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n° 15334Fiche technique19197 caractères19197
Temps de lecture estimé : 11 mn
12/12/12
Résumé:  Maintenant que je connais les tenants et les aboutissants de ma relation avec Emma, je compte bien passer du rôle du manipulé à celui du manipulateur.
Critères:  fh hplusag jeunes fépilée fsoumise hdomine chantage voir fmast fellation pénétratio fouetfesse -initfh -hplusag -fsoumisah
Auteur : The sexy squirrel      Envoi mini-message

Série : Marie, Emma et moi (bis)

Chapitre 05 / 06
Telle mère, telle fille

Résumé des épisodes précédents : J’ai involontairement surpris Emma, la fille de mon amie Marie, en pleine séance de masturbation. Les choses se sont enchaînées jusqu’à ce que je la reçoive chez moi pour une partie de jambes en l’air qui couvait depuis qu’elle m’avait chauffé sans vergogne lors d’un cours particulier à son domicile. Mais la demoiselle m’a alors révélé qu’elle était encore vierge, et que c’était sa mère qui tirait en coulisses les ficelles de sa vie sexuelle en général et de son dépucelage en particulier. J’ai décidé d’y surseoir et de reprendre la situation à mon avantage. (Lire, ou relire, les n° 15072, 15086, 15195, 15217)








Après avoir congédié Emma, il me faut agir vite avant qu’elle ne rentre en contact avec sa mère. Il est en effet essentiel pour la réussite de mon plan que je lui coupe l’herbe sous le pied, et en l’occurrence sous le portable. J’appelle donc Marie dans la minute. J’évalue à une sur deux la probabilité qu’elle me réponde : soit elle préfère attendre le compte-rendu d’Emma et elle me renvoie sur sa messagerie, soit sa curiosité l’emporte et elle prend mon appel. C’est décidément bien un des principaux défauts féminins car après trois sonneries (le temps de la réflexion ?), j’entends sa voix :



Oui c’est bien moi, l’homme qui est censé avoir dépucelé dans la matinée ta fille chérie, guidée par tes doctes conseils… Après les salutations et les prises de nouvelles d’usage, je passe à l’abordage :



Je perçois qu’elle est déconcertée par cette brusque proposition, mais elle réagit en essayant de donner le change :



Je comprends qu’elle tente de temporiser pour savoir ce qui s’est passé chez moi avant de prendre une décision. J’insiste alors lourdement :



Voilà une bonne chose de faite. Dernière précaution, j’envoie à Emma par MMS la photo de son éjaculation faciale comme une piqûre de rappel de notre arrangement, avec ce simple commentaire : « Obéis sinon… »


Lendemain, dimanche, je suis ponctuel au rendez-vous que j’ai fixé. Une belle partie de poker-menteur s’annonce entre Marie et moi à propos de ma relation avec sa fille : elle sait, je sais qu’elle sait, mais elle ne sait pas que je sais qu’elle sait. Faut suivre… Toute la stratégie consiste désormais à la prendre à son propre jeu, puisque c’est moi qui ai les nuts, la combinaison de cartes la plus forte en main. C’est Emma qui m’ouvre. Chaste bise sur la joue droite, je l’interroge dans un murmure :



Toute aussi chaste bise sur la joue gauche, elle me chuchote en retour :



Je la fixe droit dans les yeux, elle ne faiblit pas : elle dit la vérité. Pour faire « comme si » je ne voulais pas éveiller les soupçons, nous rejoignons rapidement Marie dans le salon.


On discute de la pluie et du beau temps, puis vient le moment d’entrer dans le vif du sujet. Je réitère mon offre de soutien scolaire, en l’assortissant d’une condition :



Nous avons tous les trois conscience que je propose à mots couverts qu’Emma fasse une séance hebdomadaire de soumission sexuelle à mon domicile. Mère et fille s’échangent des regards hésitants sur la conduite à tenir, et c’est finalement Marie qui prend la parole :



Je réponds avec un sourire volontairement carnassier :



Je me tourne vers la concernée :



Elle réplique d’instinct, avec presque trop d’enthousiasme dans la voix :



Je sens Marie déstabilisée, la situation lui échappe complètement puisque j’ai mis la balle dans le camp de sa fille. Laquelle cherche malgré tout le consentement maternel :



J’interromps ses tergiversations :



Un ange passe. Elle finit par lâcher :



Mentalement, je coche une case dans la check-list de mon plan.


Nous la laissons ensuite vaquer aux occupations d’une jeune de son âge : réseaux sociaux et autres nouvelles technologies. Elle monte dans sa chambre, j’en profite alors pour lancer ma deuxième offensive :



Marie est légitimement très surprise : jamais il n’a été question d’argent entre nous pour ce service rendu au nom de notre amitié. D’autant plus si on tient compte de la vraie nature de ce service… Je la rassure immédiatement :



C’est donc à moitié soulagée qu’elle accepte pour le mercredi suivant, mais je vois bien qu’elle se demande aussi où diable je veux en venir, sachant que trois jours plus tard je devrai initier sa fille aux choses de la vie. Je laisse planer le doute en prétextant avoir oublié une course à faire pour m’en aller précipitamment.


J’invoque aussi une surcharge particulière de travail pour n’avoir qu’à l’informer par SMS du lieu de notre repas. J’ai volontairement choisi un établissement huppé pour que Marie soit obligée de vêtir une tenue de soirée. Et je ne suis pas déçu du résultat quand je passe la chercher : une robe échancrée juste ce qu’il faut, des talons aiguille à la bonne hauteur, une parure collier et boucles d’oreilles parfaitement assortis, un maquillage du meilleur goût. Si la fille est mignonne, la mère est belle. Je me suis mis également sur mon 31 avec un costume de marque qui fait valoir mon charme naturel. J’en abuse ouvertement tout au long de la soirée : je la drague sans le moindre scrupule mais avec les bonnes manières d’un gentleman. Il faut dire que je me sais en terrain conquis depuis les révélations d’Emma sur l’attirance que ressent Marie pour moi.


C’est donc naturellement que nous finissons par nous embrasser avant de monter dans ma voiture. Je passe à la vitesse supérieure sur le trajet du retour grâce à la boîte automatique qui me libère une main. Mes caresses débutent au niveau du genou et remontent progressivement, pour finir par glisser sous sa robe. Elle ne montre aucune réticence, bien au contraire elle écarte les cuisses afin de faciliter ma progression. Mes doigts atteignent son entrejambe, s’insinuent sous le tissu protecteur, viennent palper les chairs délicates de son sexe. Elle soupire d’aise. Nous nous rapprochons de sa maison, elle s’en aperçoit et prend subitement conscience de la situation :



Je ne sais pas si elle évoque en filigrane mes rapports singuliers avec sa fille, mais moi je joue l’innocent :



J’avise une ruelle déserte et je m’y gare dans le recoin le plus obscur. Une fois le moteur coupé et les phares éteints, un calme olympien nous entoure. Je détache ma ceinture de sécurité et j’incline mon dossier en arrière. Je pense à haute voix en me calant confortablement dans mon siège :



Après quelques secondes d’attente, j’entends la boucle de la ceinture de Marie se déclipser également. Puis elle s’incline vers moi pendant que ses mains s’activent sur ma braguette. En même temps que mon pénis émerge, elle en gobe le gland. Ses lèvres suçotent, sa langue tournoie, cette pipe s’accompagne par un va-et-vient de son pouce et de son index sur la hampe. Centimètre par centimètre, elle embouche ma queue dont l’extrémité vient désormais cogner contre sa luette. L’instant magique se produit : avec une technique digne de la meilleure avaleuse de sabre, elle fait glisser le membre dans son pharynx et l’ingurgite dans sa totalité. Je ne peux qu’acquiescer l’initiative en râlant de satisfaction pendant qu’elle se maintient en apnée un court instant, le nez planté dans mes bourses. Elle réitère l’opération « gorge profonde » à plusieurs reprises, et je me dis alors qu’Emma a encore quelques leçons de fellation à prendre auprès de sa mère pour espérer pouvoir l’égaler. Il faut d’ailleurs que je demande à Marie de stopper la gâterie sous peine d’une éjaculation que je jugerais quelque peu précoce.


Elle y consent mais nous ne restons pas pour autant inactifs : d’un commun accord tacite, je me dégage du duo pantalon/boxer tandis que de son côté elle se débarrasse de sa culotte. Elle m’enjambe en remontant sa jupe sur son ventre et vient s’empaler sans autre forme de procès sur ma verge droite comme un I, ointe de sa salive. Au diable le préservatif, nous sommes entre deux grandes personnes responsables ! Nous gémissons de concert tout le long de la pénétration jusqu’à ce qu’elle soit assise sur mes cuisses, face à moi, embrochée jusqu’à la garde. Nous scellons le moment par une pelle langoureuse.


Le mouvement de tangage démarre. J’ai juste sous le nez sa poitrine généreuse que je dénude pour y plonger mon visage. Marie semble apprécier mes mordillements, mes léchages, mes tétées, à entendre ses miaulements de plaisir. C’est à son tour de me faire décoller en m’infligeant un délicieux massage interne de ma queue, juste en jouant sur les contractions de ses muscles vaginaux. On sent vraiment l’amante confirmée ! Nous finissons en accélérant la cadence du coït, donnée par mes mains posées sur ses fesses couplées à ses déhanchements. Sa jouissance provoque la mienne, à moins que ça ne soit le contraire. Une fois remis de nos émotions et rhabillés, je la reconduis à son domicile. Après un dernier baiser d’au-revoir, Marie croit bon de me préciser :



Je ne comptais de toute façon pas lui annoncer que je m’envoyais en l’air avec sa maman. Mais voilà un nouveau coup de canif que mon plan provoque dans le contrat de confiance qui lie les deux femmes.


Je ne revois pas Marie avant le samedi fatidique, je reçois juste un message de sa part me remerciant pour la soirée. Je réponds tout aussi simplement que ce fut un plaisir partagé. Rien de compromettant… Peut-être n’est-elle pas très à l’aise de « tromper » sa fille. Laquelle débarque chez moi avec dix minutes de retard, le temps de craindre que tout ne soit tombé à l’eau. Bien au contraire, Emma badine dans une tenue pour le moins affriolante : mini-jupe en jean au ras des cuisses et tout aussi mini tee-shirt jaune au ras du nombril. Je m’en vais doucher son enthousiasme, histoire de lui rappeler qui est le maître ici :



Elle se fige sur place, baisse les yeux en rougissant et finit par me demander pardon. Je ne prends même pas la peine de le lui accorder. Je poursuis dans la même veine :



Elle s’exécute comme un automate, il faut dire que mon ton ne souffre aucune contestation. J’ordonne encore :



Elle s’incline davantage et vu la petitesse de sa jupe, son cul pointe désormais divinement, presque intégralement nu car elle a enfilé un string dont la ficelle se perd dans la raie. Même si le spectacle est ravissant, je ne perds pas l’occasion de lui adresser encore un reproche :



Docilement, Emma saisit les bords du sous-vêtement, le fait descendre le long de ses jambes et reprend immédiatement la pose exigée. Elle doit certainement attendre la fessée promise.


Je me dirige en effet vers elle mais c’est pour ouvrir le tiroir central, placé en dessous de son buste. Elle ne peut donc pas manquer que j’y prends une cravache que j’ai achetée la veille dans une grande surface de sport. La caissière n’a pas dû se faire beaucoup d’illusions sur ma pratique réelle de l’équitation en me voyant acquérir ce seul ustensile, mais je ne dois certainement pas être un cas isolé. N’étant pas sadique de nature, je n’ai aucune intention de fouetter ma soumise, je veux lui faire croire que je pourrais le faire. D’ailleurs, je sens bien qu’Emma s’est tétanisée de frousse en voyant l’objet de dressage.


Je repasse derrière elle et je flatte son postérieur frémissant avec l’extrémité de la cravache. Quand le morceau de cuir atteint l’aplomb de son anus, je lui demande :



Ses mains empoignent les hémisphères et les disjoignent. Sa rosette toute plissée apparaît au grand jour. Je la tapote en devisant :



En réalité, la sodomie n’est pas ma tasse de thé, et encore moins quand il faut ouvrir la voie, mais je m’amuse à tester les tabous d’Emma. Elle réagit par une protestation inarticulée. Apparemment elle n’est pas encline à être enculée dans un proche avenir. Je la reprends aussitôt :



Elle obéit et repose ses paumes sur le meuble. Une chiquenaude sur l’entrecuisse lui commande de me livrer le plein accès à sa vulve. La claquette joue délicatement avec ses grandes lèvres, les entrebâillant, y tambourinant. Comme je ne maîtrise pas bien la puissance de l’objet, je prends soin de ne pas toucher au clitoris. Il n’empêche que cela suffit à la faire mouiller. Cette fille est une vraie pile érotique ! J’insère la tige dans la longueur de sa fente et je l’y fais coulisser aisément grâce à sa lubrification naturelle. Emma couine en se frottant comme une chienne en chaleur. Je ne manque pas de lui en faire la remarque :



Je la cornaque vers l’endroit indiqué où elle s’assied, et je m’installe sur un fauteuil, tourné exactement en face d’elle. D’une voix effarouchée, Emma me demande :



Mon silence et mon regard réprobateurs valent réponse, comme si elle me faisait perdre mon temps avec ses interrogations. C’est suffisant pour qu’elle obtempère : elle ôte sa jupe, remonte ses pieds sur le coussin, ouvre le vantail de ses jambes et s’allonge à moitié dans le sofa, m’exhibant dans ses grandes largeurs sa chatte qu’elle a finalement épilée en intégralité.


Ses doigts se mettent à naviguer dans les replis de son intimité, d’abord timidement, puis avec plus d’intensité au fur et à mesure que la pudeur l’abandonne et que le plaisir la gagne. Elle n’hésite plus à en enfoncer un dans sa grotte, rejoint rapidement par un second. Son autre main s’active plus haut, sur la zone clitoridienne. Ça branle, ça fouille, ça clapote, ça gémit. Les yeux mi-clos, Emma est partie dans ses pensées polissonnes. Moi je les garde bien fixés sur elle, guettant attentivement le moment où son orgasme poindra. Et je présume que dans mon bureau, sur mon écran d’ordinateur par l’intermédiaire de la webcam qui filme secrètement la scène depuis la bibliothèque derrière moi, mon invité mystère n’en perd pas non plus la moindre miette…