


Je viens vers elle et l’embrasse à pleine bouche, partageant son jus d’amour qui a envahi ma bouche et mes lèvres. Ayant remis de l’ordre dans nos vêtements, nous restons enlacées puis, après un temps de repos, nous reprenons notre chemin vers la maison.


Nous nous promettons de remettre cela et cherchons à présent un lieu insolite pour nos ébats. Nous aimerions bien en trouver un de ce genre et – pourquoi pas ? – y faire des choses lubriques en compagnie d’un garçon.