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Temps de lecture estimé : 33 mn
18/06/14
Résumé:  Cécile a accepté un emploi de servante. Après s'être habituée progressivement à la situation, elle va aller de surprise en surprise, découvrant de nouvelles expériences pour son plus grand plaisir.
Critères:  f fh ff hh hplusag fplusag jeunes hépilé fépilée soubrette exhib noculotte fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo hsodo journal -totalsexe
Auteur : Zwico  (Tout le plaisir, tous les plaisirs)            Envoi mini-message

Série : Journal d'une jeune fille au pair

Chapitre 02 / 03
Journal d'une jeune fille au pair - PARTIE 2 - Ébauche

Résumé


Cécile a accepté un emploi de servante. Après avoir découvert que ses patrons sont plutôt libérés au niveau sexuel, elle s’est habituée progressivement à la tenue sexy qu’elle doit porter pour travailler. Durant la semaine qui s’est écoulée, elle a pu faire connaissance avec la fille et le fils de ses patrons. Elle n’est qu’au début de ses surprises.




9 ~ Lingerie


Lundi est mon jour de congé. Après une matinée passée à bouquiner dans ma chambre, je m’offre une sortie en ville. Je me rhabille donc à peu près comme je suis arrivée : pantalon, culotte, soutien-gorge, t-shirt. Cela ne fait que trois jours que je n’ai pas porté mes affaires personnelles et je n’arrive déjà plus à supporter mon soutien-gorge. De toute façon, mon t-shirt est assez épais et opaque, pas comme le chemiser de ma tenue de service, je peux donc le retirer en toute sérénité. Je me sens bien mieux ainsi.


Il fait chaud aujourd’hui, c’est un vrai plaisir de profiter d’un tel temps pour sortir. Néanmoins, je ne tarde pas à ressentir une sensation pénible. À bien y réfléchir, je pense que c’est dû à mon pantalon qui me tient trop chaud, j’aurais peut-être dû plutôt mettre une jupe. Je retourne donc immédiatement à la maison et remonte prestement dans ma chambre. Je troque mon pantalon pour une jupe, mais je ressens encore une gêne. Finalement, je retire ma culotte et ce n’est qu’à partir de ce moment-là que je me sens enfin bien dans ma peau.


Je repars alors faire la balade que j’avais prévue, le cul nu, pour mon plus grand plaisir. Je réfléchis à tout cela tout en marchant. Je ressens de la gêne lorsque je porte une culotte et je me sens mieux lorsque je n’en porte pas. Aurais-je déjà perdu l’habitude de porter des sous-vêtements ? J’apprécie tellement la sensation de liberté que m’offre ma tenue de service que je me sens oppressée dès que je m’habille comme avant. Il ne m’aura pas fallu longtemps pour bouleverser complètement mes pratiques vestimentaires.


C’est en fin d’après-midi que je suis de retour à la maison. En entrant dans ma chambre, je remarque une pile de jupes de service posée sur la commode. Bizarre, il me semblait pourtant les avoir rangées dans l’armoire après avoir repassé le linge. J’ouvre l’armoire, l’étagère est vide. Je prends une jupe, elle me paraît plus courte. Je l’enfile. En effet, cette jupe ne m’arrive qu’à mi-cuisses. Mes patrons auraient changé mes jupes au bout de quelques jours pour me laisser le temps de m’habituer ? J’espère quand même que mes jupes ne vont pas rétrécir toutes les semaines, sinon il ne me restera plus qu’une ceinture d’ici la fin du mois. Je me regarde dans la glace, je suis encore plus sexy dans cette tenue. Je m’assieds. Tant que je n’écarte pas les jambes, tout va bien. Par contre, cuisses écartées, j’offre une vue imprenable sur ma petite fente toute lisse. Il va falloir que je fasse quand même un peu attention.


Mardi soir, lors du repas, alors que je viens d’apporter le plateau de fromages, je sens la main de mon patron me caresser les fesses à travers ma jupe. Inès nous regarde tandis que je me laisse tripoter. Je ne sais pas si j’ai bien fait, mais la curiosité qui m’anime est plus forte que les conventions imposées par mon éducation.


Mon service terminé, je retourne dans ma chambre. Quelques minutes plus tard, alors que je suis allongée en pyjama, en train de lire un livre, on frappe à la porte. C’est Audrey. Suite à une panne de voiture, elle doit passer la nuit ici et se sent bien seule dans sa chambre. Je lui propose donc de partager le même lit. Elle porte un t-shirt blanc à bretelles sous lequel ses tétons pointent et un short moulant qui laisse deviner sa fente. Moi, j’ai un peu honte dans mon pyjama ridicule et je m’empresse de le retirer. Audrey s’en rend compte et me propose de me trouver une tenue sexy dès que possible. En attendant, elle commence à me caresser les seins et je lui rends la pareille à travers le tissu de son t-shirt. Notre désir monte rapidement, elle se déshabille à son tour et nous nous allongeons sur le lit, tête-bêche, chacune commençant à lécher avec délectation le sexe de l’autre. Je n’avais jamais léché une autre fille jusqu’à présent, mais je le fais très naturellement et j’y prends immédiatement beaucoup de plaisir, d’autant plus qu’elle me rend la pareille. C’est maintenant que je réalise tout l’intérêt de l’épilation intégrale. Je peux lui lécher le sexe sans être gênée par ses poils. Je peux pleinement profiter de la douceur de sa fente et suçoter son petit clito avec délectation.


Nous ne tardons pas à jouir. Toujours excitées, nous continuons et je propose à ma partenaire de me pénétrer avec le godemiché vibrant qui est dans ma table de chevet. Je ne tarde pas à jouir à nouveau. Audrey, qui est en train de sucer le gode pour goûter à ma cyprine, me demande de l’essayer. J’accepte bien évidemment et après l’avoir nettoyé, je me charge à mon tour de l’introduire dans la chatte de ma partenaire. C’est pendant qu’elle est en train de jouir que je réalise que ce membre artificiel a été moulé sur la bite de son père. Un inceste par objet interposé, en quelque sorte. Je préfère ne pas lui dire. Épuisées et repues de plaisir, nous ne tardons pas à nous endormir, tendrement enlacées ensemble.


Mercredi soir, je sens à nouveau la main de mon patron passer sur mes fesses, mais cette fois-ci sa main est passée sous ma jupe, c’est plus facile avec cette jupe plus courte. J’en frémis de surprise et de désir. Sa femme nous regarde toujours, je me laisse faire mais cela n’ira pas plus loin.


Après m’être couchée, on frappe à la porte. Pourtant, il me semblait qu’Audrey n’était pas là ce soir. Je vais ouvrir, toujours vêtue de mon pyjama. Ma patronne est là, face à moi, juste vêtue d’une nuisette transparente, d’un porte-jarretelles et d’une paire de bas. Elle est réellement très sexy dans cette tenue, si je ne me retenais pas, je m’empresserais de la caresser.



Elle me tend alors une boîte tout en reprenant :



J’ouvre la boîte et j’y découvre la même tenue que ce qu’elle porte. Je retire alors mon pyjama sans hésiter et commence par enfiler le porte-jarretelles, puis les bas, et termine finalement par la nuisette. Je m’observe dans le miroir de l’armoire, cet ensemble est réellement magnifique. Ma patronne est à côté de moi et je peux constater à quel point nous sommes physiquement semblables. Les mains d’Inès se posent alors sur mes épaules. Je l’observe dans la glace, elle en fait autant. Elle dépose ensuite un baiser dans mon cou, puis ses mains s’aventurent sur mes seins. Je me laisse faire, le plaisir monte en moi. Je la laisse faire, ses mains parcourent tout mon corps. Je me retourne alors pour lui rendre ses caresses, celles-ci sont de plus en plus intimes, nos doigts s’aventurent dans nos fentes tandis que nous nous embrassons. Finalement, nous ne tardons pas à nous allonger sur le lit pour partager notre plaisir en un 69 enfiévré. Je prends à nouveau beaucoup de plaisir à lécher ses lèvres toutes lisses tout comme je l’ai fait avec sa fille la veille. Notre jouissance terminée, je sors tout naturellement le godemiché de ma table de nuit pour la masturber avec et elle me rend ensuite ce plaisir, tout comme la veille avec sa fille.




10 ~ En ville


Jeudi, je dois sortir pour aller faire des courses. Je ne dois pas me rhabiller avec mes affaires personnelles et pourtant je ne m’imagine pas aller jusqu’au centre-ville dans ma tenue de tous les jours, les seins offerts à la vue de tous. Heureusement ma patronne a tout prévu. Avant de partir travailler, elle m’a confié une veste assortie à ma jupe. Une heure plus tard j’ai terminé le ménage et je m’apprête à partir au magasin. C’est lorsque j’enfile la veste que je réalise qu’elle est assez petite et n’a pas de boutons. En fait, c’est plus un boléro qu’une veste. Si j’écarte trop mes bras, les pans de tissu s’ouvrent et on peut alors aisément deviner ma poitrine libre sous mon chemisier transparent.


Puisqu’il n’y a personne pour me surveiller, je pourrais très bien reprendre mes anciens vêtements, mais cela serait contraire au contrat que j’ai signé. En plus, depuis ma balade de lundi, je n’envisage vraiment pas de remettre des sous-vêtements pour sortir. Alors, même si ma poitrine en liberté risque d’être visible par moments, je n’hésite pas plus longtemps, l’expérience mérite d’être tentée. Je quitte donc la maison en essayant de ne pas trop y penser même si je m’efforce malgré moi de maintenir en place les pans de ma veste.


Il ne me faut que dix minutes pour aller à pied jusqu’au supermarché, mais j’aime bien la marche à pied. Je commence à prendre confiance en moi, les passants ne me regardent pas plus que d’habitude. C’est une fois dans le magasin, alors que je viens de m’accroupir pour prendre une bouteille d’huile, que je sens un courant d’air frais me caresser la fente. C’est vrai que je ne porte pas de culotte ! Je l’avais déjà complètement oublié. En plus, ma jupe est plus courte maintenant, il va quand même falloir que je fasse un peu attention à cela et que je ne m’accroupisse pas n’importe comment. Heureusement, quand je suis face au rayon, personne ne peut voir mon entrejambe, il me suffit donc de bien choisir ma position pour être tranquille. Du coup, je recommence au rayon suivant. L’air frais caresse à nouveau mon intimité, je crois bien que je commence à y prendre goût.


Le désir monte en moi. Le rayon suivant est désert, j’en profite pour me caresser les seins et me pincer les tétons à travers le tissu de mon chemisier. Je sens que je vais jouir sur place si je continue ainsi. Encore un article à prendre sur l’étagère du bas. Je m’accroupis, jambes écartées, il n’y a toujours personne. La tentation est trop grande, je porte ma main sur mon sexe et je l’effleure du bout des doigts, il est tout humide à cause de mon l’excitation. Je ne peux pas aller plus loin, je me sens déjà au bord de la jouissance.


À chacun de mes pas, les lèvres de mon sexe glissent l’une contre l’autre augmentant progressivement mon excitation, je n’avais jamais ressenti une telle sensation lorsque je portais une culotte. Je ne peux pas rester ainsi, je dois me libérer du désir qui m’envahit de plus en plus. Je me souviens d’avoir vu une cabine d’essayage au rayon des vêtements. Je m’y rends sans plus attendre. À peine à l’intérieur, je m’accroupis et m’introduis deux doigts, ceci a pour l’effet de déclencher une jouissance immédiate. Je peine à étouffer mes gémissements de plaisir. Ma jouissance soudaine et brutale m’aura fait copieusement mouiller, mon mouchoir suffit à peine à absorber le jus qui s’écoule de mon sexe et qui s’est aussi écoulé sur le parquet de la cabine. Je ressorts chancelante, heureusement qu’il n’y a personne aux environs. Je termine mes courses dans un état de semi-conscience, encore portée par ma jouissance passée. Je ne pensais pas qu’il était possible que je puisse jouir aussi vite et aussi fort, et cela juste parce que je ne porte pas de sous-vêtements dans un lieu public.


De retour vers la maison, je suis d’humeur guillerette. Je me sens mieux. Je ne fais même plus attention à ma veste qui ne peut pas se refermer. Je passe près d’un parc, il n’y a personne, le désir monte à nouveau en moi. J’entre et m’assieds sur un des bancs, cuisses écartées. Je recommence à me masturber. La jouissance monte à nouveau très vite et très fort. Cette fois-ci, c’est ma jupette qui fait les frais de mon plaisir, de toute façon mon mouchoir est trop mouillé. Ravie, je rentre à la maison la chatte encore mouillée, je sens la fraîcheur du vent sur mon entrejambe, mon jus intime s’écoulant lentement sur mes cuisses au rythme de mes pas.


Je viens de repousser un peu plus mes limites, pour mon plus grand plaisir, et ceci grâce à mes patrons. Je repense à mon expérience pénible de lundi. J’ai de plus en plus la conviction que je ne supporte plus de porter des sous-vêtements. Ces quelques jours en tenue de soubrette auront définitivement bousculé mes habitudes en me faisant découvrir de nouvelles perspectives réellement excitantes.




11 ~ Fin de semaine


Jeudi soir pendant le repas, je suis à nouveau l’objet d’attouchements. Mais cette fois-ci, c’est Inès qui me touche les fesses. Elle se permet même de m’introduire deux doigts dans la fente, tout comme la veille dans mon lit, mais cette fois-ci, elle le fait sous les yeux de son mari, qui nous observe avec le plus vif intérêt et semble manifestement apprécier la scène. Cette situation perverse m’excite aussi et je ne peux réprimer un léger gémissement de plaisir tandis qu’elle retire ses doigts progressivement. Quelques minutes plus tard, Patrick ose à son tour m’introduire deux doigts dans la fente. Un frisson me parcourt et je gémis à nouveau tout en regardant sa femme. Sa main est sous la table, je parierais qu’elle est en train, elle aussi, de s’introduire des doigts tout en nous regardant.


Vendredi soir, j’attends avec impatience durant tout le repas de me faire peloter par mes patrons, mais rien. J’ai l’impression qu’ils sont indifférents à moi. Pourtant, je fais tout ce que je peux pour attirer leur attention. Avant de servir le dessert, je me passe même un glaçon sur les tétons pour les faire durcir au maximum. Lorsque j’amène le plateau de fruits sur la table le tissu de mon chemiser est tendu tant mes tétons pointent avec ardeur, mais ils semblent y être indifférents. Je suis très déçue, j’en arrive même à me demander ce que j’ai bien pu faire pour mériter cela.


Le repas est terminé, je suis en train de débarrasser la table lorsque je sens deux mains se poser sur mes épaules. Elles descendent jusqu’à mes coudes, font le tour de mon corps et remontent vers mes seins. Je tourne la tête et vois Inès à quelques mètres de moi, en train de m’observer, j’en déduis donc que c’est mon patron qui est en train de me tripoter. Je me laisse faire et m’abandonne à ses caresses, trop contente d’être à nouveau l’objet de leur attention. Tandis qu’il me palpe les seins, il joue avec mes tétons pour les faire durcir et se permet un commentaire.



Celle qui continue à nous regarder avec un vif intérêt acquiesce.



Inès s’approche de moi tandis que son mari desserre son étreinte. Elle se place face à moi et se met, elle aussi, à me palper la poitrine tout en m’embrassant. Elle m’entraîne alors vers le salon et nous nous déshabillons avant de nous allonger côte à côte en position de 69. Comme mardi, je prends un grand plaisir à lécher la vulve toute douce de ma patronne, mais cette fois-ci, en plus, son mari, qui s’est déshabillé aussi, s’est assis sur le fauteuil d’en face, et est en train de se masturber tout en nous regardant faire.


Tout aussi excitées l’une que l’autre, nous nous léchons mutuellement les lèvres et le clitoris tout en nous introduisant des doigts. Mon plaisir est intense, j’ai l’impression d’être leur objet sexuel et cela me plaît énormément. J’observe régulièrement mon patron. Il se masturbe d’une main et se caresse les couilles de l’autre. J’apprécie énormément de voir sa grande bite bien lisse et toute raide. Je ressens aussi un grand plaisir à être en partie la raison de son excitation. Quand il jouira, ce sera aussi grâce à moi.


Après avoir joui toutes les deux, c’est au tour de Patrick. Son éjaculation est abondante, preuve de son état d’excitation, ses giclées de sperme s’étalent copieusement sur son ventre et remontent jusqu’à son cou. Inès se lève et va sucer sa bite couverte de sperme avant de l’embrasser avec fougue. Elle se penche ensuite à nouveau et lèche tout le sperme qui s’est écoulé sur son ventre. Satisfaite, elle revient alors vers moi et m’embrasse sans plus attendre. Elle me fait alors partager un peu du sperme de son mari, j’en ressens distinctement le goût dans ma bouche. Je suis en train d’avaler le sperme de mon patron et ça me plaît, un dernier orgasme me traverse alors que nos langues se mêlent sous les yeux de Patrick qui suce ses doigts pleins de sperme tout en nous regardant tendrement.




12 ~ Les cousins


Audrey me propose de passer la soirée avec elle, mais comme je devrais assurer le service pour ses parents, elle se charge de les convaincre de me laisser partir. Ils acceptent de bonne grâce, je suis même surprise de la facilité avec laquelle ils acquiescent.


En fin d’après-midi, je retrouve Audrey dans sa chambre, car elle veut que nous soyons habillées pareil, ce qui est plutôt facile car nous avons à peu près la même stature. Elle sort de son dressing deux bustiers en dentelle blanche, deux mini-jupes noires et des paires de bas autofixants assortis au haut. Je me regarde dans la glace après m’être vêtue, le bustier est aussi transparent que mon chemisier de service, mes tétons ont même tendance à vouloir passer entre les mailles de la dentelle. Je me retourne, ma mini-jupe est si courte que je vois le bas de mes fesses. Quant aux bas, ils ne sont pas assez longs pour arriver jusqu’à la jupe. Habillée ainsi, j’ai l’impression d’être une pute, mais Audrey trouve juste que je suis très sexy et que si elle ne se retenait pas, elle me sauterait dessus sans plus attendre. Je la regarde et réalise alors que, moi aussi, je la trouve très appétissante dans cette tenue. Pour terminer, elle me tend un manteau noir, ce qui nous permettra de passer inaperçues puisque nous allons partir à pied.


En effet, nous n’allons pas bien loin. Un quart d’heure plus tard, nous arrivons dans un immeuble du centre-ville. Je ne sais toujours pas là où je vais car Audrey a insisté pour me ménager la surprise. Nous montons au deuxième étage et après avoir sonné, un jeune homme nu nous ouvre la porte et nous souhaite la bienvenue. Il est blond, à l’allure sportive et est lui aussi, intégralement épilé. Je vais finir par croire que personne ne se laisse pousser les poils pubiens dans cette ville. Audrey fait les présentations, il s’agit de son petit ami Cédric. Ils commencent par s’embrasser puis elle s’agenouille et le suce quelques instants sous mes yeux. Quand elle se relève, elle m’explique tout naturellement que c’est sa façon de lui dire bonjour. Je m’approche à mon tour pour lui faire la bise lorsqu’Audrey m’annonce que je peux aussi lui dire bonjour si je veux. Je réfléchis brièvement. Lui dire bonjour signifie le sucer. Qu’est-ce que je fais ? Allez, profitons-en, me dis-je, inutile de réfléchir trop longtemps. Je me penche à mon tour et prends sa bite dans ma bouche pour la sucer. Elle est bien propre, c’est un vrai plaisir de lécher sa verge. Je sens grossir son sexe rapidement, mais je cesse, je ne vais quand même pas le sucer jusqu’au bout.


Nous nous asseyons dans le canapé pendant que Cédric nous sert à boire. Audrey est placée à ma droite. Tournée vers moi, elle a sa jambe droite posée au sol tandis que sa jambe gauche est repliée sur le canapé, son pied au bord de celui-ci. De cette façon, avec les cuisses ainsi écartées, sa chatte est bien visible, car sa mini-jupe ne cache pas grand-chose. Je sens mes seins durcir, je suis sûre qu’ils sont en train de pointer et de déformer effrontément la fine dentelle de mon bustier. Je préfère ne pas regarder pour vérifier, mais les regards appuyés d’Audrey et Cédric sur ma poitrine me laissent deviner que mon état d’excitation est bien visible.


Nous avons commencé à siroter nos verres tout en discutant. L’alcool m’a progressivement détendue. J’ai même pris, sans y faire attention, la même pose qu’Audrey, les cuisses écartées, la chatte bien visible. D’ailleurs, Cédric en profite bien, il ne cesse de nous mater, son sexe légèrement gonflé trahissant son état d’excitation. Voilà maintenant qu’il commence à se masturber nonchalamment tout en continuant à discuter avec nous. Jusqu’où va-t-il aller ? C’est à ce moment que la sonnette retentit. Cela me sort de ma torpeur et je resserre soudain les cuisses. Pour quoi faire ? J’ai presque honte de ce réflexe spontané dû à mon éducation.


Cédric se lève pour aller ouvrir, toujours nu. Sa bite est maintenant en érection et c’est ainsi qu’il va accueillir celui qui a sonné. Un jeune homme entre alors. Audrey m’annonce qu’il s’agit de Corentin, le cousin de Cédric. Les deux garçons se font tout naturellement la bise, mais ce qui suit est beaucoup moins naturel. Corentin se penche, prend dans sa bouche la bite toute raide de son cousin et se met à le sucer comme nous l’avons fait auparavant. Lorsqu’il se relève, c’est pour se déshabiller sans plus attendre. Blond comme son cousin, et partageant le même physique sportif, il est également intégralement épilé. C’est maintenant Cédric qui s’accroupit et se met à le sucer avec application. Lorsque la bite de son cousin ressort de sa bouche, elle a presque doublé de volume et est déjà bien raide.


Corentin s’avance alors vers nous et se penche pour embrasser Audrey, mais pas qu’une bise, ils y mettent carrément la langue. Je ne comprends plus, je croyais que c’était Cédric son petit copain. À moins que ce ne soit les deux ? Lorsqu’il se relève, il se rapproche d’Audrey pour qu’elle prenne sa bite en bouche et le suce pour lui dire bonjour. Corentin vient alors vers moi et nous nous faisons bien sagement la bise. Lorsqu’il se relève, je n’hésite pas un instant, je m’avance vers son sexe en érection et me mets délicatement à se sucer. Audrey et Cédric se masturbent en me regardant, je les vois du coin de l’œil. Du coup, je ne peux pas résister au désir me m’introduire, moi aussi, deux doigts dans mon sexe déjà tout mouillé. Lorsque je cesse ma fellation, j’ai le plaisir de constater que la bite de Corentin est maintenant bien en érection.


Les deux garçons semblent visiblement très excités. Sans plus attendre et sans prêter attention à nous, ils s’allongent sur le tapis à côté du canapé et entament un 69 enfiévré. C’est la première fois que je vois deux garçons avoir des rapports homosexuels, c’est plutôt excitant et je commence à me caresser tout en les regardant faire. Audrey s’approche alors de moi et me propose de faire de même. Sans prendre le temps de nous déshabiller, mais est-ce vraiment nécessaire vu notre tenue, nous nous plaçons tête-bêche sur le canapé et nous nous léchons mutuellement la fente tout en matant les deux garçons qui se sucent à nos pieds. Ils sont visiblement très excités car ils jouissent quelques minutes plus tard, presque en même temps, s’éjaculant copieusement dans la bouche. Visiblement calmés, ils restent allongés quelques minutes le temps de récupérer. Le sperme s’écoule au coin de leurs bouches tandis que leurs bites ramollissent. Lorsqu’ils se relèvent enfin, c’est pour s’embrasser, léchant avec application le sperme qu’ils ont encore sur le visage.




13 ~ Deuxième service


Une fois passé ce moment de folie douce, Cédric met une grande pizza dans le four et nous sert un autre apéro. Nous reprenons alors la conversation comme si de rien n’était, ce qui va me permettre de mieux connaître les deux cousins. Ils ont pratiquement le même âge et ont des rapports sexuels ensemble depuis de nombreuses années. À cette époque, ils étaient en vacances chez leurs grands-parents communs et devaient partager le même lit. Ce qui aurait été une contrainte pour la plupart des garçons a été pour eux l’occasion de découvrir ensemble les joies et les plaisirs du sexe. Depuis, ils ont continué à avoir régulièrement des rapports ensemble. Lorsque Cédric a fait connaissance d’Audrey à la fac, cela lui a causé un gros cas de conscience car il a eu un véritable coup de foudre pour elle. Finalement cela s’est naturellement arrangé, car le comportement libertin d’Audrey fait qu’elle a immédiatement accepté qu’ils continuent à avoir des rapports sexuels entre eux. Autant qu’ils veulent, et même si elle est absente. En contrepartie, elle profite des deux garçons, en même temps ou l’un après l’autre, selon leurs envies respectives.


Le repas terminé, la discussion dure encore quelque temps jusqu’à ce qu’Audrey et Cédric s’enlacent et commencent à se caresser et se masturber mutuellement. Audrey est toujours habillée mais sa mini-jupe est remontée jusqu’à sa taille. Ils vont alors s’allonger sur le lit qui est à l’autre bout du studio, Cédric se plaçant sur Audrey pour la pénétrer.


De coup, je me retrouve un peu comme une conne, assise sur le canapé, à les regarder faire l’amour à quelques mètres de moi. Mais cela ne va pas durer bien longtemps, le cousin s’assied à côté de moi et commence par me caresser les épaules et le dos. Comme je me laisse faire, ses caresses se font plus précises et il se met à me peloter les seins. Il se penche ensuite vers mon entrejambe et se met à me lécher le sexe. Sa langue s’immisce dans ma fente et joue avec mon clitoris. L’excitation montre très vite en moi, j’ai envie de sa bite. Je l’ai déjà sucée tout à l’heure et je veux continuer. Nous nous plaçons donc tête-bêche pour nous lécher mutuellement. Son sexe a un goût de sperme assez prononcé, ce qui est normal puisqu’il a éjaculé tout à l’heure et ne s’est pas lavé entre-temps. Tandis que j’entends Audrey gémir de plus en plus fort, le plaisir monte aussi en moi. Je jouis à plusieurs reprises jusqu’à temps que Corentin m’annonce qu’il ne va pas tarder à jouir à son tour. J’apprécie énormément qu’il ait le tact de me prévenir au cas où je ne souhaiterais pas le recevoir dans ma bouche. Pour la peine, je continue de le sucer, bien décidée à avaler le fruit de son plaisir, et je ne suis pas déçue, les giclées de sperme inondent ma bouche jusqu’au fond de ma gorge. C’est la première fois que je suce un homme et suis assez satisfaite de moi, je suis allée jusqu’au bout sans faiblir. Heureuse, je me rassieds sur le canapé. Mon partenaire se place à côté de moi et ne résiste pas à l’envie de m’embrasser pour que je partage son sperme avec lui.


Pendant ce temps, les gémissements rauques de Cédric, trahissent sa jouissance. Il vient de se déverser dans Audrey, lui arrachant des cris de plaisir. Lorsqu’il se retire d’elle, il continue à l’embrasser amoureusement tout en la masturbant, n’hésitant pas à introduire ses doigts dans la chatte pleine de sperme de sa copine. Ce qu’il fait ensuite me surprend encore plus. Il se penche et se met à la lécher avec gourmandise, n’hésitant pas à avaler son propre sperme qui commence à s’écouler. Finalement, les deux amants, insatiables, se placent en position de 69, chacun se chargeant de nettoyer avec application le sexe de son partenaire.


La soirée n’est pas encore terminée. Après avoir regardé un film, nous remettons cela une dernière fois. Cette fois-ci, c’est Corentin qui s’occupe d’Audrey. Cédric s’approche donc tout naturellement de moi et commence à me caresser fiévreusement. Mais cette fois-ci, je voudrais bien me faire pénétrer, je lui demande donc s’il dispose de préservatifs. Il acquiesce et va en chercher un, et ramène également une feuille de papier. Il s’agit d’un test HIV qu’il a fait la semaine dernière. Cela tombe bien, j’en ai aussi fait un en prévision de mon séjour, car cela m’avait été suggéré par ma patronne, je le sors de mon sac. Dans ces conditions, et étant donné que je prends la pilule, inutile de s’encombrer d’une couche de latex, et je pourrai même profiter de son sperme dans ma chatte.


Nous rejoignons alors Corentin et Audrey sur le lit pour faire l’amour à côté d’eux en prenant un malin plaisir à prendre les mêmes positions. Lorsque Cédric jouit enfin, son sperme tiède inonde à profusion mon ventre. Je me sens pleinement possédée pour mon plus grand plaisir. Les deux garçons se retirent alors de nous. Une envie me traverse alors l’esprit, je repense à tout à l’heure. Je change de position pour m’approcher de la fente d’Audrey et je commence à la lécher. Le jus que je recueille sur ma langue a un goût est très intéressant, c’est un mélange du sperme de Corentin et de la cyprine d’Audrey, deux saveurs que j’ai déjà pu déguster séparément. Audrey ne tarde pas à suivre mon exemple et se met à me lécher aussi. Du coup, les deux garçons reprennent leurs bonnes vieilles habitudes, ils se mettent en position de 69 et se mettent à sucer avec application leurs bites pleines de sperme. Tandis que nous continuons à nous lécher la chatte, portées par le plaisir et le désir, les deux cousins ont retrouvé leur vigueur, leurs bites sont à nouveau bien raides. Toujours aussi excités, ils ne tardent pas à jouir rapidement une dernière fois, chacun giclant copieusement dans la bouche de son partenaire. Repus de sexe, nous terminons la soirée en nous embrassant tous ensemble, partageant avec gourmandise le sperme qui s’écoule de nos bouches.




14 ~ Premier contact


Dimanche matin, le fils est de retour à la maison car il doit préparer ses examens et de nombreux livres sont restés chez ses parents. Durant le repas de midi, qu’il prend avec ses parents, je fais des efforts pour qu’il me remarque, mais c’est peine perdue, j’ai l’impression qu’il ne s’intéresse pas à moi. Pourtant ma tenue de soubrette est toujours aussi sexy, avec mon chemisier transparent qui laisse deviner mes seins qui se ballottent et mes tétons qui pointent effrontément.


Ses parents partent en cours d’après-midi et seront absents pour le reste de la journée. Nous nous retrouvons donc seuls dans la grande maison. Toujours aussi occupé par ses livres, Florian descend juste pour manger un sandwich, ce qui ne me laisse pas assez de temps pour réussir à faire connaissance.


Finalement, en début de soirée, il semble qu’il a terminé ses rangements car il descend pour regarder la télé sur le grand écran du salon. Je décide donc de tenter le tout pour le tout. Je monte dans ma chambre pour retirer mes habits de service et enfiler à la place le porte-jarretelles, la paire de bas et la nuisette que ma patronne m’a offerts. Je m’observe dans la glace, je suis réellement très excitante, s’il n’y avait pas la vitre qui nous sépare, je sauterais sur mon reflet pour le caresser et l’embrasser.


Habillée ainsi, je retourne au salon. Florian est toujours là, assis à regarder une émission de variétés où des personnalités viennent présenter leur dernier livre, disque ou spectacle. Lorsqu’il me voit entrer, ses yeux écarquillés me confirment que ma tenue ne le laisse pas indifférent. Je trouve donc un prétexte pour justifier ma présence.



J’ai comme l’impression qu’il n’en demandait pas autant. Il ne peut se retenir de m’observer du coin de l’œil, espérant que je ne m’en rende pas compte, mais en fait je ne regarde pas vraiment la télévision. Lui non plus, car il ne tarde pas à me parler à nouveau.



Il baisse alors le son de la télévision. J’ai l’impression qu’il n’attendait que cela. Nous parlons de nous à tour de rôle, chacun racontant à l’autre ses souvenirs d’enfance. Progressivement, notre conversation se fait plus intime, et il me questionne au sujet de mon travail.



Tout en disant cela, je me tourne vers lui, je place une de mes jambes pliée sur le canapé, ce qui lui offre une vue imprenable sur ma chatte grande ouverte. Il me regarde avec envie tout en reprenant.



Je comprends qu’il a du mal à parler de son problème, alors je l’aide.



Il me répond timidement tout en baissant les yeux. Honteux de son infirmité.



Je demeure pensive. Malgré son petit zizi, je le trouve quand même très attirant et je serais ravie de pouvoir baiser avec lui.



Ses yeux se baissent à nouveau et il me répond dans un souffle presque inaudible.



Il détourne alors pudiquement le regard avant de me répondre. Je sens des sanglots dans sa voix.



Ma respiration se bloque malgré moi. Mon visage se fige. Je viens de faire une bourde monumentale.



Il me regarde à nouveau tout en me souriant.



Après une telle invitation, Florian ne se fait pas prier plus longtemps et il se met à me caresser tendrement. Enfin ! J’attendais ce moment avec tant d’impatience que la caresse de ses doigts me provoque immédiatement une première jouissance.


Très doué pour les caresses, il réussit encore à me faire jouir à plusieurs reprises. Ses doigts parcourent mon corps sur toute la surface, déclenchant des flots de plaisir chaque fois qu’il me pince les tétons ou s’introduit dans ma chatte. Pour ma part, je m’applique pour lui prodiguer une fellation mémorable, avalant et suçant sa verge avec avidité, mais même en érection elle reste toute petite.


Malgré de nombreux efforts, je ne réussis pas à le faire jouir. Il s’efforce alors de me rassurer tout en continuant de me caresser.



Notre conversation s’achève sur ces quelques mots. Nous continuons de nous caresser tendrement jusqu’à ce que la fatigue nous gagne. Mon intuition me laisse supposer de grandes possibilités avec Florian, mais lesquelles et comment y parvenir ?




15 ~ Apéro sodo


Lundi, c’est ma journée de repos. Le fils m’a invité à faire plus ample connaissance en allant prendre l’apéro dans l’appart qu’il loue avec son copain et ainsi faire connaissance avec lui. Je me demande bien quelle peut être la signification du mot connaissance dans la bouche de Florian, mais le mieux est de s’y préparer sérieusement.


Je demande donc des conseils à Audrey qui se fait un devoir de me choisir une tenue adaptée. Ses placards regorgent de vêtements tous plus sexy les uns que les autres et elle me prête pour l’occasion un ensemble assez sobre en apparence mais qui cache des surprises. Je me retrouve donc vêtue d’une jupe noire assez stricte puisqu’elle m’arrive aux genoux et en haut d’un pull gris, opaque mais doté d’un décolleté assez profond. Par dessous, je porte une guêpière noire seins-nus et des bas assortis. Le décolleté du pull dévoile largement ma poitrine, il descend si bas que l’on peut même voir le haut de la guêpière lorsque je me penche en avant, et pourtant la guêpière ne me couvre pas les seins. Bien évidemment, si l’on se place de côté, c’est ma poitrine que l’on peut aisément voir par le décolleté.


Florian m’accompagne donc jusqu’à l’appartement qu’il partage avec son copain Franck. Je suis presque surprise de le voir habillé. Ce n’est que lorsque je retire mon manteau que je dévoile enfin ma tenue. Le regard de Florian semble indiquer son intérêt pour moi, quand à Franck, son regard semble aussi se poser sur moi.


L’apéro est servi. Je m’assieds sur un fauteuil face aux deux garçons, qui se sont installés sur le canapé. Je laisse remonter ma jupe le long de mes cuisses légèrement entrouvertes pour leur laisser le temps de voir brièvement ma fente toute lisse avant de croiser les cuisses. Le haut de mes bas, orné de dentelle, se dévoile discrètement et ajoute encore de la sensualité à ma posture.


Nous discutons de tout et de rien tandis que Florian se charge de servir l’apéritif, j’ai l’impression de le voir dans le rôle de la soubrette à ma place. Chaque fois que je prends mon verre en main ou que je le repose, je dois décroiser les jambes, l’occasion de me dévoiler à nouveau à leurs yeux.


L’alcool aidant, l’ambiance se réchauffe progressivement. Les deux garçons commencent à se caresser mutuellement et s’embrassent tout en me regardant. Pour ma part, je me penche régulièrement en avant pour prendre des chips, dévoilant mon intimité à chaque fois. Leurs caresses se font de plus en plus appuyées, leurs mains parcourent leur corps, caressant leur poitrine, leur ventre et leur sexe. Soudain, Franck annonce qu’il fait assez chaud et que l’on pourrait se mettre à l’aise. Les deux garçons se déshabillent alors sans plus attendre, leurs sexes déjà bien gonflés se redressent en sortant de leurs slips. Je constate immédiatement que Franck est lui aussi intégralement épilé. Ils se rasseyent nus sur le canapé pour reprendre leurs attouchements comme si de rien n’était.


Leurs caresses ne tardent pas à se muer en masturbation réciproque. C’est trop bête de rester à les regarder sans rien faire, je remonte ma jupe et commence à me masturber tout en les regardant faire. Je finis par me décider à ôter mon pull et ma jupe, leur dévoilant alors ma lingerie raffinée. Ils me félicitent alors pour ma tenue et me demandent de continuer à me masturber en les regardant pour l’instant.


Ils se mettent alors en position de 69, Florian dessous et Franck dessus. Ils me regardent régulièrement, tout en se suçant avec ardeur. La scène que je suis en train de vivre me rappelle la soirée de samedi. Après Cédric et Corentin, c’est la deuxième fois que je vois des mecs se sucer, même si je commence à m’y habituer cela reste toujours aussi excitant à regarder.


Ils ne cessent de me regarder, je me doute bien que c’est en raison de ma tenue, et la demande de Franck ne manque pas de me surprendre. En effet, très excité par ma lingerie, il me demande de la prêter à son amant. Je me déshabille donc complètement pour confier guêpière et bas à Florian qui les enfile immédiatement. Et je dois reconnaître que cela lui va plutôt bien, son sexe est si petit qu’on le voit à peine, comme il est intégralement épilé on pourrait presque croire que c’est une jeune fille qui est face à moi.


Franck se place derrière Florian pendant qu’il se place à quatre pattes puis il s’introduit en lui sans plus attendre. C’est ainsi que je me retrouve à regarder le fils de mes patrons en train de se faire enculer sous mes yeux tandis que je me masturbe en les regardant faire. Quelques minutes plus tard, Franck finit par jouir, remplissant copieusement le cul de Florian qui gémit à son tour lorsqu’il sent le sperme se répandre en lui. Quand à Florian, il n’a pas éjaculé, ce qui confirme bien ce qu’il m’avait dit auparavant.


Cet intermède passé, nous reprenons la discussion tout en terminant de prendre l’apéro. Florian continue de porter la lingerie, il est si mignon ainsi habillé. Il se charge de faire le service dans cette tenue, comme une soubrette. Je ne peux pas résister au désir de lui caresser les fesses lorsqu’il me sert, ce que me font régulièrement ses parents.


La discussion reprend pendant le repas. Je parle de mon parcours, de mon travail au service des parents de Florian.


Après quelques verres de rosé, je me sens de plus en plus chaude. Les garçons aussi. Leurs sexes, qu’ils ne cessent de caresser tout en mangeant, ont déjà retrouvé de la vigueur. Nous n’attendons donc pas la fin du repas pour remettre ça. Cette fois-ci, ils se rapprochent de moi et se mettent à me caresser. Je n’attendais que cela, je me laisse donc faire avec plaisir. Florian me rend ma lingerie que je m’empresse de remettre tandis qu’ils continuent de me tripoter de partout. Leurs doigts me palpent les seins, triturent mes tétons, caressent mes fesses, s’insinuent dans ma fente. Pour des homos, je trouve qu’ils savent bien s’y prendre avec les femmes.


Je m’attends donc à ce que l’un des deux, a priori plutôt Franck, souhaite me pénétrer, j’ai même prévu des préservatifs à cet effet, mais celui-ci ayant une nette préférence pour la sodomie, il va insister pour me prendre par derrière.


C’est la première fois que je me fais enculer, encore la découverte d’une nouvelle sensation. Pendant que je me fais pénétrer, Florian s’allonge sous moi pour me lécher la chatte, ce qui décuple mes sensations. Son mignon petit phallus est sous mes yeux, je me penche vers lui avec envie et me mets à le lécher goulûment. Malgré tous mes efforts, je le parviendrai pas à le faire éjaculer.


Quand à Franck, qui continue de s’activer allègrement dans mon cul, il ne tarde pas à arriver au bord de la jouissance, il se retire alors de mes entrailles, ôte sa capote et dirige la verge sous moi, pour éjaculer en plein sur le visage de Florian. Nous nous rasseyons tous les trois sur le canapé et Florian se place au milieu pour que nous puissions lécher le sperme qui recouvre ses joues, puis nous nous embrassons joyeusement, nos langues se partageant le sperme de Franck.


Après le dessert, nous remettons ça une dernière fois. Cette fois-ci, c’est Florian qui se fait enculer par son partenaire pendant que je suis placée sous lui pour le sucer. C’est à nouveau un échec pour moi, il jouit par la sodomie avant que je parvienne à le faire éjaculer. Je suis aux premières loges lorsque Franck jouit, giclant généreusement dans le cul de son amant. Mais comme il souhaite me faire profiter aussi de son plaisir, il se retire à temps pour que je reçoive ses derniers jets de sperme sur mon visage et dans ma bouche. Épuisés par cette soirée intense, nous terminons assis sur le canapé, à nous embrasser et partager le sperme, mais cette fois-ci c’est moi qui suis au milieu et les deux garçons me caressent tendrement tout en léchant le sperme qui me recouvre.




16 ~ Nouvelle tentative


En fin de semaine, Florian revient à la maison, à nouveau pour rechercher des documents pour réviser ses exams. Ses parents décident alors de sortir pour la soirée, nous nous retrouvons donc seuls dans la grande maison. Serait-ce volontaire de leur part ?


Je lui demande alors tout naturellement ce qu’il souhaite manger ce soir, mais en fait cela le dérange de me demander de le servir. Il me propose alors, puisque nous sommes seuls, d’aller manger dans un restaurant du centre-ville. Je n’espérais pas une telle proposition, je vais tout faire le maximum pour qu’il s’intéresse à moi.


Je n’ai que quelques dizaines de minutes pour trouver la tenue qui le fera craquer. Je n’ai pas l’intention de mettre une culotte, mais par contre le portes jarretelles et les bas offerts par sa mère me tentent bien. Je les enfile donc. Ma jupe de service n’est pas assez courte pour masquer la large bande de dentelle qui marque le haut des bas, je ressors donc la jupe noire un peu stricte que sa sœur m’a prêtée. Pour le haut, je ne sais trop que mettre. Je fouille dans mes affaires personnelles et j’hésite quelque temps, essayant plusieurs tenues sans parvenir à me décider.


Est-ce que je mets un vêtement moulant, genre débardeur à petites bretelles, qui mettra en valeur ma poitrine et laissera visible la trace de mes tétons érigés. Ou bien je choisis un vêtement ample, on ne devine plus ma poitrine, mais ses mouvements permettent de deviner qu’elle est en liberté. Pour ma part, le vêtement ample est le plus agréable, car le tissu ne cesse de me caresser le bout des seins, maintenant mes tétons en état d’excitation. Après le débardeur, j’essaye une chemise. Je défais quelques boutons pour laisser une vue sur ma poitrine par l’intermédiaire du décolleté. Ce n’est pas mal, mais pas très habillé.


Finalement, mon regard se porte sur la veste que m’a confiée ma patronne pour aller faire les courses. Je l’enfile sur ma poitrine nue. Le tissu me caresse la pointe des seins pour mon plus grand plaisir. M’observant dans la glace, je comprends mieux pourquoi ma patronne est si souvent habillée ainsi. Mais moi, je n’ai pas de boutons pour refermer la veste, elle est toujours entrouverte, dévoilant plus ou moins ma poitrine et même mon ventre. Je ne peux pas sortir ainsi, mais si je mettais un autre vêtement dessous, cela pourrait aller. Je ne vais quand même pas prendre mon chemiser de tous les jours. J’essaye à nouveau le débardeur et la chemise, mais sans être convaincue.


C’est alors que j’ai l’idée d’essayer la nuisette que m’a offert ma patronne et qui est assortie au porte-jarretelles et aux bas. Je m’observe dans la glace, j’aime bien. Évidemment, la nuisette est transparente, pas question de retirer la veste au restaurant, mais sinon elle fait assez habillée. Ma petite poitrine n’est pas très visible sous le tissu, j’ai l’impression de porter un corsage tout ce qu’il y a de plus raisonnable.


C’est ainsi que je descends jusqu’au rez-de-chaussée où le fils m’attend depuis déjà quelques minutes. Son regard appuyé en dit long sur l’effet que lui fait ma petite tenue sexy. Nous nous rendons au restaurant à pied, il n’est pas bien loin.


Durant tout le repas, je sens son regard se porter sur ma poitrine. À plusieurs reprises, j’écarte suffisamment les bras pour lui permettre de voir les aréoles de mes seins. Il m’a déjà vue nue, mais j’ai bien l’impression que cela l’excite encore plus de voir ma poitrine au restaurant. Il ne résiste d’ailleurs pas long temps à l’envie de me féliciter.



Plutôt que de me répondre, Florian approche sa chaise de la mienne, passe sa main sur ma cuisse et remonte le long de ma jupe jusqu’à atteindre mes lèvres déjà toutes humides. Sans se soucier des autres clients, il introduit alors ses doigts dans ma chatte. Je ne parviens pas à étouffer le gémissement de plaisir que je ressens alors. Il ressort ses doigts mouillés et les porte à son nez pour les humer, puis à sa bouche pour les goûter.



Je repas va se poursuivre sur le même ton, mais nous sommes obligés de rester sages à cause des autres clients. Sur le chemin du retour, je reconnais le parc où je me suis arrêtée le jour des courses, il est désert à cette heure tardive. Je ne résiste pas à l’envie d’y entrer et d’aller m’asseoir sur le banc. Je commence alors à me masturber tandis que Florian s’installe sur le banc qui lui fait face pour m’observer tout en se caressant. Ma veste glisse de mes épaules, dévoilant ma poitrine que je caresse d’une main tout en continuant à jouer avec ma chatte de l’autre main. Mon plaisir monte vite et je ne tarde pas à jouir sous le regard excité de Florian.


De retour à la maison, aussi excités l’un que l’autre, nous montons rapidement dans ma chambre. Je n’ai qu’à retirer la jupe et la veste pour me retrouver en nuisette. Florian, quant à lui, a déjà retiré ses vêtements, son petit sexe me plait toujours autant, je ne sais toujours pas pourquoi. Je commence à le masturber alors que nous nous embrassons, je prends sa verge entre le pouce et l’index et commence à jouer avec tout en le caressant de l’autre main.


Rapidement, je m’agenouille face à lui et prends dans ma bouche ce petit zizi en érection grand comme mon petit doigt. C’est alors que je l’invite à s’allonger tandis que j’ouvre le tiroir de ma table de chevet. J’en sors le godemiché. Habitué à la sodomie, je n’ai aucun effort à faire pour l’introduire en lui. Ses gémissements me confirment qu’il apprécie énormément de se faire pénétrer. Je me mets alors à le sucer tout en le sodomisant avec le godemiché. S’il savait qu’il a été moulé sur son la bite de son père, mais je préfère ne pas lui dire pour ne pas le perturber.


Mon but est alors de parvenir à le faire éjaculer. Pour cela, je dois précisément doser mes stimulations afin qu’il ne jouisse pas du cul avant d’avoir éjaculé. À force de patience et de volonté, je sens que je vais y parvenir. Son corps se crispe soudain, ses gémissements cessent, il vient de bloquer sa respiration, des tremblements le parcourent, son corps est tétanisé. Il crie soudain son plaisir tandis qu’il me gicle dans la bouche. Me replissant la gorge de plusieurs jets puissants et abondants. Son sperme est crémeux et son goût fort agréable. Ses muscles se relâchent soudainement et il s’affale dans mon lit, épuisé par sa jouissance.


Après avoir fini de lui nettoyer le sexe, nous nous embrassons tendrement tout en discutant.



En fait, nous n’attendrons pas très longtemps pour remettre cela. Le désir ne tarde pas à remonter rapidement en nous. Cette fois-ci, c’est lui qui va se charger de me faire jouir avec sa langue et ses doigts, et il sait bien s’y prendre. Si bien qu’il parvient à me faire abondamment mouiller et me déclenche un orgasme foudroyant, je ne pensais même pas que cela était possible. J’ai l’impression d’avoir éjaculé. En effet, il ouvre la bouche tout en me souriant, elle est pleine du fruit de ma jouissance. Heureux, nous nous embrassons et partageons tendrement ma cyprine. Son goût acidulé est bien plus prononcé que d’habitude. Nous nous échangeons des mots doux portés par le bonheur que nous ressentons.