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Temps de lecture estimé : 15 mn
20/05/14
Résumé:  Au cours d'une soirée dans un piano-bar,un quadra jette son dévolu sur ma compagne. Il nous propose d'admirer la vue de sa chambre d'hotel quelques étages plus bas et en profite pour caresser Véro de vingt ans sa cadette, devant moi.
Critères:  fhh hplusag couplus cocus inconnu hotel boitenuit danser amour voir exhib nopéné confession
Auteur : 1bichon  (Homme aimant les femmes et le triolisme)      Envoi mini-message

Série : Découverte du péché avec un quadra et Véro

Chapitre 01 / 03
Un excitant début de soirée

Comme cela nous arrivait de temps à autre en fin de semaine, nous montions tous les deux à Paris pour dîner dans un restaurant « Poivrier » avant d’aller écouter des jazzmen au piano-bar situé au dernier étage du Sofitel de Ballard.


Ce soir-là, nous savourions un moment de détente grâce à deux bons musiciens, un pianiste et un saxophoniste, assis dans un petit espace circulaire rehaussé par rapport à la salle qui nous permettait de voir Paris de haut. Ma moitié portait un chemisier rouge et une jupe plissée noire boutonnée sur le devant. En parcourant la salle d’un regard circulaire, alors que j’avais la main posée sur le haut de son genou, j’ai soudain remarqué qu’un homme assis au bar la regardait avec intérêt.

Véro profitait de ce moment de détente musical après une semaine éreintante. Elle avait la tête posée sur mon épaule.


Tout en écoutant la musique, j’observais discrètement cet inconnu sans en faire part à ma compagne. Fier d’être à ses côtés, j’étais sûr que cet homme était en chasse et que Véro l’attirait. Une dizaine de minutes plus tard, nos regards se sont croisés. Découvert, il m’a souri avant de détourner le regard en saisissant sa coupe pour se donner une contenance.


Pour faire baver cet homme, j’ai pris Véro sous mon bras. Libérant sa cuisse sans attirer son attention sur le morceau de peau que l’autre reluquait de loin, ma main a caressé innocemment le bout de son sein, très tendrement pour que cela ne paraisse pas déplacé en ce lieu public, même si la lumière était fortement tamisée. Sa main était posée sur ma cuisse et de temps à autre nous échangions quelques paroles à l’oreille de l’autre, sur les morceaux de musique, sur le saxophoniste qui maniait à merveille mon instrument préféré, ou sur la vue que nous offrait le lieu. J’omettais volontiers de lui parler de l’homme que j’avais remarqué pour ne pas rompre le charme de la savoir désirée par un autre.


Bien habillé quoique détendu, il paraissait être client solitaire de l’hôtel qui sirotait tranquillement une boisson sûrement alcoolisée en regardant la gent féminine présente dans la salle. En fait, peu de jeunes femmes égayaient cette salle, plutôt peuplée de deux tiers d’hommes trentenaires, voire quadra, alors que nous, et quelques rares couples, avions moins de trente ans.


Son regard vint se perdre plusieurs fois vers Véro, jusqu’à ce qu’il attire son attention d’un sourire contenu. Elle qui faisait un tour de salle du regard en prenant son verre, se retrouva la proie visuelle de ce quadra qui, croisant enfin son regard, ne la quitta plus des yeux. Constatant que je l’avais moi aussi remarqué, ma compagne trempa ses lèvres dans son verre et se colla contre moi pour quémander un baiser. Ravi de son comportement, je lui fis simplement remarquer d’un ton mielleux :



L’homme que j’observais aussi nous adressa un sourire que je lui rendis. Quelques instants plus tard, tandis que nous regardions quelques couples évoluer sur la piste, il fit son apparition au coin de notre table avec un verre plein à la main.



Sa question me cloua sur place et après un échange de regard avec Véro, tout aussi surprise que moi, je ne pus que répondre :



Et, ne sachant que dire, elle se leva et suivit son cavalier qui, intelligemment, posa son verre sur notre table pour s’incruster une fois la danse finie.


Il ouvrit ses bras à Véro pour déambuler ensemble sur un air de saxo calme et envoûtant puis lui fit la conversation en maintenant un espace raisonnable entre eux. Les mains posées sur sa taille, il établissait juste un premier contact tandis qu’elle avait ses mains posées sur l’avant de ses épaules. Il réussit à la faire sourire deux trois fois durant le premier morceau et obtint de fait un deuxième slow. Un simple sourire vers elle suffit pour calmer le regard interrogateur que m’adressait ma compagne.


Profitant de quelques minutes en solitaire, je pus gagner le bar pour renouveler nos drinks afin de ne pas rompre une éventuelle conversation après le retour à notre table de ce couple improbable. Ne les quittant pas dans leur évolution, je vis que la jambe de l’homme s’était incrustée entre celles de Véro et qu’ils s’étaient légèrement rapprochés l’un de l’autre. Cette constatation m’amusa et je me mis à comprendre le plan drague de ce quadra.


De retour à notre table avec deux verres pleins, je fus rejoint par les deux danseurs quelques minutes plus tard. L’homme remercia Véro devant moi et, montrant la place face à elle libre, demanda courtoisement :



Bien vu l’artiste, après avoir posé son verre et fait danser ma compagne, il tapait l’incruste à notre table et nous n’avions aucune raison de lui refuser sa requête. D’un geste il prit place et leva son verre en trinquant, comme de bien entendu :



Chacun leva son verre, sans ajouter le moindre mot.


Après un morceau plus rythmé où nous avons échangé quelques banalités qui nous apprirent qu’il était en déplacement professionnel et logeait à l’hôtel en dessous, les jazzmen reprirent une mélodie douce mêlant piano et saxo. Quelques couples gagnèrent la piste ce qui me donna envie de m’isoler avec Véro pour la questionner sur cet individu. L’invitant à danser à mon tour, corps à corps, je la soumis à un questionnaire discret sur les paroles échangées entre eux. Elle reconnut une tentative de drague et une main caressante sur sa taille, mais m’assura que rien n’avait été au-delà du raisonnable. Contrairement aux miennes, les mains de l’inconnu n’avaient pas parcouru son corps. Je savais qu’il nous observait, ce qui m’encouragea à promener ma main vers les fesses de ma compagne pour l’exciter un peu.


Au morceau suivant, nous gagnâmes notre table pour nous désaltérer. Je savais que l’homme en profiterait pour demander une nouvelle danse à Véro… ce qui arriva comme une évidence quelques instants plus tard. Un peu grisée par son deuxième verre, elle accepta et se rapprocha un peu plus de lui en passant une main derrière son épaule pour se tenir. D’une main dans le dos, il la pressa un peu contre lui, vraisemblablement pour sentir sa poitrine contre son corps et ils déambulèrent lentement au son de ce langoureux blues. De temps à autres ils se décollaient, se parlaient, puis se recollaient un peu plus si cela était encore possible, à moins que ce ne soit mon imagination qui travaillait trop vite. Quoiqu’il en soit sa jambe était incrustée entre les cuisses de Véro et elle semblait accepter ce contact contre son bas-ventre. Lorsqu’ils revinrent à notre table, Véro se pencha vers moi pour m’annoncer à l’oreille :



Pour une fois quoi ? Qu’elle était éméchée ou qu’elle ne voyait pas venir le grand méchant loup qui la dévorait du regard depuis le début de la soirée.


Franck, puisque c’est ainsi qu’il se nommait, attendait debout derrière Véro. Il attendait qu’elle s’assoie, ou se prononce par rapport à son invitation, sans se gêner pour mater son petit postérieur. Nos verres étaient vides, l’heure que nous nous étions fixée pour lever l’ancre approchait et comme Véro semblait partante, je me suis lancé à répondre :



Nous prîmes l’ascenseur-bulle extérieur pour gagner son étage et le suivîmes dans le couloir. Une fois la porte ouverte, il nous fit signe d’entrer et referma la porte derrière lui. Nous n’étions jamais entrés dans une chambre de cet hôtel que nous fréquentions de temps à autre pour son bar. Aussitôt Véro se dirigea vers la grande fenêtre pour contempler la vue nocturne.


Nous la rejoignîmes chacun d’un côté puis, devant cette vue d’ensemble, je vis une main de notre hôte se poser sur sa taille tandis que l’autre montrait au loin différents bâtiments. Il commenta deux trois lieux puis annonça sans que je m’y prépare :



Cette dernière lui sourit, se pressa vers moi et me tendit sa bouche pour quémander un baiser, baiser que je lui fis en prenant sa fesse en main. Nous étions tous les trois dans un état second, aussi lorsque Franck profita de sa position de biais et de notre baiser prolongé pour passer sa main sur le sein droit de Véro, elle ne réagit pas vraiment. Cette passivité conduisit donc ce profiteur juste après à défaire adroitement quelques boutons de son chemisier mais cela, je m’en rendis compte que quelques secondes plus tard. Au moment où j’ouvris les yeux, je vis sa main glisser directement sous le soutien-gorge de ma compagne pour caresser son sein droit. Il avait aussi profité du fait que je remonte ma main autour du cou de ma compagne pour, à son tour avec l’autre main, s’emparer de la fesse voisine de celle que je venais de libérer. Cette action n’avait même pas été contrée par Véronique, à ma grande surprise.


En moins de deux minutes, il avait réussi à ouvrir son chemisier jusqu’au nombril et empaumer son sein, chose qu’il n’aurait jamais réussi à faire si Véro n’avait pas bu, car ce n’est pas du tout son genre de céder à un inconnu… mais là…


Rompant notre baiser, Véro regarda la main qui écartait son soutien-gorge pour que son propriétaire puisse mater son sein. Croisant mon regard, elle observa ma réaction. Devant mon manque d’opposition, après tout c’était un peu un fantasme qui se réalisait, elle se laissa entraîner deux mètres en arrière, sur le lit, sans que Franck ne lâche son sein. Après s’être assis à ses côtés, ce dernier la poussa à s’allonger en gardant les pieds au sol. Elle obtempéra sous la poussée tandis que, debout face à eux, je les observais. Franck s’allongea à ses côtés puis déboutonna délicatement le dernier bouton du chemisier avant d’écarter franchement le vêtement pour dévoiler son sous-vêtement. Vu que l’ivresse relative de ma compagne ralentissant ses réflexes, il en profita pour écarter un bonnet du soutien-gorge et mettre à nu son sein droit.


Il cajola la rondeur, pressa le tétin entre ses doigts tout en regardant les réactions de Véro puis, vu qu’elle fermait les yeux en savourant la caresse, il la fit légèrement pivoter vers lui en glissant sa main dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Une fois de nouveau étendue, Franck dégagea les deux seins des bonnets pour pouvoir les caresser à sa guise en rehaussant la lingerie.



Parallèlement, il posa ses lèvres sur son téton gauche, aspira sa petite fraise puis fit subir le même sort à l’autre sein. En épiant le visage de Véro, quelques secondes après, sa main glissa sous sa jupe et remonta le tissu sur son ventre pour dévoiler sa culotte. Franck appuya ensuite ses doigts sur le renflement du sexe de ma compagne, sexe toujours recouvert de coton.


Véro, à mon grand étonnement, écarta un peu les cuisses pour lui permettre d’agir tout en tournant la tête pour me chercher. Appuyé sur le rebord de la fenêtre, je regardais notre hôte passer sa main sur la vulve de ma compagne, sans intervenir aussi étrangement que cela puisse paraître car je l’avais prévu. Il la cajola quelques secondes avant qu’elle le repousse, mais le contact avait été établi, si bien que lorsque notre hôte revint à la charge après un nouveau passage par sa poitrine pour l’amadouer, il eut gain de cause. Comme pour le sein, il plaqua directement sa main sur la culotte, puis après deux trois mouvements rotatifs, glissa un doigt, puis deux, sous la lisière de l’étoffe en coton. Devant l’absence de refus, Franck inséra rapidement sa main sous le tissu pour tâter sa vulve à pleine main et je me mis aussitôt à bander en voyant sa main s’activer sous la culotte de ma compagne.


Franck la branla savamment sous mes yeux pendant plusieurs minutes en regardant alternativement son visage et sa main, soulevant le voile de coton pour mater sa chatte châtain. Elle se laissa faire en maintenant les yeux fermés permettant à ce quadra de la doigter et de l’amener sûrement proche de l’orgasme. Pourtant lorsqu’il tenta de lui retirer sa culotte, ma chérie opposa une fin de non-recevoir en se dégageant. Elle venait de comprendre ce qui risquait de se produire si elle le laissait agir à sa guise trop longtemps. Franck, surpris, n’eut pas eu le temps de réagir qu’elle lui avait déjà glissé entre les doigts. Elle venait en quelques secondes d’enlever la main étrangère de sa culotte, de se dégager et de se lever pour se faufiler derrière moi. Il resta tout comme moi hébété en la voyant agir ainsi et nous regarda sans comprendre. Il se leva à son tour et revint naturellement à la charge vers elle, mais en entendant ma moitié dire :



Je fis obstacle de mon corps. Ma présence permit à Véro de reboutonner son chemisier et, en contournant ce quadra un peu trop pressé, nous regagnâmes la porte et l’ascenseur. L’homme pesta un peu, ce que je compris, car il pensait l’affaire dans le sac. Il nous souhaita pourtant un bon retour en fermant la porte derrière nous.

Une fois dans la voiture, Véro se colla contre moi et me fit un baiser sur la joue en me demandant :



Elle me laissa toutefois poser ma main sur le haut de sa cuisse, comme à mon habitude. Les 30 km du trajet retour furent silencieux. Elle somnolait, ou faisait semblant, en imaginant peut-être comme moi ce qui aurait pu se passer si elle n’avait pas interrompu cet homme qui la dévorait des yeux depuis le premier regard. Comme une adolescente, elle s’était laissé caresser mais n’avait pas voulu franchir le pas.


Arrivée à l’appartement, bras dessus bras dessous, elle fila à la salle de bain pour se déshabiller, se débarbouiller. Une fois vêtue de sa liquette, elle vint me retrouver au salon. Après un baiser et une main aux fesses pour lui montrer mon envie d’elle, je partis à mon tour à la salle de bain avant de la rejoindre dans notre lit. Prenant ma place à sa gauche, tourné vers elle, nous nous serrâmes l’un contre l’autre, partageant tous les deux l’envie d’un câlin. Tout en partageant plein de petits baisers, mes doigts dénouèrent sa liquette, passèrent sous le voile pour caresser son sein droit, celui que Franck avait enveloppé un peu plus tôt, puis glissèrent sur son pubis pour glisser lentement vers sa vulve. L’envie de lui rappeler notre début de soirée fut plus fort que moi et je me mis à parler de Franck tout en la caressant doucement. Elle était réceptive et jouait le jeu en répondant à mes sollicitations.



Cessant de caresser sa vulve, je revins doucement vers sa poitrine pour lui faire revivre exactement la scène.



Puis elle m’embrassa en posant sa main sur mon sexe. Constatant que je bandais, elle me prit entre ses doigts, sans bouger.



Puis glissant ma main sur son ventre en direction de son sexe, je repris :



Vu qu’elle jouait le jeu, je lui mis aussitôt un doigt.



Elle me masturba un peu puis me tendit ses lèvres pour un nouveau baiser gourmand en se redressant vers moi, dans un premier temps. Tout en partageant ce baiser, je la masturbais de plus en plus et je constatais avec plaisir que le fait de revivre ce début de soirée l’excitait tout autant que moi, ce qui m’incitait à continuer :



Je pris position sur elle et en m’enfonçant entre ses lèvres vaginales je pris le parti de continuer à vivre mon fantasme.



Je n’obtins pas de réponse… mais elle fermait les yeux. Imaginait-elle le visage de Franck au-dessus d’elle, son sexe en elle, même si elle ne l’avait ni vu ni touché ?


J’étais en missionnaire à bout de bras sur elle et je regardais mon pieu la pénétrer, sachant pertinemment que je n’allais pas tarder à jouir, mais elle gémit avant moi et nous jouîmes pratiquement au même moment.



Elle jouait mon jeu, elle jouissait en se contractant sur le lit tandis que je me vidais en elle.

Lorsque mon orgasme cessa, je repris place à ses côtés pour la prendre dans mes bras et partager un nouveau baiser bien baveux tout en la prenant dans mes bras.



Il va de soi que je m’endormis en fantasmant sur l’éventualité d’une prolongation de soirée dans la chambre de Franck avant que le sommeil s’empare de moi. Était-ce le cas pour Véro ? Elle ne me l’avouera jamais, mais nous savions, l’un comme l’autre, qu’une étape était franchie et que cela nous avait bien stimulé.