n° 16168 | Fiche technique | 41684 caractères | 41684Temps de lecture estimé : 23 mn | 01/05/14 corrigé 10/06/21 |
Résumé: Ils ont fait connaissance dans un TGV d'affaires et commencé à nouer une relation qui leur fait découvrir des plaisirs dont les avaient tenus écartés leurs mariages conventionnels. Ils viennent de se retrouver dans une chambre d'hôtel. | ||||
Critères: fh couple fdomine hdomine | ||||
Auteur : Cedral |
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Résumé des épisodes précédents :
Jérôme et Hélène ont fait connaissance dans un TGV d’affaires et commencé à nouer une relation qui leur fait découvrir des plaisirs dont les avaient tenus écartés leurs mariages conventionnels.
Ils viennent de se retrouver dans une chambre d’hôtel.
Elle était face à lui dans ce grand fauteuil, les jambes repliées au-dessus des accoudoirs. Il lui avait relevé sa jupe et avait à sa disposition toute la zone comprise entre le haut des bas, quelques centimètres de peau, la culotte et la ceinture de la jupe relevée.
Après lui avoir enlevé chemisier et soutien-gorge, il lui demanda de croiser ses mains derrière sa nuque. Il appréciait en effet tout particulièrement cette situation où la femme, sans être le moins du monde entravée, était néanmoins totalement soumise, presque de sa propre volonté. Les mains, immobilisées, n’étaient disponibles pour rien. Ni pour ces petits gestes de fausse pudeur qui visent souvent, dans des mouvements incontrôlés, à masquer telle ou telle partie de l’anatomie et qui conduisent une femme à tenter de cacher ses seins, ou un homme de masquer son sexe. Il n’y avait là, au contraire, que le corps de la femme, à regarder dans sa nudité, à caresser selon son bon plaisir, à sentir tendu et prêt à vibrer, à solliciter ici et là. Ce n’était pas nouveau : il appréciait beaucoup ses aisselles et il en avait ainsi une vue très ouverte. Il passa de bons instants avec ses tétons, honorablement durcis, avec lesquels il joua un peu avant de remarquer quelques poils pubiens qui dépassaient de la culotte. C’était une invite à prendre les bords de la culotte avec ses mains et à les tirer vers le haut, générant un mouvement de fort frottement du tissu sur les chairs ouvertes de sa maîtresse. Il aima le souffle qu’il sentit s’accélérer et la langue qu’elle passait sur sa lèvre supérieure dans un mouvement bien connu et très sensuel qui attestait de l’arrivée et de la montée du plaisir…
L’autorisant ainsi à quitter quelques instants le fauteuil pour procéder à l’opération. Il en profita pour lui-même se déshabiller.
Ils se réinstallèrent comme précédemment dans ce fauteuil massif et confortable : lui bien assis au fond du fauteuil ; elle face à lui, les cuisses écartées en appui sur les deux larges accoudoirs, les mains croisées derrière la nuque.
Il lui caressa doucement les lèvres de chacun de ses dix doigts. Elle les avait douces et sensuelles et il aimait, comme elle, que les doigts s’y promènent lentement.
La proposition était superbe. Elle n’hésita pas très longtemps et choisit l’index de la main droite qu’elle suça avec belle application. Il la regarda faire quelques minutes avant de le retirer, d’en caresser tout doucement le dessous des aisselles, qu’il crut sentir tressaillir imperceptiblement, de solliciter longuement les tétons, déjà durs. Le doigt descendit alors tout doucement, tout doucement, passa sur le nombril et arriva à la toison qu’il parcourut lentement. Un retour rapide dans sa bouche, pour en avoir lui-même un premier goût qu’il fit ensuite partager par Hélène, avant une nouvelle, douce et lente lubrification.
Le doigt joua alors avec ses lèvres intimes et il tint absolument, en même temps, à l’embrasser profondément. Leurs bouches se ventousèrent longuement et leurs lèvres et langues se mélangèrent tandis que son doigt s’occupait de ses lèvres inférieures. Elle résista longtemps devant le plaisir qui montait ; mais au bout de quelques séquences comparables, elle ressentit la montée inexorable d’un orgasme de bien belle facture. Il la regarda avec un beau sourire tellement elle lui parut dans la plénitude de sa féminité.
Il la laissa se reposer quelques instants et se fit glisser jusqu’à ne plus avoir, lui, que le haut du buste et la tête sur le siège du fauteuil. Il la fit descendre des accoudoirs de sorte qu’elle était agenouillée face au dossier du fauteuil. On l’aura compris : son sexe appuyait directement sur la bouche de Jérôme. Un peu oppressé, il était néanmoins en bonne position pour goûter Hélène, et son sexe, de manière longue et voluptueuse. Il le fit avec gourmandise, avec sa bouche et ses propres lèvres, avec son nez, avec sa langue surtout. La femme au-dessus de lui était goûteuse et juteuse. Elle montait et descendait de manière régulière même si parfois elle s’arrêtait, complètement appuyée sur la bouche de Jérôme, et s’y frottait très lentement et le plus profondément possible.
Les coudes écartés, les aisselles libres, les seins disponibles, les cuisses ouvertes et en appui sur les accoudoirs du fauteuil, les jambes repliées, Hélène offrait son sexe à l’appétit de son amant. Elle gémissait tellement qu’elle ne tarda pas à atteindre un nouveau, bruyant et bel orgasme. Jérôme était toujours en appétit. Il arrêta pour quelques instants le travail de son visage, aida Hélène à se relever du fauteuil, partagea avec elle un très profond baiser qui lui fit se goûter complètement. Elle en émit un petit frisson, bien agréable. Sans un mot, parce qu’il n’était pas arrivé, lui, au bout de ses émois, il décida de la positionner très calmement au milieu de ce lit non défait. Il l’allongea sur le ventre, la mit à quatre pattes, la plaça en appui sur les avant-bras afin qu’elle soit en situation très stabilisée et plutôt reposante, lui écarta un peu les cuisses. Cette femme mûre et élégante, qui venait, deux fois déjà, de connaître un grand plaisir et de vibrer de tout son corps par la bouche de Jérôme était complètement offerte sur ce lit confortable, sa croupe en l’air au milieu de cette chambre.
Il estima à juste titre n’avoir plus de préliminaires à effectuer et se plaça dans l’alignement de son sexe. Lui prenant les hanches dans ses mains, il ajusta les sexes dans l’exacte position qui en faciliterait l’emboîtement imminent. Il sentit la femme frémir un peu. Il pencha un peu son torse pour que ses mains puissent empaumer les seins ballottant de sa partenaire.
C’était le début d’un nouveau long moment de va-et-vient. Il pénétra très lentement la femme agenouillée. Le sexe dur de Jérôme longea doucement les parois internes de celui d’Hélène, s’en retira avant d’y retourner. En l’entendant gémir de plaisir, il coulissait en elle jusqu’à en toucher le fond. Elle atteignit un nouvel orgasme qui le conduisit de son côté à ralentir un peu son rythme avant de le reprendre avec plus de vigueur jusqu’à ce qu’enfin ils atteignent simultanément, en criant, l’orgasme attendu.
Ils étaient tous les deux satisfaits, et repus, de ces premières heures de corps-à-corps au cours desquelles ils avaient pu donner libre cours à leurs désirs et leur imagination. C’était un moment de répit bien mérité qu’ils prirent ensemble dans le lit ouvert. C’est elle qui prit l’initiative de sortir de cet instant de torpeur et de calme insolite, mais nécessaire. Elle le fit d’une manière étonnante et douce qui ne laissait toutefois pas la moindre possibilité de s’y soustraire.
En aurait-il eu envie – ce qui n’était pas le cas – il comprit au ton étonnamment calme mais directif, comme impersonnel, qu’il n’y avait pas là possibilité de discuter. Et que c’était un juste retour des choses dans le cadre de leur « partenariat » tout récent, non écrit mais accepté et équilibré, pour le plaisir de tous les deux.
Il s’acquitta donc de cette mission en s’interrogeant sous la douche chaude sur les intentions de sa partenaire qu’il allait bientôt découvrir.
De retour dans la chambre, une grande serviette enroulée autour de la taille, il retrouva Hélène vêtue d’un de ces peignoirs doux que les chaînes d’hôtels mettent à disposition de leurs clients. Elle avait remis sa culotte et ses escarpins et était assise dans le grand fauteuil de la chambre.
Il s’exécuta bien sûr sans difficulté mais fut surpris de voir sa virilité reprendre instantanément une grande vigueur à l’écoute de cette pourtant bien modeste sollicitation.
Elle aima regarder Jérôme qui préparait le thé, avec application, le sexe dressé et manifestement dur. Elle l’observait avec une belle admiration en se demandant silencieusement la manière dont elle allait le solliciter. Elle aima, assise et directive, être servie par l’homme docile et debout. Elle apprécia, entre deux gorgées de thé chaud, caresser tout doucement ce membre au garde-à-vous, comme prêt à obéir aux premières sollicitations. En sentir la chaleur, en deviner l’odeur, l’imaginer un peu plus tard en action.
Un peu étonné par cette subite requête, il n’eut toutefois ni le désir ni l’idée de s’y soustraire ; mais, par un mouvement de curieuse pudeur, il eut le premier réflexe de se tourner pour enfiler les bas de sa maîtresse.
Nu, soumis, bandant face à la femme exigeante, il apprit à faire ces gestes simples mais étonnamment impudiques que font d’habitude les femmes au moment de mettre ou de remettre leurs bas. Il écarta les bras, ouvrant ainsi les aisselles, enfila les bas l’un après l’autre, les remonta le plus haut possible et les fit tenir en collant leur bande adhésive à la moitié de ses cuisses. Il apprit à vérifier l’absence de faux pli et soumit tout ceci à l’approbation de la femme assise qui ne perdait pas une miette de cet étonnant spectacle. Avec savoir-faire, elle apporta quelques menus ajustements à ce qu’avait fait l’homme et en profita pour vérifier la raideur de son membre turgescent. Avait-elle là, déjà, l’idée de s’y empaler ? Le ferait-elle, d’ailleurs ? Rien n’était encore certain, mais il lui était acquis qu’elle ne le laisserait pas au repos… Elle voulut d’ailleurs, en plaisir d’après-thé et d’avant-autre chose, se redonner le petit bonheur de se le mettre quelques instants en bouche.
Elle se resservit elle-même une tasse de ce thé encore chaud pendant qu’il prenait la position indiquée. Ce sexe, fièrement érigé, faisait son envie et son admiration et elle eut l’idée de le solliciter de nouveau, de ses talons-aiguille cette fois-ci. Elle le fit avec lenteur et application et sentit rapidement qu’il lui fallait faire attention à ne pas aller trop vite dans les agaceries que l’homme appréciait trop, et trop rapidement. Tout en commençant une légère et régulière masturbation, elle s’amusait avec le sexe de l’homme qu’elle taquinait de ses talons.
Elle décida alors de se séparer du peignoir dont elle était encore vêtue et de s’installer profondément dans le fauteuil, symétriquement, les jambes placées au-dessus des accoudoirs…
Il n’avait bien entendu d’autre solution que de s’agenouiller et de venir placer son visage sur le sexe de sa maîtresse. L’étoffe empêchait un accès immédiat aux parties les plus intimes. Mais il se mit volontiers à l’ouvrage avec les dents pour écarter l’étoffe de la culotte qui empêchait l’accès aux parties les plus intimes ; avec la bouche, et la langue, et le nez pour sentir, lécher, goûter, sucer l’extérieur et l’intérieur du sexe de la femme. De son côté, elle aima voir et sentir son intimité consciencieusement travaillée par celui qui était alors son serviteur docile avant de lui demander de se relever et de se présenter devant elle disponible et obéissant, debout, les mains croisées au-dessus de la tête. Elle aima inspecter son amant sous toute ses coutures, vérifier bien entendu la rigidité du sexe dressé, humer l’odeur assez forte des aisselles qui venaient d’être sollicitées, retrouver, dans la bouche de l’homme qui venait de la besogner en profondeur son propre goût. Mais en souvenir des bons moments qu’il lui avait fait connaître précédemment, elle ne résista pas au plaisir de le faire mettre à quatre pattes. Elle aima le voir ainsi, agenouillé, docile, offert et disponible.
Elle apprécia de voir le sexe de Jérôme toujours bien gonflé et disposé ; elle aima le caresser partout sans qu’il dise rien ; elle s’amusa à faire monter son plaisir en s’arrêtant toujours au bon moment, à lui bander les yeux à son tour ; à le caresser partout. Elle aima se placer derrière lui et lui malaxer les fesses. Elle s’approcha de son anus où elle sentit la bonne et récente odeur du savon de la douche
Elle entreprit de découvrir un peu mieux le cul du monsieur, par des petits coups de langue d’abord ; en en caressant ensuite la rosette au point de susciter un instinctif mouvement de frisson chez son partenaire.
Il n’en fallait pas plus pour qu’elle ose un doigt un peu plus inquisiteur qu’elle aima ensuite sucer et lui faire sucer. Elle ôta alors sa culotte, qu’elle avait jusque-là conservée, et ses deux escarpins qu’elle avait aussi gardés. Elle en plaça un sur l’inédite patère que constituait le sexe de l’homme.
Et, après avoir délicatement et soigneusement entouré le talon de l’autre escarpin de sa culotte de femme, elle le lui mit devant les yeux.
Toujours interdit de parole, il fut très inquiet de ce programme. Mais il ne s’était pas trompé : elle vint derrière Jérôme, agenouillé, habillé de bas, portant sur son sexe un de ses escarpins et prit alors un ton autoritaire qu’il ne lui avait jamais connu.
Elle se surprit même à ajouter d’un ton autoritaire qu’elle prenait au bureau avec ses collaborateurs :
Il prit la position demandée.
Quand l’homme fut vraiment en position totalement ouverte, et offerte, elle entreprit de lui faire subir les derniers outrages. Bien entendu, elle voulut – et sut – lubrifier son entrée de service avec sa salive avant de tenter un premier doigt puis un deuxième, plus profondément. Elle les faisait coulisser avec méthode. Ses gémissements s’accéléraient. Comprenant la situation, elle crut à juste titre le moment arrivé de le pénétrer avec son escarpin. La longueur et la finesse du talon, même entouré de sa culotte, ainsi que l’efficace préparation préalable, rendirent la chose aisée. Elle sodomisa sa proie avec ardeur et régularité, en enfonçant le talon à chaque fois un peu plus profondément. Elle accéléra le mouvement. Plus vite, plus fort, plus profond ; elle apprécia infiniment le spectacle qui lui était offert. Ce qui devait arriver arriva, et l’explosion finale se produisit alors rapidement. L’homme ne put retenir sa semence blanche qui gicla à l’intérieur de l’autre escarpin.
Dure, mais reconnaissante du spectacle offert, elle ne fut plus d’une trop grande sévérité. Elle entoura même son jouet de multiples attentions. Elle lui permit de goûter sa propre saveur intime, celle du fond de son cul, en lui mettant en bouche l’escarpin sodomisateur.
Ce qu’aurait pu voir alors un simple spectateur présent dans cette chambre d’hôtel aurait été superbe. Un homme nu, allongé sur le dos et totalement passif, car épuisé, auquel une femme, a priori peu habituée aux choses de l’amour, essayait de redonner une vigueur dont elle souhaiterait ensuite profiter. Peu experte des sentiers obliques, qu’elle n’avait que très exceptionnellement empruntés et pratiqués au cours d’une vie sexuelle très classique, elle sut d’elle-même trouver les voies du réconfort. Elle sut « descendre à la cave » et prendre en bouche le sexe encore flasque, humide et odorant, de l’homme fatigué. Elle le fit avec talent et sans réserve, avec impudeur et gourmandise, avec des mots crus et une langue agile, avec la bouche, avec les dents, avec les mains ; elle sut apprendre vite, et apprendre bien. Elle s’activa avec classe, mais aussi avec la motivation qui la conduisait vers son propre objectif. Elle sut aussi, quand elle sentit que la virilité de l’homme commençait à reprendre une petite consistance, se retourner afin qu’il puisse à son tour retrouver certains émois. En tête-à-queue, pendant qu’elle continuait à consciencieusement s’occuper de lui, elle lui présentait dorénavant son cul. Sont-ce les idées que lui donnèrent ce fessier pour certains assauts ultérieurs, ou l’odeur de ce sexe qu’il se reprit à butiner de sa langue ? Quoi qu’il en soit, il reprit assez rapidement une belle rigidité qui conduisit sa partenaire à annoncer sans autre forme de procès l’assaut final.
Elle se transforma alors en une belle amazone, nue, qui introduisit son sexe dans le sien et qui entreprit les nombreux va-et-vient rendus possibles par les efforts précédents. Allongé sur le dos, il aima voir les mouvements synchronisés de sa partenaire, le ballottement de ses seins, le sourire du plaisir qui venait. Elle coulissa longtemps, profondément. Une bonne centaine de montées/descentes s’avérèrent nécessaires et possibles. La femme gémissait et ahanait. Elle n’était plus qu’une femelle qui chevauchait un homme dont elle s’enfonçait le dard de plus en plus gonflé. Ses efforts la faisaient transpirer et mélangeaient une odeur de sueur à son odeur de femme. Elle se penchait en arrière puis en avant, à droite puis à gauche afin de bien sentir, partout, le frottement du membre viril. Elle aimait monter à cru ce bel étalon qui allait – c’était désormais certain – lui procurer de manière imminente les satisfactions attendues. L’orgasme arriva alors rapidement et, hasard d’une synchronisation non programmée mais bienvenue, c’est presque exactement à la fin du temps qui lui était imparti que la femme explosa sur le sexe de sa monture.
Les deux amants passèrent ensuite quelques quarts d’heure enlacés dans les bras l’un de l’autre avant que, la première, la femme reprenne ses esprits et la parole.
Il laissa volontairement passer le moment de déception qu’il remarqua.
Volontairement encore, il n’ajouta rien d’autre et laissa sa partenaire réfléchir, et hésiter.
Pas non plus d’autre réaction de sa part. Elle comprit qu’il lui faudrait passer par les volontés de l’homme en utilisant les mots crus qu’il attendait.
Elle fut sans doute un peu choquée par cette comparaison qu’il avait choisie volontairement provocante par son caractère animal qui ramenait la chose à sa dimension la plus naturelle, et donc la plus plaisante. Mais elle se laissa conduire en fait très tendrement.
Il plaça sa partenaire sur le dos, lui releva les jambes pour les disposer sur chacune de ses deux épaules des deux côtés de son cou et se pencha sur elle pour d’abord échanger un long et langoureux baiser, les yeux dans les yeux. Lui tenant les chevilles de ses mains fermes, il les garda loin devant lui afin de pouvoir à sa guise descendre vers les deux intimités de la dame. Il avait une vue dégagée sur le sexe de la fière cavalière d’il y a quelques minutes qui était devenue à cette heure un cul à honorer. Il embrassa ce sexe aussi avant de descendre un peu plus bas, vers cet œillet circulaire, merveilleusement rose, presque timide, mais diablement appétissant sur lequel il posa une bouche attentionnée et qu’il lécha d’abord longuement et très doucement en s’appliquant à beaucoup saliver. Remontant quelques instants vers la bouche de madame, il lui fit partager cette odeur et ce goût en lui murmurant à l’oreille des mots qu’elle aima entendre.
Elle se montra merveilleusement docile et sut garder la belle position de culbutée, qui permettait à l’homme de mener à bien toutes les sollicitations qu’il avait à l’esprit. Il lui caressa longuement et profondément le sexe et les lèvres inférieures pendant que sa langue s’occupait de son anus dorénavant totalement humide et glissant. Il y promena un premier doigt qui trouva un chemin très praticable pour accéder à ce qui serait le plaisir suprême. C’est à son index que revint l’honneur d’inaugurer la voie. Il le fit très lentement, mais suffisamment profondément pour être assuré que tout se passerait bien. Il tint absolument à ce qu’elle partage avec lui le goût fort et caractéristique de son propre fondement et lui mit son index en bouche, ce qui arracha à sa partenaire un premier râle de contentement. Le pouce, plus large, mais moins long, eut pour mission de progressivement et doucement élargir l’ouverture initiale. Il s’acquitta bien aussi de cette importante mission. La femme, bellement renversée, n’était plus qu’une paire de superbes jambes fuselées et symétriques qui entouraient un visage sur lequel apparaissaient les prémices de la jouissance. Et qui se terminaient par deux orifices, proches, et tous les deux bien ouverts et a priori accueillants.
Ce n’était en fait pas une permission qu’il lui demandait car il était bien décidé à lui rendre de toute façon, par le sexe et par les doigts, dans le cul et dans le sexe, l’honneur double et simultané qu’elle méritait. Son plaisir fut, d’abord, de lui donner du « Madame » dans une situation si particulière – un vrai bonheur ! – mais aussi de mesurer dans la nature et le ton de la réponse le degré de préparation de sa partenaire. Là encore il entendit avec plaisir, en guise de réponse, une sorte de gloussement de plaisir dans lequel il comprit que l’acquiescement le disputait au plaisir montant. Il n’était d’ailleurs pas tout-à-fait certain qu’occupée à maîtriser ses montées de plaisir, elle avait réellement compris la question posée, qu’en un mot elle allait être simultanément masturbée et sodomisée. C’est bien à cette double mission qu’il continua à s’atteler avec application. Sa langue pouvait dorénavant pénétrer sans difficulté dans cette entrée secondaire dont le diamètre était de plus en plus accueillant.
Il jugea le moment opportun pour se relever légèrement afin de mettre son sexe dans l’alignement précis de la voie à conquérir tandis que ses doigts continuaient leur travail de douce et de plus en plus profonde masturbation. Mais il pensa qu’elle lui serait reconnaissante, pour cette toute première fois, de lui permettre de bien identifier les différents plaisirs en les isolant. Il retira donc ses doigts du sexe de madame et se concentra sur la douce approche de son propre sexe vers son anus. Celui-ci effleura plusieurs fois l’orifice très ouvert, ce qui fit plusieurs fois penser – espérer – à Hélène que le moment de l’assaut final était arrivé. Il voulait pourtant de son côté profiter encore un peu de l’instant et s’amusait au contraire de ce petit jeu de chat et de souris. Il eut même l’impression de voir cet anus respirer au gré des manœuvres d’approche et de recul de son sexe dur. La femme gémissait en phase, et ce son et lumière d’un genre un peu spécial le comblait d’aise. Son sexe caressait doucement le cul de la belle, lui faisant espérer une avancée imminente, avant de s’en écarter cruellement de quelques centimètres. Pour y revenir, bien sûr. Il apprécia d’autant plus ces moments qu’il connaissait l’issue définitive de l’épisode, mais il voulait profiter du moment où elle rendrait les armes.
Quel plaisir de l’entendre appeler si directement et aussi simplement un plaisir nouveau. Il prit beaucoup sur lui pour retarder encore l’échéance, au point qu’elle se fit encore plus directe, et directive.
Il n’était décemment plus possible de repousser le moment fatidique, même si on peut légitimement se demander ce que la décence vient faire dans cette histoire de grande et belle bourgeoise crûment sodomisée.
Il approcha son sexe du cul de la femme mûre, le positionna exactement dans l’alignement, lui écarta encore un peu les cuisses et imprima la très douce mais très ferme pression verticale qui permit l’intromission lente et progressive de son membre dans le fondement d’Hélène. Elle hurla de plaisir en comprenant que le vrai travail de piston allait enfin commencer. Elle renversa la tête en arrière, ferma les yeux, serra les poings, durcit les tétons et feula longuement tandis qu’il lui touchait le fond avant de commencer son travail de va-et-vient. Il y mit son application et sa santé, et se plut à interpréter comme des preuves de plaisir les cris ininterrompus de sa splendide et fière partenaire. Ce n’est qu’à ce moment-là, parce qu’il considérait qu’elle avait pu ainsi isoler le plaisir de la sodomisation et le goûter à sa juste mesure, qu’il jugea opportun d’utiliser de nouveau ses doigts qu’il fit pénétrer dans le sexe de la dame. Il synchronisa ses mouvements afin que ses doigts puissent sentir son sexe, quand celui-ci se trouvait au fond de son cul. Belle impression !
Les feulements se transformèrent en gémissements, puis en petits cris. Qui eux-mêmes redoublèrent, et il se demanda même si elle n’était pas en train de lui demander une grâce qu’il n’était bien entendu pas question de lui accorder. Avait-elle eu le moindre scrupule, il y a quelques quarts d’heure, à le sodomiser avec son talon-aiguille ? À cette seule pensée, il redoubla de double attention, du sexe et des mains, jusqu’au moment où, n’y pouvant plus et incapable de repousser davantage l’instant de la libération finale, il explosa dans le beau cul de sa partenaire.
La fin de l’après-midi se révéla plus calme, avec quelques agaceries, plutôt anodines, sur le lit, sous la douche, dans le fauteuil encore, mais il n’y eut plus grand-chose dans leurs relations ce jour-là. Ils décidèrent d’un commun accord de mettre fin à ce bel après-midi par une belle douche commune qui leur donna l’idée de petits plaisirs ultérieurs, qu’ils auront un jour l’occasion de se donner dans des salles de bain. Ils appelèrent un taxi pour Hélène. Le temps pour elle de s’habiller, d’ajuster ses sous-vêtements, dont cette culotte, qu’il faudrait jeter à la machine dès son retour chez elle, d’un petit coup de rouge à lèvres et d’un très court accroupissement final, juste au moment de quitter la chambre, pour une courte et silencieuse petite gâterie qu’ils apprécièrent l’un et l’autre.
Le téléphone sonna pour annoncer le taxi. Un très léger baiser posé sur la bouche. Pas un autre mot. Hélène sortit de la chambre.
Ses pensées dans le taxi, en regagnant son domicile, étaient douces et calmes après cet après-midi libre, plein, riche et complet. Le week-end qui suivit, très classique, fut rempli de ces doux souvenirs.
Et la semaine reprit, très normalement, chacun retournant à ses habituelles activités professionnelles.
De retour à son bureau, Hélène se souvint du début de dialogue avec Victoire, interrompu, « pour une superbe cause » aima-t-elle à se rappeler en souriant en son for intérieur, en fin de semaine dernière. Elle prit son téléphone et appela sa collaboratrice.
Rendez-vous fut pris vers 12 h 30 pour aller déjeuner.
Le trajet en voiture, très court, fut silencieux, aucune des deux femmes ne voulant rompre ce qu’elles considéraient comme le charme de cet instant. Victoire se sentait assez calme, bien assise à la place du passager, observant du coin de l’œil les belles jambes de sa patronne qui sortaient, gainées de bas de qualité, de sa jupe de bon goût et bien ajustée.
La voiture laissée au voiturier, les deux femmes s’installèrent confortablement dans les fauteuils en cuir et passèrent commande d’une de ces salades composées énormes et colorées qui donnent bonne conscience à toutes celles et ceux qui prétendent suivre un régime draconien. Mais cela convenait bien à ces deux belles femmes, qui complétèrent leur commande, classiquement aussi, par une simple eau minérale.
Dans un bel endroit de la capitale, il y avait donc face-à-face deux très belles femmes, une patronne avec une de ses collaboratrices. Certes, il y avait entre elles une réelle différence d’âge puisque l’une aurait pu être la fille de l’autre, mais elles avaient en commun charme, classe, élégance et intelligence. En un mot, deux superbes femmes, à de nombreux titres très différentes, mais aussi avec de très belles caractéristiques communes.
Elle n’eut pas le temps de poursuivre sa phrase que sa patronne l’arrêta en lui mettant la main sur le bras.
Sa patronne l’encouragea à poursuivre.
Les deux femmes eurent alors entre elles un dialogue direct et presqu’amical au cours duquel Hélène reconnut dans sa jeune collaboratrice les atouts et qualités dont elle avait elle-même été pourvue, mais aussi les freins à un épanouissement personnel complet que génère l’éducation judéo-chrétienne mutilante qui était prodiguée dans ces milieux dont elles étaient l’une et l’autre issues. À certains petits détails, elle trouva même la confirmation de ce qu’elle avait cru deviner depuis quelques semaines : le « petit ami » de Victoire faisait très vraisemblablement partie de l’entreprise.
Sur le chemin du retour, en voiture, Hélène fit une synthèse pour sa collaboratrice.
Les deux femmes rentrèrent dans l’entreprise et retournèrent, chacune de leur côté, à leur travail.
(à suivre)