n° 16101 | Fiche technique | 15921 caractères | 15921Temps de lecture estimé : 9 mn | 19/03/14 |
Résumé: Valérie veut rencontrer Julietta, l'éventuelle maîtresse de son mari. | ||||
Critères: ff inconnu cunnilingu 69 init -initiat | ||||
Auteur : Love Doctor (Homme marié lecteur assidu de Revebebe) |
DEBUT de la série | Série : Valérie Chapitre 01 / 06 | Épisode suivant |
Je me présente : Valérie, 45 ans bientôt, mariée à Marc, 50 ans bientôt, au charme certain et qui, bien qu’il dise le contraire, sait bien que certaines femmes ne sont pas insensibles.
Si je vais d’un pas décidé à une adresse du centre ville, c’est que « trop, c’est trop » et que je veux avoir le cœur net une bonne fois pour toutes si possible. Cette Julietta – collègue de mon mari – revenait un peu trop dans la conversation et un texto anodin oublié par Marc m’avait fait prendre la décision de m’expliquer avec cette « rivale ».
L’ennemie ? Julietta, jolie petite blonde de 35 ans, mariée et un peu trop proche de mon mari à mon goût ! Bref, elle va voir ce qu’elle va voir !
Mais, entre vouloir et pouvoir, il y a un monde… et quand elle a ouvert je me suis retrouvée « conne » et ai prétexté une raison débile à ma venue, genre un papier à déposer pour Marc. Elle m’a souri et m’a fait entrer dans un grand appartement clair, et j’ai oublié presque aussitôt pourquoi j’étais venue…
Je me retrouvais en face d’une jolie femme menue aux yeux clairs avec un sourire doux qui donnait envie de partager des moments avec elle. Vêtue d’un pantalon de toile clair et d’un haut gris, elle était tout le contraire d’une « pétasse »… On s’installa au salon, prenant place sur un divan de cuir clair et commençâmes une conversation anodine mais amicale centrée sur nos enfants, nos maris. Bref ce n’était pas la guerre !
Son regard sur moi était tout sauf hostile et à cet instant.
Elle sourit, se leva et je la regardai préparer deux expressos avec des gestes souples.
Julietta revint avec les deux tasses et les disposa sur la table basse, s’asseyant non loin de moi sur le divan. Avec un sourire elle me dit :
Julietta sourit :
Je l’observai, me demandant si elle se moquait de moi et essayai de deviner ses pensées. Son regard clair paraissait sincère. Je rougis légèrement. Je venais de baisser ma garde et elle se rapprocha un peu plus.
Elle rit aussi et me dévisagea davantage.
Je souris :
Surprise, je la regardai :
Elle me regardait, amusée, et je ne savais ce qu’elle voulait en fait. Elle sourit, charmeuse et dit d’une voix douce :
J’obéis et fermai les yeux, le cœur battant, me demandant où cela nous mènerait. Je sentis Julietta s’approcher si près que son parfum m’envahit les narines. « Elle sent bon… » je me suis dit juste avant que des lèvres se posent sur les miennes. Un moment interdite, je ne réagis pas et le contact fut si fugace que je me demandai s’il avait été réel. J’ouvris les yeux et vis Juliette presque collée à moi, un sourire tendre sur les lèvres.
Je ne répondis rien mais ne la giflai pas non plus. La jeune blonde prit cela pour une invite et se pencha à nouveau pour un baiser plus appuyé. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, ne cherchant pas à forcer le barrage, restant juste en contact en attendant que je cède. « Mon Dieu, que c’est doux… » fut ma première pensée. Les yeux fermés, le souffle rapide, j’entrouvris un instant mes lèvres. Julietta le sentit et sa langue tenta une approche que j’acceptai sans hésiter. Bien vite, nos langues jouèrent une danse nouvelle pour moi mais fort agréable. Le baiser s’éternisait, me rendant complètement offerte aux envies de ma nouvelle « amie ». Je sentis une de ses mains passer sous mon tee-shirt, remonter vers mon soutien-gorge. Je gémis en sentant ses doigts s’approcher de ma poitrine qui se dressa sous le tissu avant même qu’elle ne l’atteigne. Ils se faufilèrent, faisant encore se durcir davantage mes pointes si cela fût encore possible.
Je gémis en sentant Julietta empaumer mon sein avec une douceur infinie. J’avais l’impression que tout mon corps était relié à ce mamelon que son ongle agaçait avec art.
Sa langue avait pris possession de ma bouche et je ne contrôlais plus rien. Elle s’écarta légèrement pour glisser ses yeux dans les miens.
Je souris bêtement et laissai échapper un nouveau soupir de désir. J’étais à elle, et elle le savait, la coquine. Elle me fit glisser le tee-shirt par-dessus tête et je l’aidai pour vite reprendre notre baiser.
Elle obtempéra et nos langues se retrouvèrent avec plaisir et passion. Je réagis aussitôt et sa main défit prestement mon soutien-gorge, libérant mes deux poires tendues de désir. Elle reprit sa caresse avec douceur, me faisant émettre des gémissements modulés par ses attentions sur mes pointes. J’étais trempée comme jamais et trouvai normal de sentir sa main libre défaire mon jeans. La fermeture ne fut pas un obstacle et ma culotte sage de femme mariée fut, elle, aussitôt l’objet de caresses expertes.
Ses doigts appuyaient là où j’aimais, comme si on se connaissait depuis toujours. Mon clitoris m’envoyait des ondes de chaleur à chaque caresse.
Mes gémissements se firent plus forts lorsque ma bouche fut libérée et que la sienne partit à la découverte de mes seins, d’abord du bout de la langue, puis langue large avec une pression plus forte, et enfin suçoter mes pointes hypersensibles. Je gémissais sans arrêt, débarrassée de mon soutien-gorge gênant, caressant ses cheveux de manière désordonnée. Je devais lui sembler folle, mais à cet instant précis je n’étais plus sur terre ; j’étais loin de tout, sauf d’Elle. Elle gémissait aussi en me prodiguant ses caresses.
Mon jeans fut bientôt à mes chevilles, puis ôté en même temps que mes chaussures et chaussettes. Je m’offris sans retenue à cette jolie blonde que je voulais gifler une heure plutôt.
Sa main avait glissé en même temps sous le tissu de ma culotte au contact de mon sexe lisse trempé. Elle sourit en découvrant mon trouble dont elle était la cause.
Je savais ce qui allait se passer : mon mari me l’avait fait des centaines de fois, mais les sensations étaient différentes. La bouche qui frôlait ma peau était plus douce, la main qui agaçait mon sein était plus experte et l’autre main sur mon sexe était plus légère.
Je mordis mes lèvres pour retenir mes gémissements. L’index et le majeur de Julietta prirent possession de mon sexe, pinçant légèrement mon clitoris.
Je laissai échapper un cri rauque couvert par aucun autre bruit dans l’appartement. Elle me caressait comme j’adorais avec de légers mouvements circulaires. Elle s’évertuait à me faire gémir davantage, me rendant dingue tandis que sa bouche approchait de mon sexe. Elle en restait tout près, l’évitant pour embrasser l’intérieur de mes cuisses, là où la peau est la plus fine. Je me cambrai davantage, ne pensant pas pouvoir me retenir encore longtemps. Mon bassin suivit les mouvements de ses doigts sur mon sexe. Je la regardai, la tête entre mes cuisses, appliquée et attentive à mon plaisir. Nos regards se croisèrent et je lus une tendresse infinie dans le sien : elle allait me faire jouir et elle le savait. Sa bouche n’avait toujours pas atteint mon sexe
Je l’implorai comme une enfant réclamant un tour de manège. Je devinai un sourire sur son visage d’ange. Elle ne changea pas ses caresses de suite, continuant à me rendre dingue. Je caressai mes seins soudain abandonnés tandis que sa main libre écarta mes cuisses pour déposer une de mes jambes sur l’accoudoir. J’étais ouverte, totalement impudique. Je jouais avec mes pointes, les pinçant doucement, les griffant, essayant de les lécher. J’étais dans un état second. Julietta libéra mon sexe et remplaça sa main par sa bouche.
Je criai de surprise et de plaisir. Ses lèvres pincèrent mon clitoris tandis que ses mains écartaient mes cuisses au maximum. Je devins folle à cet instant, ne me contrôlant plus.
Mon bassin allait au-devant de sa bouche pour mieux m’offrir. Ses lèvres me rendaient dingue. À chaque pression sur mon clitoris, mon corps entier était traversé d’un courant de plaisir. Je ne contrôlais plus rien et gémissais sans interruption. Elle savait où appuyer, où placer ses mains. Je n’étais sûrement pas sa première maîtresse. Soudain elle libéra mon clitoris hypersensible pour plonger sa langue dans mon sexe ouvert et dégoulinant. Ce fut trop pour moi. Je jouis d’un coup, cambrée, tétanisée, appuyant sa tête entre mes cuisses pour prolonger le moment intense et magique.
Toues les fibres nerveuses de mon corps semblaient être centrées sur mon sexe.
Je retombai inerte, en sueur, totalement ouverte sur le divan. Julietta me laissa récupérer un instant puis s’allongea contre moi, sa bouche dans mon cou, me murmurant :
Je souris, encore ailleurs.
Sa bouche imprégnée des mes sécrétions se posa sur la mienne. Ce goût enivrant relança mon excitation à peine retombée. Je posai la main sur ses fesses.
Elle sourit.
Ma main passa sous son haut pour caresser sa peau douce et remonta le long de la colonne vertébrale sans rencontrer d’obstacle. Je souris.
Elle rit, amusée.
Je souris et lui caressai le dos. Julietta ferma les yeux et se lova contre moi. Sa bouche reprit la mienne et notre baiser, d’abord tendre, fut vite passionné. Sa langue était comme une liane autour de la mienne. Je sentis le désir revenir à grands pas.
À nouveau, elle reprit les choses en main, sans doute aussi excitée que moi. Elle se redressa et, dans un sourire, ôta son tee-shirt, révélant une poitrine menue aux mamelons proéminents. J’admirai ses formes presque androgynes. Ses petits seins attirèrent mes mains et, pour la première fois, je caressai le corps d’une autre femme. Dès que je pris possessions de ses tétons, je sentis Julietta frémir.
Ses seins, même petits, étaient hypersensibles. À califourchon, elle offrit sa poitrine à mes caresses inexpertes. Les yeux fermés, elle se laissait aller. Mes pouces prirent possession de ses pointes violacées et elle ronronna aussitôt. Ma nouvelle maîtresse adorait qu’on s’occupe de ses seins, et je n’allais pas me gêner ! J’avais l’impression d’avoir les commandes de son plaisir au bout de mes doigts… Pendant de longues minutes, je m’évertuai à lui rendre la pareille. Son bassin ondulait sur le mien, m’envoyant des ondes de chaleur malgré son pantalon. Elle ouvrit les yeux et son regard me troubla : elle était ailleurs, elle aussi. Sans brusquerie, elle se leva et me tendit la main.
Je la suivis, nue, à travers son appartement pour atteindre une chambre, a priori d’amis. Un grand lit, dans une pénombre relative. Debout, elle m’enlaça pour un nouveau baiser, me faisant comprendre que je devais la déshabiller. Je défis son pantalon qui tomba seul au sol. Une glace derrière elle me renvoyait l’image de jolies fesses de sportive couvertes uniquement par un shorty de dentelle noire. Je frôlai son joli cul, la faisant ronronner de désir.
Elle rit et m’entraîna sur le lit, tombant sur le dos, son regard clair dans le mien.
Je m’allongeai près d’elle et repris mes caresses sur ses seins. À nouveau elle ferma les yeux, me laissant profiter de son corps. Mes doigts déclenchaient des gémissements à chaque caresse sur ses pointes. Je compris à cet instant le plaisir des hommes à faire gémir une femme. Bientôt ma bouche suçota ses petites fraises et elle devint dingue. Tantôt elle m’attirait contre sa poitrine, tantôt elle me repoussait quand c’était trop fort.
Ses yeux trahissaient son trouble et je fus à l’écoute de ses envies. Elle me fit pivoter et je frémis en comprenant ce qu’elle voulait : son shorty à portée de ma bouche et mon sexe offert à sa gourmandise. Son odeur m’enivra, et sans attendre j’embrassai le tissu humide. Elle gémit puis fit de même sur mes lèvres nues. Au bout de quelques minutes, son shorty fut à terre et nous aurions offert un spectacle on ne peut plus excitant à un éventuel voyeur : deux jolies blondes se dévorant le sexe dans un 69 torride. Malgré mon inexpérience et l’excitation provoquée par les caresses de Juliette, je réussis à déclencher des gémissements en câlinant son petit clitoris entre mes lèvres. Les mouvements désordonnés de mon bassin m’indiquaient que sa jouissance était proche tandis que sa bouche aspirait mes lèvres.
Elle cria d’un coup, longuement, me précédant de quelques secondes dans la jouissance.
À bout de souffle, je m’écartai doucement pour ne pas écraser Juliette sous moi et tombai dans un moment de torpeur. En sombrant dans un sommeil post-coïtal, je me moquai de savoir si Julietta était la maîtresse de Marc, mais je savais qu’elle resterait à jamais ma première amante…