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n° 16182Fiche technique61426 caractères61426
Temps de lecture estimé : 35 mn
09/05/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Surprendre sa femme avec un amant, c'est une obsession pour lui, mais elle est fidèle. Enfin un soir, il entend derrière la porte, des bruits qui ne font aucun doute. Mais tout ne se passe pas comme prévu.
Critères:  fh ff hh fhh cocus hotel trans fellation cunnilingu pénétratio fsodo hsodo confession
Auteur : RobertAnne

Série : Candaulisme, un, deux, trois...

Chapitre 01 / 02
Candaulisme : un, deux, trois et demi

(Je prie le lecteur de m’excuser mais l’ambiguïté de certaines situations peut m’amener à mélanger les genres. Mais je pense que vous attribuerez à chacun ou chacune, le pronom qui lui convient.)



Combien de fois, suis-je rentré à l’improviste et n’ai-je jamais trouvé ce que je cherchais ? Oui, je voulais surprendre ma femme avec son amant. Et, à chaque fois, soit la maison est vide, soit ma femme est là, surprise, mais heureuse de mon arrivée. Alors, c’est moi qui m’excuse.



Mon métier – je suis représentant – est un métier qui vous met souvent sur les routes, absent quelquefois plusieurs jours de suite.


Alors, l’imagination me fait son grand jeu. Il me suffit de fermer les yeux et je vois Anne – c’est ma femme – dans les bras d’un autre. Cet autre n’a pas de visage, mais pour le reste j’imagine tous les détails. Elle et lui sont toujours en pleine action et, selon mon humeur, je la vois sucer cet homme, ou bien se baiser sur lui, pire encore se faire sodomiser en poussant ses petits cris que j’aime tant lorsque c’est moi qui lui fais la pareille.

Et jamais je ne l’ai surprise. À chaque fois, c’est la déception.

Déception ? Bien sûr, que croyez-vous ? Que je suis jaloux ? Que je fais partie des maris obnubilés par la fidélité de leur femme ?

Mais non ! C’est tout le contraire ! Je rêve de la surprendre, de les surprendre. Je bande en imaginant cette scène :


J’ouvre la porte sans bruit. Ils sont dans le salon ou dans la chambre. Je me glisse comme une ombre. Ils ne m’entendent pas, uniquement centrés sur leur plaisir. Ainsi je peux regarder sans me faire voir. Avec un peu de chance je peux me branler de les voir en action.

Dès qu’ils ont terminé, je me glisse dehors et ne revient « officiellement » qu’au moment où l’homme quitte la maison. Alors je retrouve Anne encore chaude de leurs étreintes et avec même, peut-être, des traces de la jouissance de son amant.

La suite se termine toujours par des pardons et des retrouvailles très chaudes.


Mais, ma femme m’est fidèle. Et pourtant – elle est nourrice à la maison – souvent ce sont de jeunes pères qui viennent porter ou reprendre leur progéniture. Ma femme est belle et désirable avec sa petite quarantaine. Plus d’une fois, j’ai remarqué les yeux d’un père qui regardait sa silhouette ou son décolleté un peu plongeant. Mais non.

Alors pourquoi ne pas avoir parlé à Anne de mon fantasme ? La lâcheté, la peur, la crainte de me faire traiter de « malade ». Tout est dit.


Mais, vous-même, n’avez-vous jamais pensé, qu’après de longues années de vie commune, il faille ajouter du piment pour éviter que vos envies flétrissent. Ce serait égoïste de se déclarer l’unique propriétaire de la sexualité de sa compagne ou de son époux. J’estime que, pour faire perdurer l’amour du premier jour, et soulever la chape de l’ennui et de l’habitude, chacun a le droit de faire preuve d’imagination.

Bien sûr, vous pouvez aller regarder ailleurs, mais si vous aimez votre femme plus que tout au monde, alors vous êtes prêt à tout. Et ce « tout » n’est pas obligatoirement signe de désagréments…


Ce soir, c’est par habitude que j’ouvre la porte sans bruit. En plus, mon arrivée impromptue n’est même pas préméditée, j’ai vraiment un client qui m’a fait faux bond. La maison est silencieuse. Anne est certainement partie faire des courses après que les derniers parents sont venus récupérer leurs enfants.

Pourtant, il me semble percevoir un léger bruit. Le salon est vide, encore en désordre des jouets des enfants qui traînent partout, et c’est en m’avançant dans le couloir que j’arrive à déterminer l’origine de ce qui m’attire. La porte de notre chambre est à peine entrebâillée, mais assez pour laisser filtrer ce qui s’y passe.


Serait-ce que mon rêve se réalise enfin ? Ma patience serait-elle enfin récompensée ?

Mais oui ! Ce qui s’échappe ne laisse aucun doute des activités qui s’y pratiquent. Mais la seule chose que je puisse voir montre que la chambre est dans le noir. Si je pousse la porte pour mieux profiter de mon « infortune », il est certain que les amants vont remarquer cette lumière que les baies vitrées du salon laissent entrer et inonder cette partie du couloir.


J’en suis réduit à n’être qu’un témoin auditif de mon « cocufiage ».


Je reconnais bien sur la voix d’Anne, la bouche qui laisse échapper tout ce concert de petits gémissements, de petits cris que je connais si bien. L’homme doit être en train de la lutiner. J’imagine ses doigts, sa bouche, sa langue plonger dans l’intimité de ma femme pour lui arracher cette symphonie de « oui, oui, encore, là, ne t’arrête pas », qui dure une éternité comme s’il voulait la conduire au plaisir le plus lentement possible. Manifestement c’est un expert du cunni. Il emmène ma femme dans une succession de jouissances, comme un peloton de cyclistes enchaîne les petits cols avant de terminer l’étape par celui classé « hors catégorie ».

Jamais je n’ai entendu ma femme crier sa jouissance si fort et de façon si crue. Heureusement, à cette heure de la soirée l’immeuble résonne du bruit des enfants et des télés.


Un instant la jalousie vient gâcher mon plaisir. Pas la jalousie du mari cocu, non, la jalousie de l’expertise de cet amant dans les caresses buccales. Je me dis que je peux sûrement faire des progrès de mon côté.

Un court moment le silence s’installe dans la chambre. J’imagine qu’Anne doit reprendre ses esprits. Seul le frottement des draps est perceptible. L’homme se met peut être en position pour posséder cette chatte qu’il a si bien préparée et qui doit dégouliner du jus de la femelle comblée.


Mais en prêtant l’oreille il me semble entendre à nouveau des bruits humides. Bruits de salive, de langue qui suce ou lèche. Et si Anne renvoyait l’ascenseur ? Peut-être que c’est elle qui suce maintenant la queue de son amant, ultime caresse avant de venir se prendre dessus. Anne aime bien monter sur mon sexe et se baiser. Peut-être que c’est ce qu’elle prépare.



J’entends pour la première fois la voix de l’homme. Dans mes fantasmes, je n’ai jamais, ni vu son visage, ni entendu le son de sa voix. Un ectoplasme ! Oui, un ectoplasme, mais toujours monté comme un âne.

Quelle sensation étrange ! Un timbre particulier ! En tout cas, ce n’est pas un des hommes que je connais.

S’en suit un long moment de léchage, uniquement entrecoupé de gémissements indistincts.

Enfin, j’entends.



Je connais cette voix. Je suis sûr de l’avoir déjà entendue. Une voix rauque, presque grave. Une voix sensuelle, surprenante dans la bouche de…


Mais oui. Je sais maintenant. C’est la voisine. Alexis. Une rousse incendiaire que j’ai déjà croisée dans l’escalier. Toujours sexy. Toujours attirante. Au point, que plus d’une fois je me suis fais la réflexion qu’elle devait être une affaire au lit et pourtant elle vit seule.


Et voilà qu’elle est maintenant dans mon lit. L’amant de ma femme est en réalité une femme. Je suis cocu, mais par une femme, pas par un homme.

Jamais je n’avais imaginé, même dans mes fantasmes, cette situation. Tout est remis en cause. Anne ! Une lesbienne !


Mais la terre ne s’arrête pas de tourner devant ma surprise. J’entends distinctement le grincement de cette porte d’armoire que j’oublie toujours de graisser. Ainsi c’est là qu’Anne cache ce gode.

Les nôtres, enfin ceux que nous utilisons parfois sont dans ma table de nuit. Godes classiques. Fixes ou vibrants. Plugs. Œufs vibrants. Enfin tout ce qu’au fil des années nous avons achetés et expérimentés. Combien de fois ai-je appareillé ma femme avec un plug dans le cul et un œuf vibrant que je télécommande, déclenchant des orgasmes dans des lieux les plus surprenants.


Mais je pense que celui qu’elle cache est d’un autre genre. Mon imagination s’est déjà remise en marche. Je vois un double gode ceinture. Je vois Anne le fixer sur elle, passant les lanières sur ses hanches et autour des cuisses après avoir, certainement une lueur perverse dans le regard, fait entrer une des extrémités dans sa chatte.


La suite, pas besoin de l’imaginer. Très vite le claquement des chairs ressemble aux chocs des peaux lorsqu’un homme possède une femme à grands coups de reins. Ici, l’homme c’est ma femme et c’est Alexis, la rousse incendiaire qui se fait ramoner.


En levrette ? Couchée sur elle ? Je regrette de ne pas pouvoir le voir. Mais en tout cas, la rousse apprécie. Elle aussi encourage sa partenaire à grand renfort de mots plus forts les uns que les autres.

Tout cela m’excite au plus haut point et même si la situation n’est pas celle que j’avais imaginée, l’érotisme est bien présent. Je dois dégager ma verge totalement étouffée dans mon pantalon et heureusement j’ai la présence de cracher mon jus dans le mouchoir que j’ai toujours dans ma poche.


Quelques minutes plus tard je quitte mon poste pour aller m’installer dans un fauteuil du salon.

Le couple aussi en a terminé et je vois la voisine passer dans le couloir, accompagnée par ma femme qui lui roule une dernière pelle avant de se quitter. Aucune des deux ne me voit. Pourtant je ne suis qu’à quelques pas, il est vrai que, derrière moi, les derniers rayons du soleil doivent former une cape protectrice.

À peine quelques minutes plus tard, on sonne à la porte et Anne repasse pour ouvrir. C’est la voisine. Elle a à peine le temps de dire :



Qu’elle me découvre dans mon fauteuil.



Il faut reconnaître à Anne qu’elle sait garder son sang-froid et qu’après un « à demain Alexis », elle se tourne vers moi et avec un naturel qui m’épate me dit.



Et elle vient m’embrasser. Son peignoir s’ouvre largement et j’ai la vision fugace de cette poitrine, qui, quelques minutes plus tôt devait être caressée par cette « Alexis ».



Et simplement, elle s’installe à côté de moi et nous trinquons. Pourtant, après un court silence, elle reprend.



C’est le moment que j’ai imaginé depuis si longtemps. Bien sûr, jamais je n’avais pensé trouver Anne avec une femme, mais après tout, cela ne change pas grand-chose à la situation.



Je sens que ma réponse commence à inquiéter ma femme.



Je peux entendre son cerveau qui mouline à toute vitesse et calcule toutes les hypothèses. Mais, une seule réalité persiste.



Elle attend peut-être que je réagisse, mais non. Alors :



Elle hésite. Cherche ses mots.



Je ne peux m’empêcher de répéter :



Et d’ajouter :



Je n’ai rien vu. Quel aveugle je fais, alors que je croyais être très vigilant.



Incroyable. Je n’ai rien vu et elles en sont déjà au stade de baiser non protégées.

Devant mon étonnement qu’elle prend pour un début de colère, Anne corrige :



Combien de fois ai-je imaginé cet instant. Le moment où je tiens le rôle du gentil. Cocu, oui, mais gentil. La mansuétude que j’affiche doit être la source de nouveaux plaisirs. Les fantasmes que j’avais construits étaient basés sur l’existence d’un amant. Mais après tout, une maîtresse peut aussi ouvrir d’autres portes.



Elle est ébahie de ce qu’elle vient d’entendre et il lui faut un moment pour réagir. Il lui faut une confirmation, doutant de ce qu’elle vient de comprendre.



Je n’ai que le temps de répondre par un « oui » que le portable d’Anne sonne.



Je comprends que c’est la voisine qui vient aux nouvelles. Elle a dû s’inquiéter de me voir chez moi alors qu’elle venait juste de quitter sa maîtresse.



Ma femme me surprend. Elle semble parfaitement à l’aise. Comme si c’était naturel. Et quel aplomb !

Et si je l’avais mal jugée ! Pendant toutes ces années j’ai toujours pensé que ma femme était assez traditionaliste.

Aussitôt après avoir raccroché, elle me demande à nouveau.



Elle m’embrasse. Mes mains se glissent sous son peignoir. Je me lève. Mes intentions sont évidentes. Déjà Anne détache mon pantalon.



Je ne l’écoute pas et je l’entraîne. Le lit est un champ de bataille. Les draps montrent des traces de leur jouissance et au milieu, trône le fameux gode ceinture. Il est bien tel que je l’avais imaginé. Peut-être plus long et plus gros. Anne s’empresse de le déplacer comme si cela la gênait que je le voie.

Puis elle revient vers moi et reprend son ouvrage sur mon pantalon. Alors que la braguette descend, elle remarque le mouchoir qui pend de ma poche. En le saisissant, elle constate qu’il est humide et l’odeur l’informe sur l’origine de ce liquide.



D’une certaine façon cette découverte me rend service. Ainsi Anne comprend que je ne suis pas vraiment fâché de son aventure. Bien sûr, j’avoue.



La suite est une succession de baises d’enfer. Manifestement la situation a stimulé nos sens. À un moment, alors que je la besognais en levrette, j’ai murmuré à son oreille que je voudrais être le spectateur de ses ébats avec Alexis.

La semaine se termine plus sagement.


Samedi soir j’ai invité un ami, Jean.

Mais non, pas pour ce que vous pensez. Jamais je n’ai imaginé des amis dans mes fantasmes les plus fous.

Donc nous en étions à l’apéritif, Anne en cuisine, qu’il me dit avec un air de conspirateur.



Intrigué je réponds.



Tiens, tiens, pensai-je. C’est l’occasion d’en connaître un peu plus sur la maîtresse de ma femme.



Mais Anne revient. Elle voit que nous avons des têtes de comploteurs. Intriguée, elle m’interroge du regard. Peut-être croit-elle que je parle de son aventure ?



Et elle retourne en cuisine.

Mais, mon ami, hilare me dit.



Et en se penchant vers moi,



Une vraie. Enfin, c’est ce que nous a raconté le copain.



Je suis sans voix. Je vais demander des détails, mais Anne revient. Pendant tout le repas, je rumine. J’en veux à ma femme de ne pas avoir été plus franche avec moi.

Une fois Jean parti et que nous sommes au lit, je décide de la tester un peu.



Elle se tourne vers moi.



Puis, je vois bien qu’elle s’inquiète. Elle reprend.



Elle n’ose pas continuer. Je décide de la rassurer.



Anne me dévisage, mais répond ;



Elle hésite à répondre. Je l’encourage à nouveau mais en la provocant.



Anne sursaute.



Elle se rend compte de la faiblesse de ses arguments.



Je me fais plus tendre.



C’est une question piège. Comment va-t-elle s’en sortir ? Justifier mon cocufiage sans me rabaisser. Tout un programme.



Mais d’un seul coup, Anne s’arrête. Elle me regarde. Son regard a changé. Ce n’est plus la femme coupable qui cherche à se justifier. Elle enchaîne.



Sa main glisse sous le drap, passe l’élastique de mon boxer.



C’est vrai que sa main rencontre ma queue bien raide. Je démarre toujours au quart de tour et rien que de penser à ma femme avec cette Alexis, homme ou femme, cela m’excite.

Anne ne perd pas de temps. Elle tire sur le drap, enlève le boxer pour libérer ma verge bien vivante et repoussant sa chemise de nuit, vient s’empaler sur moi.



Nous rions de notre complicité.

Un moment elle monte et descend sur mon pieu. Sa grotte est humide et je glisse dans sa crème. C’est bon. Très bon. Ma verge gonfle de ce traitement.



Ce rappel perturbe Anne, mais d’un coup de rein, je la renverse et ma queue s’enchâsse en elle, bien à fond, envahissante et immédiatement transformée en bâton de chair qui entre et sort avec une force, presque une violence possessive.

Elle ne répond pas et se laisse bourrer avec un plaisir évident, les yeux fermés.

Et si derrière ces yeux clos, elle revivait ses séances avec Alexis ? Le sexe d’Alexis était-il déjà entré dans cette chatte que je baisais ? Ou bien n’était ce que le côté femelle qu’elle appréciait ?


D’un mouvement je la mets en levrette. Mon sexe est dur, gonflé, douloureux de ce spectacle et de tout ce que mon imagination génère.

Mon gland se place au contact de l’anus. D’un coup de rein j’encule ma femme bien-aimée qui ne peut retenir un « Ah » de douleur. D’habitude je suis plus délicat. Mais je suis au fond sans autres protestations. Ma queue dilate le conduit si étroit.


Je m’appuie de tout mon poids sur son dos. Mes mains sont libres. Une, emprisonne un sein pour le tordre et tirer sur le téton gonflé de plaisir. L’autre s’occupe d’un autre téton, plus intime, protégé par une gaine que je repousse. Au contact, Anne frémit.

Je susurre à son oreille.



Pas de réponse, juste un mouvement de tête.


Caressée et enculée Anne ne cache pas son plaisir. Ses gémissements ponctuent la montée vers la jouissance. Mais je m’arrête. C’est une colombe paralysée en plein vol. Un vol qui mène vers l’extase.



Que c’est bon d’entendre ces quelques mots avec tout l’érotisme contenu. Mais je ne reprends pas.



Je laisse le mot amant en suspens avant de corriger :



Je recommence mes caresses. Lentement elle remonte la pente du plaisir, mais je l’interromps à nouveau et répète.



Quelques mouvements dans son cul. Quelques caresses sur son clito.



À nouveau des caresses. Puis :



Enfin elle réagit.



Nous sommes tous pareils. Des agneaux pendant la jouissance. Prêts à toutes les concessions pour, enfin, jouir. Et lorsqu’elle a jouit, que j’ai balancé ma semence dans son cul, semence abondante, généreuse, plus chargée de sucs que d’habitude, elle essaye de se rattraper.



Je n’insiste pas. Je sens qu’Anne est bloquée. C’est pour cette attitude que j’ai toujours pensé que ma femme était « conventionnelle ». Et pourtant, un amant, une maîtresse. Quelle ambiguïté !


Toute la semaine suivante je m’arrange pour rentrer chaque soir. Tant pis pour mon chiffre d’affaire ! L’amour n’a pas de prix. Nous n’abordons pas le sujet, mais je m’arrange pour rester assez distant. Pas de sexe. J’ai élaboré un scénario. Il ne me manque que l’accord de quelqu’un.


C’est fait. Comme signe de réconciliation, j’ai proposé à ma femme de partir en week-end. Je connais une auberge, en lisière de la forêt de Fontainebleau qui est parfaite pour mon plan. Je connais, car je suis déjà venu avec une collègue, pas pour faire un bilan comptable, mais pour des galipettes dont je garde un excellent souvenir. Cet endroit est parfait pour les couples adultères. Une ambiance particulière où chaque couple ne pense qu’à ce qui va se passer dans la chambre. Ils ont même un bar au sous-sol avec une petite piste de danse ou la lumière tamisée sert d’alcôve à des gestes audacieux.


J’ai fait les choses en grand et n’ai pas regardé à la dépense. J’ai particulièrement soigné la boisson. Je veux Anne en de bonnes dispositions et l’alcool peut être mon allié.

Après le repas, je l’entraîne au bar. Elle est toute chaude, légèrement pompette. Pas de sexe pendant une semaine et la première danse se transforme en un frottement de nos corps qui éveille des ardeurs bien agréables.



Anne sursaute au son de cette voix. C’est Alexis qui entre en scène. Alexis que j’ai convaincue de venir à cette soirée.

En une seconde elle comprend. Juste avant qu’Alexis l’entraîne sur la piste de danse, Anne me dit, une lueur de défi dans le regard.



Je n’en demande pas plus.

Elles dansent. Pour la première fois, je les vois côte à côte.

Alexis est un flash de couleur, cheveux roux sur robe rouge. Elle attire tous les regards et je serais riche si je pariais 50 € sur sa virilité, avec chaque personne de l’assistance.


D’ailleurs en la regardant, je me demande si mon copain ne s’est pas trompé de personne. Lorsque j’ai rencontré Alexis pour lui proposer cette soirée, je n’ai pas fait allusion à son état. Tout en elle respire la féminité. Son visage, celui d’une jeune femme, pas du tout de ceux que l’on peut voir de certains « shemale » sur internet. Son corps, que la robe fourreau met en valeur, la poitrine agressive, les hanches marquées, son cul, tout est un véritable appel à la sexualité.


Anne, à côté, fait presque femme sage. Pourtant sa sensualité est bien là. Le chemisier d’un blanc immaculé, très légèrement transparent, laisse deviner le soutien-gorge de dentelle. C’est plus en suggestion qu’en provocation. Mais Anne a une poitrine si généreuse que ses lobes gonflent le tissu. Combien de fois ai-je glissé ma queue dans le sillon mammaire que ses mains transforment en grotte soyeuse et dans laquelle j’éjacule avant de monter la verge grasse de mon jus au bord des lèvres de ma coquine de femme. La robe aussi fait plus sage, mais si les hanches sont marquées, le tissu est plus libre sur les jambes au point, et je le sais par expérience, que les hommes prient pour un coup de vent malicieux qui laisserait voir la petite culotte.


Dans ce sous-sol, pas de vent. Que des couples qui dansent, si on peut appeler danser ce rituel païen de deux corps qui se frottent pour s’apprivoiser et faire connaissance avant de plus rudes échanges.


Alexis et Anne ne dérogent pas à la règle. Personne autour d’elles ne semble s’offusquer de ces femmes qui s’embrassent et dont les corps se frottent sans pudeur. Juste quelques regards bienveillants.

Je ne cesse de me poser des questions. Alexis est pour moi une inconnue. Est-ce qu’elle bande au contact du corps de ma femme ? Aussi, pourquoi a-t-elle accepté si facilement mon offre ? La partie femme a-t-elle envie qu’un homme la possède ? Tout est mystère !


Je vais vers elles.



Si Anne avait encore un doute, ma remarque la balaie.

Moi aussi, je suis bouillant. Je rêve de tant de choses. Je me pose tant de questions.

Elles ne répondent pas, mais leur regard est une promesse.


J’ai juste le temps de préparer un éclairage tamisé, de mettre un peu de musique et de sortir la bouteille de champagne que la porte de la chambre s’ouvre.

C’est bon signe. Elles aussi doivent être bien chaudes. Dès leur arrivée, mon sexe tressaille.

Tous trois nous trinquons silencieusement.


Je ne sais pas à quoi elles peuvent penser, mais moi, c’est un « ENFIN » que mon cerveau hurle.

Anne descend son verre d’une traite et me tend sa coupe pour que je la remplisse. Je fais de même et, sous le regard d’Alexis, nous trinquons à nouveau, comme une sorte de pacte muet.

La deuxième coupe bue, Anne me pousse vers le lit pour m’y faire asseoir.



Alors j’assiste au plus beau des spectacles. L’effeuillage sensuel de ces deux femmes est d’un érotisme à la fois délicat et fort.


Il suffit d’un mouvement pour qu’Anne fasse tomber la robe d’Alexis. Elle apparaît presque nue, car comme sa robe le laissait supposer, le soutien-gorge n’est pas de mise. D’ailleurs à quoi servirait ce bout de tissu pour cette poitrine parfaite, faisant fi de la pesanteur. Deux lobes parfaits, symétriques, dont les pointes érigées se placent parfaitement au centre et à l’horizontale.


Je comprends l’attirance d’Anne pour ce chef d’œuvre que la nature ne saurait créer mais qu’un chirurgien esthète a greffé sur ce corps d’homme.


D’homme ? Encore rien ne peut le faire penser. La petite culotte, rouge, comme la robe, dégage parfaitement les fesses mais cache plus le pubis. Je ne peux m’empêcher de regarder pour chercher l’indice masculin, bien que, d’après le copain de Jean, cet indice serait digne de reconnaissance.


Mais non, rien, je ne vois rien et pourtant Alexis se charge actuellement de déshabiller ma femme. Quelle délicatesse ! Quelle façon de détacher chaque bouton, ouvrir le chemisier, relâcher ses seins de leur carcan ! J’aime la façon dont Alexis embrasse la poitrine d’Anne, poitrine bien plus forte et surtout plus naturelle qui pourrait pâtir de la comparaison mais qu’Alexis suce avec avidité.


Les deux femmes font excès de zèle.

C’est à celle qui sera la plus entreprenante. Baisers, caresses, mains qui s’égarent…

Je bande de ce spectacle. Quand je pense que ce n’est que le début !


Alexis pousse à son tour ma femme vers le lit. Elle l’allonge juste à côté de moi. Dans un geste d’une lenteur calculée, elle tire sur la culotte blanche ornée de dentelle. Anne soulève ses reins dans un mouvement lascif pour faciliter la disparition du dernier rempart de sa nudité.

Voilà, ma femme est à côté de moi, nue, et un visage qui n’est pas le mien qui plonge entre ses cuisses. Pour l’instant, homme ou femme, les caresses sont universelles.

Tout simplement, naturellement, Anne écarte les cuisses et les repose sur les épaules de la propriétaire de la bouche gourmande qui commence ses caresses.


J’ai l’impression d’être transparent dans ce tableau qui se joue à deux. Mais une main exploratrice, celle de ma femme, se plaque sur mon pantalon où elle trouve une bosse que le tissu a bien du mal à contenir.

Ses yeux me regardent. Ses lèvres me sourient. Sa main flatte ma queue étouffée.


En deux mouvements je suis nu, tel un Adam avant le péché. Un Adam dont la verge est devenue une montagne, pointue et acérée que la moindre bise suffirait à faire cracher.

Normalement je glisserais ma bite entre les seins, mais cela m’obligerait à quitter le spectacle de la chatte de ma femme entièrement sous la domination d’une bouche, d’une langue et même des doigts qui s’infiltrent.

Pour rien au monde je ne voudrais rater cela.

Alors, je m’installe, dans une position nouvelle, accroupi sur le visage de ma femme, le gland pointé vers ses lèvres.


Et c’est divin. Pardon pour le sacrilège mais je ne connais pas de mots pour décrire cet instant.

Ma bite, maintenant guidée entre les lèvres d’Anne semble engloutie avec une facilité qui doit résulter du plaisir que lui donne Alexis.


Sa langue rose, dard pointu qui s’aventure entre des lèvres plus intimes, rouges d’excitation, s’active avec audace. Et que dire des doigts qui virevoltent ! Combien jouent la farandole ? Il me semble qu’une main entière vient de perdre ses doigts, qui dans le con, qui dans le cul.

Anne gémit. Anne grogne. À aucun moment elle ne cherche à chasser ma bite pour se concentrer sur sa jouissance.


Pourtant son corps parle pour elle, ses muscles se tendent pour avancer sa chatte. C’est la goutte qui suffit pour faire déborder le vase, mon vase qui pousse ma crème dans ma queue, ma queue qui gonfle, et qui enfin relâche sa pression en laissant couler, par saccades, mon sperme, jus d’amour et de tendresse qu’Anne me fait l’honneur de recueillir malgré la difficulté de la position.


Anne mon amour, alanguie maintenant, détendue mais avec quelques perles de sperme qui subsistent sur son visage.

Je ne connais rien de plus érotique !

Pourtant elle se redresse, me tend la main pour me signifier de la rejoindre.

Alexis s’est aussi assise sur le lit après son exploit. Anne me guide vers elle. Elle prend mes mains pour les placer sur le tissu de la culotte rouge, seul rempart vestimentaire de notre trio.



Quel homme ne rêverait pas d’enlever cette barrière. Un homme innocent voudrait enfin faire apparaître une chatte qu’il espère au niveau du reste. Moi, je suis impatient de savoir. Savoir, enfin, qui de l’homme ou de la femme se cache derrière.

Le suspense est intense et, maso, je le fais durer le plus longtemps possible.

Voilà, tout est là. La vérité est toute nue. Chatte ou Verge ?

Verge. Mais oui, verge. Mais verge flétrie, écrasée, plissée, coincée entre tissu et cuisses. Jean avait raison. Mais pour l’instant ce n’est pas le gourdin que son copain a décrit.


Ma femme semble à la fois enjouée et inquiète. Elle se demande sûrement comment je vais réagir de cette découverte. Bien sûr, elle ignore que je savais. Mais aussi, elle a un petit sourire aux lèvres dont la traduction est évidente : « Surprise ! Surprise ! Tel est pris qui croyait prendre ! »


Ma seule réponse est de tendre ma main vers la verge endormie, pour l’instant masse informe de chair. Délicatement je soulève le sexe plissé pour découvrir les deux bourses ensommeillées. La tige, doucement posée sur le pubis, n’est pas si petite. Le gland est totalement caché par sa protection de peau qui se termine par une sorte d’excroissance avec un orifice, tel la cheminée d’un volcan.


Si je suis surpris de découvrir ce sexe, c’est uniquement parce qu’il est totalement au repos. Peut-être que, de « l’homme », il ne reste que son attribut ! La preuve est, que ce que nous venons de faire avant, ne semble pas l’avoir excité. Pourtant j’ai entendu de mes propres oreilles Alexis féliciter ma femme pour sa fellation et le copain de Jean affirmer la réalité de la queue.

Les bourses aussi respirent, se détachant de la peau des cuisses. L’enveloppe paraît délicate, humide de transpiration, d’un rose enfantin. Je ne peux me retenir de glisser ma main dessous pour leur servir de réceptacle.



C’est Anne qui me susurre à l’oreille, totalement rassurée.

Je ne réponds pas. J’assiste à la magie, pourtant si commune, d’une verge qui frémit. Précautionneusement, maintenant ma main malaxe le paquet de chair, où je découvre les deux noyaux bien séparés. Mon doigt flatte une couille, puis l’autre, s’aventurant parfois à la base pour y découvrir le petit trou. Mais ce n’est qu’une exploration rapide et je remonte.


Maintenant je vois nettement la verge ramper sur le pubis, pour monter à l’assaut du nombril. Que c’est beau un sexe d’homme qui se déploie. Bien sûr, je connais le mien et même d’autres en vidéo. Mais ici tout paraît différent. Ma position bien sûr, adorateur à genoux, le visage qui regarde de bas en haut, vision totalement inversée de l’habitude.


Elle continue de ramper. L’arbre grossit aussi. Maintenant la peau est tendue et le gland apparaît, comme un bourgeon qui s’extirpe de sa gangue de feuilles. Mais aussi cette impression de force, de vie palpitante qui fait que la queue frémit.


Une main vient la saisir à pleine hampe. Une main manucurée, les ongles vernis qui tranchent de leur bleu brillant sur la peau rose. La queue est maintenant relevée et la main sert de calibre. Les doigts en font difficilement le tour et il en faudrait deux pour recouvrir de la base au gland. Jean avait raison, c’est un morceau. Un morceau que j’aurais bien aimé avoir entre les cuisses, même si je n’ai pas à rougir du mien.

Comment un homme si bien pourvu a-t-il éprouvé le besoin, manifestement irrépressible, de choisir un autre genre ?


Par contre je comprends maintenant « l’engouement » de ma femme pour Alexis. Délicatesse et puissance, tout un programme.


La bouche qui s’avance vers la tige redressée, a souvent sucé la mienne. Mais là encore tout est différent, amplifié, exacerbé. Les lèvres prennent possessions du bout rose. Lèvres brillantes, rouge carmin, humides, lames de chair impudiques qui avancent et que rien n’arrête.


Et ce regard ! Dieu quelle perversion, si douce, si bonne ! Oui, le regard d’Anne qui croise le mien, telle une prêtresse de l’amour. Et toujours cette lueur lubrique alors qu’elle glisse et avance ! Les lèvres qui s’écartent, les joues qui enflent et le bout de langue qui sert d’explorateur.


Je comprends le « Anne tu suces comme une déesse » de l’autre soir. Bien sûr, ma queue a déjà été engloutie dans cette gorge, mais je ne pensais pas qu’elle puisse en accueillir aussi long.

Je crois que ma verge a retrouvé de la vigueur au moment où Anne a englouti tout le mandrin, du gland aux couilles, et qu’elle me regarde avec ce regard de « salope ». Oui, de salope, mais dans le bon sens du terme. Salope qui sait se donner à fond pour l’autre. Salope qui dépasse les limites classiques de la femme mariée uniquement pour le plaisir de l’autre.


Alexis, l’homme, ne peut que gémir de nos caresses. Nos caresses, car moi aussi, sans réfléchir je lui masse les couilles. Juste retour des choses. Un homme et une femme se rejoignent pour apporter du plaisir à un, à une, à une « Shemale ».


Anne se charge de pomper le nœud avec allégresse. La coquine ! Je crois que je ne la connais pas. Ma femme ? Insatisfaite ? Envie de plus ?

On verra plus tard.

Pour l’instant la bougresse abandonne la bite, luisante et dilatée, pour se coucher sur le lit et attirer l’homme vers elle. Alexis ne se fait pas prier. Elle, Il, s’installe entre les cuisses ouvertes, encore brillantes des coulures des jouissances buccales.


Anne pose les jambes sur les épaules de… Je ne sais comment dire ! Alexis ? L’homme ? La femme ?

En tout cas, moi aussi je me déplace. Je ne raterais pour rien au monde ce que j’imagine et fantasme depuis des lustres.

Comme dans un film au ralenti, les amants se placent. La bite pointe, horizontale, uniquement dirigée par son propre poids.


Je suis la caméra du réalisateur d’un film X. Mes yeux zooment vers la chatte, fente bordée par deux montagnes rouges qui ne servent qu’à guider le gland et servir d’entonnoir au pieu qui n’a plus qu’à suivre la pente naturelle. Aucun obstacle ne se met en travers du chemin, les chairs s’ouvrent et s’adaptent au mandrin. L’homme n’entre pas en une seule fois. Il entre un peu puis ressort. Le spectacle est magnifique. La queue est un piston que la chatte cherche à serrer de toutes ses forces. C’est comme si des muscles étreignaient la bête pour l’empêcher de repartir. À chaque recul, ma femme avance son bassin, effrayée sûrement de perdre ce qui ne fait que lui promettre le meilleur.


Une fois, deux fois, dix fois, le pieu recule pour avancer encore un peu plus. Chaque millimètre est une promesse accompagnée par un « oui » de ma femme. Enfin il s’immobilise. L’engin est tout entier dans la grotte. Les couilles se frottent aux fesses.


Anne sourit, les yeux clos. Maintenant qu’Alexis est tout contre ma femme, le spectacle est surprenant. Deux poitrines se font face, Alexis s’étant maintenant penchée en avant, uniquement retenue par ses bras. Ma femme a ses jambes presque plaquées contre sa poitrine. Vive la gym quotidienne.


Ils restent un long moment, enchâssés. Enfin l’homme reprend ses mouvements. Maintenant il me regarde. Est-ce par provocation, la fierté de l’amant qui baise votre femme sous vos yeux ?

Peu importe, je ne suis toujours pas rassasié de ce spectacle. Je ne me lasse pas de voir le pieu entrer et ressortir pour replonger dans la grotte de plus en plus humide dont les clapotis se mêlent au choc du pubis contre pubis.


Le lit oscille au rythme de la possession. Maintenant ma femme semble dans un autre monde. Elle marmonne entre ses dents des mots d’encouragements accompagnés par un vocabulaire si cru que je crois n’avoir jamais entendu prononcé par sa bouche :



Et puis subitement, elle se redresse, chassant son amant, pour se mettre à quatre pattes et lui intimer :



L’homme crache de la salive sur la rondelle et que je sois damné si je n’ai pas vu l’anus s’ouvrir pour l’accueillir. La queue semble monstrueuse maintenant, gonflée et luisante des sucs du vagin. Je crains un instant qu’il ne soit trop gros et déchire le cul de ma femme plus habitué à nos sextoys et à ma propre bitte, plus raisonnables.



Je regrette à cet instant de ne pas avoir prévu de filmer nos ébats car j’aurais aimé lui montrer, dans le calme de notre chambre, ce qu’elle est capable de faire, uniquement emportée par ses sens. Mais soudain, j’ai l’idée d’utiliser le smartphone. Et je n’ai qu’à tendre le bras pour l’attraper et lancer le mode enregistrement.

Alexis le voit et me fait le geste de ne pas filmer son visage. J’acquiesce.



L’homme n’hésite plus. J’imagine que pendant les trois mois de leur liaison, il a souvent emprunté ce chemin.

Si les muscles du vagin donnaient déjà l’impression de vouloir étouffer la bite envahissante alors, que dire de la rondelle ? Elle s’adapte parfaitement au diamètre de l’engin. D’abord elle se dilate lorsque le gland fore le passage, puis se rétracte sur la couronne et le sillon et enfin se relâche à nouveau pour s’adapter parfaitement à la hampe.

L’homme utilise la même technique que pour la fente, il avance et recule, poussant son avantage à chaque fois de quelques millimètres.

Mais la femelle s’impatiente.



Je suis aux anges. Même en rêve je n’ai jamais envisagé un tel défoulement de ma femme. Une pointe de jalousie tout de même, qu’elle ne se soit pas laissée aller comme cela avec moi. Mais certainement qu’elle est comme moi et qu’elle n’a pas osé, de peur que je la qualifie de « salope, chaude du cul ». Nous avons été des idiots.


Alexis obéit et les derniers centimètres doivent passer le mur du son, au point que le son que mon appareil enregistre est une longue plainte de ma femme, gémissement littéralement expulsée de sa gorge sous la pression du mandrin qui l’encule maintenant jusqu’à la garde.



Et en même temps, il me regarde.



Je décide de me joindre au concert des amants. Et j’insiste.



Il sourit et attaque son va-et-vient. Ample, profond, rapide, de plus en plus rapide, de plus en plus fort au point qu’il doit retenir Anne pour qu’elle ne s’effondre pas sur le lit.

Je filme tout, en plan large, en gros plan et j’arrive même à saisir l’instant où Alexis balance sa sauce dans le cul de ma femme. Chaque avancée chasse le sperme qui coule sur les cuisses d’Anne. Il fait sombre mais on m’a vanté la sensibilité du capteur de mon appareil.


Les amants s’effondrent l’un sur l’autre. Alexis qui écrase ma femme de tout son poids, se laisse glisser sur le côté.

Je filme encore quelques secondes pour graver dans le silicium de la mémoire de mon smartphone, les images du cul de ma femme, libéré de son envahisseur y ayant abandonné des traces blanchâtres qui suintent lentement. Un fondu-enchaîné sur l’objet masculin, humide, déjà un peu relâché, qui penche maintenant du pubis, preuve évidente de la saillie.


Chacun reprends ses esprits. Le champagne que je propose est bu comme de l’eau. Il faut bien que le corps reconstitue ses réserves.


Un long moment, tout le monde se tait, tout le monde est sur le lit. Les anges qui passent s’éloignent, les ailes et le corps recouvert de sperme et de suc de minou. Je les regarde, couché sur le côté en appui sur un bras. Alexis est juste là, allongé sur le dos, avec Anne de l’autre côté.

Alexis tourne la tête vers moi, un sourire complice aux lèvres. Ce n’est plus l’Alexis membré que je vois, mais l’Alexis femme présentant un visage en parfaite harmonie avec la poitrine si ferme que les seins semblent collés sur le torse. Elle voit mon regard et vient prendre ma main pour la poser sur les lobes et les mamelons érigés.


Si la scène d’avant pouvait faire douter de la féminité d’Alexis, le contact de ma main sur ses seins de rêve se charge d’apporter la réponse. La peau est douce sous mes doigts et je sens bien, avec ma paume, le mamelon qui régit au frottement. Je passe d’un sein à l’autre et suis surpris de sentir ces lobes déjà fermes se gonfler encore, faisant pointer les tétons que ma vision oblique transforme en pics alpins.


Alexis se tourne sur le côté. Son visage est très proche du mien. Je peux détailler le grain de sa peau, le parfait maquillage, ses longs cils et sa bouche pulpeuse. Elle doit me trouver bien rude, la peau marquée par quelques rides, une ombre sombre que, même rasé de près, ma barbe abandonne. Pourtant elle me regarde avec indulgence et s’approche.


Waouh ! Je ne sais pas si ce sont ses lèvres qui touchent les miennes, prémisses d’un baiser, ou la main qui s’est emparée de ma queue, mais je frémis de ces contacts.

Ça y est, son baiser se fait plus entreprenant, sa langue n’a pas besoin de forcer le passage de mes lèvres. C’est doux, délicat et je me laisse faire. Elle est trop près maintenant pour que je puisse caresser sa poitrine, je sens ses seins contre mon torse velu, alors je laisse ma main caresser son corps. Du cou, je passe la courbe de l’épaule, atteins le galbe de la hanche pour venir palper la fesse nerveuse. Je n’ai pas peur du contact de la verge alanguie et humide, qui laisse place à la féminité.


Alexis abandonne mes lèvres et se déplace pour descendre et remplacer sa main par sa bouche. Elle me suce et me pompe sans retenue, comme si elle rêvait depuis toujours de ma queue. Mais je dois l’interrompre car ma jouissance est proche. Je bande depuis longtemps, excité par la scène de ma femme avec l’homme Alexis, et je ne pourrai pas me retenir plus longtemps.


J’ai envie, pour l’instant d’autre chose de plus fort que juter dans une gorge. Anne est juste là et sa chatte me conviendrait plus. Elle avance. Elle me connaît. Elle va venir s’empaler sur ma queue, la queue de son mari, qui, si elle est plus petite que celle d’Alexis, a bien su la faire jouir pendant toutes ces années.


Mais ce n’est pas elle qui vient. Elle pousse son amant pour l’inviter à me chevaucher. Me voilà avec Alexis accroupi sur moi. Je vois parfaitement Anne guider mon pieu vers un orifice qui a dû en voir bien d’autre et qui m’absorbe sans anicroche.


Que c’est bon cette grotte accueillante, ces fesses qui maintenant s’appuient sur mes cuisses, cette poitrine si belle. Ma bite est au chaud. Ce cul me fait l’effet d’une chatte humide et souple.

Je force ma maîtresse à se pencher pour que je puisse téter ses seins. J’ai le plaisir de l’entendre gémir de mes caresses. Les femmes sont toutes les mêmes, elles sont toujours hypersensible des tétons. J’arrive à faire jouir la mienne, ma queue totalement immobile dans sa chatte ou son cul, uniquement en suçant ses seins.

Mais ma maîtresse a aussi envie de quelque chose de plus fort. Elle se redresse et commence ses montées et descentes sur mon pieu. Je ne suis plus qu’un instrument. Un instrument hypersensible qui gonfle et durcit encore comme si le cul d’Alexis aspirait ma bite.


Les rôles sont inversés. Anne d’actrice principale est devenue spectatrice. J’espère qu’elle a autant de plaisir que moi à voir son conjoint baiser avec une autre. Elle aussi, semble fascinée par ma queue sur laquelle ma maîtresse se baise. Mais elle est aussi attirée par ces choses qui tapent sur mon ventre à chaque fois qu’Alexis vient s’enchâsser à fond. Ses boules et son sexe viennent me toucher, donnant une impression étonnante mais pas désagréable. C’est étrange, surréaliste de penser que ce cul est pris entre deux paires de couilles.


Anne tend sa main pour s’emparer de ce qui la ramonait il y a moins d’une heure. Elle entreprend une branlette. Il ne faut pas longtemps pour que la bite réagisse. Vraiment Alexis est une perle. On pourrait l’appeler « Au bonheur des Dames, au service des Messieurs ».


Il apprécie, le coquin. Son petit trou occupé, sa bite entre de bonnes mains.

Non, excusez-moi, pas entre de bonnes mains, mais entre de bonnes lèvres. Anne est décidemment une salope insatiable au service de la première queue qui se présente.


Un instant je me demande si elle m’a vraiment été fidèle pendant toutes ces années et si les pères ne laissaient pas autre chose que leur gamin. Les mères ! Et pourquoi pas les mères ? Mon imagination me lance des flashes : Anne suçant un père, pendant qu’une mère lui bouffe le minou. Mieux, Anne prise par deux pères pendant que la marmaille dort.


Ces fantasmes ridicules et improbables, le cerveau n’est-il pas le premier des organes sexuels, participent à me donner du plaisir. Maintenant la tête d’Anne me cache tout. Je n’ai que ma queue pour me conter ce qui se passe. Une queue sur laquelle Alexis se ramone le cul avec délice. Une autre queue, la sienne, qui disparaît entre les lèvres de ma femme et, je sais de quoi je parle, doit lui donner du plaisir.


Je jouis. Sans prévenir, perdu dans mes pensées érotiques, ma semence jaillit. Des flots, oui des flots de crème que tout ce que j’ai vu, que tout ce que j’ai vécu, a secrété au plus profond de moi. Le cul d’Alexis doit être inondé et je sens bien que ma liqueur participe à sa propre jouissance.

Un instant il s’immobilise, puis avec cette voix inégalable, il rugit.



La chatte ? Alexis est dans son monde. Son monde de femme, où l’homme qui le possède ne peut que jouir dans sa féminité.


Je m’en fou ! Tout ce qui compte pour moi ces sont les flots que je ne soupçonnais même pas et qui continuent de pulser, jet après jet, mon karcher à moi.

Je me calme. L’homme n’aspire qu’au repos après l’éjaculation.


Alexis aussi arrête de s’empaler sur moi. Seule Anne s’active toujours. Maintenant c’est sa tête qui bouge. Comme un Shadock, elle pompe, pompe sans arrêt, mettant tout son cœur à l’ouvrage. Elle a un regard provocateur. Chaque minute de cette soirée ma femme s’est révélé une parfaite maîtresse, une maîtresse encore plus provoquante que dans mes rêves, allumeuse, garce, salope, cochonne, s’offrant sans pudeur, s’exhibant avec délice ou me cocufiant avec ostentation.


C’est ce qu’elle fait encore, en suçant son amant sous mes yeux, cherchant mon regard et si elle n’avait le bouche pleine de la bite redevenue le mandrin remarquable, je suis certain qu’elle me sourirait pour me défier.

Enfin elle arrive à extirper la sève de l’arbre. En salope chérie, elle reste un long moment avec la bite en bouche.


J’ai la pensée chagrine qu’il faudra attendre un moment pour qu’Alexis et moi retrouvions notre vigueur. Mais j’attendrai, la nuit entière s’il le faut. Il n’est pas question que nous nous séparions sans que ma femme ne se fasse prendre par nos bites en même temps. C’est le premier de mes fantasmes, celui par lequel tout a commencé.


Voilà elle a terminé. Elle se redresse, laissant Alexis se lever aussi. Elle me sourit. Tendrement elle vient vers moi pour m’embrasser. C’est le premier baiser que nous échangerons de la soirée. Baiser complice d’un couple libertin pour la première mais sûrement pas la dernière fois. Ses lèvres douces se posent sur les miennes. Sa langue vient au-devant de la mienne, et… et… mais… un liquide gluant coule dans ma bouche. La salope, elle vient de me transmettre du sperme de son amant. Un instant je panique mais son baiser continue et je me raisonne. Surtout ne pas protester. Après tout, elle m’a déjà fait goûter ma propre semence. Nos langues bataillent et je cède en avalant.


Alors, manifestement fière de son exploit. Elle vient parler à mon oreille.



J’acquiesce de la tête.



J’acquiesce à nouveau.



Je ne réponds pas. Elle est saoule, sûrement.



Son visage est maintenant en face du mien. Elle semble sérieuse. Ce n’est pas une blague. Je n’avais pas du tout pensé à cela, qu’elle aussi pouvait avoir des fantasmes.


J’ai l’impression que la soirée ne va pas seulement se dérouler suivant mon programme…