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Temps de lecture estimé : 29 mn
24/03/14
Résumé:  La voiture file dans la campagne et s'approche d'un petit bois. Quelque chose me dit que c'est ici que va se dérouler la suite.
Critères:  fh extracon forêt fsoumise hdomine exhib fellation anulingus fdanus fsodo coprolalie -extraconj -fsoumisah
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message

Série : MMS - Maître Monsieur Soumise

Chapitre 03 / 04
Après-midi

MMS – Maître Monsieur Soumise – 3

Après-midi




Divers protagonistes :


• Marc : Monsieur (l’invité)

• Paul : Mon Maître

• Moi, Valérie, la soumise de Maître

• Et un extra…


Les divers épisodes de cette série peuvent être consultés indépendamment.








Petit bois loin de chez moi



La voiture file dans la campagne et s’approche d’un petit bois. Quelque chose me dit que c’est ici que va se dérouler la suite. J’espère simplement que ça ne va pas être trop physique, car après un bon repas, je ne suis pas au top de ma forme, il me faut un minimum de temps pour récupérer !


En effet, notre voiture se gare sur un parking, coincé entre la route et la rivière. Parking, c’est vite dit, une sorte de chemin de terre assez large. Maître sort le premier et explique :



Et nous nous enfonçons dans ce petit bois. Encore heureux que la terre est dure, car avec mes talons-aiguilles, ce n’est pas du tout évident ! Après quelques minutes, Maître bifurque dans un petit sentier nettement plus étroit, puis un autre. Puis nous arrivons dans une petite clairière. Maître ordonne :



Et me voici nue sous le regard des hommes.



Et il me donne une grande claque sur les fesses. Alors, en me dandinant comme je peux sur mes douze centimètres, j’essaie de m’éloigner de la petite clairière, mais je me doute bien que le jeu est totalement faussé !


Nue, seulement habillée de bas sombres autofixants, et perchée sur de hauts talons improbables, je dois paraître plutôt déplacée dans cette végétation. Je me demande ce que diraient des promeneurs si je tombais nez à nez avec eux ! Je préfère ne pas trop y penser, et je m’enfonce vers la partie la plus sombre du bois, espérant faire illusion quand même quelques minutes !




Le loup dans le bois



Je viens de dénicher un petit endroit assez retiré. Je stresse un peu car depuis tout à l’heure, c’est fou tous les bruits que j’entends ! En réalité, un petit bois, ce n’est pas du tout le monde du silence ! Je m’appuie contre un arbre pour voir si les hommes arrivent ou pas.


Soudain, j’entends comme un bruit de pas juste derrière moi :



Pivotant aussitôt sur moi-même, c’est avec une stupéfaction sans borne que je retrouve nez à nez avec l’homme du restau, celui qui a été mon simili-Maître quelques minutes à peine !



Il s’approche de moi, me capturant dans ses bras. Assez stupéfaite, je n’oppose pas beaucoup de résistance. Il incline la tête vers moi, posant son front sur le haut du mien :



Il accentue la pression de son front sur le mien et me serre un peu plus contre lui. Il est flagrant que je lui fais un certain effet ! Quelque chose d’assez dur plus bas l’atteste sans problème !



Cet homme est assez dangereux. Ce n’est pas la première fois que je marivaude ou même que je libertine, mais avec lui, c’est assez différent. Je rétorque :



Puis il m’embrasse !


Ce n’est pas la première fois qu’on m’embrasse, assurément, mais là, ça me fait aussi franchement quelque chose ! C’est même pire qu’au restaurant ! Je me sens toute molle, toute faible, je dois même lutter contre moi-même pour ne pas répondre à son baiser ! Quand ses lèvres quittent les miennes, je suis partagée entre le soulagement et la frustration. Et visiblement, il semble s’en rendre compte :



Une idée me traverse l’idée :



Cette nouvelle m’inquiète et en même temps me remplit d’une joie étrange. Un inconnu qui se donne la peine de partir à ma poursuite ! Ce n’est pas tous les jours que ça arrive ! Je suis secrètement flattée, mais pas question qu’il le sache !


Durant ce temps, mon inconnu ne perd pas son temps, me gardant bien contre lui, ses mains caressant mon dos dénudé, tandis que je me laisse faire ! Le pire est que je n’arrive pas à rassembler mes idées pour tenter de sortir de cette étrange situation. Je sens ses doigts descendre petit à petit, très tendrement, ça me procure des doux frissons ! Puis d’une main très câline, il tâte mes fesses, ou plutôt ce qu’il y a entre elles :



En un seul mouvement de sa part, décollée prestement du sol, je me retrouve dans ses bras !



Il me fait taire d’un baiser. Ça me tétanise à nouveau, je suis comme transformée en statue de pierre. Puis quand nos lèvres se décollent, il s’éloigne calmement, m’emportant nue dans ses bras. Petit à petit, je commence à recouvrer ma lucidité :



Je m’étonne de l’avoir laisser parler si longtemps ! Je me raidis un peu entre ses bras :



Et j’ouvre la bouche. C’est alors que j’ai droit à mon troisième baiser ! Enfin, non, le quatrième si je compte celui du restau. Et ce baiser-là, il me fait fondre comme de la neige au Sahara en plein midi !




Le loup hors du bois



Je ne comprends plus rien à ce qui se passe : veste sur les épaules, je suis dans la voiture d’un parfait inconnu qui m’emmène je ne sais où ! Et je me laisse faire !


Peu après, nous arrivons dans un petit village que je connais mal, puis devant une maison isolée derrière une grille qui s’ouvre automatiquement. Ou bien mon ravisseur a un bon métier, ou bien il a fait un bel héritage ! Un mini-parc bien entretenu entoure une chaumière en L avec un faux air de moulin, le tout assez typique des années soixante-dix. Ça fait plutôt kitch, mais c’est mignon.


Nous sortons de la voiture, je continue à regarder ce qui m’entoure. Max s’amuse de me voir tout examiner :



Étonnamment, je lui tends sa veste qu’il pose sur le capot, me retrouvant à nouveau nue devant lui, sauf mes bas et mes talons-aiguilles bien arrangés par ma balade dans les bois. C’est après que je réalise que je lui ai obéi tout naturellement ! Max sort un mouchoir de sa poche et s’agenouille devant moi :



Une fois de plus, j’obéis ; mon autre chaussure redevient nickel. Juste avant de se relever, il dépose un baiser brûlant sur mon pubis ; j’en ai un savoureux frisson !



Et il commence à ôter sa chemise !



Chemise largement ouverte, il m’entraîne vers la porte d’entrée. Perchée sur mes talons-aiguilles, je me dandine tant mieux que mal à ses côtés. Peu après, nous sommes dans son salon : c’est sobre mais bien décoré. Rien à redire !



Malgré la situation un tantinet ambiguë, je ne peux m’empêcher de sourire. Il disparaît dans ce que je pense être la cuisine. De là, je l’entends me dire :



Je me retiens in extremis de dire « Maître ». Malheureusement pour moi, il rétorque, amusé :



C’est avec stupéfaction que je le vois revenir nu dans le salon. Il n’y a pas à dire, c’est un bel homme qui s’entretient sportivement ! Ni trop, ni pas assez, bref, la faible femme que je suis en ferait bien son goûter ! Par contre, ce qu’il a entre les jambes – ou plutôt au-dessus des jambes – est peut-être un peu trop dressé !


Comme je me suis assise dans le canapé, il s’installe tout naturellement à côté de moi. Il me tend un verre :



J’évite de répondre en buvant une gorgée. Ça me fait du bien, un peu de fraîcheur. Décidément, il était prévu que le week-end soit plein de surprises ; mais là, ça dépasse tout ce que j’aurais pu imaginer ! Le pire, c’est que je semble trouver cette situation assez normale ! Non, pas vraiment normale, mais disons incontestablement intéressante.


Je repose mon verre, tout comme lui, et j’attends la suite. Étrangement, je ne me sens pas en danger avec Max, mais le contexte m’inquiète quand même un peu. Le silence ne dure pas longtemps, Max prenant un grand plaisir à ma conversation, on dirait :



Réprimant à grand-peine un soupir, je hoche la tête :



Il esquisse un geste. C’est alors que je m’entends lui répondre :



Que répondre à ça ? Il s’approche de moi, presque à me coller :



À ma grande surprise, il se lève, s’éloigne au fond de la pièce. J’en profite pour mater en douce son mignon petit cul à croquer, puis il revient avec un petit rectangle de plastique qu’il dépose délicatement dans ma paume. On dirait une puce informatique. Après s’être assis à mes côtés, il m’explique :



Un peu courroucée, je le regarde droit dans les yeux. Non, il ne semble pas me mentir quand il me dit que je suis la seule ; ou bien, je veux y croire… C’est alors qu’il m’embrasse et que je le laisse faire… et que je me laisse faire…


J’adore ses caresses sur mon corps nu, et sa peau contre la mienne m’électrise d’une façon inimaginable ! C’est bien la première fois que je me sens aussi offerte à un homme, et pourtant je suis une soumise habituée au libertinage ! Il s’enhardit un peu plus et plaque son corps contre le mien, nouant une jambe autour de la mienne. Ses baisers sont à la fois sucrés et épicés, tendres et voraces, je ne sais comment mieux le dire ainsi… Nos corps semblent fusionner ; je frissonne entièrement de la tête aux pieds et je réponds sensuellement et fiévreusement à ses fougueux baisers !


Nos bouches se séparent ; il me regarde intensément :



Et il s’empare de mes lèvres ; je ne suis absolument pas contre sa tentative pour me convaincre, même me corrompre ! Lentement, je me retrouve à demi-allongée, son corps chaud sur le mien, sans qu’il m’écrase ; il est juste comme il faut : possessif, contre moi, mais pas au point de m’étouffer. Une métaphore en quelque sorte, oui, il pourrait être là pour moi, rien que pour moi, sans me brider, me laissant vivre. Cette idée me chavire ! Je suis comme suspendue, désemparée !


C’est alors qu’il me libère. Il se repositionne au milieu du canapé, puis il m’attire à lui pour que nous soyons assis à nouveau l’un à côté de l’autre, son vigoureux bras autour de mon cou. Je suis lovée contre lui, consentante. Tout ceci m’effraie ; je secoue la tête :



Peine perdue ; je sais bien que je ne suis pas convaincante et qu’il le sait très bien ! D’ailleurs, il me le prouve :



Il m’embrasse fougueusement ; je me dénie en répondant éperdument à ses baisers. Il s’enhardit : une main caresse mon sein tandis que l’autre, agrippée à mon épaule, m’attire vers lui. Je soupire d’aise quand il joue avec mon téton ; il embrasse ma bouche ouverte, mes yeux mi-clos, le bout de mon nez. J’enfouis ma tête dans son cou quand il commence à pincer, tirailler, étirer mon téton qui adore ça !


Alors il m’allonge totalement sur le canapé, sa bouche à nouveau sur la mienne, sa main à présent sur mon autre sein, et l’autre sur mon ventre qu’il caresse doucement. Tandis qu’il continue à me dévorer, ses doigts s’attaquent à mon téton qui se retrouve bien vite malmené comme j’aime qu’il le soit. Son autre main caresse alternativement mon ventre puis ma jambe, s’offrant parfois quelques incursions sur ma cuisse. Consentante, j’écarte petit à petit les jambes.


Il devient plus possessif ; il presse implacablement son sein, puis sa main s’élargit pour qu’il coule entre ses doigts qui capturent ensuite implacablement mon téton. C’est au moment où Max étire férocement celui-ci que ses doigts envahissent ma chatte et dénichent bien vite mon petit bouton rose qui n’attendait que ça ! Je me cabre sous la double sensation : l’élancement de mon téton et l’électrisation de mon clitoris ! Ses lèvres quittent les miennes ; j’en profite pour respirer goulûment.



Il accentue sa caresse insidieuse dans ma fente détrempée tout en torturant sadiquement mon téton meurtri ; cet homme est diabolique, il arrive à m’infliger simultanément les deux choses que j’adore : plaisir et douleur. Je sursaute ; il vient d’entrer en moi au moins deux doigts tandis qu’il s’active toujours autour de mon clitoris, le pinçant délicatement, le frôlant, le câlinant. Il lâche mon téton pour s’emparer à nouveau de mon sein à sa base. Il me le broie petit à petit, enfonçant ses doigts dans mes tendres chairs.



C’est alors qu’il m’embrasse et qu’il m’embrase ! Mon sein comprimé me brûle, mon clitoris exacerbé est en feu, ma chatte dégoulinante est investie, envahie ; et moi, je suis à lui, rien qu’à lui. Soudain, la jouissance arrive, fulgurante, implacable. Je crie mon bonheur sans répit, dans mille soubresauts et gestes syncopés !


Puis la grande vague, l’immense vague irrésistible, cette chaleur intense, cette petite mort…


Alanguie, pour l’instant repue, je me laisse aller, pendant qu’il me caresse délicatement. Max sait alterner douceur et brutalité, comme il le faut, au moment où il le faut. Pourtant, il ne me connaît pas, mais c’est comme s’il me devinait.



À travers mes yeux mi-clos, je le regarde, amusée :



Pour toute réponse, il me serre possessivement contre lui et m’enveloppe de ses puissants bras. Totalement conquise, je me laisse aller. J’adore jouer la petite chose fragile à protéger ! Le temps s’écoule, paisiblement, ma tête sur sa poitrine, bercée par ses battements de cœur… Je resterais bien un bon bout de temps ainsi, à ne rien faire, à profiter de sa douce chaleur, de son étreinte, de toute cette douceur qu’il me prodigue…


C’est alors qu’une pensée vient déranger ce bel ensemble harmonieux ; j’en rougis presque de honte. Je soupire un grand coup, en me détachant du corps si accueillant de Max. Il me regarde, m’interrogeant du regard devant mon air navré. Pour toute réponse, assise un peu plus loin, je secoue la tête puis je finis par dire, un peu à regret :



Le plus étrange est que j’obéis. Maintenant, il est debout, je suis à genoux, face à lui. Il ordonne d’une voix calme mais sans appel :



Oubliant le SMS à envoyer, j’incline ma tête jusqu’à ses pieds que je baise amoureusement, puis, nuque toujours inclinée vers mon nouveau Seigneur, je déclame du fond de mon cœur :



Il me désigne son sexe toujours fièrement dressé :



Agenouillée devant mon nouveau Maître, je capture entre mes doigts agiles sa queue décidément bien faite que je caresse d’abord de mes lèvres et de la langue sur toute la longueur de sa tige. Il caresse délicatement ma joue. Ma main capture ses boules que je masse le plus délicatement possible. Puis j’absorbe sa barre de chair dans ma bouche avide pour la sucer le plus amoureusement possible. Je ressors sa tige pour aller suivre ses veines palpitantes jusqu’à la base, puis je la replonge dans mon antre tout chaud et confortable. Ensuite, je la ressors pour lui faire quelques agaceries à ma façon ; la queue de mon Maître en frémit d’aise !



Ses doigts se posent dans mes cheveux comme ce midi ; il les caresse doucement, jouant avec les mèches tandis que je joue avec sa tringle frissonnante. Puis il lève les bras et ordonne :



Je passe mes bras autour de son bassin et je l’attire à moi. Mon nez touche son pubis tandis que sa barre envahit le fond de la gorge, à l’orée de ma luette. Je commence à caresser ses belles petites fesses bien musclées. Je me recule un peu pour mieux me positionner. J’apprécie beaucoup qu’il ne tente pas de me diriger la tête, qu’il me laisse faire à ma façon. Puis je me décide ; bloquant ma respiration et inclinant la tête de la bonne façon, j’avale petit à petit son phallus, son gland tapotant légèrement sur ma luette. Je fais un petit effort sur moi-même, et je sens sa tige glisser au fond de ma bouche, dans ma gorge qui se déforme un peu sous la grosseur de l’intrus. Fière de moi, j’ai la grande satisfaction d’avoir réussi à avaler toute la belle queue de mon Maître jusque dans ma gorge. Admiratif, il me félicite :



N’y pouvant plus, je fais ressortir son vit de ma gorge et je le ramène à mes lèvres pour le suçoter un peu. Puis je retire sa queue de ma bouche pour lui répondre et lui demander :



Je le branle délicatement, puis je force la cadence de plus en plus, faisant coulisser sa peau de façon effrontée. Visiblement, il aime le traitement ! Il serre les poings pour résister un peu plus, mais je sais qu’il se retient depuis trop longtemps. Alors sans attendre qu’il me le dise, je mets sa bite turgescente dans ma bouche et je le suce insolemment. Un raidissement, une palpitation, une grande bordée de sperme jaillit dans ma bouche. Il se vide en moi petit à petit ; ma bouche est envahie, son sperme mélangé à ma salive menace de déborder de mes lèvres. Je bois à nouveau cette bonne liqueur que j’avais eu le plaisir de déguster avant le dessert…




Durant ce temps-là, les deux MM…



Durant tout ce temps, les hommes étaient partis à ma recherche. Au bout d’un certain temps, ils ont été bien étonnés de ne pas me trouver, alors que le bois n’était pas bien grand et qu’ils savaient quelle direction j’avais prise. Comme l’avait dit Maître, le bois était bordé d’un côté par la rivière et de l’autre par la Nationale. Et si j’avais fait demi-tour, ils m’auraient vue.


Maître était bien perplexe ; il avait ma robe dans les mains, et nerveusement, il se mit à la tripatouiller. C’est alors qu’il découvrit, coincé dans mon ourlet, un petit rectangle en plastique. Intrigué, il y regarda de plus près : l’ourlet était légèrement décousu et il en extirpa une petite puce.


C’est alors qu’il réalisa que je n’avais peut-être pas tort de m’inquiéter après mon gage au restau. En arrivant sur le parking, ils purent constater aux traces sur le sol qu’une autre voiture était venue entre-temps et qu’elle était repartie.


Maître tenta bien de savoir qui en retournant au restaurant du midi ; il joua de tout son charisme auprès du personnel, mais comme ce client avait réglé en liquide et que personne ne le connaissait, il dut reconnaître son échec. Et étant nue, il m’était difficile de conserver mon téléphone portable avec moi…


Maître ne savait plus quoi faire, que penser. Aller à la police, la gendarmerie ? Attendre ? Retourner à la maison ? De plus, Marc ne lui était d’aucun secours, totalement dépassé par la tournure des événements. Il décida donc de revenir à la maison, laissant son invité repartir, lui promettant de le tenir au courant. Alors qu’il s’apprêtait à revenir au petit bois pour tenter d’y découvrir au moins un indice et qu’il mettait sa carte dans la fente afin de démarrer sa voiture, mon SMS lui parvint :


« Je suis avec l’homme du restau, ne t’inquiète pas. Biz. Valérie. »


Maître eut un long frisson, et beaucoup de sueur froide ! « Ne pas m’inquiéter ! Elle en a de bonnes, elle ! Et c’est quoi, cette histoire ? L’homme du restau ? Comment ça, l’homme du restau ? » Et il appela aussitôt.


Max décroche et répond en mode haut-parleur afin que j’entende :



Un certain silence, et mon mari reprend :



Max me donne son portable ; je bredouille :



« Euh si, il m’a fait quelque chose, mais je ne vais certainement pas lui dire, d’autant que j’étais plutôt consentante ! »



Un autre silence, puis mon mari ordonne :



C’est alors que Max m’enlève le portable des mains :



Et il coupe la communication, puis le portable. Et tranquillement, il m’enlace tendrement, bien décidé à jouer les hôtes parfaits afin de consoler la pauvre biche égarée dans les bois et j’avoue que j’aime beaucoup être de la sorte !




Le petit chaperon rouge croqué



Après divers câlins et caresses, nos lèvres se décollent. Instinctivement, je remets un peu d’ordre dans mes cheveux tandis que Max se lève et demande :



Étrange, cet atermoiement entre « tu » et « vous », mais ça me plaît bien ! Tandis qu’il disparaît, une idée étrange me traverse la tête, idée que je mets en application tout de suite. C’est avec un certain étonnement que Max me découvre à quatre pattes près du canapé !



Il pose les deux boissons sur la vraie table de salon, puis il fait le tour de ma petite personne. Je suis toujours à quatre pattes, le cul bien en évidence. Avisant mon bijou, Max dit :



Je lui explique le pourquoi du comment, mon mari qui a exigé que je dorme avec son sperme en moi toute la nuit, et aussi que Marc a fait de même avant que nous partions au restaurant vers midi. Son expression change, se durcit ; on dirait qu’il est fâché…



L’air sévère, il me regarde, bras croisés ; je frissonne, la mine piteuse. Je vois bien que ça le turlupine ; et moi, pauvre cloche, qui avais complètement oublié que j’avais le sperme d’un autre encore en moi ! Puis il décroise les bras et décide :



Soudain, sans attendre ma réponse, il me regarde autrement et me prend dans ses bras :



Puis il m’embrasse voluptueusement.


Arrivée dans la salle de bain, il m’explique ce que je dois savoir puis, après un léger bisou sur les lèvres, il quitte la pièce. Max est à la fois l’amoureux, l’amant et le Maître, et il passe d’un personnage à un autre avec une facilité déconcertante !


Après avoir ôté mes bas puis m’être bien rincée et avoir tout évacué, je retourne dans le salon. Il est étonné de me voir déjà.



Bien que je sois circonspecte, je m’exécute. Aussitôt, il s’agenouille derrière moi et s’extasie :



Il ne répond pas ; il est trop occupé à m’embrasser chaque fesse d’un nombre incalculable de baisers et parfois de petites morsures. J’aime ! Puis il commence à jouer de la langue et s’aventure posément entre mes fesses, dans mon sillon. Alors, pour lui faciliter la tâche, je me penche un peu plus et j’écarte encore plus les jambes.



Tandis qu’il caresse mes fesses, sa langue se commence à titiller ma petite cuvette. J’aime cette douce caresse ! Il continue et insiste de plus en plus, suivant la bordure de mon œillet et allant parfois forcer un peu l’entrée.


En général, c’est plutôt moi qui pratique sur les autres les feuilles de rose, mais ce n’est pas désagréable d’être celle qui subit cette caresse… Il fait bon en ce dimanche après-midi ; c’est calme et reposant. Une sorte de torpeur m’envahit petit à petit tandis qu’une langue agile et inquisitrice s’évertue à arrondir ma sombre ouverture… Je me laisserais bien à une petite sieste réparatrice, et tant pis si je me fais violer durant mon sommeil !


Clac !


Je sursaute sous l’impact de la claque qui vient de faire vibrer ma fesse droite ! Pour un réveil, c’est un réveil ! Je cligne des yeux, essayant de récupérer mes esprits !



Je me redresse complètement et fais quelques pas autour de la table de salon. Je boude :



Il me regarde d’un air étrange :



D’un bond, il s’approche de moi, me saisissant par la taille. Je lève la tête vers son visage qui est devenu plus sévère à présent.



Et sans transition, il m’embrasse !


Normalement, un Maître n’embrasse pas sa soumise. Mais Max semble mélanger allègrement les rôles sans se soucier du protocole ! Je reconnais que je ne suis pas contre le fait d’éveiller chez un homme un tel intérêt pour ma petite personne. Je réponds passionnément à son baiser. Je ne sais pas ce qui va se passer ce soir ; j’essaie de profiter du moment présent, de cet homme qui me fait tourner la tête, et je m’abandonne à lui…


Peu après, c’est lui qui est plaqué ventre contre mon dos, en train de me masser fermement les seins tandis qu’une certaine chose dure appuie fortement entre mes fesses. Je jette mes bras autour de son cou, complètement cambrée contre lui.


J’ai des doux frissons quand il m’embrasse dans le cou.



Et je me laisse aller contre lui, profitant de son corps, de ses mains, de son sexe, son appétit, de son désir pour moi… Ne pas penser, ne pas réfléchir à demain, vivre l’instant présent… Alors je ferme les yeux et je me laisse bercer par la convoitise de Max…


C’est un très doux moment, très tendre, à en pleurer…

Mais je garde mes yeux fermés pour qu’il ne voie rien…

Non, je ne veux pas qu’il sache…


Après avoir bu ensemble une nouvelle fois, Max est assis dans le canapé, bite bien dressée comme toujours. Quand faiblira-t-il ? Il est vrai que l’attrait de la nouveauté (en l’occurrence, moi) aide beaucoup à durcir les choses ! Il me fait signe de venir.



Docile, je m’approche ; mis à part moi, que désire-t-il ?



Je me positionne entre ses jambes, lui tournant le dos ; puis, lentement, je m’assois tandis qu’il guide son sexe vers mon entrée des artistes. Soudain, je sens son gland appuyer sur ma cuvette. Je demande respectueusement :



Petit à petit, la verge de mon Maître disparaît dans les profondeurs toutes propres. Je sens distinctement coulisser la barre en moi. Bien que je ne doive pas le faire, je me mets à comparer avec Monsieur, Maître et Max. Monsieur, ça allait, car mon anus est habitué aux intrusions, mais sans plus. Avec Maître, c’est très bon ! Max, je dois l’avouer, c’est mieux et différent ! Une envie de toujours l’avoir en moi !


Enfin, il est arrivé tout en fond de moi, bien au fond. J’adore être bien envahie par cette chose de chair qui appartient à mon Maître et amant. Puis je me couche comme convenu contre lui, je sens sa poitrine sur mon dos.



C’est alors qu’il capture mes seins, les caressant doucement, délicatement. Je me laisse aller contre lui, cajolée par ces deux mains agiles et habiles tandis qu’il m’embrasse dans le cou. C’est très bon, très agréable, très sensuel. Puis une main descend doucement vers mon ventre qu’elle câline longuement et tendrement. Je ronronne comme une petite chatte.


Enfin elle descend encore plus bas, s’arrêtant un peu sur mon pubis, puis un doigt s’engouffre dans la fente humide dans laquelle il déniche un petit bouton très sensible !


C’est alors que, sous mes fesses, mon Maître donne des coups de reins pour me pistonner, me faire bien sentir que je suis sa chose. Frénétiquement, je l’aide, et peu à peu, c’est par grands coups que sa bite increvable coulisse en moi de fond en comble ! Parfois, elle est à la limite de sortir ; l’instant d’après, elle replonge au plus profond de mes entrailles ! C’est l’une des premières fois que je participe si furieusement à mon enculage ! Et pourtant, des butors qui m’ont défoncée le cul, j’y ai eu droit ! Mais pas au point de participer comme ça !



La jouissance arrive comme un rouleau compresseur, accentuée par les mots crus que j’ai dits et que je pense ! Elle arrive, elle déferle, elle me submerge, elle me noie ! Je crie mon ravissement comme une petite folle ! Oui, je suis folle de jouir le cul défoncé ; il me faudra peut-être des jours pour m’en remettre, mais pour l’instant, il n’y a que cette puissante et vaste jouissance qui compte !


Dieu, que c’est bon de pouvoir jouir comme ça, violemment, cruellement, bestialement !


Exténuée, je me laisse aller contre mon Maître. Puis, complètement épuisée par toute cette journée ultra riche en sensations et nouveautés, je m’endors, indifférente à la suite des événements, à mon ancienne vie, à ma nouvelle vie qui se dessine petit à petit…