n° 16755 | Fiche technique | 51548 caractères | 51548Temps de lecture estimé : 29 mn | 13/04/15 corrigé 09/06/21 |
Résumé: Assise nue sur les genoux de Max, je prends en note ce qu'il me dicte tandis qu'il me caresse les genoux ou qu'il embrasse mon cou ou un sein. Tout ça fait très cliché, ce fantasme patron/secrétaire, mais j'aime ce genre de cliché ! | ||||
Critères: fhhh grossexe taille fsoumise hdomine fellation pénétratio sm -fsoumisah | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : MMS - Maître Monsieur Soumise Chapitre 04 / 04 | FIN de la série |
Divers protagonistes :
– Max : mon amant et Maître
– Paul : mon mari et Maître
– Divers hommes qui passaient par là…
– Moi, Valérie, la soumise de ces deux Maîtres
Les divers épisodes de cette série peuvent être consultés indépendamment.
Dernier épisode.
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Assise nue sur les genoux de Max, je prends en note ce qu’il me dicte tandis qu’il me caresse les genoux ou qu’il embrasse mon cou ou un sein. Tout ça fait très cliché, ce fantasme patron/secrétaire, mais j’aime ce genre de cliché ! Surtout avec Max comme patron, même tyrannique !
Toujours assise sur ses genoux, je le toise, une moue méprisante aux lèvres :
En un rien de temps, Max me couche sur son bureau et commence à m’entreprendre d’une façon que je qualifierais de possessive. Je me retrouve bien vite le chemisier largement ouvert et la jupe retroussée. Mon porte-jarretelles et mon absence de culotte semblent décupler la vigueur de mon Maître-amant qui me pistonne sans retenue, bien décidé à me prouver qu’il est un étalon, et moi sa pouliche. Bien qu’il ait tout quand même du taureau en rut et en manque !
Cette quasi-bestialité me rend toute chose, et c’est avec un plaisir évident que je me laisse faire. Max me dévore ci et là les lèvres et mordille de temps à autre mes tétons bien érigés, avant de continuer son pistonnage de plus belle, histoire de bien me faire sentir que c’est lui qui possède le manche.
Ah zut ! J’aurai dû attendre un peu avant de lui dire ce genre de cochonnerie, car dans un dernier coup de reins je l’entends pousser un long râle tandis qu’il se déverse en moi. La tête levée au plafond, il me surplombe, tressaillant en moi, sa bite agitée de spasmes. J’aurais aimé qu’on jouisse à deux ; mais bon, on dirait que ce ne sera pas trop le cas maintenant.
En grognant, il se retire sans prévenir puis, me plaquant de sa main sur le bureau, il le contourne pour mettre son engin dégoulinant à portée de mes lèvres. Je proteste faiblement :
Un peu d’autorité de la sorte me plaît bien ; je ne suis pas une soumise pour rien. Alors, ouvrant la bouche, je m’exécute. Je goûte à présent ce mélange curieux entre son sperme et ma cyprine, un mélange que je ne déteste pas, malgré son goût singulier…
Sa bite déjà molle commence un soupçon de redressement sous ma langue câline, mais je ne me fais pas trop d’illusions quant à une possible pénétration dans les deux-trois minutes qui viennent. Après que j’ai bien nettoyé et cajolé sa queue, Max me la retire de la bouche. Du doigt, il me désigne mon entrejambe souillé et ordonne :
Plaquant ma main sur mes lèvres intimes détrempées afin d’éviter d’en mettre partout, je me penche sur le bureau afin d’obéir à mon Maître. C’est moins agréable que de sucer une bite chaude, c’est certain ! Mais c’est assez excitant quand même. Comme j’ai les fesses à l’air et bien présentées, Max en profite pour alterner caresses et fessées. C’est agréable.
Soudain il exige :
C’est avec une agréable surprise que je constate qu’il replonge en moi, et en pleine forme ! Avec délectation, je suce mes doigts gluants tandis que mon autre main s’active sur mon petit bouton rose et très sensible. Je sens monter en moi une chaleur que j’adore, celle d’une proche jouissance. Alors je me laisse aller, je m’offre totalement à la bite qui m’explore, à mes doigts qui me titillent agréablement, qui me caressent voluptueusement, qui m’excitent follement.
C’est avec ravissement que je finis par jouir, la bouche souillée, le clitoris en feu, la chatte envahie par mon Maître plongé en moi. Le travail au bureau, c’est génial quand c’est ainsi !
Ça va faire presque deux mois que je suis en « garde alternée » entre Max, mon amant, et Paul, mon mari. Tandis que je dormais, épuisée par tous ces événements et ma prestation juste avant, les deux hommes ont ferraillé au téléphone. Partie dans le pays des songes, je n’ai rien entendu de tout ça, mais j’ai cru comprendre que ça n’avait pas été triste ! Sans me consulter avant, sans rien me demander, ils sont tombés finalement d’accord sur deux choses : une garde alternée, c’est-à-dire une semaine chez l’un et une semaine chez l’autre ; et ils ont royalement oublié aussi de me demander au passage mon avis ! J’ai beau être une soumise, c’était la moindre des choses : c’est quand même moi la première concernée, non ?
C’est à mon réveil que j’ai découvert, stupéfaite, les deux hommes face à moi. Abasourdie, je les ai entendus m’expliquer la solution qu’ils avaient trouvée pour moi. Il m’a fallu un certain temps avant de réaliser pleinement ce qu’on souhaitait de moi.
Plus tard, quelques jours plus tard, quand ce fut le « tour de garde » de Paul, osant franchir le pas, je m’en suis étonnée auprès de mon mari :
J’en suis restée abasourdie.
Mon mari m’a prise dans ses bras.
Là, je n’ai pas su quoi répondre…
Uniquement habillée d’un serre-taille noir, de talons-aiguilles et de bas autofixants de la même couleur, seins bien en avant, sans parler de mon sexe tout lisse et de mes fesses largement visibles, je fais face aux quatre hommes installés confortablement dans le grand salon de Max. Ma tenue fait nettement cliché, mais je constate avec une silencieuse satisfaction que je fais toujours mon petit effet sur la gent masculine !
Je m’approche de la table basse, puis arrivée devant elle j’écarte un peu les jambes. Des cous se tendent pour mieux voir. Puis, lentement, je pivote sur moi-même, faisant admirer la « marchandise », le noir des vêtements et le blanc de ma peau. Je ne me fais pas trop d’illusions sur les diverses pensées qui doivent agiter les cerveaux en fusion de nos invités, mais susciter le désir m’a toujours émoustillée !
Max prend la parole :
Une voix grave et profonde répond :
Max se lève et me présente les trois invités du jour. Il s’approche d’abord d’un homme mince, visage plutôt long, presque chauve, qui se lève.
Max se tourne vers le suivant, plus petit, rondouillet, un parfait air de petit vicieux et de pervers convivial, qui bondit prestement sur ses pieds avec une agilité surprenante.
Max lui lance un regard noir puis se tourne vers le plus grand, un géant faisant au moins deux mètres, massif, qui se déplie, semblant être à deux doigts de heurter le plafond.
Tout le monde s’assied, sauf moi qui reste debout, à la vue de tous. Balayant l’assemblée d’un large geste de la main, Max explique :
Michel se frotte les mains :
Amusé, Laurent entre dans la conversation :
Une voix très grave retentit :
Jean-Paër fait jouer ses jointures dans des craquements sinistres… Max et Laurent se mettent à rire, Michel beaucoup moins. Moi, je me contente de sourire, ne connaissant pas bien mes interlocuteurs (sauf Max, bien sûr), les devinant surtout. Ça doit être une sacrée équipe !
C’est vrai qu’une femme presque nue vêtue uniquement d’un serre-taille, de chaussures au hauts talons-aiguilles et de bas autofixants, le tout en noir, avec une peau particulièrement blanche, c’est un contraste assez… captivant pour les yeux masculins. Ajoutez-y mes seins, mes fesses et ma chatte sans aucune protection à la convoitise, je comprends que certains hommes aient quelques problèmes avec leur self-control ! Le Michel surtout !
Michel, n’en parlons pas ; s’il le pouvait, il m’aurait sans doute déjà violée depuis longtemps. Laurent, je ne le cerne pas très bien, mais je pense qu’il est plutôt contemplatif. Quant à Jean-Paër, il sait se tenir, mais il démarrerait sans problème au quart de tour : c’est l’impression qu’il me donne. J’aime son regard, mélange curieux d’admiration sincère et de convoitise retenue.
La situation, bien qu’étrange, me plaît. J’éprouve un grand frisson à être la soumise quasiment nue de mon Maître Max, livrée en pâture aux regards de concupiscence !
Un bref silence s’installe tandis que je suis le point de mire de ces quatre hommes assis. Soudain, Max tend la main, désignant Michel qui trépigne quasiment sur place ; d’une voix affirmée, il ordonne :
Comme ordonné, je m’agenouille entre les jambes de Michel qui a déjà sorti un sexe bien dressé, ni trop grand, ni trop petit. L’enrobant de mes lèvres, je m’applique à lui donner du plaisir, bien que je n’éprouve pas trop d’attirance pour cet homme. C’est mon entrée, en quelque sorte. Plus tard, viendront les autres plats, je suppose…
Michel montre bruyamment sa satisfaction par de multiples soupirs. À prime vue, ce que je lui fais lui plaît beaucoup ! C’est alors que je m’amuse à titiller du bout de la langue l’ouverture de son méat. La réaction est fulgurante : il éjacule aussitôt dans ma bouche dans un long râle. Au moins, avec lui, j’ai trouvé le truc pour que ça ne dure pas une éternité !
Michel semble totalement épuisé, hors service. Toujours agenouillée, j’interroge Max du regard ; il me répond par un sourire amusé. Je crois avoir compris la manigance. Sans doute pour mettre le commercial hors-jeu pour un certain temps…
Laurent lève le bras. C’est à quatre pattes que je viens me poster entre ses jambes pour lui administrer une privauté. Son sexe est un peu plus petit que le précédent ; mais, à mon grand étonnement, son goût est plutôt agréable : une bonne surprise. Alors je continue avec application, un peu plus motivée qu’il y a quelques minutes.
La seconde bonne surprise survient ensuite quand il jaillit enfin dans ma bouche, après malaxage de ses testicules et diverses autres fantaisies. Décidément, son goût est très agréable ; ça change plaisamment.
Max m’octroie un peu de repos, ma mâchoire en a besoin ! Tandis que je reste agenouillée près de la table basse, les hommes discutent. Visiblement, Michel n’est toujours pas revenu à ses pleines facultés, ce qui m’arrange un peu. Puis mon Maître me désigne Jean-Paër :
Nom de Dieu ! C’est quoi, cette queue de mastodonte ? La première comparaison qui me vient à l’esprit est un rouleau d’essuie-tout évidé, si vous voyez ce que je veux dire. À la louche, vingt-cinq centimètres de haut et au moins cinq-six de diamètre au bas mot ! Max m’extirpe de ma contemplation ébahie.
Je lève les yeux vers le propriétaire de cette énorme colonne de chair.
Max intervient :
Pinçant des lèvres, un peu déboussolée, je cligne des yeux : il va falloir y aller ! Ce sera une première pour moi, un tel engin ! N’empêche que, à bien y réfléchir, ce sera une bonne expérience… et sans devoir participer à un film X. Bien que, à y réfléchir aussi, ce que je vis actuellement n’est pas usuel ; c’est même un scénario de film X, et pas forcément un des meilleurs.
Lui faisant un timide sourire, je regarde Jean-Paër dans les yeux. Il soutient mon regard en souriant lui aussi. Je ressens alors comme une sorte de choc. Je pose le bout de ma langue sur une veine de sa barre verticale, puis je remonte délicatement vers le haut, m’appliquant au mieux comme pour déguster cette énorme sucette.
Arrivée au sommet, je couvre délicatement le dôme de son gland entre mes lèvres, tandis que je capture sa large queue à deux mains. Ça me fait étrange de capturer un tel engin palpitant à deux mains : d’habitude, avec une seule, ça suffit ! Je commence mes agaceries, à la fois inquiète et curieuse. Une chose est sûre : jamais je ne pourrais faire une gorge profonde avec ce sexe fièrement dressé devant moi !
Ceci dit, je m’enhardis à l’absorber dans ma bouche. Son goût n’est pas mal non plus, bien qu’un peu plus rude que celui de Laurent. En tout cas, ma bouche est bien remplie, et je vois mal ce que je pourrais ajouter de plus ! De ce fait, je m’occupe au mieux de l’espèce de boule suave du plat de ma langue, tandis que mes mains caressent sensuellement la barre de chair qu’elles ont sous leurs doigts.
Je plonge une de mes mains pour me saisir d’un testicule. Mes doigts découvrent quelque chose de plutôt volumineux. Décidément, il fait tout en grand, cet homme ! Je câline cette boule chaude et douce du mieux que je peux, tandis que mon autre main astique comme elle peut cette colonne de chair. Je dois reconnaître que c’est plaisant à manipuler : au moins, j’ai quelque chose à me mettre sous la main ! Un peu comme pour la plupart des hommes qui adorent faire joujou avec une femme aux seins lourds.
Comme j’ai la bouche pleine, je me contente d’un léger hochement de la tête. J’espère qu’il ne va pas faire aussi son flot de sperme en grand… Une première salve envahit ma bouche ; ça va, je m’attendais à pire, je peux gérer. Une deuxième survient, puis une troisième. Houlà ! Puis j’arrête de compter, car de multiples autres surviennent, pas très abondantes, mais régulières. J’ai la curieuse impression qu’il se lâche par à-coups, ce qui me convient très bien : ça m’empêche d’être débordée par les événements.
Une fois qu’il a fini de se vider en moi, l’ôtant de ma bouche, je lui offre un dernier petit coup de langue vicieuse. Il tressaille ; je suis contente de mon petit effet !
Max se tourne vers le géant et demande :
Mon Maître se contente de rire. Moi, je regarde Jean-Paër et j’incline de la tête pour le remercier muettement. Il répond par un geste que j’interprète comme un « à votre service ». Peu après, Max me tend un verre que je bois aussitôt car, malgré ce que j’ai déjà pu absorber, je suis quand même un peu déshydratée.
Avec plaisir, je retrouve la queue de mon Maître, celle que je connais bien et que je chéris à ma façon. Après celle de Jean-Paër, elle me paraît plutôt petite, mais je sais m’en servir à souhait. Suavement, je la capture entre mes lèvres et je la flatte de ma langue. J’adore sentir tous ses tressaillements…
Aujourd’hui, j’ai envie d’autre chose ; et comme j’ai aussi envie d’en flanquer plein la vue aux autres hommes en démontrant quelle soumise je suis, je me positionne pour offrir une belle gorge profonde à mon Maître.
Sous l’œil étonné des autres participants, j’absorbe petit à petit la belle queue de mon Maître. Je dois m’y reprendre à deux fois avant de trouver la bonne position pour que le gland entre dans les profondeurs de ma gorge. À la mine qu’ils font en me fixant sous le menton, je pense qu’on doit voir assez distinctement mon cou accueillir un intrus. Soyons clairs : ce n’est pas précisément agréable pour moi ; je dois lutter contre un réflexe naturel de déglutition, mais je suis largement payée en retour par le visage rayonnant de Max et les regards de convoitise des trois autres compères.
Je ressors la queue de mon Maître pour mieux reprendre ma respiration. Je souffle, puis je fais signe à Max que je suis prête. Tête renversée, bouche ouverte, j’attends. À nouveau, la belle bite de mon Maître entre en moi, glisse sur ma langue bien abaissée pour se diriger vers le fond de ma bouche. Comme elle est bien dans l’axe, elle continue naturellement son chemin pour aller se nicher à l’extrémité de mon œsophage. Délicatement, la tige entame un mouvement de va-et-vient sous les yeux assez impressionnés des autres participants. Le mouvement s’accélère ; ce n’est pas tout à fait une partie de plaisir, mais je veux réussir ! Je dois précipitamment me reculer pour éviter d’étouffer. Sans que je puisse y faire quelque chose, un long filet de salive coule sur mes seins, mais ça ne m’empêche pas de recommencer. Une fois, deux fois, trois fois…
Alors que la queue de mon Maître est complètement en moi, je sens qu’elle tressaille : j’ai enfin réussi mon pari avec moi-même ! L’instant d’après, un premier jet m’envahit ; je dois faire un certain effort pour bloquer le réflexe de régurgitation. Le second jet remplit ma bouche qui déborde, s’échappant au dehors, glissant sur mon menton. Je me recule précipitamment ; un dernier jet s’aplatit sur ma joue. La gorge brûlante, je n’arrive plus à avaler quoi que ce soit. Je me résous à laisser le trop-plein s’évacuer hors de mes lèvres puis s’écraser sur mes seins. Je ne dois pas être un beau spectacle, ainsi !
En entendant la suite de leurs conversations, je suis plutôt contente de moi. Bien sûr que je suis une bonne soumise docile pour son Maître ! N’est-ce pas ma fierté ?
Quelques jours après cette mémorable séance des cinq doigts de la main, je viens juste de sortir de chez ma coiffeuse attitrée ; je viens de me faire faire une petite coloration plus estivale et couper les pointes. J’ai eu la curieuse impression qu’on me surveillait tandis que j’étais assise dans le confortable fauteuil. Étrange ! Bah, peut-être un voyeur qui a fait une petite fixation sur ma personne… Il faut dire qu’avec ma robe légère, je dois être assez tentante ! Je souris, un peu flattée d’être toujours l’attention des hommes, même si c’est souvent lubrique…
Je flâne dans la galerie marchande, je vois même en vitrine une petite tenue qui me tente dans un magasin, alors j’entre pour l’essayer. L’objet convoité en main, je file vers la zone des cabines pour voir si ça me convient. Quelques secondes plus tard, je regarde l’effet que fait sur moi cette tenue dans le miroir.
Surprise, je sursaute et je me retourne vers la voix très grave qui vient de retentir.
Là-bas, à l’entrée de la zone des cabines, une vendeuse inquiète m’interroge du regard. Je lui fais un large sourire, lui signifiant que tout va bien. Visiblement, elle semble soulagée ; il est vrai que Jean-Paër fait quand même un peu peur, voire beaucoup, du haut de ses deux mètres deux, si j’ai bon souvenir, et de sa carrure d’armoire à glace ! Les méchantes langues diront que c’est un gorille avec moins de poils…
Visiblement, cette simple phrase lui fait plaisir. C’est alors que, mue par une intuition, je demande :
Ah OK, je comprends mieux la sensation que j’ai ressentie. Je me demande ce qu’il faut en penser. C’est Jean-Paër qui prend les devants, ce qui m’arrange finalement :
Et nous voici quelques minutes plus tard installés dans un coin un peu sombre de la cafétéria, lui devant une coupe blanche et moi devant un sorbet citron. C’est moi qui relance la conversation :
Je manque de m’étrangler avec mon morceau de glace ! Je tousse un peu, sous l’œil inquiet de mon vis-à-vis, et je bois une petite gorgée.
La façon dont il vient de répondre m’inquiète un peu. Il semble y avoir un double-sens. Un peu alarmée, je relance :
Oh oui, si Max est capable de faire ça (chose qu’il a faite avec mon ourlet de robe lors du restaurant), pourquoi pas Jean-Paër ? Ils travaillent tous les deux dans une boîte spécialisée dans ces fameux tags, ces espèces de mouchard, de détecteurs à distance. Je poursuis :
Ah ! Eh bien, en voilà une grande nouvelle !
Et en plus, il m’avoue ça, l’air de rien !
Il sourit, ses larges mains sur la table :
Encore heureux que je sois assise, j’ai les jambes sciées ! Et l’autre grand machin qui trouve ça tout à fait normal…
Il se penche vers moi pour m’expliquer :
Oui, j’en sais quelque chose, en effet. Mais je pensais, idiote que je suis, que c’était la seule et unique fois qu’il avait expérimenté la chose sur moi !
Il sourit, faisant un large geste de la main.
Je m’approche un peu, ma tête assez proche de la sienne.
Je soupire bruyamment.
Jean-Paër hoche la tête.
Eh bien, en voilà des affirmations ! C’est toujours flatteur pour une femme de faire de l’effet ; mais à ce point, il ne faut pas pousser ! Sentant le terrain glissant, je préfère passer outre. Hochant la tête, je questionne :
Ça me dépasse ! Je reprends un peu de sorbet avant de poser la question qui me tarabuste :
Rien que ça ! Je reprends une autre cuillerée de glace. J’attends que la glace fonde dans ma bouche, puis je reprends :
Tel un gros ours malheureux, il soupire avec force :
Je pose ma cuillère sur la table :
Il pose ses coudes sur la table.
Je le regarde, bouche ouverte, les yeux écarquillés. Je finis par dire :
Il s’approche de moi.
Je déglutis ; son petit discours sincère me rend toute chose.
Ne sachant que faire, je finis ma glace. Il attend un peu, puis il finit par prendre la parole :
Sans que je ne puisse esquisser un geste de défense, il saisit brusquement mais délicatement mon menton dans sa large main et m’embrasse avec passion.
Quand nos lèvres se séparent, je reste abasourdie tandis qu’il me dévore du regard. Le pire, c’est que ça m’a plu ! Il se dégage de cet homme une aura certaine, ce petit quelque chose qui me fait fondre. Ce qui ne va pas me simplifier les choses avec Max et Paul !
C’est lui qui prend le premier la parole tout en se levant, me tendant la main :
Spontanément, je réponds à son geste :
Il ne répond rien ; il se contente de prendre ma main. Nous sortons ensuite de la cafétéria pour déboucher sur la galerie marchande plus lumineuse. C’est alors que je réalise que je suis à présent collée tout contre lui et qu’il a un bras protecteur passé autour de moi, sa large main sur mon épaule, l’image parfaite du couple fusionnel !
Au dehors, il m’entraîne dans un espace vert un peu à l’écart. Sous un vaste arbre, sans préambule, il me serre contre lui puis m’embrasse follement.
Décidément, je subis nettement plus les choses que je ne les dirige… Et j’aime beaucoup ça !
Faire l’amour avec Jean-Paër, c’est quelque chose ! C’est à la fois très doux et violent. « Violent » n’est pas tout à fait le bon mot. Comment dire… c’est explosif, impétueux, fougueux, à en avoir mal partout, tellement je me déchaîne !
Avec lui, je me sens vraiment une toute petite chose à protéger ; ça doit être mon trip ultime ! De plus, pas besoin de jouer la soumise avec Jean-Paër : son autorité naturelle et sa large carrure suffisent largement, et ça me convient parfaitement ainsi, sans parler que c’est reposant par rapport à mes deux autres hommes ! Oui, pas besoin de jouer la soumise ; avec Jean-Paër, je suis naturellement sa petite chose.
Tout est grand chez lui : ses mains, ses bras, ses jambes, son corps, sa queue, ses boules, un modèle géant ! Son membre viril est très impressionnant, mais il sait agréablement s’en servir. Pourtant, je ne suis pas une fana des gros calibres ; mais je dois avouer que de savoir tout ce mandrin en moi me rend toute chose, d’autant que je me demande toujours comment tout ça a pu entrer en moi !
C’est d’ailleurs ce qui risque de se passer dans quelques instants puisque je fais actuellement l’amour avec Jean-Paër. Pour l’instant, nous en sommes aux caresses, au corps-à-corps, à nos mains qui se cherchent, à nos peaux qui se frôlent, et c’est déjà très excitant. J’aime la façon qu’il a de me câliner, moi sa petite chose toute menue entre ses bras !
Puis n’y tenant plus, ostensiblement, je me couche sur le dos, levant mes bras et mes jambes. Mon message est explicite. Un peu dubitatif, se penchant sur moi, Jean-Paër demande :
Mes mains sur son cou, je le supplie :
Tandis que, sans honte, je projette mon bassin vers lui, il se positionne juste à l’entrée de mes lèvres déjà ouvertes. Je regarde sa grosse queue dardée vers mon entrée : on dirait presque un bras d’enfant au poing fermé. Le simple contact de son gland m’électrise ! Il me regarde intensément ; j’aime quand on me dévisage ainsi…
Son gland écarte mes lèvres déjà bien glissantes et s’introduit posément en moi. Je serre un peu les lèvres ; c’est vrai que c’est imposant ! Je sens distinctement un pieu massif de chair coulisser petit à petit en moi, me comblant, m’envahissant. Même si ça me fait toujours un peu peur, j’adore cette sensation de plénitude, d’être totalement remplie, saturée.
Cette énorme bite chaude et douce est à moitié en moi. En sueur, je souffle un peu. Jean-Paër m’interroge du regard ; je lui souris. J’ai l’impression qu’il est déjà totalement en moi, qu’il est au plus profond, mais je sais que ce n’est pas le cas pour l’avoir déjà vécu ! Quelque chose force en moi, comme une porte un peu entrouverte mais qui refuserait de s’ouvrir plus, puis après une secousse insolite, je subis comme une seconde introduction, plus lointaine, plus étrange. Je respire lentement ; je ressens chaque millimètre qu’il insère en moi tandis que nous nous regardons dans les yeux. Oh, que j’aime être possédée ainsi, être regardée ainsi !
Je ne me l’explique pas, mais je sais que dès qu’il arrivera au plus profond de mon corps, ça me rendra folle et je jouirai sans retenue. En attendant, il reste encore un bon tiers dehors ; et j’ai la nette impression d’être tellement remplie que je pourrais exploser !
J’ouvre la bouche mais aucun son ne sort. Le gigantesque intrus continue sa progression en moi. C’est hallucinant ! Ce n’est pourtant pas la première fois que je vis ça, mais ça me fait le même effet à chaque fois. Pourtant, je n’étais pas du tout une adepte des membres surdimensionnés ; et avec Jean-Paër, je suis servie !
Je sens que ça y est presque : ses testicules caressent mes cuisses. Ses gros testicules que j’adore lécher, tripoter, un dans chaque main… Une fois, j’ai même réussi à en gober un, mais pas longtemps ! La sensation d’avoir une grosse pomme en bouche, une pomme tiède et souple.
J’attends avec fébrilité qu’il arrive tout au fond. Ses testicules s’aplatissent sur mes cuisses, son énorme tige m’écartèle, c’est complètement fou… Et que dire quand il m’encule ! C’est encore plus démentiel, mais très éprouvant ; mais tellement bon sur le coup !
Je suis prise d’un vaste tremblement quand il s’exécute. C’est complètement dingue d’être forcée de la sorte, mais c’est… mais c’est… indescriptible ! Je vois des étoiles partout ! Je suis irrémédiablement une salope masochiste de réclamer de tels trucs déments !
Le souffle coupé, j’ai la force de lui crier :
Et c’est un déluge de sensations fortes qui s’abat sur moi, qui me tourmente, qui me transporte, qui me bouscule dans tout mon corps, ma chatte ravagée, ma grotte dévastée, en feu, mais c’est si bon, si fou, si par-delà !
Peut-être que j’en mourrai, mais je m’en fiche complètement. Je m’en fous royalement ; tout ce que je veux, c’est lui, sa bite, son foutre, être une salope, une traînée, une pute, peu importe, du moment que je jouisse comme une folle, à en perdre la raison !
Et là, je décolle, l’utérus en feu, les sens en folie. La chambre n’existe plus, je suis ailleurs, sans dehors ni dedans, sans haut ni bas, dans un endroit irrationnel. Dans un grand cri, il jaillit en moi, tel un volcan brûlant ; égarée, je sens comme un flot m’envahir, déborder, fuser dans tous les sens. Je perds pied, ma bouche pleine de mille cris !
Une vague puissante m’entraîne, me fracasse ; je meurs…
Je suis morte…
… … …
Hum… Si c’est ça, la mort, je veux bien mourir plus souvent !
J’ouvre un œil ; je suis couchée sur Jean-Paër qui m’enserre dans ses bras. Je suis bien. Je ne sens plus mon bas-ventre, ou plutôt je le sens comme étranger à mon propre corps. Je n’ose pas trop songer à l’état dans lequel ma chatte doit être ! Mon pubis et l’intérieur de mes cuisses sont luisants et poisseux… Il ne faut pas demander pourquoi !
Pour être comblée, j’ai été bien comblée ! Totalement ! Intégralement !
J’aime être la chose de Jean-Paër, sa petite chose. Il sait si bien s’occuper de moi… Mon homme si grand, si immense ! Mon homme ? Ah oui, lequel ? J’ai Paul, j’ai Max et j’ai en prime Jean-Paër qui en vaut presque deux, vu la stature !
Un, deux, trois hommes… pourquoi pas ?
Un premier, plus âgé, un homme mature, cultivé, presque un papa avec qui on est si bien ; un deuxième plus de mon âge, un ami-amant en quelque sorte, avec qui sortir, avec qui folâtrer et se laisser aller à des jeux grisants et piquants ; et enfin un troisième, gros nounours, avec qui on se sent si petite et si en sécurité…
Oui, trois hommes dans sa vie, dans ma vie, c’est bien. Ça ne va pas être évident de les gérer tous les trois, mais qui ne risque rien n’a rien. Tant pis si je passe pour une garce ; au moins je profite triplement de la vie !
Quant à un quatrième, j’ai des doutes ; mais on ne sait jamais…