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n° 16202Fiche technique20454 caractères20454
Temps de lecture estimé : 12 mn
26/05/14
Résumé:  Notre première rencontre avec Franck, nous amena à imaginer sa présence parmi. Notre libido en fut décuplée, ce qui nous amena à tout faire pour le revoir. Véro franchit le pas avec un homme de vingt ans son aîné.
Critères:  fhh hplusag couple couplus cocus hotel boitenuit danser amour voir exhib intermast cunnilingu pénétratio confession
Auteur : 1bichon  (Homme aimant les femmes et le triolisme)      Envoi mini-message

Série : Découverte du péché avec un quadra et Véro

Chapitre 02 / 03
Cette fois-ci, c'est la bonne

Dans l’épisode précédent : Au cours d’une soirée dans un piano-bar, un quadra invite ma compagne Véro à danser. Franck, nous invite ensuite dans sa chambre et en profite pour la lutiner. De retour chez nous, nous nous se rejouons la scène et y découvrons un plaisir intense.






Après avoir discuté entre nous de notre première rencontre avec Franck et simulé sa présence au cours de la deuxième partie de la nuit, dans notre lit, nous avions constaté avec Véro que finalement, notre libido avait été décuplée lors de notre coït. Nous ayant informé qu’il venait à Paris le dernier vendredi de chaque mois pour son travail et qu’il avait ses habitudes au Sofitel, nous avions convenu elle et moi qu’une nouvelle rencontre pouvait être envisageable. Il fallait toutefois que Véro accepte de laisser tomber ses inhibitions et que Franck ne se montre pas trop empressé de la mettre à son tableau de chasse. Moi, je ne devais pas montrer une éventuelle jalousie pour ne pas la mettre mal à l’aise, mais la première approche, cette masturbation jouissive dont il l’avait gratifiée devant moi, ne m’avait pas posé de problème… au contraire, elle m’avait même plutôt stimulé.


Le mois de juin s’était déroulé merveilleusement bien et nous avions fait l’amour deux trois fois avec Véro en incluant en parole, elle ou moi, Franck dans nos préliminaires ou notre accouplement. Nous espérions secrètement l’un comme l’autre que le dernier vendredi du mois confirme nos fantasmes. Véro prit soin d’elle en se rendant quelques jours avant chez le coiffeur et le jour venu, elle s’habilla à ma demande comme lors de notre première rencontre pour rejouer la scène. Seule nuance, elle passa sous sa robe à boutons des sous-vêtements en dentelle rose, plus sexy, pour exciter un peu plus son futur amant. Se laisserait-elle honorer ou pas, cela dépendait de la tournure de la soirée, mais l’hypothèse n’avait jamais été rejetée lors de nos allusions coquines. Comme la fois précédente, nous dînâmes léger, une salade-tartine au « Poivrier » avant de gagner le dernier étage du Sofitel pour un, écouter du jazz, et deux, rencontrer Franck et le suivre dans sa chambre. Véro, visiblement anxieuse lors de la montée de l’ascenseur, le chercha du regard dès la sortie de cette cage de verre. Déception fut de constater qu’il n’était pas là en nous installant. Savourant la musique assis dans les fauteuils, chacun un cocktail en main, mon regard fut soudain attiré par un visage connu. Notre cible venait de s’asseoir au bar, à la même place que la fois précédente.


Il détourna son regard en croisant le mien, semblant ne pas vouloir renouveler l’échec de notre précédente rencontre en choisissant plutôt de reporter son attention sur une proie plus facile à brancher. Véro le remarqua aussi et pour m’en informer, me donna un coup de coude en montrant le bar d’un mouvement de tête.



Cette phrase précéda un baiser.



Elle le fixa jusqu’à ce qu’il croise son regard. Il ne put l’ignorer et lui adressa une mimique, mais ne se déplaça pas pour venir nous saluer. C’est en allant commander un deuxième verre que je me mis volontairement à côté de lui pour l’aborder.


Après une salutation, je lui fis la proposition de venir se joindre à nous, lui assurant que nous avions passé une bonne soirée malgré un départ précipité, excusant Véro en insistant sur le fait que nous n’avions jamais envisagé une telle expérience et qu’elle avait pris peur lors de la tentative de retrait de sa culotte, de briser notre couple. Il sembla compatir, la regarda fugitivement puis je repris :



Je mentais car nous avions déjà eu une relation avec un jeune de notre âge en camping, mais cela ne le regardait pas.

Il me suivit et salua Véronique avant de s’asseoir face à elle.



Ils se levèrent et gagnèrent la petite piste en se tenant par la main. Ils se collèrent l’un contre l’autre et assez rapidement les mains de Véro passèrent autour du cou de son cavalier. J’observais ce couple prêt à flirter sur un blues lent. Je vis Véro acquiescer aux paroles que Franck lui susurrait à l’oreille, et je me mis à envisager de nouveau un séjour agréable dans la chambre de notre compagnon, lorsque je le vis la main de celui-ci passer de son dos à sa fesse sans qu’elle ne réagisse. Il tâtait à coup sûr le terrain avant de perdre son temps si elle se refusait.


Elle colla sa tête contre lui et se laissa mener en regardant à chaque rotation dans ma direction. Franck lui caressa la fesse, puis, voyant que cela ne semblait pas la gêner, lui glissa de nouveaux quelques mots qui la firent sourire et croiser son regard.


J’eus l’impression qu’ils allaient s’embrasser mais non, ils revinrent vers moi et reprirent leurs places respectives.



Et nous prîmes la bulle de verre en laissant galamment passer ma compagne devant nous.


Elle était vêtue d’une robe vieux rose entièrement boutonnée sur le devant et, à ma demande, avait passé en dessous une lingerie plus sexy que la fois précédente, un ensemble en dentelle rose semi-transparente. Après quelques frôlements échangés sur le chemin de la chambre, nous nous fîmes un baiser complice dans le couloir en attendant que Franck ouvre la porte.


Comme la fois précédente, il nous laissa entrer les premiers et referma la porte à clé derrière lui. Véro s’approcha de la vitre pour voir la vue, je la suivis et la pris entre mes mains pour la faire danser dos contre moi. Caressant doucement son ventre, je m’enhardis à défaire les deux boutons les plus proche de son nombril. La tête posé contre mon torse, elle se laissa faire ce qui me permit de glisser ma main droite sur son ventre, à même la peau, avant de m’attaquer aux autres boutons de la main gauche.


Devant tant de complicité, je la fis pivoter face à Franck pour qu’il profite de ma stratégie avant d’intervenir, sachant que l’un comme l’autre s’observaient avec envie et appréhension.

Lorsqu’il ne resta plus que deux boutons, les plus bas, Véro pivota pour me faire face et m’embrasser. Irrémédiablement, ma main s’attaqua à ceux-ci puis glissa entre les pans ouverts de sa robe au contact de sa culotte. Au même moment, je vis Franck déposer des préservatifs sur sa table de nuit, ôter ses chaussures, sa chemise et son pantalon puis se rapprocher de nous en slip.


Me reculant légèrement, je fis glisser sa robe sur ses épaules pour offrir à notre hôte une vue de dos de ma compagne en lingerie. Ce dernier vint m’aider et s’empara de l’étoffe, prisonnière des bras de mon amour. Il déposa soigneusement le vêtement sur un fauteuil puis revint vers nous tandis que nous faisions quelques pas de danse. Naturellement je lui mis ma cavalière dans les mains, et après un regard de son côté face, il la colla contre lui pour danser corps à corps, en lingerie, un slow imaginaire. Après quelques pas ensemble, il dégagea ses cheveux pour l’embrasser dans le cou puis fit ripper la bretelle du soutien-gorge pour embrasser l’épaule de Véro. L’agrafe du soutien-gorge sauta juste après. Ma dulcinée aida Franck à la débarrasser de ce morceau de lingerie devenu inutile et elle me l’envoya en souriant. Elle ne semblait pas gênée de se retrouver seins nus devant ce quadra sur lequel nous avions déliré. Il est vrai que le mois précédent, il avait déjà eu l’occasion de découvrir ses seins, allant même jusqu’à la téter.


L’homme refit pivoter mon amour pour lui permettre d’admirer la vue sur l’héliport et ses lumières nocturnes. Il la colla contre lui, comme moi précédemment, puis ses mains, initialement posées sur sa taille, remontèrent caresser sa poitrine.


Sachant pertinemment qu’il en attendait plus, elle regarda dehors, légèrement anxieuse mais se laissa faire, la tête posée contre lui. Franck empoigna les deux petites rondeurs à pleines mains puis refit un baiser sensuel dans le cou de mon amour. Appuyé contre le large rebord de la fenêtre, je vis la main de notre hôte glisser progressivement vers le pubis de ma compagne puis s’insérer lentement sous sa culotte. Encore une fois, il avait déjà eu l’occasion de toucher sa vulve puisqu’il l’avait masturbée et fait jouir, mais cette étape était importante pour nous. L’autre main redescendit se placer sur la taille de mon amour et, une fois sa docilité vérifiée, Franck refit pivoter Véro face à lui. Il replaça sa main dans sa culotte et la caressa, debout face à lui. Je pus voir qu’il bandait et qu’elle appréciait ses doigts qui stimulaient sa féminité.



Je venais d’entendre un petit « oui », mais un « oui » quand même ;



Franck entraîna Véro vers le lit et d’elle-même elle s’allongea sans le quitter des yeux. Il la regarda, me regarda puis posa ses deux mains de part et d’autres de la culotte semi-transparente. Le pubis déjà visible, se révéla à lui lorsqu’il fit doucement descendre ses mains vers les pieds de ma compagne. Pour son plus grand plaisir, elle l’aida en soulevant les fesses, preuve que suite à notre discussion, elle acceptait de se retrouver nue et de franchir le pas. Jusqu’où, telle était la question, mais nous avions évoqué la possibilité de faire l’amour avec lui et elle était entrée dans le jeu et avait joui intensément en se donnant à moi.


Il posa le dernier rempart sur le lit puis écarta les jambes de Véro en la regardant dans les yeux. J’observais leur réaction, heureux de voir mon amour s’offrir à cet homme mûr, de la voir dépasser ses appréhensions et accepter qu’il la touche devant moi. Franck baissa les yeux vers le pubis convoité, puis la complimenta sur la beauté de son corps pour l’amadouer. Il s’agenouilla ensuite entre ses jambes, approcha sa bouche des cuisses de Véro puis embrassa l’intérieur de celles-ci. Se servant de ses mains pour les écarter, il posa doucement ses lèvres sur le sexe de ma compagne qui, malgré un petit sursaut, se laissa faire en me regardant les mater. Une fois le contact établi et bien accepté, je compris dans son regard une envie de partage, un besoin de m’avoir proche d’elle et sans tergiverser, je vins me placer au niveau de sa tête pour l’embrasser.


Pour résumer : Franck dégustait sa chatte en prenant son temps, Véro savourait en fermant les yeux et moi, content de la tournure des événements, je l’embrassais amoureusement.



L’action conjuguée de nos caresses l’amenèrent à gémir puis jouir en exprimant clairement son orgasme.

Elle me regarda en reprenant ses esprits, fit une mimique de satisfaction, et attendit la suite alors que Franck se redressait.



Véro me sourit puis se mit à genoux sur le lit en s’orientant vers Franck. Elle regarda son pieu en érection et lorsque notre hôte baissa son slip et se colla au lit, elle s’approcha de lui. Après un dernier regard vers moi, elle attrapa sa queue dans sa petite main et ausculta la protubérance. Après un échange de regard avec lui, elle posa ses lèvres sur le gland, ouvrit sa bouche et l’engloutit doucement. Puisque tel était mon fantasme, elle s’exécutait crescendo et vu qu’elle adore pratiquer cet acte qui lui donne le pouvoir de décider de la jouissance masculine, elle prit progressivement de l’assurance. Cela conduisit Franck à poser sa main sur les cheveux de ma compagne pour l’encourager, sans la forcer. La voyant en pleine action, je me mis à mon tour nu pour pouvoir, moi aussi, en profiter. Franck m’observa, comprit que c’était gagné pour aller plus loin et observa Véro l’amener au plaisir. Nous la regardâmes agir sans intervenir car elle maîtrise à merveille l’art de la fellation. Galamment, il la prévint de l’imminence de l’orgasme, mais à fond dans sa débauche, elle décida de récolter les premières giclées de sperme dans sa gorge avant de le finir à la main. De la voir si vicieuse me donna une envie de lui faire l’amour sur le champ et dès qu’elle libéra Franck, je la fis se coucher sur le lit. Après m’être positionné entre ses cuisses, je la pris en missionnaire devant notre hôte en prenant soin de maintenir un espace important entre nos corps pour exciter Franck. Nos regards se croisèrent tandis que je pistonnais ma compagne et le message entre nous fut clair : il enviait ma place et rêvait de pénétrer Véro à son tour. Cette demoiselle qui nous épiait l’un et l’autre se doutait elle que nous voulions partager son corps à cet instant précis.


Véro était en confiance, elle se donna en écartant les cuisses tout en me fixant pour partager avec moi le plaisir de s’exhiber en pleine action. L’excitation eut raison de ma jouissance et en peu de temps je me mis à inonder son vagin accueillant, puis mes ardeurs se calmèrent.



Franck tout en continuant de se masturber, nous regardait. Nous comprîmes qu’il était prêt à la satisfaire s’il obtenait le feu vert de notre part. Une fois retiré, je fis venir ma dulcinée vers ma queue pour la « nettoyer » avec sa bouche, gourmandise que nous nous accordons assez souvent en fait pour qu’elle savoure notre jouissance. Elle se positionna à genoux, jambes pliées sur le lit et lécha ma queue jusqu’à la dernière goutte. Franck, désignant le préservatif, me fit comprendre son envie et devant un signe positif de tête, s’équipa le plus rapidement possible. Au moment où il s’apprêtait à monter sur le lit pour se placer derrière elle, je pris la tête de Véro entre mes mains pour lui montrer ma complicité. Comprenant ce qui se tramait dans son dos, elle me fixa puis accepta, après un pincement de lèvres de relever ses fesses. Franck caressa la vulve d’une main puis approcha son sexe de l’autre pour la prendre en levrette. À genoux derrière elle, il posa ses mains sur le postérieur de ma moitié pour établir un premier contact puis, voyant qu’elle ne se refusait pas au contact de son gland, avança son pubis vers vagin accueillant.


Véro se contracta un peu au moment de la pénétration, je le sentis au léger retrait de sa tête entre mes mains, mais ne refusa pas l’intromission lente et calculée de notre hôte. Ce dernier en profita donc pour plonger son sexe au plus profond de l’antre, préalablement humidifié par mon sexe. Je pus suivre l’intromission en observant le visage de ma compagne et son cou se creuser. Elle savoura la lente pénétration en creusant le dos et en me fixant.


Une fois ancré en elle, je pus enfin libérer ma chérie pour la voir faire l’amour en levrette avec cet amant plus âgé que nous.


Contournant le lit pour les voir de profil, j’observais les mains de Franck agir par rotation sur le postérieur de ma bien aimé tout en voyant son sexe entrer et sortir de l’intimité qui m’est chère.


Ses seins ballottaient sous les coups de butoir mais son corps semblait découvrir de nouvelles sensations.

Véro jouit enfin tout en se déhanchant elle-même à l’encontre de son amant car Franck en était déjà à sa deuxième éjaculation. Ils ralentirent progressivement leur rythme puis se désolidarisèrent. Sans un regard, Véro se releva et aussitôt pour lui prouver mon amour, je la pris dans mes bras pour l’embrasser. Ce geste simple la rassura. Elle me prit dans ses bras, me serra puis fila aux toilettes en attrapant sa robe au passage pour se refaire une beauté.



Avisant sa culotte et son soutien-gorge sur le lit, je repris la lingerie pour lui restituer mais la porte de la salle était verrouillée.


Attendant tranquillement après nous être rhabillé, qu’elle sorte de la douche, nous regardâmes le ballet d’un hélicoptère par la fenêtre. Lorsque Véro refit son apparition, nue sous sa robe, et pour cause, Franck proposa de retourner boire un verre au bar pour bien finir la soirée. Ma moitié refusa poliment et nous rentrâmes plus amoureux que la veille. Il me restait une chose importante à faire, lui dire que je l’aimais et que j’étais heureux qu’elle se soit donnée à Franck, tout en taisant temporairement le fait que son amant m’avait donné, au cas où, son numéro de téléphone professionnel.


Sitôt arrivés à l’appartement, nous avons refait l’amour, mais très tendrement, et ce fut encore plus jouissif.