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Temps de lecture estimé : 14 mn
23/04/14
Résumé:  Sandra va chez son médecin, mais celui-ci est remplacé par une jolie blonde.
Critères:  ff médical cunnilingu anulingus 69
Auteur : Love Doctor  (Homme de 50 ans amateur de femmes et de récits érotiques)

Série : Sandra

Chapitre 01 / 04
Sandra rencontre une jolie remplaçante

Assise dans la salle d’attente de mon médecin, je me retenais de fusiller des yeux l’homme assis en face de moi. Depuis son arrivée, il n’arrêtait pas de me mater de manière si peu discrète que j’avais facilement capté son regard de mec imbu de lui-même. Costume de VRP, clés de sa BMW ostensiblement posées sur la table, il était tout ce que je détestais. Pourtant, je ne détestais pas les hommes, loin de là ; ni les femmes, d’ailleurs ! Mais depuis mon adolescence, j’avais compris que la nature m’avait dotée d’un physique qui me permettait de choisir mes complices de jeux sexuels. Et mon voisin d’en face n’en ferait jamais partie !


Il restait deux personnes avant moi et je décidai de m’amuser un peu ! N’ayant pas eu le temps de passer chez moi pour me changer, je portais encore ma tenue de travail. Rassurez-vous, j’étais plus que présentable, car bossant pour une grande marque de lingerie, je me devais d’être élégante, voire sexy.

Mon voisin avait donc une vue magnifique sur mes jambes bronzées à peine cachées par une jupe grise assez courte assortie à une veste de tailleur. Mes genoux étant croisés, il ne pouvait pour le moment rien deviner de mes dessous. « Allez, jouons un peu ! » Faisant mine de me lasser de ma revue, je l’échangeai contre une autre posée sur la table basse, et mon voyeur eut tout le loisir de jeter un coup d’œil dans mon décolleté.


À voir son air ébahi, j’en déduisis que mon 95C sous mon chemisier lui faisait de l’effet. Satisfaite de ma nouvelle lecture, « j’oubliai » de reprendre ma position initiale, et le tableau fut bientôt complet : je sus à sa bouche pendante qu’il avait aperçu mon string… Je m’amusai durant plusieurs minutes, imaginant avec un certain sadisme son inconfortable érection contenue dans son pantalon.


Prenant un malin plaisir à l’allumer, je n’avais pas remarqué qu’au lieu de la voix masculine de mon médecin habituel, c’était une douce voix féminine qui raccompagnait les patients à la porte ; et je fus donc surprise de serrer la main à une jolie femme lorsque ce fut mon tour. Blonde, les yeux bleus, cheveux au carré, elle devait avoir au maximum 30 ans. Elle était charmante, même si une blouse blanche très stricte m’empêchait de voir ses formes. Remise de ma surprise, je lui évoquai rapidement le motif de ma visite : inscrite pour une course à pied, j’avais besoin d’un certificat d’aptitude au sport en compétition.


Elle étudia mon dossier dans l’ordinateur, me posa quelques questions puis me demanda poliment de me dévêtir. Pour essayer d’être drôle, je lui demandai :



Avec un sourire amusé, elle répondit :



Sans lui faire perdre de temps, je fus rapidement en dessous : soutien-gorge et string de tulle blanc furieusement sexy, mais pour le moment cet argument de vente était inutile. Quoique… Habituée à débusquer les regards de mâles en rut, je fus surprise de voir que la jolie médecin avait laissé traîner son regard sur mes formes un peu plus longtemps que la morale l’aurait voulu. Un peu de rose aux joues m’indiqua que cette jeune femme me jaugeait, mine de rien. Malheureusement, le reste de la consultation ne me confirma pas mon intuition féminine, et mes tentatives pour croiser son regard restèrent vaines. Elle était très pro et son examen clinique n’avait aucune connotation sensuelle. Légèrement déçue, je me rhabillais lentement tandis qu’elle rédigeait le fameux certificat.



Dehors, un soleil éclatant m’éblouit. « S’il fait ce temps-là pour la course, ce sera top ! »



oooOOOooo



Après 55 minutes d’efforts sous le soleil, je reprenais mon souffle. Pour mes premiers 10 kilomètres, j’étais assez fière de moi et mes amis me félicitaient chaleureusement. Beaucoup de monde à l’arrivée : j’avais du mal à ne pas être étourdie au milieu des coureurs, de leurs amis, de leur famille et des spectateurs anonymes. Je croisais quelques regards amis auxquels je répondais par un sourire. Mais aussi quelques coups d’œil plus intéressés par ma silhouette que par ma performance. Il faut dire que le short noir moulant et le débardeur bleu ne passaient pas inaperçus. Cet ensemble conçu pour le running mettait en valeur sans aucun doute mes jolies fesses et ma poitrine. Désolée d’être sexy ! Tout en bavardant avec mes amis, je sentis une main tapoter mon épaule tandis qu’une voix douce me disait :



Me retournant, je découvris une jolie blonde que je mis quelque secondes à reconnaître. La charmante remplaçante en tenue de sport !



Rires partagés et notre conversation se poursuivit banalement. Tout en bavardant, je pus la regarder, découvrant ce que la blouse cachait lors de ma visite : jambes fuselées, taille fine et petits seins : l’ensemble était tout à fait à charmant. Si charmant que je n’avais pas envie de mettre fin à notre conversation, ni elle d’ailleurs, si bien qu’en me retournant je vis que mes amis, sans doute lassés, avaient disparu.

J’eus alors une moue dépitée qui fit sourire mon interlocutrice. Charmant sourire qui me poussa à poursuivre notre dialogue et à lui demander son numéro de portable afin de courir ensemble un jour si le cœur lui en disait. À ma grande surprise, elle accepta de suite et je le notai sur un papier.



Avec un sourire désarmant, elle ajouta mystérieusement :



Elle tourna les talons et je pus ainsi admirer sa jolie paire de fesses tandis qu’elle s’éloignait. Joli petit lot !



oooOOOooo



La semaine qui suivit fut très occupée et je n’eus pas le loisir de téléphoner à Delphine, même si je pensais parfois à elle, me posant pas mal de questions : mariée ? Hétéro ? Bi ? Ou simplement sportive à la recherche d’une partenaire pour le running ? Le vendredi soir, j’étais au restaurant avec ma bande d’amis habituels lorsque je reçus un texto. D’un œil distrait je regardai qui était « l’intrus ».


Hello. Ok pour un footing demain ? Delphine


Je souris, amusée, si bien que mes amis pensèrent à un flirt. Sous leurs remarques pleines de sous-entendus, je répondis :


Avec plaisir ! Heure ? Lieu ?

10 h ? Bord du lac ?

Super ! À demain !


Durant le reste de la soirée je n’étais pas trop présente dans les conversations que j’animais habituellement. Mon air rêveur faisait dire à mes amis que l’auteur des textos devait avoir un sacré charme pour captiver mon esprit de la sorte. En un sens, ils n’avaient pas complètement tort…


Le lendemain, Delphine en tenue de running sobre m’attendait, souriante, près du bar de la plage, fermé en cette saison. La bise fut naturelle comme deux amies qui se retrouvaient. Une blonde aux yeux bleus et une brune aux yeux sombres. Le contraste parfait ! D’une foulée légère, nous entamâmes un parcours près de l’eau, croisant peu de monde en ce samedi matin. Le rythme était paisible, propice à une discussion anodine mais agréable. Des sourires discrets et des regards francs me laissaient penser qu’elle se sentait aussi bien que moi. Le temps passa trop vite et on se retrouva en moins d’une heure au point de départ. Nos étirements nous permirent de prolonger notre complicité. N’osant pas briser le charme de cette matinée, je redevenais timide, moi la dévoreuse de mecs – et de femmes, parfois.



Surprise, je mis quelques secondes avant d’accepter presque brutalement :



Son sourire m’aurait fait changer d’avis sur le champ si jamais j’avais eu l’idée saugrenue de refuser cette invitation.



Cette phrase me troubla tant que je partis sans lui demander son adresse, ni l’heure. Cette nana me faisait perdre pied !


7 boulevard X. 12 h ? me rappela un texto dans la foulée.

OK


La douche me fit un bien fou, détendant les muscles et faisant évacuer la tension qui me nouait le ventre depuis hier. Cette fille me rendait dingue et mon corps réagit sous l’eau à la seule pensée de passer un moment ce midi avec elle. Je me savonnai lentement, partout, vérifiant bien dans le miroir en face de la douche que mon épilation était parfaite. On ne sait jamais…

Devant ma penderie, le choix fut facile : le hasard faisait que l’ensemble que je portais le jour de la consultation médicale était propre et sur le dessus de la pile. Je passai donc le string en tulle et le soutien-gorge assorti. Un pantalon de toile claire et un tee-shirt en V complétaient ma tenue. Vingt minutes plus tard, Delphine ouvrait sa porte, et le bouquet de fleurs que je lui tendis la fit largement sourire.



Je passai devant elle pour découvrir un appartement clair avec une grande baie vitrée donnant sur une terrasse où la table était déjà dressée.



Je choisis d’aller sur la terrasse pour profiter du ciel bleu et de la vue sur les montagnes. Elle me rejoignit avec des boissons diverses et variées sur un plateau, le soleil illuminant son magnifique sourire.



Elle servit deux verres de jus d’orange.



Nos verres s’entrechoquèrent tandis que nos yeux se souriaient. J’étais bien en sa compagnie, mais me faisais-je des films ? Etait-elle également attirée par les femmes ou juste sympa ? La conversation d’abord banale prit ensuite un caractère plus personnel. Nos vies se ressemblaient a priori : célibataires, professionnellement actives, sportives. Pour les préférences sexuelles, je me voyais mal lui poser la question de but en blanc ! Nous grignotâmes tranquillement au soleil, conscientes que le repas était juste le prétexte pour passer un moment ensemble. Après le café, Delphine posa les pieds sur la table basse et dit :



Son regard brilla.



Elle se leva et m’entraîna à l’intérieur.



Tandis qu’elle allait chercher une huile parfumée, je me demandais à quel jeu elle jouait. Massage sportif ? Massage sensuel ? De retour dans le salon, elle me sourit :



Devant mon air étonné elle me rassura :



Souriante, elle me tendit l’huile et s’installa sur le canapé, jambes repliées.



Les mains huilées, je commençai par lui palper doucement les mollets, sans trop appuyer, ses muscles roulant sous mes doigts. Les yeux fermés, elle profitait de mes soins en silence. Je l’admirai en cachette : en jupe courte et tee-shirt moulant, elle était à croquer. J’adorais son look sportif tout en restant féminine et sexy. Je m’appliquais dans mes massages et a priori je ne devais pas me débrouiller trop mal, car Delphine se détendait au fil des minutes. Sa jupe glissa un peu, me permettant ainsi d’apercevoir un string de dentelle blanche. Toujours les yeux fermés, elle me demanda d’une voix douce de lui masser les orteils. J’obtempérai, et l’effet fut radical : elle lâcha des petits gémissements troublants, ses pieds venant à la rencontre de mes mains. La coquine prenait son pied ! Je faisais glisser langoureusement ses orteils huilés entre mes doigts, prenant également du plaisir dans ces caresses inédites pour moi. Elle ouvrit les yeux, le regard ailleurs.



Taquine, je retirai mes mains en souriant :



Les yeux rieurs, elle poursuivit :



Je me levai pour aller me laver les mains, essayant de me donner une contenance, consciente du terrain glissant où l’on s’engageait. En revenant au salon, Delphine avait gardé la même position et me dévisageait.



Je souris :



En un pas, elle fut contre moi et je ne pus la retenir. Sa bouche se posa tendrement sur la mienne et sa langue, loin d’être timide, se faufila entre mes lèvres. Un baiser au goût de café lança un ballet sensuel. Son corps souple et fin se colla contre le mien plus lourd, et je la laissai découvrir mes formes avec délice. Rapidement, ses mains remontèrent vers ma poitrine, empaumant mon tee-shirt avec douceur.



Lentement, sans la quitter des yeux, j’ôtai mon tee-shirt, lui révélant mon soutien-gorge bien rempli puis, dans le même mouvement, défis mon pantalon qui tomba à terre. Debout, sûre de mon charme, je m’exhibais dans les mêmes dessous que lors de ma visite médicale. Delphine ne disait plus rien, mais son regard parlait pour elle. Les yeux pleins de désir, elle m’imita pour se retrouver en string et soutien-gorge de dentelle blanche.



Je pris sa main pour la suivre dans sa chambre où un grand lit nous accueillit bientôt. Allongées, silencieuses, nous nous faisions face, mes doigts courant lentement sur sa hanche. Je la sentais sur la défensive et cela m’interpellait. Allait-elle me bâcher maintenant alors qu’elle m’avait allumée ? Allait-elle me dire qu’elle avait une copine, ou pire, un mari ? Je lui souriais pour la mettre en confiance et elle se lança.



Elle sourit timidement et continua son plaidoyer :



Lentement, je passai sur Delphine pour l’embrasser. Nos corps s’emboîtèrent sans difficulté, cuisses mêlées, seins et pubis se frottant langoureusement. La belle embrassait bien, et notre excitation reprit de plus belle. Elle caressait mes fesses laissées libres par le string tandis que je lui ôtai son soutien-gorge. Deux adorables petites pommes apparurent, déjà dressées par nos préliminaires ; et, ne voulant pas commettre la même erreur que sa première maîtresse, je décidai de prendre mon temps. Libérant sa bouche, je souris et surpris cette jolie blonde qui me regarda presque apeurée.



Un peu soulagée, elle se détendit et je repris mes caresses, frôlant ses seins qui réagirent de suite. Delphine soupira doucement en fermant les yeux, telle une enfant qui avait besoin d’être rassurée, mais je la sentais manquer de confiance en elle en cet instant. D’une voix douce, je la flattai.



Un sourire se dessina sur son visage, toujours les yeux fermés.



Elle gémit, sensible à ces mots dont je n’avais pas l’habitude non plus. Tenant mes promesses, ma main frôla les pointes qui se dressèrent davantage. J’adorais ce contact doux et dur à la fois sur sa poitrine ferme et douce comme je les aimais. Doucement, je pressai ses globes, faisant réagir ma belle blonde toujours passive. Ma bouche frôlait maintenant un sein pour bientôt lécher son téton rugueux. Les yeux fermés, je profitai aussi de cette sensation qui rendait l’amour au féminin si intense, imaginant à cet instant tenir son clitoris entre mes lèvres. Elle sentit mes caresses différentes et gémit de plus belle. Ma bouche jouait maintenant avec son sein, multipliant les sensations à travers son corps qui se tendait. Mais bientôt Delphine se libéra de mon étreinte et, les yeux brillants, se redressa pour défaire mon soutien-gorge. Ma lourde poitrine apparut et je lus dans son regard une gourmandise de bon aloi !



Les yeux dans les yeux, je compris que Delphine était un trésor dont personne n’avait encore trouvé la clé. Reprenant l’initiative, je m’allongeai sur elle, mettant en contact pour la première fois nos poitrines nues. Mes seins lourds écrasaient ses petites pommes, et ces caresses mammaires firent gémir ma jolie blonde. Ma bouche reprit possession de la sienne pour un baiser prolongé, profond et sensuel tandis que mes mains flattaient ses hanches. Notre ballet dura de longues minutes, puis ma bouche prit le chemin de ses seins pour des attentions plus prononcées. Delphine gémit tandis que j’aspirais ses petites pointes, restant à la limite entre plaisir et douleur aigue lorsque mes dents se faisaient taquines.


Ses cuisses écartées appelaient ma main ; son string fut bientôt la cible de mes doigts. D’abord légers, ils se firent plus présents lorsque je sentis le bassin de Delphine onduler sensuellement. Le tissu était chaud, moite, et cachait a priori une toison peu fournie. Une toison de vraie blonde, le fantasme de tout homme, allait bientôt se révéler à ma vue. D’un geste naturel, mais terriblement sensuel, elle replia les jambes pour faire glisser elle-même ce sous-vêtement sexy mais désormais superflu.


Delphine était nue, superbe, et s’offrait à mes regards avec une candeur désarmante. Son regard cherchait encore mon approbation ; sans un mot, je la rassurai d’un sourire tendre. Elle se détendit aussitôt puis ferma les yeux. Je l’embrassai à nouveau brièvement, puis mes lèvres reprirent leur cheminement érotique. Cou, seins, nombril, elles approchaient lentement mais sûrement du Graal. Delphine gémissait, sentant venir le contact sans aucune comparaison possible d’une bouche féminine sur un sexe féminin. Sensation inégalable que toute femme devrait expérimenter au moins une fois dans sa vie. Je pris furtivement du recul pour admirer son sexe blond, peu fourni mais élégamment entretenu. Lèvres fines roses et capuchon du plaisir à portée de bouche. Mon cœur battait à 200 à l’heure. Lentement, ma bouche frôla son sexe, déclenchant un cri aigu qu’elle masqua de sa main. Un baiser léger sur son antre trempé fut le prélude à des caresses douces mais décidées, attentives mais expertes. Je débusquai rapidement son clitoris qui accueillit ma langue avec un bonheur sonore. Je jouais avec cette crête de chair, modulant la sonorité de ses gémissements. Je détenais la clé de son plaisir et la faisais languir avec un bonheur perfide. Delphine se cambra, appuyant sur ma tête pour approfondir ma caresse. Complice, j’enfouis une langue ferme au sein de son vagin, léchant les parois rugueuses et sensibles. Tel un petit sexe, ma langue la fouillait avec application et elle ondulait sous mes caresses. La belle était à moi en cet instant !

Lentement, je lui fis replier les cuisses pour admirer ses adorables fesses. Elle gémit, comprenant ce que je voulais d’elle. Les mains sous les genoux, elle maintint la position tandis que ma langue quittait son sexe pour apprivoiser son petit trou. Delphine manifesta son plaisir de plus belle. La coquine aimait la feuille de rose, et cela tombait bien car cette caresse me rendait dingue aussi ! Je sentais le tulle collé à mon sexe lisse et je n’en pouvais plus non plus. Bouche collée à son petit cul, je déplaçai le reste de mon corps pour offrir mon string à portée de sa bouche. Avec douceur, elle le fit glisser pour plus de parité : pas de jalouse, nous étions nues toutes les deux ! Elle ne fut pas longue à m’imiter, et c’est avec douceur qu’elle lécha mes lèvres pour rapidement prendre mon clitoris « en main » ! Mes gémissements rejoignirent les siens et nous débutâmes un 69 terriblement sensuel et sonore, mais également légèrement frustrant pour moi car je ne voyais plus le visage d’ange de ma nouvelle conquête. Pour une première fois, je voulais une communion totale ! Tentant de garder le contrôle de mon corps et du sien tout en maintenant notre excitation, je poursuivis mes caresses de longs instants puis, sentant approcher le point de non-retour, je me dégageai un peu trop vivement pour Delphine.



Un baiser puissant au goût salé la rassura, et elle comprit en quelques instants ce que je désirais. Avec un sourire coquin, elle ouvrit le compas de ses cuisses tandis que je faisais de même. Quelques instants plus tard nos sexes étaient en contact, déclenchant en nous des ondes de plaisir. Elle ferma les yeux tandis que nos bassins commençaient de lentes ondulations.



Elle obéit, et son regard ne quitta plus le mien tout au long de cette danse des corps terriblement excitante mais légèrement inconfortable. D’une main, j’empaumai un de ses seins pour agacer cette pointe dressée. Delphine gémit de plus belle et me rendit la pareille, palpant avec douceur ma lourde poire légèrement tombante malgré mon excitation. Bientôt les mouvements se firent plus amples, plus saccadés, et des bruits humides complétèrent le tableau. En appui sur nos mains, nous jetions notre bassin à la rencontre de l’autre, et ce fut presque une jouissance simultanée lorsque Delphine me précéda de quelques secondes, criant son plaisir sans retenue, son regard troublé braqué dans le mien.


Sur le dos, en sueur, le souffle court, nous étions ailleurs et ici à la fois. Nos doigts se cherchèrent et s’unirent comme un symbole fort scellant notre complicité.


À cet instant, je sus qu’une belle histoire pouvait commencer.