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Temps de lecture estimé : 9 mn
06/04/14
Résumé:  Tout vient à point à qui sait attendre ! La suite de mes aventures avec mère et fille et la fin de cette série.
Critères:  fh hplusag jeunes fépilée fsoumise hdomine voir photofilm fmast fellation préservati pénétratio yeuxbandés init
Auteur : The sexy squirrel            Envoi mini-message

Série : Marie, Emma et moi (bis)

Chapitre 06 / 06
Sexe, mensonges et vidéo

Résumé des épisodes précédents : Emma, une demoiselle dévergondée mais toujours vierge, est devenue ma soumise par l’entrefaite involontaire de sa mère Marie, qui est aussi devenue mon amante d’un soir. Ma manipulation familiale continue à se mettre en œuvre avec la venue hebdomadaire à mon domicile de la jeune fille pour des séances de formation aux choses de la vie. Celle qui augure que son dépucelage s’effectue sous la télésurveillance d’un invité mystère… (lire, ou relire, les épisodes précédents en cliquant sur le lien de la série)







Avachie sur le canapé, à moins de deux mètres en face de moi, Emma vient de se faire jouir. Il n’y pas eu de cri, juste de petits gémissements traduisant une montée graduelle du plaisir, qui s’est finalement épanoui sur les traits de son visage et s’est exprimé par un profond soupir de délivrance. Les paupières closes, elle caresse encore avec nonchalance son sexe, comme si elle voulait faire retomber progressivement la pression. J’ai les yeux braqués sur cette petite chatte fraîchement glabre, suintante de mouille, dont elle ne me cache rien. Cette chatte qui n’a jamais connu la visite d’un pénis malgré toutes les frasques de sa propriétaire. Et c’est bien ce pucelage qui m’est offert désormais. Je n’ai qu’à me lever, tendre la queue (après ce spectacle, tendue, elle l’est !) et l’embrocher pour me régaler de ce moment rare dans la vie d’un homme.


Sauf que… c’est peut-être un esprit de contradiction très développé, mais j’ai une fâcheuse tendance à dire « noir » quand on veut me faire dire « blanc », à tourner à gauche alors que le GPS m’indique « à droite ». Alors céder simplement à la volonté de Marie de faire de moi l’initiateur de sa fille, cela aurait été bien trop moutonnier pour moi. Une idée un peu folle a germé dans mon cerveau : restituer cette virginité à un ayant-droit légitime. À savoir un de ces anciens petits amis qu’Emma avait baladés sans scrupule, sachant pertinemment qu’elle ne céderait pas à leurs avances, leur concédant l’amuse-gueule mais pas le plat de résistance. Ils devaient être quelques-uns à être restés sur leur faim. Mais comment les trouver ?


Heureusement, les jeunes connectés de cette nouvelle ère numérique n’ont vraiment pas conscience des traces indélébiles qu’ils laissent sur les réseaux sociaux. Leur vie privée s’étale sur des parties plus ou moins accessibles de leurs profils ou ceux de leurs relations. En quelques clics, je dénichais des photos récentes d’Emma visiblement intime avec un certain Raphaël. Un prénom assez rare pour qu’il n’y ait qu’un seul dans les contacts du répertoire téléphonique de la demoiselle (que j’avais récupéré lors de sa première visite chez moi), et que j’obtienne ainsi les coordonnées du garçon.


Je craignais qu’il soit difficile de le convaincre. Par chance, j’étais tombé sur le genre rancunier et il a accepté un rendez-vous immédiat au sujet cette « tassepé » (sic). Je ne lui évidemment pas raconté tous les détails de l’histoire, mais une fois avoir établi ma crédibilité en lui montrant le portrait de son ex maquillée de sperme, il s’est plié sans négocier à toutes les conditions de mon plan. Après tout, comme on dit, Paris vaut bien une messe… et en l’occurrence, « kèn cette bitch » (re sic) ne nécessitait pas de savoir exactement pourquoi je lui en donnais l’occasion, ni pourquoi j’avais certaines exigences.


C’est donc ce fameux Raphaël qui a maté via webcam la séance de masturbation féminine depuis la pièce voisine. Il me voit donc apparaître dans le champ et m’approcher d’Emma pour la repositionner : dos tourné, agenouillée sur le canapé, les avant-bras en appui sur le dossier. Il n’a en revanche pas de micro pour entendre notre conversation :



Elle est surprise :



Emma enfile docilement le masque, du genre que l’on fournit dans les avions pour dormir. Je profite de sa cécité pour me retourner vers la caméra et donner à Raphaël le signal convenu pour son entrée en scène. Il arrive dans la pièce à pas feutrés, marquant un temps d’arrêt quand il découvre la jeune femme en levrette. Il n’en revient sans doute pas d’être passé de l’écran à la réalité, et si sa queue n’était pas déjà au garde-à-vous avec le spectacle auquel il vient d’assister, aucun doute qu’elle vient de bondir dans son caleçon. C’est les yeux rivés sur la croupe offerte qu’il nous rejoint. Je m’adresse autant à lui qu’à elle :



Je donne l’étui à Raphaël. En deux temps trois mouvements, il descend son jean aux chevilles et équipe du préservatif son phallus en pleine bandaison. Emma doit entendre ses gesticulations en étant persuadée que j’en suis à l’origine.

Après avoir caressé délicatement l’entrejambe pour préparer le terrain, je cède la place à mon invité afin qu’il passe à l’action. Il cale son gland à l’entrée du vagin et l’y insère sans délai. Je n’avais pas jugé bon de lui faire la révélation du pucelage de sa partenaire, il ne m’aurait certainement pas cru de toute façon. Et ce n’est pas la résistance d’un hymen inexistant qui stoppe sa pénétration. Je poursuis mon dialogue à double sens :



Mais Raphaël n’en a cure et il plante d’un trait son dard jusqu’à la garde dans un vagissement féminin. Il y a de la revanche dans l’air et j’ai beau essayer de calmer du geste ses ardeurs, il entreprend de la posséder sans ménagement en l’empoignant par les reins. Sous les assauts, elle a enfoui son visage dans le capitonnage du canapé d’où sortent de petits couinements aigus. Je décide alors de me mettre au diapason de mon alter ego et j’attrape la chevelure d’Emma pour lui tirer la tête en arrière. Elle nous fait ainsi clairement part de ses impressions en criant à chaque percussion. Toujours dans le même registre, je lui assène quelques claques sur les fesses dans le tempo de la cavalcade dont je suis spectateur actif. Elle devrait se rendre compte qu’un peu trop de mains s’activent sur son corps, le double du nombre requis pour être précis, mais la vigueur de la saillie ne lui permet certainement pas de tenir cette comptabilité à jour.


J’ai craint un moment que Raphaël, du fait de sa jeunesse, de sa fougue, ne ternisse ma réputation en me collant l’étiquette d’éjaculateur précoce. Au contraire, je suis agréablement surpris par son endurance, peut-être due à une petite branlette préalable devant les images d’Emma se livrant aussi à l’onanisme. Il finit par éjaculer après une dernière rafale de coups de reins bien sentis. Comme prévu, il se dégage rapidement, se refroque et part de chez moi tout aussi incognito qu’il avait quitté sa cachette.


À moi maintenant de rentrer en piste ! Cela doit bien faire trois semaines que cette envie me démange, depuis ce jour mémorable où je suis passé par le jardin de Marie et que j’ai découvert celui secret de sa fille. Je n’ai qu’à la replacer à demi-allongée face à moi. Écarter ses cuisses. Enchâsser mon nœud dans sa fente. M’y enfoncer lentement mais implacablement. Goûter avec délice chaque centimètre de cette pénétration tant attendue. Entamer un méticuleux va-et-vient. Scruter en gros plan les traits d’Emma s’abandonnant au plaisir. Mettre ses chevilles sur mes épaules dans la bien nommée « position de l’enclume ». Planter mon pieu dans le tréfonds de sa matrice. L’entendre s’égosiller. La pilonner jusqu’à ce qu’elle rende grâce. Atteindre moi aussi le point de non-retour pour finir par me répandre en elle comme si la vie me quittait.


Mais problème : un nouveau rapport vaginal ne serait pas en cohérence avec le scénario de cette défloration toute fraîche. On n’arpente pas aussitôt un tel chemin nouvellement défriché. Il me reste l’option d’un dépucelage anal dont je ne sens pas davantage l’opportunité, le plaisir n’allant sûrement pas être au rendez-vous autant pour elle que pour moi. Encore fois, la fellation me paraît être l’alternative idoine. Je passe donc de l’autre côté du canapé, en face d’Emma à qui je retire son masque. Elle recouvre son sens avec la vision de mon sexe présenté comme un sucre d’orge prêt à être dégusté. Le sexe qui est censé avoir fait d’elle une femme…


Elle s’exécute sans regimber, mais un peu trop mollement à mon goût. Peut-être est-ce la virilité vengeresse de Raphaël qui a déteint sur moi, ou bien la frustration de ne pouvoir la sauter une bonne fois pour toutes, car je me mets résolument aux commandes de cette pipe qui se transforme alors en coït buccal, dans une ambiance sonore de gargouillis de salive. Quand je sens ma sève monter, j’affermis ma prise au niveau de ses tempes pour bien caler ma queue entre ses lèvres et je décharge droit dans son gosier. En soumise bien dressée, Emma avale ce qu’elle croit être la deuxième ration de foutre de son maître sans en perdre une goutte. Si ça ne vaut pas un vrai rapport, ça soulage ! Et d’ailleurs, ce n’est sûrement que partie remise puisqu’une fois douchée, rhabillée et sur le point de partir, mon élève très particulière me gratifie d’un prometteur « À la semaine prochaine pour un nouveau cours ! ».


Je n’ai en fait pas à attendre aussi longtemps pour une véritable partie de jambes en l’air. En effet, Marie, dont je n’avais plus eu de nouvelles depuis nos galipettes en automobile, s’invite le lendemain pour un café coquin. Le genre de proposition que l’on ne refuse pas. Pas question ici de mise en scène ou d’apprentissage ; juste deux adultes expérimentés qui font simplement l’amour en cherchant à se donner le maximum de plaisir mutuel. Elle m’apprend d’ailleurs que ce type de rendez-vous est appelé à devenir récurrent, puisque madame est disponible sur ce créneau horaire. Je vois donc avec délice mes week-ends destinés à être consacrés à la bagatelle familiale, le samedi avec la fille et le dimanche avec la mère. Laquelle me fait d’ailleurs promettre que sa progéniture ne sera pas au courant de notre relation. Elle peut bien entendu compter sur mon parfait silence sur l’affaire que j’ai largement contribuée à monter de toutes pièces.




Épilogue



C’était le plan parfait… à un grain de sable près ! Je n’ai pas compris le SMS d’Emma reçu le lundi soir qui me couvrait d’insultes. J’ai même cru au départ qu’elle s’était trompée de destinataire tellement ce brusque virage à 180 degrés était bizarre. Elle me reprochait visiblement quelque chose, et quand je lui ai demandé des explications, elle m’accusa de feindre d’ignorer « cette vidéo que tu as mise sur le web ». Cela devenait d’un seul coup plus clair. J’ai téléphoné dans la foulée à Raphaël qui ne fut pas long à avouer. Étant seul dans mon bureau, il en avait profité pour sauvegarder sur clef USB la séquence où son ex se masturbait face webcam et il l’avait diffusée à ses potes, par pur esprit de vengeance. Mais comme il fallait s’en douter, la vidéo s’était vite échappée du cercle restreint pour être accessible sur des sites en accès public. Je n’ai d’ailleurs pas mis longtemps à la retrouver, ce qui fut certainement aussi le cas d’Emma dès qu’elle eut vent de l’affaire suite à quelques allusions salaces de ses camarades. Heureusement pour elle, son visage y était difficilement identifiable si on ne la connaissait pas et le film allait rapidement sombrer dans les oubliettes du net vu son érotisme assez limité. Pour ma part, je pouvais nier (peu crédible), assumer (en parfait salaud) ou révéler le pot-aux-roses. La facilité de ne rien faire, ou plutôt la lâcheté, l’emporta quand Emma m’annonça qu’elle ne voulait plus jamais entendre parler de moi.


J’appris quelques semaines plus tard par sa mère, avec qui que je continuais de fricoter en toute discrétion, que sa fille s’était remise en couple avec ledit Raphaël. Il avait donc parfaitement réussi à tirer les marrons du feu, et pas que les marrons. Car contrairement à moi qui en avais pourtant eu si souvent l’occasion, il baisait la belle Emma…