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Temps de lecture estimé : 31 mn
16/03/14
Résumé:  Premier contact et premières sensations. Cécile accepte un emploi de servante durant l'été. Même si elle s'attendait un peu à ce qui allait lui arriver, les événements vont la transporter bien au-delà de tout ce qu'elle aurait pu imaginer.
Critères:  f fh ff fbi hplusag fplusag jeunes hépilé fépilée magasin essayage douche soubrette voir exhib noculotte nosoutif fmast hmast rasage facial fellation cunnilingu 69 fgode pénétratio jouet init journal
Auteur : Zwico  (Tout le plaisir, tous les plaisirs)            Envoi mini-message

Série : Journal d'une jeune fille au pair

Chapitre 01 / 03
Journal d'une jeune fille au pair - PARTIE 1 - Embauche

1 ~ Le contrat



J’ai 22 ans. Je m’appelle Cécile, je suis blonde, mince et fais une taille dans la moyenne. Mes études à la fac n’étant pas encore terminées, je dois me faire un peu d’argent pendant les vacances d’été afin de ne pas dépendre totalement de mes parents. Comme je souhaite aussi prendre un peu de distance avec le cocon familial, je me suis mise à la recherche d’un emploi de jeune fille au pair ou quelque chose d’approchant. Un peu baby-sitter, femme de ménage et femme de chambre.


À force de parcourir des annonces sur Internet, j’ai fini par en trouver une qui me convenait plutôt bien. Après avoir pris contact par mail, le poste me paraissait intéressant, même si, fait inhabituel, le couple se présentant ouvertement comme étant libertin, et d’ailleurs il me demandait si cela ne me choquait pas. En effet, il ne voulait pas que ses habitudes, comme par exemple être nus dans la maison, soient modifiées. Par conséquent, il recherchait quelqu’un que ne serait pas gêné par cela. Comme je suis plutôt du genre déluré et que je suis plutôt curieuse par nature, surtout en ce qui concerne le sexe, j’ai accepté l’offre sans hésiter bien longtemps, d’autant plus que la rémunération était parmi les plus élevées que j’avais trouvées.


Quelques semaines plus tard, le grand jour est enfin arrivé. Le premier vendredi du mois de juillet. Ai-je bien fait d’accepter ? C’est la question que je ne cesse de me poser dans le train qui m’emmène à destination. Après une heure de voyage, je suis enfin arrivée et mon futur patron m’attend sur le quai de la gare. Il s’appelle Patrick Brun, la quarantaine, habillé dans un costume chic et décontracté, il laisse transparaître une certaine classe derrière une apparence bon enfant. Je le suis jusqu’au parking, et je constate alors que son cabriolet sportif est en accord avec son apparence physique. Les cheveux au vent, je profite pleinement des quelques kilomètres qui nous séparent de la maison où je vais passer mes vacances tandis que mon futur patron me décrit la région et ce qu’il fait. Il est responsable marketing dans une société de la région tandis que sa femme est architecte d’intérieur. Leurs enfants, désormais grands, ne viennent plus que ponctuellement à la maison.


Nous arrivons à la maison. Une grande barrière électrique s’ouvre, dévoilant un vaste parc arboré que l’on ne peut voir sinon en raison de la hauteur des murs. Nous nous avançons et je peux enfin voir une belle maison de maître. Après être sortis de la voiture, il m’indique tout d’abord ma chambre. J’y dépose mes bagages et redescends immédiatement pour signer mon contrat de travail.


Mon futur patron a déjà posé plusieurs feuilles sur la table du salon. Je ne m’attendais à devoir lire un contrat aussi imposant. Il m’explique alors qu’étant donné les mœurs libertines de sa femme et lui, il préfère préparer un contrat qui spécifie clairement les limites de mon travail et les limites de leur comportement. Après tout, je trouve cela plutôt sain. C’est donc l’esprit rassuré que je commence ma lecture.


Tandis que je parcours les feuillets, assise sur le canapé en cuir, il s’est placé derrière celui-ci pour relire avec moi le texte. Rapidement, je retrouve de façon développée, divers points qui ont déjà été évoqués lors que nos échanges par mail. Adeptes du naturisme, ils considèrent normal d’être nus chez eux. Il est possible qu’ils se caressent en ma présence, voire même plus, mais ils ne m’obligent pas y assister, ni à y participer. Ils peuvent recevoir des amis qui partagent les mêmes goûts qu’eux. Il est probable que je les accompagne à la plage, dans ce cas, je devrai pratiquer le naturisme. Leurs enfants, un garçon et une fille, qui sont maintenant majeurs, viennent de temps en temps à la maison. Je n’ai pas m’inquiéter de faire une gaffe quand aux mœurs de leurs parents, car ils sont au courant. Globalement, les règles des parents s’appliquent également à leurs enfants, donc eux aussi risquent de se balader nus. À noter que je peux à tout moment décider d’aller au-delà des limites qui me sont accordées, en revanche, ils ne peuvent m’obliger à le faire contre mon gré.


Pendant que je lisais le texte, mon futur patron a posé ses mains sur mes épaules. Je tressaille, mais la douceur du contact de ses doigts me rassure.



Il continue de me parler tout en me massant le cou.



Je continue donc ma lecture, il y est fait mention de ma tenue. Je devrai ranger mes vêtements et sous-vêtements personnels pour toute la durée de mon séjour car des vêtements de fonction me seront fournis : jupes, chemisiers et tabliers. Je suis arrivée au bout du texte, il ne me reste plus qu’à le signer tandis que mon patron commence à me masser le cou. Est-ce qu’il a le droit ou pas ? Je ne sais plus, j’ai l’impression d’avoir survolé certains paragraphes. Je n’ai toujours pas signé mais lui se fait plus pressant, ses mains parcourent mes épaules et mon dos à travers mon t-shirt. Il vient de heurter les bretelles de mon soutien-gorge et les soulève pour les faire claquer sur ma peau. Va-t-il enfin arrêter ? On entre dans le salon, c’est sa femme. Je me sens soulagée, il va enfin s’arrêter. Mais en fait, il n’en est rien, elle reste à distance et regarde son mari me tripoter. Alors que je suis en train de me demander où cela va s’arrêter, il s’adresse à sa femme.



Sa femme s’avance, une grande brune au physique sportif et au teint bronzé. Elle porte un tailleur chic et des escarpins à talons hauts. Je me lève pour la saluer tandis qu’elle s’adresse à moi.



Elle me tend la main pendant je balbutie ma réponse. Je fais une tête de moins qu’elle, ce qui la rend assez imposante.



Son mari intervient alors.



Je m’interroge. Qu’est-ce que vient faire mon soutif là dedans ? Elle reprend alors la parole pour m’éclairer.



Et pour donner plus de poids à ses propos, elle déboutonne sa veste de tailleur et l’entrouvre sans hésitation. Comme les mannequins des magazines de mode, elle ne porte rien dessous, pas de chemisier et même pas de soutien-gorge. Sa poitrine nue est en liberté sous sa veste. Ses seins sont de petite taille, pas étonnant qu’elle n’ait pas besoin de les maintenir en place. Ses tétons pointent effrontément. Son corps est magnifique, la pratique du sport lui a certainement permis de rester jeune malgré les années écoulées.


Elle reprend alors la parole tout en me regardant droit dans les yeux, ses mains posées sur ses hanches maintiennent sa veste grande ouverte. Sa poitrine dénudée, provocante et impudique, me subjugue tandis que son mari a trouvé l’agrafe de mon soutif à travers mon t-shirt.



Je ravale ma salive. Je suis en train de décider de mon destin pour les deux mois à venir. Après tout, ça m’est déjà arrivé de ne pas porter de soutien-gorge. Surtout en été, avec des débardeurs. Alors pourquoi pas. Ma poitrine n’est pas très imposante, je dois pouvoir me passer de soutif pendant deux mois.



Patrick n’attendait que ce signal pour dégrafer mon soutien-gorge. Je le retire prestement par dessous mon t-shirt, ne désirant laisser à mon patron le soin de le faire à ma place. Sa femme me répond alors.



Ses paroles me troublent. Elle dégage une incroyable sensualité qui me subjugue. Quant à son mari, il continue à me palper le cou et les épaules, des frissons me parcourent. Une vague de bien-être emplit progressivement mon corps. Je ne suis plus moi-même. Et lorsqu’elle me propose de signer le contrat, j’accepte sans même hésiter un instant de plus. J’ai l’impression d’être dans un autre monde. Rêve ou réalité, je ne sais plus très bien où je suis, les limites me semblent si floues.




2 ~ Installation



Encore sur mon nuage, je monte jusqu’à ma chambre pour ranger mes bagages. Mes tétons ne cessent de pointer à cause de la caresse de mon t-shirt. Et dire que je vais rester deux mois comme cela. Je retire mon t-shirt pour me mettre à l’aide, face au miroir de l’armoire, j’en profite pour admirer ma poitrine, qui n’est pas très imposante mais bien ferme. C’est alors que l’on frappe à la porte, avant que je n’aie pu dire quoi que ce soit elle s’ouvre et ma patronne entre dans ma chambre sans hésiter. Sa veste de tailleur est encore déboutonnée, elle s’adresse alors à moi tout en contemplant ma poitrine.



Après un bref instant d’hésitation, je me rappelle que la nudité est naturelle dans cette maison. J’ôte alors mon pantalon avant de m’adresser à elle.



Je m’exécute alors, m’efforçant de rester de côté pour ne pas dévoiler mon intimité et ma toison pubienne à ma patronne. Une fois ma culotte rangée, je m’approche de la commode sur laquelle une tenue de service a déjà été posée. Sur le dessus est posé un chemisier blanc. Je le prends et l’enfile à même la peau puisque je ne mettrai pas de soutien-gorge. Le tissu est vraiment léger, et même un peu transparent, je m’en rends compte en m’observant dans le miroir. On devine légèrement mes seins, quant à mes aréoles et mes tétons, ils sont bien visibles. Bon, il y a aussi un tablier, il me couvrira certainement la poitrine. Je l’écarte, ainsi que la jupe, à la recherche d’un sous-vêtement, sans succès. Je m’adresse alors à ma patronne.



À bien y réfléchir, c’est bien ce qui était écrit, mais je ne l’avais pas vraiment interprété ainsi. Bon. Je n’ai pas trop le choix. Je me saisis donc de la jupe noire et l’enfile, elle n’est pas très haute. Déjà que mon chemisier s’arrête à la taille, dévoilant mon nombril lorsque je lève les bras, la jupe, quant à elle, descend au-dessus de genou, et sans culotte dessous. Espérons que le tablier soit assez grand. J’aurais dû m’en douter, il est assorti au reste de ma tenue, ce n’est donc qu’un simple carré de tissu blanc attaché à ma taille et qui est plus court que la jupe. Je pense qu’il va me falloir une période pour m’habituer à cette nouvelle tenue. Enfin bon, après tout, c’est bien ce que je recherchais lorsque j’ai opté pour cette place, je décide donc d’assumer mon choix et termine d’ajuster ma tenue. Ma patronne me fait alors tourner sur moi-même pour m’admirer sous toutes les coutures.



Elle quitte alors la pièce non sans me mater une dernière fois avant de refermer la porte.


Le calme est revenu dans la chambre et dans mon esprit. Je prends alors le temps de m’admirer dans le miroir, c’est vrai que je suis plutôt excitante dans cette tenue. Je me surprends à me caresser les seins à travers le tissu de mon chemisier tout en m’observant. La caresse du tissu à même ma peau a rendu mes tétons tout durs, je ne peux résister à l’envie de jouer avec eux, les faisant rouler avec délice entre mes doigts. Un torrent de plaisir traverse soudain mon corps. Je ne pensais pas pouvoir ressentir de telles sensations, juste en me caressant.


Je place ensuite une chaise face la glace et m’assieds dessus. Jambes croisées, décroisées, j’observe avec curiosité mon entrejambe. Je me suis inquiétée pour rien, il n’est pas possible de voir mon intimité malgré l’absence de culotte. Après tout, j’ai déjà porté des jupes plus courtes que cela, sans me soucier de savoir si l’on voyait ma petite culotte ou pas. Évidemment, si j’écarte carrément les cuisses je peux aisément voir mes poils pubiens mais aucune jeune fille ne prendrait une posture aussi indécente.


Mes tétons sont toujours aussi durs sous la caresse du tissu du chemisier. Le désir monte à nouveau en moi. Est-ce ma tenue qui m’excite ainsi ? Mes cuisses toujours écartées m’attirent. Je ne résiste pas à l’envie de me caresser. Une main entre mes lèvres, l’autre sur mes seins, il ne me faut que quelques secondes pour qu’une nouvelle onde de plaisir me submerge. Cela me rappelle la sensation que j’ai ressentie tout à l’heure lorsque mon patron me massait le cou et les épaules. Est-ce que sa palpation aurait éveillé en mon corps des sensations nouvelles ? Je ne sais pas, mais en tout cas, c’est extrêmement agréable.


Il est temps de ranger mes affaires personnelles dans l’armoire. Je ne peux résister à l’envie de dire au revoir à mes sous-vêtements pour les deux mois à venir, sauf le lundi, jour de repos. Cela ne fait que dix minutes mais je commence déjà à m’habituer à ne pas porter de culotte. Finalement, c’est assez agréable, l’air me caresse délicatement le sexe tandis que le chemisier m’effleure agréablement les seins.




3~ La fille



Je viens de finir de tout ranger lorsque l’on frappe à nouveau à la porte. Cette fois-ci, j’ai le temps de dire d’entrer. Un nouveau visage se présente dans l’embrasure. La jeune brunette qui vient d’entrer dans ma chambre est la fille de mes patrons, elle se prénomme Audrey. Elle vient de finir sa journée de cours, après avoir discuté de diverses choses, elle me demande tout naturellement si je sais prodiguer des massages.


Comme cela m’est déjà arrivé et que personne ne s’est jamais plaint, je lui réponds par l’affirmative. Elle retire immédiatement son t-shirt, elle ne porte pas de soutien-gorge, comme sa mère. Elle a de tout petits seins, mais ce qui m’étonne le plus, ce sont ses grosses aréoles foncées et ses tétons qui pointent effrontément. Rien que de les voir, cela me donne envie de les sucer, pourtant je n’ai jamais fait cela avec une autre femme. Sans plus attendre, elle s’allonge sur mon lit. Je commence donc par lui masser les omoplates, la colonne vertébrale, les épaules. Apparemment, ce que je fais lui plaît car je la sens se détendre progressivement.


Au bout de quelques minutes, alors que je suis sur le point de cesser, elle me demande de descendre jusqu’aux reins. Pour y parvenir, je fais glisser la fermeture Éclair qui maintient sa jupe fermée, me dévoilant alors ses magnifiques fesses rebondies. Je constate alors qu’elle ne porte pas de culotte. Je marque alors un temps d’arrêt sous l’effet de la surprise, elle devait s’y attendre et entame immédiatement la conversation sur le sujet.



Tout en discutant, j’ai repris mon massage, m’occupant avec application de ses reins. Satisfaite, la jeune femme se relève et quitte mon lit. Sa jupe tombe alors au sol, révélant impudiquement son sexe totalement lisse. Alors que je me relève à mon tour, elle s’approche de moi, totalement nue, et passe ses mains autour de ma taille, je me laisse faire, ma respiration s’accélère, je sens que mes tétons se durcissent. Elle laisse alors remonter ses mains lentement et langoureusement jusqu’à atteindre mes seins. Elle se met alors à les caresser tendrement avec admiration.



Je suis surprise d’une telle question mais je m’efforce néanmoins d’y répondre aussi naturellement que possible.



Une telle invitation ne se refuse pas, surtout que j’ai envie de lui peloter la poitrine depuis que je l’ai vue. Ses tétons sont en train de durcir sous l’effet de mes caresses. Pendant ce temps, elle a déboutonné mon chemiser, et après les avoir palpés à son tour, elle se met à me lécher et me mordiller les seins. Mes tétons deviennent de plus en plus durs tandis que je sens des picotements m’envahir.


Elle retourne alors s’allonger sur mon lit, mais cette fois sur le dos. Je reprends donc mon massage, mais cette fois-ci je m’occupe de sa poitrine, la caressant langoureusement avec application. Comme je me suis placée à côté d’elle, les jambes écartées, pour prodiguer mon massage, elle profite que je suis à sa merci pour soulever ma jupette et mater sans discrétion mon entrejambe offert à son regard. Ce qu’elle me dit alors me déstabilise encore un peu plus.



Résignée, j’ôte mes vêtements et je me laisse guider jusqu’à la salle de bains. C’est une vaste pièce, dotée d’une baignoire d’angle balnéo et d’une grande douche avec jets hydromassants. Pendant qu’Audrey est en train de sortir les outils nécessaires, elle m’invite à m’asseoir dans le coin de la baignoire. Je me retrouve donc les cuisses écartées, dévoilant sans pudeur mon intimité à une jeune femme que je ne connaissais même pas il y a une demi-heure. Sans plus attendre, elle met la tondeuse en marche et se met à couper grossièrement toute ma toison pubienne. Lorsque ceci est terminé, elle me confie la bombe de mousse à raser pour que je me charge de l’étaler. Ceci fait, elle prend le rasoir en main et commence à me raser le sexe, d’abord le pubis, puis les lèvres. Lorsqu’elle a enfin terminé, elle fait couler la douche, mes poils pubiens tout blonds s’écoulent au fond de la baignoire. Je regarde mon sexe, il est dorénavant totalement nu, je me sens encore plus impudique.


Audrey, qui est face à moi, a elle aussi les cuisses écartées, son sexe lisse s’offre à mon regard. Je ne peux m’empêcher de l’interroger.



Joignant le geste à la parole, elle porte la main sur sa fente et commence à se caresser, m’invitant ainsi à faire de même. Je me caresse aussi, face à elle, et c’est vrai que je ressens immédiatement un immense plaisir à parcourir mes lèvres dorénavant toutes douces.



Pour terminer, Audrey sort une serviette du placard. Plutôt que de me la donner, elle préfère m’essuyer elle-même. Ses mains parcourent langoureusement mon corps. Pour finir, n’y tenant plus, elle laisse tomber la serviette et me caresse les seins, les pétrissant tendrement avant de se mettre à me sucer les tétons tout en se masturbant d’une main. Elle quitte alors la salle de bains, me laissant reprendre lentement mes esprits.


Quelques minutes ont passé durant lesquelles mon esprit enfiévré a fait le point sur les événements sensuels de ces dernières heures. Calmée, je quitte alors la salle de bains, nue. C’est alors que je croise ma patronne, toujours vêtue de son tailleur. J’en suis surprise et gênée, j’essaye même maladroitement de masquer mon intimité au moyen de mes mains, mais sans succès. Elle prend alors la parole tout en me souriant.



Puis elle contemple mon pubis dorénavant tout lisse.





4~ Premier service



Je retourne jusqu’à ma chambre, espérant quand même ne pas croiser mon patron en cours de route. L’heure du repas approche, je ne veux pas être en retard. L’avantage avec ma tenue minimaliste, c’est que je peux m’habiller rapidement. Le temps de boutonner mon chemiser, enfiler la jupe et nouer mon tablier et je suis prête. Une minute plus tard, je redescends au rez-de-chaussée. L’air entre sous ma jupe et caresse mon dorénavant sexe tout nu tandis que le tissu de mon chemisier transparent ne cesse de me caresser les seins. Toutes ces stimulations font effrontément pointer mes tétons, je suis certaine que cela se remarque à dix mètres et cela m’embarrasse quelque peu.


Mon patron ne tarde pas à arriver, il a tombé la veste mais ne s’est pas changé, au contraire de ma patronne, qui s’est vêtue d’un peignoir de soie noir, magnifiquement assorti à ses cheveux bruns. Je devine la pointe de ses seins sous le tissu et je n’ai donc aucun doute sur le fait qu’elle est nue dessous. Peu de temps après, c’est au tour de leur fille de pénétrer dans la salle à manger. Elle aussi s’est changée, elle porte maintenant un débardeur qui moule délicieusement sa poitrine et une jupe ample qui descend jusqu’aux genoux.


Il est 19 h 30, je commence donc le service sans plus attendre. Durant tout le repas, je n’arrête pas de me sentir regardée par tous, surtout mes seins. Lorsque je me penche en avant pour servir les plats, ils ballottent et tendent le tissu, ce qui les rend encore plus visibles. En plus, avec la caresse du tissu, mes tétons ne cessent de pointer avec provocation. Cette situation finit malgré tout par devenir assez excitante, j’apprécie vraiment d’être le centre d’intérêt. Je me sens belle et désirable.


La table rangée et la vaisselle lavée, mon service est maintenant terminé. Je remonte jusqu’à ma chambre assez épuisée de cette première journée. Je ferme immédiatement ma porte, mes mains se portent immédiatement sur mes seins. Mes tétons sont toujours aussi durs, mais je peux maintenant les toucher. Quel plaisir de me caresser, cela fait maintenant deux heures que je suis excitée et je peux enfin me faire plaisir. Mes mains s’aventurent aussi sous ma jupe. Je découvre avec plaisir l’avantage de ne pas porter de culotte, mon sexe est immédiatement accessible. Et en plus il est tout doux, intégralement rasé. Quel bonheur de pouvoir me caresser enfin.


Sans prendre le temps de me déshabiller, mais est-ce nécessaire vu le peu de vêtements que je porte, je m’allonge sur le lit, la jupe relevée, je me masturbe d’une main tandis que je me caresse les seins de l’autre. Mes tétons sont toujours aussi durs, ils finissent même par en être douloureux, mais totalement surexcitée, je ne résiste pas à l’envie de les faire rouler entre mes doigts. Je ne tarde pas à jouir. Une jouissance si intense que des picotements traversent tout mon corps et que des étoiles envahissent mon regard.


Je reste alors plusieurs minutes allongée à reprendre mes esprits. Lorsque je me relève enfin, c’est pour me déshabiller. Je sors un pyjama de ma valise, après avoir porté pendant plusieurs heures une tenue somme toute assez sexy, mon pyjama en coton me paraît complètement ridicule. Je ne sais pas ce que j’ai, mais je regrette presque de ne pas avoir emporté une nuisette dans mes bagages.


Je sors aussi un paquet de mouchoirs et ouvre le tiroir de la table de chevet pour le ranger dedans. Le tiroir n’est pas vide, il y a deux boîtes dedans. La plus petite est à l’évidence un paquet de préservatifs. Je l’ouvre par curiosité. Il y en a douze, le paquet est donc neuf. Est-il là par hasard ? Un oubli d’une précédente jeune fille ? Ou bien a t-il été placé ici à mon intention par mes patrons ? Je les range et ouvre avec curiosité l’autre boîte, toute en longueur. J’en sors un godemiché en latex, également neuf, puisque encore dans son emballage de cellophane. Curieuse de le prendre en main, je le déballe. La texture est vraiment réaliste. Le membre, d’une belle dimension, me fait envie, je baisse mon pantalon de pyjama, m’allonge à nouveau et commence à me l’introduire dans la chatte. C’est alors que je mets le contact par accident, il s’agit d’un gode vibrant, je peux même régler sa vitesse au moyen d’une molette. Mon plaisir monte assez vite et je jouis pour la deuxième fois de la soirée pour mon plus grand plaisir.


Finalement, assez épuisée par mes deux jouissances consécutives, je ne tarde pas à m’endormir, non sans m’être débarrassée de mon pyjama, il fait assez chaud et finalement je ressens bien plus de plaisir à dormir nue, la peau caressée par les draps.




5~ Douche matinale



Le lendemain matin, mon réveil peine à me réveiller. C’est encore somnolente que je me traîne toute nue jusqu’à la salle de bains. Je suis même tellement dans les nuages que je ne m’aperçois pas qu’elle est occupée, mais la porte n’était pas fermée à clé. L’eau coule dans la douche, je réalise alors que mon patron est en train de se laver. Il vient de remarquer ma présence, mais cela ne semble nullement le gêner, malgré la large porte de douche entièrement transparente. Je commence à reculer pour quitter la salle de bains et c’est alors que je heurte sa femme qui vient d’entrer à son tour. Je me retourne, elle est nue aussi, elle s’avance et referme la porte derrière elle, toujours sans la verrouiller.



Inès ouvre la porte et m’invite à y pénétrer d’un geste doux et autoritaire à la fois. La cabine fait près de deux mètres de large. Il y a trois colonnes de douche indépendantes, ainsi que des jets hydromassants. Son mari est en train de se rincer. Je ne peux m’empêcher de le mater discrètement, profitant qu’il a les yeux fermés à cause de l’eau qui coule sur son visage. Ce qui me surprend le plus, c’est que lui aussi a le sexe intégralement épilé. Quelle drôle de famille. Ce sexe d’homme tout lisse me fascine, un peu trop d’ailleurs, car je réalise un peu tard qu’il a rouvert les yeux. Il me regarde avec complaisance, j’ai l’impression qu’il apprécie que je mate son sexe.


Je commence alors à me laver, histoire de penser à autre chose. Mon patron quitte alors la douche et ne tarde pas à quitter la salle de bains tandis que sa fille vient d’y entrer. Elle pénètre immédiatement dans la douche et commence à se laver à côté de moi tandis que sa mère en sort. Quelques minutes plus tard, nous nous retrouvons seules dans la salle de bains. Audrey s’approche alors de moi et commence à me caresser sans hésitation tout en me parlant.



Je lui réponds très spontanément tout en lui rendant ses caresses.



L’excitation nous gagne, nous cessons alors de discuter tout en continuant de nous caresser mutuellement. Nos mains descendent progressivement jusqu’à notre intimité. Je commence à caresser les lèvres d’Audrey pendant qu’elle se met à introduire ses doigts entre les miennes. L’excitation nous gagne de plus en plus, je lui introduis trois doigts tandis qu’elle fait de même. Nous nous masturbons mutuellement avec frénésie. Notre plaisir monte encore. Nous ne tardons pas à jouir ensemble tandis que ma partenaire se permet de déposer tendrement un baiser sur mes lèvres.


Lavée et séchée, je retourne jusqu’à ma chambre. Je sors de l’armoire un chemiser et une jupe. Je viens à peine de le boutonner que l’envie de me caresser les seins monte en moi. Cette tenue très provocante m’excite de plus en plus. Je dois cependant refréner mes pulsions car mon service va commencer.


Je descends alors au rez-de-chaussée pour prendre mon petit déjeuner. Après avoir placé les bols dans le lave-vaisselle, je nettoie la table et je range la cuisine. C’est alors que ma patronne entre dans la pièce, elle s’adresse à moi avant de partir travailler, me donnant quelques directives pour la matinée. Elle termine par une question plus intime.



Je me sens assez gênée de cette question très directe, mais je m’efforce néanmoins d’y répondre objectivement.



Là, la question devient vraiment très intime.



La décontraction avec laquelle elle me dit cela me déstabilise quelque peu. Je réalise soudain que je me suis laissé pénétrer par une copie de la bite de mon patron.

Comme je ne dis rien, elle reprend la conversation sans plus attendre.



Elle me quitte alors, me laissant dans l’expectative. Que dois-je comprendre de tout ceci ?




6~ Repas et sieste



Audrey est partie chez son copain pour le reste du week-end. Je me retrouve donc seule avec ses parents. Une légère appréhension m’envahit, mais finalement le repas se passe normalement, je commence même à m’habituer à ma tenue. Encore quelques jours ainsi, et je n’y ferai peut-être même plus attention.


Après le repas, mes patrons vont s’allonger sur le canapé du salon pour regarder la télé. Pendant ce temps-là, je remplis le lave-vaisselle, nettoie la table et passe un coup de balai dans la cuisine et la salle à manger. C’est alors que je commence à entendre des gémissements. Je m’approche de la porte du salon. Celle-ci est restée entrebâillée, je peux donc facilement voir ce qui s’y passe. Une curiosité malsaine me gagne, je regarde discrètement. Mon patron est en train de prendre ma patronne en levrette sur le canapé. Je les regarde, excitée, l’envie de me masturber monte en moi. Ma tenue me le permettant facilement, je n’hésite pas bien longtemps et je commence à me caresser la fente et le clitoris tout en continuant à les regarder faire.


Attendait-il ce moment ou n’étais-je pas assez discrète ? En tout cas, Patrick remarque immédiatement que je les observe. Alors que je viens d’effectuer un mouvement de recul dans l’espoir de passer inaperçue, je l’entends qui m’appelle.



Je pénètre alors dans le salon, je sens que mes joues deviennent rouges. Il me fait alors signe de m’asseoir sur un des sièges qui font face au canapé. Je m’exécute tandis que mes patrons reprennent leur coït sous mes yeux. Au bout de quelques instants, il s’adresse à nouveau à moi.



Malgré sa voix très douce, cette proposition sonne comme un ordre. Mais après tout, pourquoi ne pas continuer de me caresser tout en les regardant faire ? Je reprends donc ma masturbation. Rapidement l’excitation monte en moi et mon clitoris ne me suffit plus, je m’introduis deux doigts dans la chatte, quel plaisir de se caresser devant un tel spectacle. Ma patronne gémit de plus en plus fort, son mari aussi. Tout en faisant l’amour, ils me regardent régulièrement et me sourient. Je sais qu’ils matent ma chatte, cela m’excite encore plus et je m’introduis un troisième doigt tout en gémissant à mon tour. Je me caresse aussi les seins à travers mon chemisier. Mes tétons sont durs. À chacune de mes caresses, des ondes de plaisir traversent mon corps. Je les pince, je les fais rouler entre mes doigts, tout en continuant de me masturber de mon autre main.


Soudain, Patrick se met à gémir plus fort. Il est en train de jouir. Inès aussi crie son plaisir. Il se retire alors d’elle. Je peux enfin voir son sexe en érection. Une bien belle bite, la même que celle qui est dans ma table de nuit. Quand je pense que je me la suis introduite hier soir, le trouble monte en moi. Il s’assied pour se remettre de ses émotions. Inès s’approche alors de son mari, se penche vers sa bite encore bien raide et se met à la lécher avec application pour la nettoyer amoureusement. Moi, je continue de les regarder faire tout en me masturbant, et c’est à ce moment que je jouis à mon tour. Incapable de retenir mes cris de plaisir, mes patrons me regardent avec complaisance tandis que des spasmes secouent mon corps.


Le reste de la journée sera plus, disons, normal, si je puis dire. Peut-être veulent-ils m’épargner de nouvelles émotions. Ils partent en fin d’après-midi, me laissant seule pour la soirée. Ma patronne a revêtu une longue robe de soirée moulante. Comme à son habitude, elle ne porte pas de sous-vêtements. Ses seins sont sublimement moulés par sa tenue et ses tétons pointent avec arrogance.


Me voici donc seule pour la soirée. Après avoir mangé, je ne sais trop que faire. Il n’y a rien d’intéressant à la télé. Je monte donc dans ma chambre. Je retire mon tablier et m’allonge sur le lit, toujours vêtue de mon chemisier et de ma jupe. L’envie est trop forte, j’ouvre le tiroir de la table de chevet et en sors le godemiché. Je le prends en main et le caresse. Curieuse sensation, maintenant que je sais qu’il a été moulé sur le sexe de mon patron, c’est un peu comme si je le caressais. Je le porte à ma bouche et commence à le sucer. Il a un goût un peu amer. C’est logique. Je me suis masturbée avec hier et je n’ai pas eu l’occasion de le nettoyer ensuite, c’est donc le goût de ma chatte, c’est un peu comme si je me léchais le sexe.


Finalement, je m’introduis le membre de latex et me masturbe avec jusqu’à la jouissance. Je ressors l’engin de mon entrejambe, il est couvert de mouille. Curieuse de comparer le goût de la mouille fraîche avec celui de la mouille séchée, je le lèche à nouveau. Je préfère le goût. Évidemment, en séchant, mon jus intime s’est concentré, et son goût est donc plus fort. Il est encore très tôt, je sors un livre de mes bagages et commence ma lecture. Malgré tout, je ne suis pas calmée et je me masturberai encore deux fois dans la soirée avec le sexe de mon patron.




7 ~ Au bord de la piscine



Le temps est magnifique dimanche. Pendant que je suis en train de faire le ménage du rez-de-chaussée, mes patrons sont allongés au bord de la piscine pour profiter du soleil de cet après-midi radieux.


Au bout d’une demi-heure, ils m’appellent. Ils se sont allongés côte à côte sur des transats. Bien évidemment, ils sont totalement nus, mais je commence à m’y habituer. Ce qui me surprend le plus, c’est qu’Inès me demande de la recouvrir de crème solaire. Heureusement pour moi, elle se retourne, je n’aurai donc qu’à lui enduire le dos, les fesses et les jambes. Je prends alors le flacon de crème solaire, j’en fais couler dans le creux de ma main et commence à l’enduire de haut en bas. Je me sens soulagée lorsque je suis arrivée à ses pieds, mais cela sera très bref, Patrick me demandant alors de lui enduire le dos à son tour. Je m’exécute de bonne grâce, d’autant plus que c’est l’occasion pour moi de parcourir ses fesses qui sont parfaitement épilées tout comme le reste de son corps. Pour la deuxième fois, un soulagement me parcourt une fois mon travail terminé, mais à nouveau, celui-ci sera de courte durée. Inès se retourne et me demande de terminer l’application de crème solaire.


Elle est allongée devant moi, son corps bronzé offert à mes caresses. Je m’efforce de reprendre mes esprits et commence à la recouvrir de crème, non sans me poser quelques questions. Dans quel ordre vais-je le faire ? En attendant de trouver la réponse, je commence déjà par ses épaules. Dois-je palper ses seins ? Et ses tétons, je fais quoi avec ? Finalement, je m’efforce de passer rapidement dessus, puis je fais le ventre avant de passer directement à ses pieds. Tandis que je remonte le long de ses jambes, je vois son sexe qui se rapproche inexorablement de moi, même si en fait, c’est moi qui m’en rapproche. Je reprends de la crème, je parcours son pubis d’une main. Mes doigts se rapprochent de sa fente tandis qu’elle écarte légèrement les cuisses. Pourquoi ? Est-ce un signe ? Je ne sais pas. Je parcours les plis de ses cuisses, reviens rapidement sur sa fente. Voilà, c’est terminé.


Je ne sais pas si elle en espérait plus de ma part. Après m’être occupée de ma patronne, je m’attends au pire. Son mari se place justement sur le dos, comme pour m’inviter à m’occuper de lui, d’ailleurs la façon dont il me regarde ne me laisse aucun doute à ce sujet. Il ne me demande rien, mais je me sens obligée de m’occuper de lui. Je refais une nouvelle fois le tour des transats pour passer de son côté. Un frisson me parcourt tandis que je contemple le corps intégralement épilé de mon patron. Je respire profondément et fais couler de la crème. Comme pour sa femme, je commence par ses épaules, puis je descends jusqu’à sa taille. Je peux déjà profiter du contact de ses pectoraux, mais je sais aussi qu’autre chose m’attend plus bas. Je passe alors à ses pieds et je remonte lentement tout en observant avec intérêt son magnifique sexe tout lisse. J’ai l’impression qu’il a grossi depuis que j’ai commencé à m’occuper de lui.


Je viens de finir ses cuisses, j’enduis son pubis, son épilation est parfaite, il a dû se faire épiler au laser. Je ressens un vif plaisir à caresser une peau aussi douce. Mes mains se dirigent inexorablement vers son membre viril. J’ai l’impression qu’il a encore grossi. Mes doigts s’approchent, le survolent. Je le prends en main. Des picotements parcourent mon corps. J’ai l’impression qu’il continue à grossir entre mes doigts. J’effectue quelques mouvements pour répartir la crème. Cela suffit pour que son sexe se redresse pour de bon. J’en profite alors pour lui enduire aussi les bourses, l’absence de poils me permet de me rendre compte de la douceur incroyable de la peau à cet endroit. Je n’avais jamais pu remarquer cela avec les garçons que j’ai déjà fréquentés puisqu’ils ne se rasaient pas le sexe.


La grosse bite en érection de Patrick m’impressionne. Je la caresserais volontiers encore, mais le puis-je ? Je le regarde, son regard me semble favorable. Quand à Inès, elle acquiesce de la tête lorsque nos regards se croisent. Je reprends donc en main la bite de mon patron et je commence quelques mouvements d’aller-retour. Après avoir joué avec la reproduction en latex, je peux maintenant profiter du modèle original. Visiblement, cela lui plaît. Je sens son sexe durcir encore et grossir un peu plus tandis qu’il laisse échapper un soupir lascif. Tandis que je me demande s’il est raisonnable que je continue, sa femme change de position, se penche, approche son visage à quelques centimètres du sexe de son mari et ouvre la bouche, visiblement prête à recevoir son sperme au fond de sa gorge. Enhardie, je continue alors mes mouvements, branlant sans vergogne mon patron tout en lui massant les couilles de mon autre main. Cela lui fait visiblement de l’effet, il gémit de plus en plus fort, ses mouvements deviennent désordonnés. Je sens soudain son gros sexe tressaillir entre mes doigts tandis qu’il pousse un long gémissement. C’est alors qu’il éjacule copieusement dans la bouche grande ouverte de sa femme.


Lorsqu’il a fini de jouir, Inès se rapproche de lui et l’embrasse langoureusement, la bouche encore pleine de sperme. Sous mes yeux ébahis, sans vergogne ni pudeur, mon patron goûte à sa semence avec envie. Il me semble même qu’il se délecte de son sperme. C’est la première fois que je vois un homme avaler sa liqueur intime. J’en suis assez troublée. Je réalise alors que je tiens encore sa bite en main. Elle commence à se ramollir. Je la lâche. Mes patrons continuent à s’embrasser avec fougue tout en se caressant. Ils semblent très amoureux. Je préfère les laisser seuls et je rentre à la maison terminer mon ménage.


Le spectacle pervers auquel j’ai participé continue de m’obséder tout le reste de la journée. Je ne cesserai de me caresser les seins et la chatte en y repensant chaque fois que j’aurai un instant libre. Des images restent gravées dans mon esprit et je ferme les yeux pour les revoir tout en me masturbant. Le sexe lisse de mon patron en érection. La peau toute douce de ses couilles. La branlette que je lui ai prodiguée avec application. Sa femme qui se fait éjaculer dans la bouche tandis que je me charge de diriger le jet au fond de sa gorge. Son propre sperme qu’il avale avec plaisir.




8 ~ Le fils de famille



Dimanche en fin d’après-midi, Audrey est de retour, mais pas seulement. Un charmant jeune homme l’accompagne. Je suppose immédiatement que c’est son petit ami, mais en fait pas du tout. Il s’agit de son frère Tristan, je le trouve très beau avec son physique athlétique, ses cheveux bruns, sa peau bronzée et ses beaux yeux bleu clair. Il nous quitte rapidement, à mon grand regret. Audrey en profite pour m’embrasser tout en me caressant les seins. Décidément, la mère et la fille ont les mêmes pulsions. Elle me propose ensuite de prendre une douche avec elle, ce que j’accepte sans hésiter.


C’est en entrant dans la salle de bains que je réalise qu’elle est déjà occupée par Tristan. Je me demande si Audrey l’a fait exprès, mais je ne vais pas m’en plaindre, je vais pouvoir contempler en détail son corps. Nous pénétrons tout juste dans la vaste cabine de douche que je suis déjà en train de parcourir de mon regard son corps musclé et intégralement bronzé. C’est alors que je remarque le seul point qui fait défaut dans son physique de rêve : il en a une toute petite. Ce n’est même pas une petite bite, c’est carrément un petit zizi, il est de la même taille que mon petit doigt. Ses testicules semblent inexistants. J’ai l’impression de voir un sexe d’enfant, d’autant plus que lui aussi s’est intégralement épilé, c’est décidément une habitude dans cette famille. Ceci dit, son sexe est si petit que s’il gardait ses poils pubiens, on ne le verrait plus du tout.


Tandis qu’Audrey me savonne, je continue à l’observer. Lui aussi me regarde régulièrement, peut-être que je ne le laisse pas indifférent. Je ne sais rien de lui, mais la douche n’est pas forcément l’endroit idéal pour entamer une conversation. Il ne tarde pas à nous quitter, nous laissant alors, sa sœur et moi, libres de nous caresser tendrement.


Audrey attend qu’il ait quitté la salle de bains pour m’interroger.



Tout en disant cela, elle m’introduit deux doigts dans la chatte. Je lui rends immédiatement la pareille et nous terminons notre douche en nous masturbant mutuellement tout en nous caressant et nous embrassant.


Après cet intermède agréable, c’est à regret que je retourne jusqu’à ma chambre pour me rhabiller. Même si ma tenue de travail n’est pas particulièrement encombrante, je serais bien restée nue allongée sur mon lit. Il me faut encore préparer le repas du soir puis effectuer le service. Ce soir, les deux enfants mangent avec leurs parents. Je m’efforce d’effectuer impeccablement mon service même si ma tenue me préoccupe. Depuis quelques jours que je suis au service de Patrick et Inès, je me suis habituée à ce chemiser transparent qui dévoile sans pudeur mes seins en liberté, mais cette fois-ci, leurs deux enfants sont là aussi. Pourtant, personne ne semble faire de cas de ma tenue, comme s’il était normal pour eux que je sois habillée aussi sexy, d’ailleurs Inès et Audrey sont elles aussi vêtues de chemisettes légères qui dévoilent discrètement leur poitrine en liberté. En fait, j’ai bien l’impression d’être la seule à être gênée par cette situation. Le seul qui fasse attention à moi est Tristan, je sais qu’il regarde régulièrement ma poitrine chaque fois que je ne l’observe pas. Peut-être que je l’intéresse.


Ce n’est qu’après le repas, une fois la vaisselle faite et la cuisine nettoyée, que mon service se termine enfin. Je monte dans ma chambre, impatiente de me faire plaisir, je m’allonge immédiatement sur mon lit sans prendre le temps de me déshabiller. Je n’ai qu’à remonter ma jupe pour me faire plaisir. Tandis que je me masturbe d’une main, je me caresse la poitrine de l’autre. Toutes les images de cette incroyable journée ne cessent de repasser dans mon esprit, le sexe en érection de mon patron, la branlette que je lui prodigue, l’éjaculation dans la bouche de sa femme, le partage de son sperme. Mais plus que tout, c’est leur fils et son mignon petit zizi, qui m’obsède le plus. Je ne retrouverai finalement le calme qu’après m’être masturbée frénétiquement avec mes doigts et la bite en latex de mon patron. Trois jouissances successives seront nécessaires pour m’apaiser et me permettre de trouver enfin le sommeil.