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n° 16314Fiche technique61072 caractères61072
Temps de lecture estimé : 36 mn
20/07/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  La nuit a été interrompue. Un mois de purgatoire avant d'envisager de la reprendre, mais les vacances arrivent et Alexis est parti. Heureusement, les campings sont des lieux propices pour tisser des liens.
Critères:  fhh 2couples fhhh couplus cocus vacances forêt trans entreseins fellation cunnilingu anulingus préservati sandwich fsodo hdanus hsodo échange exercice
Auteur : RobertAnne      

Série : Candaulisme, un, deux, trois...

Chapitre 02 / 02
Candaulisme, un, deux, trois et demi, quatre...

Résumé :


Marc, candauliste dans l’âme, rêvait de surprendre sa femme avec un amant ; mais au fil du temps ses espoirs s’amenuisaient. Enfin, un soir il est le témoin auditif de son cocufiage tant souhaité. Mais l’amant s’avère être une femme, une voisine. La surprise passée, il fait part à sa femme de vouloir assister à leurs ébats, mais elle refuse. Il faut dire – et Marc le découvrira entre-temps – que la voisine, Alexis, magnifique rousse pulpeuse, est en réalité une « shemale ».


Sans rien dire à Anne, il organise une soirée dans un hôtel de charme, où Alexis va les rejoindre. Il va enfin assister à ce qu’il avait rêvé, même au-delà, Alexis se révélant un amant et une maîtresse que le couple partage.


On les retrouve dans le lit, tous trois, reprenant leur souffle après une séance plus que chaude où chacun a trouvé sa jouissance.



_______________________________





« Quel bonheur… Jamais dans mes rêves les plus fous je n’avais imaginé une telle nuit ! » pense Marc, qui construit déjà la scène suivante où Alexis et lui vont prendre Anne en sandwich.

Il est encore dans son nirvana, et les dernières paroles de sa femme qui lui promet les plaisirs les plus surprenants y participent lorsqu’une sonnerie retentit : c’est le portable d’Anne. Elle bondit. À 2 h du matin, les appels sont rarement pour vous annoncer de bonnes nouvelles.



Alexis et moi somme silencieux, suspendus à ses lèvres.



Long silence. Elle raccroche.

Bien sûr, elle voit dans nos yeux l’inquiétude que ses questions ont créée.



En quelques minutes tout est rangé. Finie la nuit d’orgie. Le retour à la réalité est brutal. Nous laissons Alexis dans la chambre avec mission de régler l’hôtel et le restaurant.


Heureusement, ma belle-mère n’a qu’une fracture à la clavicule en plus de quelques hématomes ; c’est la bonne nouvelle.

La mauvaise, c’est qu’Anne propose à son père de venir s’installer à la maison pendant quelques jours. Le pauvre malheureux ne sait même pas faire cuire des pâtes. Mais oui, cela existe ! La suivante, c’est que sa mère le rejoint, le temps que la cicatrisation se fasse.

Nous voilà avec deux enfants supplémentaires. De ces enfants qui restent dormir et que vous ne pouvez pas envoyer au coin lorsqu’ils vous gonflent.


Attention, j’aime bien mes beaux-parents. Ils sont sympas et ont accepté le rustre que j’étais comme gendre, comme un fils. Mais… Mais… ils tiennent de la place. La journée, je bosse et le beau-père aussi. Ma femme doit donc s’occuper des enfants qu’elle a en garde et de sa mère très handicapée par une épaule en attelle.


Évidemment, nous leurs avons cédé notre chambre, et nous couchons sur le clic-clac dans la chambre contiguë, petite chambre qui sert aussi de garderie. Mais le problème n’est pas là ; il est ailleurs. Jamais nous n’aurions… Le problème, c’est que la cloison qui sépare les deux chambres est mince, très mince, et laisse passer tous les bruits.

Oh, non, ce n’est pas ce que vous pensez ! Vous pensez qu’à côté, ils ronflent ? Non.


Vous pensez alors que cette promiscuité bloque notre vie de couple et que, de peur de se faire remarquer, nous faisons l’amour en silence, donc tout en retenue ? C’est un peu vrai, mais pas uniquement.

Le problème, c’est que mes beaux-parents font l’amour tous les soirs, et même quelquefois le matin. Le problème, c’est qu’ils ne savent pas que nous entendons tout. Eh oui, nos parents font l’amour. Ils ne nous ont pas trouvé dans une pochette surprise, et le bec de la cigogne c’est en réalité le sexe du papa qui joue avec maman.


Cela gêne beaucoup ma femme qui refuse de leur faire une remarque. Moi, un peu moins. Moi, ce qui m’épate, c’est la différence de comportement de ma belle-mère. D’ailleurs, je la regarde maintenant avec un autre œil. Elle n’est plus seulement la mère de ma femme, mais est devenue une femme à part entière. Une femme dont les courbes sont agréables à l’œil. Une femme qui aime se faire baiser par son mari et bien d’autres choses, d’ailleurs. Ce n’est pas moi qui l’invente, non : je l’entends, presque chaque soir, encourager son mari pour qu’il la prenne.

C’est la même femme que nous retrouvons, au petit déjeuner, dans sa robe de chambre défraîchie et qui houspille son mari afin qu’il ne traîne pas.


Stop. Arrêtez. Vous avez des pensées immorales. Vous êtes en train de penser « Il va se faire sa belle-mère… » Jamais. Jamais. Ses petits cris d’encouragement ou la voix de son mari qui la félicite par un « Tu pompes comme une reine ! » me la rendent plus humaine, c’est tout.

Respect à la famille. Point barre !


Par contre, cela bloque la libido d’Anne. Moi, au bout de quelques fois, la surprise passée, les joutes amoureuses de mes voisins ont plutôt tendance à m’inspirer. Mais ma femme est totalement imperméable à cette excitation. Alors ?

Alors, j’ai innové. La salle de bain, la radio en marche, ou l’eau qui coule créent un bruit de fond qui rassure Anne. Nous avons retrouvé des plaisirs oubliés.


L’attendre à la sortie de la douche, la queue déjà au garde-à-vous, hommage à sa beauté, c’est un bon début. La soulever et la poser sur le plan pour la sucer et plonger dans son intimité la réveille. Lui donner mon dard douloureux de bander afin qu’elle me pompe et recueille mon jus, c’est mieux.

Mais il faut un bien à ce mal : la rareté ne nos ébats les rendent plus forts, et je peux la baiser longuement, jouir, et la reprendre sans débander.

Mais tout de même, c’est un mois bien triste : passer des bras d’Alexis – avec un avant-goût de ce qui nous attendait – à la froideur d’une salle de bain, c’est dur.


Vingt-huit jours ! Ils sont restés vingt-huit jours. Pendant tout ce temps, pas question de rencontrer Alexis, même chez elle. Anne avait la tête ailleurs. Pourvu que nous puissions reprendre cette nuit si chaude et si prometteuse !

Leur départ, le 30 juillet, a coïncidé avec le début de nos vacances.

Enfin seuls. Malheureusement, Alexis est partie avant nous et il faudra attendre septembre pour des retrouvailles. Enfin, si elle est toujours libre.



Le premier août, nous retrouvons ce camping gigantesque, véritable ville dans les Landes. C’est très grand, mais bien structuré. Par exemple, un quartier est réservé aux couples sans enfants. Notre bungalow est dans cette zone. Les cris de marmots, ma femme connaît toute l’année ; et même si elle les adore, les vacances c’est fait pour changer.


C’est la deuxième année que nous venons. Les cris d’enfants sont remplacés par des discussions autour des barbecues et même des bruits qui s’échappent des autres bungalows, tard dans la nuit ou pendant la sieste. Mais ici c’est différent. Ce ne sont pas des parents qui baisent et se laissent aller. Ce sont des voisins que l’on croise le lendemain avec des petits sourires aux lèvres si les cris se sont propagés, déclenchant des échos dans les chambres des voisins. C’est sympa, super, mais reste sage.


Anne adore l’eau. Elle nage comme un poisson et peut passer des heures à aligner des longueurs pendant que je me prélasse dans un transat à la regarder. La regarder bien sûr, mais aussi les autres. C’est aussi fait pour ça, les vacances.


C’est en plein cagnard que la piscine est la moins occupée. Aussi, à l’ombre, un verre et un journal à la main, je regarde mon épouse nager sans que des gamins ou des « emmerdeurs » bloquent sa ligne. Je somnole, accablé par la chaleur et aussi le rosé de midi.


Elle nage. Elle nage. Ah ! Elle fait une pause, allongée mais retenue par les mains au bord du bassin. Un jeune con plonge et s’approche d’elle. Je pense qu’il s’excuse de l’avoir aspergée. Je l’imagine, bien élevée, lui répondre que « ce n’est pas grave, que la piscine est à tout le monde, qu’il fait beau, etc. »

Ils bavardent. Un moment. Longtemps. Je vois même qu’elle montre du doigt dans ma direction. Allongé, les lunettes de soleil rivées sur les yeux, je dois donner le spectacle du mari qui somnole.

De quoi peuvent-ils bien parler ? Quelle conversation peut durer si longtemps entre ma femme, la quarantaine, et ce garçon qui doit avoir 25 ans à tout casser ?


Enfin il sort du bassin. Il passe devant moi qui fais semblant de dormir, un sourire aux lèvres que je n’apprécie pas. « Jeune con, tu te crois plus malin parce que tu es jeune ! »

Anne reprend ses longueurs mais ne s’attarde pas. Elle vient s’allonger. Je continue de faire semblant de dormir. C’est seulement au bout de quelques minutes que je fais mine de me réveiller.



Elle me donne de petites claques amicales. Je l’attrape dans mes bras et la câline un peu.



Elle me montre le jeune qui est passé devant moi et qui s’est assis un peu plus loin.



J’insiste.



Et, en l’attirant à moi, je lui glisse à l’oreille :



J’adore lorsque ma femme, surtout depuis que je l’ai entendue s’éclater avec son amant, se transforme en petite fille honteuse de ses pulsions.



Et elle baisse les yeux.



Plus que le sexe physique, le penser procure un plaisir et une excitation extraordinaires.


Anne sait, depuis plus d’un mois maintenant, mon attirance pour le candaulisme. Elle sait que la découverte de mon cocufiage a été une joie et non pas un déshonneur pour son mari. Mais c’est tout nouveau, et la présence de ses parents a cassé le ressort de notre première nuit. Cette nuit apparaît maintenant comme un rêve, et elle doit se demander si tout cela a bien existé.


« Quelle femme n’apprécierait pas la proposition de ce garçon, jeune, bronzé et entreprenant ? ». Mais Anne n’est pas foncièrement infidèle. Si elle a succombé à Alexis et à son charme, c’est probablement du fait de la bivalence de cette maîtresse, et notre partie à trois a été trop brève pour que les nouvelles approches de notre sexualité soient « gravées dans le marbre ».


Je la regarde. Elle est si près de moi que sa peau fraîche et encore humide me donne des frissons. Elle a son visage de femme sage, presque timide, à qui on donnerait le bon Dieu sans confession. Mais c’est bien ce visage, et cette bouche que j’ai vue pomper un autre dard que le mien et, mieux encore, encourager son amant avec des mots crus.

Ces pensées réveillent un serpent endormi, et l’étroitesse de mon maillot ne lui laisse pas assez de place pour s’ébrouer.

À nouveau, je me penche vers ma femme et lui dis dans l’oreille :



C’est le plus beau des sourires de ces lèvres, que je vois déjà emboucher ma verge, qui m’accompagne alors que je me lève, cachant cette érection derrière ma serviette de bain.


Quelques minutes plus tard, ma conviction est faite : ce jeune gars n’a pas seulement déclenché de la fierté chez ma femme, car la liqueur que son con transpire n’est pas de l’eau de piscine, mais une bien agréable humidité que seuls l’envie et le plaisir sécrètent.

Je comprends qu’Anne me rejoigne dans mes fantasmes et suis le plus heureux des hommes.

Mais déjà je calcule, j’imagine, j’organise la suite. On ne se refait pas. Je suis un cérébral, et pour moi le sexe est autant dans l’acte que dans la préparation.


Par exemple, alors que j’aurais envie de la prendre encore et encore, usant de son corps et de ses orifices, je me retiens dans un sacrifice qui est proche de l’investissement. Pourquoi ? Mais réfléchissez un peu… Anne a rendez-vous ce soir. Elle ne le sait pas encore, le souhaite peut-être, mais moi je sais que nous serons à minuit au bar de la boîte. Et je la veux réceptive aux futures avances de ce garçon. Si je l’épuise tout l’après-midi par des jeux amoureux, la rencontre pourrait tourner au fiasco.


Ne rigolez pas. Ne vous moquez pas de moi. Je n’ai pas la prétention d’être un amant hors du commun, mais je connais Anne et, comme tout le monde, elle sature au bout d’un moment. Il n’y a que les nymphos ou dans les films X que la femme est toujours demandeuse.

Donc. Une fois et c’est tout. Je la bourre longtemps, éjacule dans sa chatte puis l’abandonne sous un prétexte quelconque. Je me punis moi-même mais, comme je le disais, cette privation est un investissement pour ce soir.


Ensuite je l’entraîne en ville où je lui propose d’acheter une robe dans une de ces boutiques qui proposent du lin d’une blancheur éclatante. Longuement elle hésite. Toutes sont de parfaites parures d’été, légères et aériennes. Rien de vulgaire ou d’outrageusement décolleté. À peine transparentes, mais c’est l’été et les femmes se permettent des fantaisies que le soleil et la plage suggèrent. Je fais juste une plaisanterie devant la succession de boutons qui ponctuent la robe de haut en bas.



Anne me regarde, mais ce n’est rien de la jeune et pulpeuse vendeuse, bronzée à faire pâlir un habitant du Sénégal, publicité vivante avec sa jupe et son chemisier d’un blanc immaculé.



Nous la prenons, bien sûr, et en mon for intérieur je me propose de revenir pour vérifier si la reine du bouton n’en a pas un, plus discret, plus personnel, qui pourrait être exploré.

Le reste de l’après midi et de la soirée sont consacrés au soleil, aux cocktails et au repas arrosé. Vous savez combien je compte sur CH3-CH2-OH pour désinhiber Anne, et je pense avoir bien fait mon devoir lorsque, de retour au bungalow, je la surprends à faire une toilette intime et un grand ménage que la présence de ses parents et une sexualité de rentier rendaient nécessaires.


Elle est magnifique, lumineuse dans cette robe blanche que la lumière teintée d’UV rend remarquable.

Elle est prête. Moi aussi bien sûr, impatient de voir comment cela va se passer. Déjà nous remarquons que le gars attend au bar, certain de son succès ? Le fou ! Que connaît-il aux femmes ? Aux vraies, celles qui ont de l’expérience. Déjà je m’inquiète et pense que si ce jeune insolent n’est pas à la hauteur, il va me tuer dans l’œuf une amoureuse que je destine à de nombreuses expériences.

Mais c’est Anne qui s’arrête. « Merde, elle a peur et va reculer ! »

Le gars ne nous a pas encore remarqués. Elle m’entraîne à l’écart.



Que répondre, alors qu’elle va tout à fait dans mon sens ?



Je suis sur le cul. Anne m’énumère tout son programme avec des détails et une précision qu’elle ne peut pas avoir imaginés en quelques minutes. Je n’aurais pas fait mieux. Et cette idée du somnifère ! Géant, grandiose, digne d’une Régine Deforges, auteur en avance sur son temps.


Le gars est tout étonné de voir Anne accompagnée, mais il reste prudent. Si elle est venue, il doit bien y avoir une raison. Nous bavardons. Je leur propose de danser. Il n’est pas nécessaire de danser le slow pour que la sensualité transpire. Assis au bar, un verre à la main, je regarde de loin, jouant le rôle que ma femme m’a attribué. De temps en temps ils reviennent, en sueur, de plus en plus complices. Lui, Damien, surtout se laisse aller à des gestes familiers, sentant que ce mari est déjà bien alcoolisé et somnolent.


Arrive une série de slow. L’évidence est là. Le gars sent bien qu’Anne se laisse faire, indifférente à son mari toujours assis au bar. Mais il hésite. Il voudrait l’entraîner et lui montrer ce qui fait une bosse entre ses jambes, cette bosse qu’elle ne refuse pas contre son ventre.

Ils reviennent pour une pause.



Je continue :



Et, prenant Damien à témoin :



Il est sidéré. La voie lui est ouverte. Et ce mari qui lui laisse sa femme en garde !



Je les quitte, non sans avoir embrassé ma femme d’un léger baiser sur les lèvres. Je marche d’un pas peu assuré, riant sous cape, jouant encore le rôle du mari fatigué par trop d’alcool.

Mais dès que le chemin tourne, je me redresse et m’empresse de contourner le club pour aller me cacher dans l’ombre. Si Anne brille, tache blanche dans cet océan de gris, moi je suis invisible dans cette chemise noire et mon jean sombre. Je comprends que ma femme avait même pensé à ce détail lorsque, mine de rien, elle avait sorti mes vêtements de la valise.


Le couple ne s’attarde pas sur la piste. Je ne sais si c’est elle ou lui, mais ils se dirigent main dans la main dans le bois qui borde le night-club. Discrètement je les suis. Ombre parmi les ombres avec cette tache blanche qui me sert de repère. Ils ne sont pas les seuls à chercher un coin propice aux ébats, que j’espère agités, car nous passons près de couples en action.


Enfin ils s’arrêtent et je peux me rapprocher. Ils sont au bord de la plage, la lune basse sur l’horizon les éclaire à contre-jour et le bruit de la mer me permet d’approcher sans bruit.


Ils s’embrassent fougueusement. Damien lance ses mains à l’assaut. Anne lui facilite le passage. Mais elle s’écarte. « Oh non, elle va partir ! Elle ne va pas laisser sa raison l’emporter ! » Mais si. En réalité, d’un geste elle fait glisser sa robe pour se retrouver nue face à son cavalier… Son amant… Il comprend qu’il doit profiter, tout de suite, de ce moment de faiblesse.


Il la pousse doucement contre un chêne-liège et tombe à ses pieds. Aussitôt il plonge entre les cuisses, et malgré la pénombre on peut voir sa langue se tendre vers la chatte qui l’attend. Ma femme prend la tête de son amant pour guider son plaisir et, les épaules en appui sur l’arbre, elle fléchit les jambes en les écartant pour se livrer aux caresses. Pendant ce temps, les mains de Damien montent pour prendre les seins à pleine paume et tordre les tétons entre les doigts. Anne ne tarde pas à atteindre sa jouissance, et je me félicite de mon travail de mise en condition. Je sais que son jus va être abondant et que Damien va pouvoir le goûter.


Ils reprennent leur souffle. C’est au tour de ma femme de pousser son amant contre l’arbre et, d’un geste adroit, elle sort la verge compressée du pantalon. Ce n’est plus le petit morceau de chair que l’on voit à la plage, mais une belle bite bien raide, fièrement tendue. La bouche de ma femme se fait un plaisir de la sucer pour en prendre la dimension. J’attends qu’elle la fasse disparaître dans sa gorge comme elle le fait avec moi, mais non. Elle recule. Elle hésite. Non, elle revient et s’applique à recouvrir la queue de grandes coulures de salive. Elle se redresse et guide la verge entre ses seins, les serrant l’un contre l’autre pour former un fourreau de douceur. Oh ! Je sais combien c’est bon de sentir sa queue coulisser ainsi !


C’est au tour de l’homme de fléchir les jambes pour faire coulisser sa queue dans ce chemin. Que c’est beau une femme qui donne du plaisir ! C’est encore meilleur lorsque cette femme est sa propre épouse et qu’on peut la voir perdre la tête et donner du plaisir à un autre. Le garçon jouit. Son sperme macule les seins, le cou et même le visage de sa maîtresse. Ils cherchent à faire disparaître la preuve de leur plaisir mais ne trouvent rien dans les poches. Le string d’Anne, ce petit bout de tissu, suffit à peine pour enlever le principal. Le reste doit former une seconde peau qui va sécher, mais en laissant une trace suspecte, preuve de jouissance masculine, humide et collante.


J’arrive en courant au bungalow. En une seconde je me déshabille et me couche, tirant un drap sur mon corps nu. J’essaye de reprendre mon souffle pour donner l’apparence d’un mari endormi.

Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre.



La première chose qu’il voit dans la pièce, c’est le lit avec moi dedans, essayant de respirer au rythme d’un dormeur.



Cette lampe que j’ai essayé d’orienter afin qu’elle laisse mon visage dans l’ombre, en produisant un contre-jour.



Le garçon ne réplique pas de peur de paraître timoré face à cette femme sûre d’elle. À travers mes cils, je le vois reprendre son rôle d’amant, essayant d’oublier le mari qui dort juste à côté.

Il ne reste pas beaucoup de boutons à défaire et le slip avait déjà fait son office, mince pièce de tissu que ma chère épouse, dans sa grande bonté, a laissé tomber à quelques centimètres de mon visage. J’y sens l’odeur de la jouissance, de cette humidité si caractéristique de la cyprine, et surtout celle du sperme que le tissu a ramassé entre ses seins. Je me retiens de ne pas l’attirer à moi pour mieux le sentir.

Mais mon rôle est passif, ainsi l’a décidé mon épouse. Regarder, profiter, mais pas d’initiatives. La laisser faire.


En peu de temps les deux amants sont nus, et le jeune montre à nouveau une belle érection. Comme tout mari candauliste, je suis fier de l’effet produit par mon épouse.

Les baisers reprennent, les caresses fusent. Je ne sais qui est le plus entreprenant. Ma femme qui tient le membre dans sa main et le branle doucement comme s’il était encore nécessaire de l’exciter. Ou bien, ce garçon, pas si inexpérimenté que cela et qui sait où caresser, flatter, palper un corps de femme.

Bientôt Anne rend grâce. Elle demande une capote au garçon et recouvre le vit conquérant de la mince couche protectrice, puis s’allonge sur le lit, en levrette, en disant :



C’est assez surréaliste. Anne est juste à côté de moi, mari condamné à dormir, regarder et subir. Pour un peu, il suffirait qu’elle tire sur le drap pour faire apparaître l’érection monumentale que sa présence et son attitude inspire.


Elle sait que je les vois, même si mes paupières sont presque closes. Elle me regarde avec cette lueur de défi que j’ai déjà vue dans ses yeux la fameuse nuit.

Sa tête me cache ce qui se trame derrière elle, mais le lit bouge et je vois le torse du garçon apparaître dans l’axe. Une oscillation, et ma coquine de femme souffle un « oui » qui en dit long. Il est entré, et j’imagine qu’il a trouvé un vagin humide et gras de toutes ses excitations.

Aussitôt il remue. On sent l’envie de montrer à sa maîtresse, femme plus mûre, que c’est un homme, un vrai, un conquérant, et que sa queue va lui apporter toute la jouissance que ce mari qui dort ne lui donne pas.



Il ralentit, prend un rythme plus lent mais aussi plus profond. Je vois bien qu’Anne oscille d’avant en arrière pour accompagner le mandrin.

Oh ! Je sursaute : elle a passé une main sous le drap pour toucher ma bite qu’elle trouve, bien sûr, en parfaite forme.



Et Anne se penche sur ma queue pour me sucer.

Damien est-il assez crédule pour croire ce qu’Anne lui a conté, un mari qui dort, abruti par les cachets et l’alcool ? Ou bien est-il le complice bien complaisant d’un jeu que notre couple lui propose ?

En tout cas cela ne le perturbe pas et, délice suprême, je sens ses avancées par la bouche de ma coquine d’épouse. Je ne peux pas retenir certains grognements. Après tout, on a bien le droit à quelques manifestations pendant un rêve.

Anne cesse de me pomper et se dégage de son amant.



La friponne vient sur moi et s’embroche sur ma queue. Inutile de préciser que c’est un pot de crème dans lequel je coulisse. Putain, qu’elle est bonne ! Je voudrais la coucher sous moi et la baratter pendant des heures.

Mais elle s’allonge maintenant et me parle à l’oreille.



Le lit bouge à nouveau. Anne est couchée sur moi et je vois son amant se placer.

Jeune mais expérimenté car il a la délicatesse de saliver sur la rosette et, en voyant son bras bouger, je l’imagine préparer la rondelle offerte. Si je ne me retenais pas, je placerais mes mains sur les fesses de la femme pour lui ouvrir le cul.


« Nom de Dieu… Il va le faire. Je vais le voir. Je vais le sentir. Cela va être encore meilleur que si c’était moi qui l’avais demandé. C’est Anne qui me fait ce cadeau. »

Je suis aux premières loges. Ma queue est une sonde qui capte tout. Le souffle d’Anne dans mon cou respire l’attente, mais aussi l’inquiétude de cette aventure nouvelle pour elle et pour moi.

Cette queue qui se frotte à mes couilles est la bienvenue. J’imagine que le gland fore l’anus lorsque ma femme expire avec force. Ensuite, je sens la lente progression du mandrin, accompagnée d’un souffle chaud et régulier sur ma peau délicate de l’oreille.

Je sais et je sens que le cul est totalement occupé lorsque des couilles inconnues viennent se frotter aux miennes. Inconnues, mais non hostiles. Elles font connaissance, bavardent, comparent, mais en réalité ne sont que des adjointes du bâton dur comme un mât de bateau.

Anne reprend vie. Elle me parle. Que c’est bon, cette complicité et sa transformation – juste pour un instant – en salope, en chaude du cul qui se fait mettre par un autre.



Puis, plus mutine :



Ahhh. Le jeunot s’impatiente. Il ne veut pas faire de figuration. Maintenant qu’il est en place, il ne rêve que d’en sortir, pour réinvestir, encore et encore…

Mais c’est Anne qui s’y colle. Sur nos deux vits complices et dressés, elle s’empale sans vergogne. C’est une maîtresse déchaînée qui bientôt clame son plaisir. Les voisins vont nous regarder d’un drôle d’air demain matin, mais au diable la retenue.

C’est une sensation étrange de partager les entrailles de sa femme. Mais, bordel, quel plaisir !

Je crache mon jus, discrètement, tenant jusqu’au bout mon rôle de mari dormeur. L’enculeur résiste plus longtemps mais il a l’avantage d’avoir déjà craché sa purée un peu plus tôt dans la soirée.



Rien n’est meilleur que des instants pareils.

Bien sûr, il la prévient.

Hasard, ou suprême perversité d’Anne, elle se place tout près de mon visage. La semence jaillit, puissante et généreuse. Une partie tombe sur ma figure. J’en ressens la brûlure comme une marque au fer rouge. Le fer du mari cocu, trompé, abusé par les amants. Mais ce sont des brûlures bien douces, et le spectacle de ma femme recevant un hommage masculin entre ses lèvres transforme la crème en baume. Je me souviens de sa promesse de me faire sucer et boire jusqu’à la lie la queue de sa maîtresse. Mais Alexis est loin, et son fantasme risque d’attendre.

Anne, perverse jusqu’au bout, étale le produit égaré sur mes lèvres. Mais je suis un acteur modèle et un mari obéissant, surtout lorsqu’on vient de m’offrir le plus beau des cadeaux par ce spectacle.


Les amants se séparent. Damien, enchanté, veut recommencer demain ; mais Anne, toujours pleine de surprises, refuse, sauf s’il a une amie qui peut s’occuper de moi. Quelle charmante attention… Décidément, elle se révèle pleine de ressources.

Porte refermée, je la remercie et la félicite pour ce charmant stratagème.

Un peu plus tard, le sommeil arrive, peuplé de rêves érotiques et de plaisir.


Il n’a pas perdu de temps. Dix heures à peine, et Damien envoie un SMS à ma femme, que je reporte en bon français :


Rendez-vous, au bar vers minuit. Je viendrai avec une copine.


Chapeau pour ce gamin. Je pense qu’il n’a pas été dupe de mon sommeil.


La journée s’étire en longueur, d’autant que je réserve mes forces pour ce soir. Anne est encore plus impatiente que moi. Au moment de s’habiller, si j’avais un doute sur ses envies, il est levé car elle ne s’embarrasse pas de lingerie. Nue sous la robe blanche. Nue sous cet étendard qui fait un repère magnifique dans la nuit. Et devant mon sourire qui lui aussi en dit long, elle me dit :



Au bar, Damien est seul. Il nous rassure en disant que sa copine va arriver un peu plus tard, et sans plus attendre entraîne ma femme pour une série de danses amoureuses.



« J’ai déjà entendu cette voix… » Je me retourne pour me retrouver face à une flamboyante rousse qui n’est autre qu’Alexis.



Elle ne me répond pas mais enchaîne :



Il se penche vers moi et discrètement ajoute :



D’un seul coup je me sens mal à l’aise ; c’est un comble : moi, le mari, je me sens gêné que la maîtresse de ma femme constate que celle-ci la trompe avec un homme. La situation est des plus ironiques. Je cherche des excuses.



Mais il n’écoute pas. Je m’attends à un esclandre.



Je ne suis pas ivre, mais j’ai l’impression que mon cerveau est devenu de la gélatine. Les paroles d’Alexis mettent un temps fou pour être vraiment comprises.



Anne saute au cou d’Alexis dès qu’elle le voit, mais ne paraît pas surprise. Je la prends par le bras et l’entraîne.



Le rappel de cette soirée mémorable ne peut que m’encourager. Quelques danses où Anne batifole de Damien à moi, jouant la séductrice sur chacun. À un moment elle est avec Alexis, abandonnant l’amant et le mari au bar.



Heureusement les amants reviennent. Tout le monde est bien chaud, et lorsqu’Anne propose d’aller à notre bungalow, personne ne traîne. On ne sait plus très bien qui est avec qui. Anne la bienheureuse évolue entre son mari, sa maîtresse et son amant. Dans sa grande bonté, elle me confie Alexis alors qu’elle avance devant nous bras dessus bras dessous avec Damien.


Mais dès la porte de la chambre fermée, ils se jettent l’un sur l’autre, et en une seconde ils sont nus. Anne pousse Damien sur le lit et, telle une gourmande privée de bite depuis des lustres, elle se jette sur le gourdin. Je ne me plains pas de sa générosité car c’est ce que j’ai toujours aimé voir.


Alexis se prête aussi à mes avances. Elle comprend mon intérêt pour ma femme et ne se formalise pas si je regarde aussi à côté. Nous aussi sommes nus. Enfin, en réalité Alexis a toujours cette culotte rouge, dernier rempart de son mystère. Même si je sais ce que je vais découvrir, je suis encore étonné de ce pubis qui ne se prolonge par aucune protubérance que son état demande. La bande de tissu rouge qui disparaît entre ses cuisses présente un renflement qu’un sexe féminin parfois généreux pourrait justifier. Allongé sur le lit juste à côté de Damien, son amant partagé, il soulève ses fesses afin que lorsque je tire sur la culotte, elle glisse facilement.


À nouveau, à près de quarante jours d’écart, j’ai le plaisir de voit apparaître sa verge. Petite colonne de chair, écrasée et martyrisée par la pression du tissu qui la plaque dans la discrétion de l’entrecuisse, enrobant par la même occasion les deux bourses ratatinées. Tout est collé malgré la disparition de la geôlière.

Encore une fois je saisis d’un doigt délicat le sexe pour venir le poser sur le pubis, lui donnant un aspect plus mâle avec les deux bourses encore fripées, mais dans la position que la nature leur a imposée.


Je vois bien qu’Anne me regarde tout en pompant son mec. Je sais ce qu’elle pense. Je sais ce qu’elle veut. Son regard me parle. Moi aussi je veux essayer. Alexis écarte les jambes, reposant ses pieds sur le lit, m’offrant ainsi largement son intimité.


D’abord je plaque mes mains sur ses cuisses, puis c’est ma langue qui fait le premier contact. La rondelle, entrée de la chatte de cette femme particulière, découvre ma caresse. Je m’attarde tout autour du bourrelet, lui faisant ce que ma femme appelle sa langue de pute, la langue qui lèche le cul, la feuille de rose. Cela suffit pour que la verge s’éveille et que les bourses se déplacent. Puis je ne résiste pas au plaisir de pousser un pouce dans l’orifice déjà entrouvert par mes simples attouchements. Bien sûr, il entre dans ce chemin qui a largement abandonné le statut de chemin vicinal pour atteindre le niveau d’autoroute. Autoroute du Sud, autoroute des vacances et du plaisir.


Maintenant je m’essaie aux couilles et les lèche comme des bonbons. C’est facile de les gober à tour de rôle alors qu’elles cherchent à m’échapper pour se placer au plus près de la queue.

La queue, je la remonte aussi, centimètre après centimètre, prenant bien soin d’y abandonner des tonnes de salive. Enfin j’atteins la base du gland, de ce gland qui m’avait surpris la dernière fois, pointe monstrueuse, tel un champignon rose et délicat.


Voilà, j’en ai fait le tour. La queue, vue de près, me paraît un monstre, un baobab avec un tronc énorme. Ainsi c’est cela la vision qu’a une femme lorsqu’elle pompe la queue aimée.

Un regard à côté et je constate que si ma femme ne me quitte pas du regard, elle a abandonné sa position de prêtresse pour se transformer en cavalière chevauchant son amant, la chatte harponnée sur sa bite.

Un sourire, un encouragement, une parole muette : « Oui, fais-le » et mes lèvres s’entrouvrent pour gober le gland. Une goutte de liquide donne un goût neutre et je m’applique à l’introduire au plus profond de ma bouche. Ma langue entoure le sillon et je sens la queue frémir. C’est comme un déclic. Mes lèvres coulissent si loin que le gland vient buter au fond de ma gorge, mais cela ne me gêne pas, au contraire. Je sens le dard vibrer, alors je pompe, j’aspire, je tresse des liens de salive qui transforment ma succion en bruits gras et obscènes.


À côté de moi, Anne, qui me regarde toujours, se baise sur son amant, excitée par le spectacle que son mari lui offre. Moi aussi je bande. Difficile à dire si c’est par ce que je fais ou grâce à ce que je vois. Les deux sans doute, mais d’y réfléchir me rappelle un fantasme que je n’ai pas pu réaliser le fameux soir.


Je me lève et tire Alexis du lit pour l’amener derrière ma femme. D’un geste, je lui demande d’attendre. Attendre juste le temps pour moi de sortir mon appareil photo. Cette fois-ci, je veux mettre toute les chances de mon côté et garder un souvenir vivant d’un rêve réalisé.


Il comprend. Anne s’est spontanément penchée sur son amant. La queue que j’ai préparée, luisante de ma salive, s’approche. Cette fois-ci, mon appareil est plus facile et le zoom plus efficace. Je ne veux pas en perdre une miette et pouvoir montrer plus tard à ma femme la lente avancée de la bite dans son cul. Son anus qui ne résiste pas et que les muscles relâchent pour l’ouvrir à l’assaut. La lente progression de l’animal étranglé par le sphincter mais qui inexorablement trace son chemin. Mais aussi ce doux piston qui, sous prétexte de reculer, permet à Alexis d’avancer un peu plus à chaque fois.


Anne soupire, et son visage que je saisis montre toute la rudesse de son enculade. La queue d’Alexis joue dans une autre catégorie et, si elle a déjà emprunté ce chemin, j’ai le souvenir d’Anne lui criant de l’enculer. Jamais sa chatte n’a été occupée comme tout de suite. Hier, avec Damien et moi, c’était une pâle répétition.



Puis, s’adressant à moi :



Enfin la queue est à destination. Les trois corps n’en forment plus qu’un, soudés l’un à l’autre par ces deux chevilles vivantes qui palpitent dans les entrailles d’Anne. Maintenant qu’elle est prise, elle me regarde avec son air de défi et je filme un long plan.


Je pars du visage de Damien, descends le long de son corps pour entrevoir la base d’une bite qui disparaît dans ma femme. Je remonte le long du corps d’Anne, insistant sur la poitrine pendante que Damien vient presser et caresser, faisant pointer les tétons excités, puis j’atteins son visage. Elle a perdu cet air de défi, et j’y trouve les traits d’une femme déjà dans son plaisir. La descente sur le dos, sur les reins et les hanches qu’Alexis à empoignées, la lente découverte de cette queue qui encule et qui veut bien se montrer découverte, brillante, avant de disparaître en ne laissant que des couilles gonflées comme trace de sa présence. Enfin, je remonte suivant le corps d’Alexis et, là aussi, je m’attarde sur ce qui étonne après ce que nous venons de voir : une paire de seins de toute beauté, ignorant la pesanteur. Comme preuve de l’existence de ces merveilles, je tends une main pour en envelopper un et pincer délicatement le téton. Mon plan s’arrête là, me souvenant que la dernière fois Alexis m’avait demandé de ne pas filmer son visage.


Pendant ces très longues secondes, les trois complices se sont réveillés. Chacun cherche à imposer son rythme, mais Anne a mis ses deux amants d’accord : c’est elle qui se charge de se baiser sur eux. Je filme de près l’apparition des deux queues, deux tiges soudées, montrant aussi les deux paires de couilles qui se frottent, puis leur disparition lorsque ma femme descend pour venir s’enchâsser un peu plus à chaque fois.

Le spectacle est magnifique. Cette montée et cette descente des fesses, alors qu’en même temps elle ondule du bassin comme la plus douée des hardeuses modernes ou de ces femmes romaines, prostituées ou adultères que les mosaïques d’époque montrent en action.


Ma queue est un bâton douloureux et je me caresse doucement pour la calmer. Vraiment, il n’y a rien de plus beau que ma femme prise par ses deux orifices et qui m’offre la vision d’une maîtresse que le plaisir ravit.

Soudain une idée me vient. « Et si j’allais enculer Alexis, devenant l’amant de l’amant ? Non, plus tard. » Oui, je sais, le top du top, le fantasme impossible en temps normal et que je ne pourrai peut-être plus jamais réaliser.

Je bondis. Marche sur le lit en essayant de ne pas déstabiliser le trio, enjambe Damien, fléchis les jambes et propose à ma femme ma queue à sucer.

Putain, ce regard de cochonne qu’elle me jette avant de me prendre entre ses lèvres…


Voilà, prise de partout, prise par tous les trous. Le bonheur du candauliste. Le nirvana du mari complaisant. Alexis, juste en face de moi, sourit et me fait un clin d’œil.

Maintenant Anne s’active pour le bonheur de ses trois amants et des trois queues qu’elle suce et pompe par la bouche, par le con et par le cul.

J’ai bien du mal à continuer de filmer, le lit se balançant sous les mouvements de nos corps.

Pourtant, lorsque je jouis, j’ai la présence d’esprit de zoomer sur ma queue et les lèvres de ma femme laissant échapper des traînées de mon sperme.


Déjà, en cet instant, Anne jouit. J’en veux pour preuve la frénésie avec laquelle elle se baise et sa façon de garder la bouche ouverte comme pour chercher de l’air, me montrant le visage d’une femme, les traits tirés et du foutre coulant sur son menton. Le tableau est idyllique. Merveille de la nature humaine, preuve de l’imagination sans bornes de l’humain pour assouvir ses passions et atteindre l’orgasme tant désiré.

Enfin, tout ce que son corps ressent sort par un râle sourd qui la libère.

Ses amants continuent encore de s’activer en elle ; Damien jouit dans sa capote et Alexis, toujours amant privilégié et « safe », crache sa sauce dans le cul d’Anne.


Il faudra quelques minutes pour que le trio se décompose. Le lit est presque trop étroit pour nous recevoir tous les quatre. Comme il fait une chaleur d’enfer, je propose d’ouvrir la porte après avoir éteint la lumière et d’aller sur la petite terrasse.


Il est très tard, et aucune lumière ne transpire des bungalows voisins. La terrasse n’est éclairée que par la lune derrière des nuages, les éclairages du camping étant éteints par économie d’énergie. Alexis et Damien s’installent dans les fauteuils d’osier ; Anne et moi, après avoir apporté des rafraîchissements, sur la petite table basse.

Le camp est silencieux ; on entend seulement le ronflement lointain d’un dormeur. Personne ne trouble cette quiétude laissant nos corps s’apaiser et se rafraîchir.



Puis elle reprend :



Bien sûr que je me souviens de ce qu’elle m’avait avoué la fameuse nuit. À quoi bon répondre ?

Elle me pousse pour me coucher sur la table basse, si peu grande que mes fesses et ma tête débordent. Elle me chevauche, me donnant sa chatte à lécher pendant qu’elle s’occupe de ma verge. J’y retrouve les saveurs fortes de sperme, de jus de femme et de transpiration. Cela m’excite, et déjà je sens ma queue se tendre.

Mais elle ne reste pas longtemps, s’avance sur mon torse et ne maintient ma queue que par une main branleuse. Mes lèvres libérées ne restent ignorées bien longtemps, car Damien vient m’y présenter son sexe. Il pend, petite chose humide et fortement parfumée de son propre sperme. Je m’applique, la pince entre mes lèvres, cherchant à l’étirer tout en léchant le gland.


Quelqu’un s’empare de mes cuisses et les soulève. Anne ? Alexis ? Le dos de ma femme qui est littéralement assise sur moi me cache qui d’elle ou de lui me découvre la raie. Mais par contre, je sais à qui appartient la langue qui vient lécher mon anus. La pointe s’active délicatement, traçant des cercles concentriques pour atteindre mes couilles et remonter à ma queue que ma femme a délaissée. Elle doit se ravir du spectacle de son amant qui me suce et me lèche pendant qu’elle me tient aux chevilles, me forçant à un V ouvert et impudique.


La queue de Damien est au diapason de la mienne, raide. Il est bien moins gros qu’Alexis et ne se gêne pas pour se pousser. Je prends mon rôle de « suceuse » bien à cœur et je caresse ses couilles avec mes mains, jouant d’un doigt autour son œillet.

« Putain, que je peux être excité par ce que je fais ! Jamais je n’aurais pensé que de changer de registre puisse être aussi agréable… »

Alexis me pompe comme un dieu, et mon bâton lui sert de piston dans la gorge. Ses lèvres glissent autour de la tige et…


C’est fait. Sans vraiment prévenir, un doigt est dans mon cul. Il est entré facilement. Je me demande si, moi aussi, mon anus se dilate sous les caresses. Il tourne, vire, s’active alors que la bouche me pompe.

Comme un miroir, de l’autre côté de la table, c’est moi qui pompe Damien. En réalité, maintenant c’est plutôt lui qui se baise dans ma bouche. Moi aussi je lui glisse un doigt dans le cul, et il ne refuse pas ce cadeau. Je me demande comment ils font avec Alexis. Damien est-il toujours l’homme et Alexis la femme ? Ou bien de temps en temps, Alexis utilise-t-il le cul de son amant pour y glisser sa grosse queue ? Dans ce cas, le doigt que je viens de lui mettre n’est rien.


Je vais en engager un autre que mon cul se fait prendre aussi par un ou deux de plus. Je sens nettement le muscle refuser ce supplément, mais pourtant il cède. Je suis écartelé, et ce qui m’occupe tourne à nouveau, crispant les phalanges pour titiller ma prostate.


C’est le moment que choisit Anne pour m’abandonner et retourner dans le bungalow. Elle revient aussitôt, se réinstalle et je comprends la raison de son absence lorsqu’un liquide froid coule de ma queue sur les couilles, puis vers la raie des fesses. Du lubrifiant. Ma chérie a eu pitié du cul de son mari qu’elle devait voir blêmir devant le gourdin qui va s’approcher.

Dans la foulée, elle vient s’empaler sur mon propre gourdin. Ici, pas besoin de lubrifiant : elle ruisselle, ma douce et salope de femme.


Quand je pense que deux mois plus tôt, je rentrais chez moi, ayant abandonné tout espoir de surprendre Anne avec un amant… J’avais tiré un trait sur mon rêve de candauliste, persuadé que ma femme ne pensait pas plus loin que son mari et sa queue, même si elle ne cachait pas son plaisir en se donnant généreusement. Et depuis, que de chemin parcouru ! Et pas des chemins classiques… Alexis, son amant/maîtresse nous donne des combinaisons insoupçonnées… Et le pire – non, le meilleur – c’est la perversité de ma femme dans nos nouvelles relations.

C’est à cause d’elle, grâce à elle, que je suis allongé en pleine nuit sur la table de notre terrasse.


Et si un fêtard passait ! Que verrait-il ?

Un homme qu’une femme chevauche. Un homme dont la bouche est utilisée par un autre comme orifice et s’y baise. Un homme qui sent qu’un gland vient se frotter dans sa raie pour recueillir un peu plus de lubrifiant avant de venir contre l’anus encore occupé par des doigts qui vont bientôt céder la place à autrement plus gros, plus fort, plus long.


Et cet homme c’est moi. Moi, le mari candauliste, qui rêvais de voir sa femme se faire baiser par un autre. Le mari qui a pris sa femme en sandwich, qui l’a filmée il y a seulement une heure, prise par tous les trous et jouissante des assauts de ses trois amants.

Et ce fêtard, s’il s’approche un peu plus, devrait voir ma femme onduler sur mon dard, espérant peut être détourner mon attention. Mais comment penser à autre chose alors qu’un monstre pointe à la porte de mon cul ?


En regardant bien, il pourrait voir mon anus s’ouvrir pour laisser entrer un gland brillant de lubrifiant. Finalement, il entre facilement, déjà bien préparé par les premières caresses. L’homme pourrait voir ce que ma femme regarde avec délice : le cul de son mari entrouvert par la même queue qui l’a prise il n’y a pas si longtemps.


Et toujours cette ondulation qui masse ma propre queue. Et toujours Damien qui me défonce la bouche avec sa bite. Je me venge en lui défonçant le cul de mes doigts que j’active en les tournant et les pliant à l’intérieur de son conduit.


Et je sens le mandrin d’Alexis glisser, ramper pour ouvrir mes entrailles. C’est bizarre. Pas douloureux, mais dérangeant.


Oh, je voudrais que quelqu’un filme cet instant. Mon horizon est bouché, tête penchée en arrière ; je n’ai que la vision de cette queue et du ventre de son propriétaire. Et même ! Même si je pouvais me soulever, Anne qui m’écrase de tout son poids et se tortille comme une danseuse orientale forme une barrière infranchissable. La caméra pourrait avoir saisi cet instant unique où la queue d’Alexis a franchi la porte de mon domaine secret, domaine inviolé, si ce n’est par le pouce d’Anne, un soir de tendresse. Le film montrerait la lente disparition de ce pieu monstrueux dans mon cul, qui doit briller de salive et de lubrifiant.

Ohhhhh.

Je sens son ventre contre mes fesses et mes couilles, alors que je suis toujours écartelé par des mains amoureuses.


Oui, le cameraman pourrait aussi enregistrer la rencontre de ma femme et de mon amant. Instant magique et totalement décalé de ces deux corps féminins aux poitrines dressées, qui se touchent peut-être, alors qu’une se baise sur la bite maritale et que l’autre encule avec, non pas un artefact, mais un vrai, un gros, un conquérant braquemart de chair.


Putain, que c’est bon d’être la salope de service ! Celle qui suce et se fait enculer. C’est vrai que moi je n’ai que deux trous à prendre, mais en échange j’ai une bite qui peut servir.


Anne, qui doit avoir les yeux plein des étoiles de ce dépucelage, commence à vraiment se baiser sur mon vit, montant et descendant alors qu’Alexis, lui, commence aussi le lent ramonage de mes entrailles virginales. Il le fait doucement. J’ai même l’impression qu’Anne et lui se synchronisent dans une délicieuse perversité. Damien, lui, a dépassé le stade de la délicatesse et me fait dégorger des litres de salive comme toute bonne pompeuse doit savoir user et abuser, au point que je dois avoir une drôle de tête, la bave aux lèvres. Ah, si quelqu’un filmait…


Le monstre qui me sodomise me paraît moins gros après ces profonds va-et-vient. Alexis doit le sentir car il accélère, et par moments son mandrin ressort entièrement avant de me réinvestir sans coup férir.

Merde, j’aime ça. Ce qui n’était au départ que la réponse aux envies de ma femme se révèle être des plus jouissif.

J’aime le liquide que Damien crache dans ma bouche et qu’il pousse sans douceur au fond de ma gorge afin que je l’avale.

J’aime – mais c’est déjà vécu – que ma femme s’embroche sur ma queue qui doit rougir sous l’échauffement.

J’aime, oh oui, j’aime qu’Alexis me bourre maintenant sans retenue, comme une pute à marins, et que sa monstrueuse bite trace ses sillons dans mes entrailles.


Waouhhhhh… C’est donc cela que ressentent les femmes lorsque leur chatte ou leur cul est inondé par le foutre d’un homme ? Et quel homme ! Et quel foutre ! « Nom de Dieu, Alexis, fais-moi penser à te fouiller le cul dès que j’aurai repris des forces. » Ses jets sont si puissants que je sens chacun d’eux, déclenchant ma propre éjaculation que je crains moins généreuse mais qui pourtant semble apporter sa jouissance à ma femme.


Combien de temps suis-je resté allongé après que les autres sont rentrés ? Même Anne a senti que je désirais rester un moment seul, après que je l’ai rassurée par un sourire et un merci murmuré.


C’est promis : la prochaine fois, je veux que quelqu’un filme afin de déguster plus tard ces moments rares.


Le ciel a assisté à mon initiation. Il en a vu d’autres, et les étoiles ne brillent pas plus, pas moins à chaque fois qu’un homme découvre les plaisirs de la sodomie et se transforme l’espace d’un instant en serviteur sexuel. Tout le monde dort. Rien ne bouge. Rien, sauf ce visage derrière la fenêtre du bungalow, juste en face, que je croyais inoccupé. Un visage de femme. Elle voit que je la vois, mais ne se cache pas. Depuis combien de temps est-elle là ?


Je fais un signe de la main, signe de connivence auquel elle répond. Même, elle ajoute un geste, pouce levé. Ainsi elle a tout vu. Un moment je m’inquiète, mais elle ne semble pas dérangée par ce qu’elle a vu ; et moi, après tout je m’en fous.


Je me soulève de cette table basse et vais pour rentrer, mais par défi lui fais signe de venir nous rejoindre.

Le visage disparaît. Chacun retourne chez soi, mais pourtant la porte du bungalow commence à s’ouvrir…