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Temps de lecture estimé : 11 mn
02/06/14
Résumé:  N'ayant pas été déçu par nos précédentes rencontres, je pris contact avec Franck. Ce quadra profita de notre entrevue pour caresser Véro avec un toy devant moi et nous finîmes bien évidement par lui faire l'amour ensemble...
Critères:  fhh hplusag couple couplus cocus hotel caférestau amour fsoumise voir exhib fellation cunnilingu préservati sandwich jouet confession
Auteur : 1bichon  (Homme aimant les femmes et le triolisme)      Envoi mini-message

Série : Découverte du péché avec un quadra et Véro

Chapitre 03 / 03
Chacun y trouve son compte

Résumé des épisodes précédents : Au cours d’une soirée dans un piano-bar, un quadra jeta son dévolu sur ma compagne. Après un premier contact sans pénétration, nous le revîmes pour partager plus intimement une nouvelle soirée. La première en amena une deuxième plus hard durant laquelle Véro, de vingt ans sa cadette, se donna à nous deux et chacun y prit du plaisir…




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Nous avions convenu avec Franck de nous revoir plus tôt que d’habitude dans la soirée pour dîner ensemble et faire un peu plus connaissance. Rendez-vous avait été fixé au pub Renault, sur les Champs-Élysées, pas très loin du travail de Véro. Nous avions dîné au « Paradis du fruit », rue Georges V, mangé léger et bu pour notre part, les hommes, deux verres de cocktail dit « énergisant ».


Véro était pour une fois en chemisier et pantalon car elle n’avait pas eu le temps de rentrer se changer.


Suite à cette petite heure de conversation agréable où nous nous dévoilâmes chacun un peu, sur nos activités respectives et leurs anecdotes, Véronique, malgré sa soi-disant timidité, proposa de gagner l’hôtel de notre accompagnateur pour être plus au calme. Elle marcha entre nous sur les Champs jusqu’au métro Kleber et, même si je la tenais sous mon bras, Franck ne se gênait pas pour se tenir proche d’elle en passant de temps à autre sa main autour de sa taille.


Même si nous savions pertinemment qu’une fois là-bas nous allions baiser, nous prîmes notre temps pour rentrer, en échangeant des regards complices afin de faire monter l’envie. Nous nous embrassions furtivement en marchant et Franck attendait en bavant d’envie de m’imiter. Parvenu à destination, après une petite demi-heure de déplacement, le réceptionniste de l’hôtel nous regarda sournoisement nous diriger vers l’ascenseur, ce qui nous fit sourire car il devinait sûrement nos intentions. Franck lui fit un haussement de cils révélateur, ce qui amena l’homme à regarder ailleurs, tout en laissant son esprit libre d’imaginer ce que bon lui semblait.


Une fois dans la chambre, tout alla très vite. Véro, après un regard vers l’extérieur, décida de m’embrasser. Comme si c’était naturel, Franck se plaça derrière elle, empoigna ses deux seins par-dessus son chemisier puis entreprit de la débrailler afin de pouvoir prendre ses deux seins à même la peau ou presque.


Sentant ses mains, je défis le bouton du pantalon de Véro pour glisser ma main au contact de sa chatte. Franck lui retira son chemisier par le haut, dégrafa son soutien-gorge puis, voyant ma main dans sa culotte, lui baissa le pantalon par derrière. Véro l’aida à l’en débarrasser en levant les pieds et se retrouva tout naturellement en culotte entre nous. Franck, toujours derrière elle, reprit ses seins en main, roula les tétins en les pressant légèrement, tout se collant à elle. Elle mouillait abondamment mes doigts et lorsque je lui ai demandé de déshabiller notre comparse, ma moitié me regarda avec une lueur vicieuse dans les yeux. Véro se retourna, regarda notre hôte, puis je vis son regard plonger vers sa main qui défaisait le bouton du pantalon de son futur amant. Elle ne descendit pas celui-ci, non, elle se contenta de l’ouvrir, de toucher son sexe et de le laisser s’en débarrasser, pour ne pas se baisser. Au bout de quelques secondes, Franck, comprenant que s’il n’intervenait pas, il resterait habillé, ôta son pantalon et son slip par la même occasion… Tout comme nous, il était mûr pour aller plus loin.


Véro s’attaqua ensuite à la chemise et défit un par un les boutons en fixant son propriétaire. Une fois fait, elle lui retira celle-ci tandis que je commençai à me déshabiller dans son dos.


Une fois toute la chemise ouverte, Franck prit la tête de ma compagne dans sa main et l’embrassa pour la première fois sur la bouche en lui maintenant le crâne. Elle tenta de se reculer mais il la tint bien. Lorsqu’il la lâcha quelques secondes plus tard, elle lui dit qu’elle voulait bien qu’il la caresse… mais pas qu’il l’embrasse. Il acquiesça en la reprenant contre lui après l’avoir fait pivoter à deux mains vers moi. Bien entendu, juste après, il posa ses mains sur son corps et ne se priva pas de les laisser vagabonder sur ses seins, sa taille ou son ventre à la limite du pubis. Je me doutais qu’il devait bander dans son dos car Véro plaquait sa tête contre son épaule et se laissait faire, les mains derrière elle afin de lui caresser les cuisses.


Une fois nu, je me suis rapproché d’eux pour poser sans réfléchir ma main sur la chatte nue de ma compagne. Je redécouvris ses lèvres vaginales gonflées de désir et nos mains divaguèrent dans tous les sens sur son corps, nos doigts se rencontrèrent à plusieurs reprises et son corps fut l’objet de toutes nos caresses. Véro se mettait de temps à autres sur les talons pour me demander un baiser et Franck ne se gênait pas pour lui caresser le sexe ou les fesses. Comme moi, il découvrait ce volcan bouillant qui nous promettait de bons moments à venir.


Franck montra soudain son impatience en prenant la tête de ma compagne dans sa main pour la diriger vers son sexe. Il souhaitait une fellation et je ne pouvais lui en vouloir. Véro obtempéra en se penchant vers sa queue et doucement, après un regard vers lui, emboucha le gland en s’emparant de son membre de sa petite main. Elle ne le pompa pas, elle le dégusta tandis que je rapprochais moi aussi mon pieu de sa bouche. Après avoir mis genoux à terre au pied du lit, elle s’empara de nos deux sexes et alterna ses caresses buccales sur nos glands. La tension monta rapidement car nous ne pouvions plus la caresser.


Nous nous contentions de la regarder s’activer tantôt sur l’un, tantôt sur l’autre et elle en jouait car elle était maîtresse de notre excitation. Cependant Franck, qui avait préparé ses préservatifs, ne souhaitait pas jouir ainsi, pas pour la première fois. Après un regard complice, nous invitâmes Véro à se relever pour s’installer sur le lit. Sitôt sur la couche, le locataire des lieux lui écarta les cuisses pour lui bouffer littéralement la chatte. N’ayant d’autres choix, je me suis donc positionné au niveau de la tête de ma compagne pour l’embrasser tout en lui pelotant les seins. Franck, le visage barbouillé, changea vite d’objectif et, laissant Véro cuisses écartées, enfila en quelques secondes son premier préservatif. Il devait avoir l’habitude d’agir ainsi car il fut rapide et ne débanda pas. Sitôt fait, il revint à la charge en écartant les cuisses de ses mains et se positionna directement au bon endroit. Véro voulant calmer ses ardeurs tenta un geste de la main mais à mon tour j’intervins en lui bloquant les deux mains pour la soumettre aux volontés de ce quadra bien décidé à la baiser à sa façon.


Une fois le gland passé, Franck attendit cinq six secondes qu’elle s’habitue à lui puis, la prenant par la taille, commença à se démener en elle à grands coups de bassin. Il n’alla pas vite, mais il alla profondément en elle et cogna à chaque fois son pubis contre le sien. Plus besoin de tenir ma compagne, elle ahanait et creusait le dos pour aller elle-même à la rencontre de ce pieu qui la ramonait.


Pour augmenter le vice, alors que je lui roulais les tétins pour l’exciter, j’incitai Véro à regarder la bite qui la pénétrait en me positionnant de tel sorte que sa tête soit maintenue presque verticale. Comme moi, elle regarda Franck se démener et observa l’union de leurs deux sexes. Franck était à notre diapason et matait lui aussi la chatte de notre maîtresse qui s’ouvrait sous les poussées de son pieu bien raide. L’orgasme était proche, pour elle comme pour lui et bien qu’en érection, j’avais peur de jouir sans intervenir car je n’étais pas pressé de la pénétrer. Je la voulais juste vicieuse, un peu soumise et heureuse de prendre du plaisir en notre compagnie en surveillant que notre partenaire n’abuse pas d’elle.


Augmentant sensiblement la vitesse, je vis soudain Franck relever la tête en signe de jouissance. Il donna quelques mouvements secs avant de se retirer, non sans avoir fait jouir Véro juste avant. Elle retomba sur le lit et je ne pus que lui laisser reprendre ses esprits en me déplaçant pour lui permettre de poser sa tête sur l’oreiller.


Je ne lui ai laissé que quelques secondes de répit car sitôt que Franck se déplaça, j’investis en levrette la chatte qui avait l’habitude de me recevoir, pour m’astiquer et jouir peu de temps après au fond de l’antre chaud, tout comme mon prédécesseur, à la seule différence que moi je m’épandis réellement en elle. Véro s’affala sur le lit de tout son long, montrant ses petites fesses en l’air, le temps de récupérer. Cette opportunité conduisit Franck à lui flatter le postérieur de la main droite. En sentant la main investir ses fesses… et le doigt plonger vers sa chatte ruisselante… Véro se retourna pour ne pas lui donner l’idée de la sodomiser, pénétration qu’elle appréciait peu. En agissant ainsi, elle nous offrit de nouveau la vue la plus intéressante de son corps ; son visage, ses seins et son adorable pubis.


Franck remit aussitôt sa main sur la vulve gonflée et doigta de deux doigts le vagin de ma compagne en lui maintenant le torse pour ne pas qu’elle se relève. Il lui fit vicieusement goûter mon sperme, étalé sur ses doigts, puis devant sa soumission, lui annonça avec un sourire :



Il se dirigea vers sa valise pour en extirper un petit paquet rectangulaire qui lui tendit. Surprise et curieuse, elle l’ouvrit puis me regarda avant de m’en révéler le contenu. Il s’agissait d’un sextoy annelé de couleur rose qu’elle n’osa pas sortir de suite de la boîte.



Véro, assise nue sur le lit s’exécuta et prit le toy en main pour l’admirer sous toutes les coutures avant que Franck ne s’en empare et déclenche le mécanisme de fonctionnement. Le bout de l’engin se mit à vibrer légèrement sans que les anneaux bougent. Après une petite démonstration, il intervint sur la commande et augmenta la vitesse, ce qui déclencha le mouvement longitudinal des anneaux. Véro regardait avec un intérêt non dissimulé la chose. Notre hôte remit la vitesse lente et effleura délicatement le gland du sextoy sur le sein de ma compagne puis, tout en l’empêchant d’intervenir, lui promena sur le corps cet objet vibrant. À quelques centimètres les uns des autres, nous regardions la main de Franck stimuler indirectement le corps de Véro lorsque, tout en lui tirant sur la cuisse la plus proche de lui pour dégager sa vulve, l’ordre tomba :



Après quelques vibrations au niveau du pubis, ce vicieux quadra fit passer le gland du toy entre les lèvres vaginales humides de mon sperme et progressivement enfonça le vibromasseur toujours un peu plus loin. Véro, qui suivait le jouet de yeux, tenta bien de se soustraire un peu mais Franck devint plus strict en m’ordonnant de lui maintenir la main tandis qu’il l’empêchait de se servir de l’autre avec son corps. Il voulait la faire jouir avec le toy et il entreprit tout pour arriver à ses fins… et cela m’excita… Une fois l’engin, qui n’était pas de taille exceptionnelle, bien ancré dans le vagin, Franck actionna la deuxième vitesse en simulant une courte pénétration.


Le fonctionnement des anneaux se mit en action et, mêlé aux vibrations du gland artificiel, le tout mena crescendo Véro vers le plaisir. Nous l’observâmes jouir grâce au cadeau offert quelques minutes plus tôt par son amant. Seul hic, ce spectacle nous donna une trique et Franck, tout comme moi, désirâmes à nouveau prendre notre pied… et le plus vite possible. Seule possibilité pour jouir vite ou presque ensemble : le sandwich, la double pénétration (buccale et vaginale) ou une fellation alternée, ce qui se révélerait moins jouissif pour l’un de nous qui devrait attendre. Finalement l’option double pénétration s’offrit instantanément à nous lorsque Véro se tourna vers moi pour m’embrasser. Après le baiser, d’un appui sur la tête, je lui fis comprendre mon envie en me positionnant à genoux sur le lit. Elle se déplaça pour se mettre à son tour à genoux face à moi et sitôt son préservatif enfilé, Franck se plaça derrière elle pour la baiser en levrette. Il la prit par la taille d’une main et après avoir positionné son gland au contact de son calice, la pénétra aisément d’un coup de rein tandis qu’elle me suçait en s’aidant de sa main. Elle cessa cependant quelques secondes sa fellation en sentant le pieu entrer en elle pour savourer l’instant.


Pour capter mon attention, Franck agrémentait sa pénétration en ajoutant des « Tu es toute mouillée » ou « Que c’est bon ». Vinrent ensuite de gentilles petites tapes sur les fesses pour humilier un peu plus mon amour. Jamais je n’avais agi ainsi mais elle ne semblait pas s’offusquer d’un tel traitement puisqu’elle continuait de me sucer au rythme des pénétrations vaginales. Le pieu de mon acolyte, que j’entrapercevais entre leur corps, semblait glisser tout seul en elle.


Certes chacun de nous voulait jouir, mais chacun de nous se démenait aussi pour faire jouir l’autre. Véro, dont je tenais la tête d’une main, n’était pas en reste pour participer et, de la bouche et de la main, elle m’arracha une jouissance explosive. Durant ses quelques secondes Franck calma un peu ses ardeurs en frottant son pubis contre ses fesses doucement. Me voyant hors-jeu, ce dernier prit les fesses de ma moitié à deux mains et tout en les roulant entre ses paumes, augmenta ses coups de rein pour finir lui aussi par exploser en elle, dans sa capote en fait. Véro, en appui sur les mains, dut tout de même le sentir exploser car au même moment, d’après leur faciès, elle releva la tête en creusant les reins pour approfondir la pénétration tout en bloquant son corps au contact de celui de son amant.


Lorsque ce dernier la libéra, ma compagne s’effondra sur le lit en fermant les yeux le temps de la récupération. Elle fila quelques minutes après à la salle de bain pour satisfaire une envie urgente. Comme la première fois, elle prit une douche avant de revenir vers nous et enfiler, preuve qu’elle ne voulait plus jouer, ses vêtements les uns après les autres. Pour ne pas la laisser seule, je me résolus à l’imiter, retardant ma toilette pour me rafraîchir à notre retour à domicile.


S’emparant de son cadeau, elle gratifia Franck d’un effleurement de bouche avant de me devancer dans le couloir de la chambre le temps que nous échangions entre hommes une poignée de main. Dans la voiture, elle regarda son nouveau jouet et mettant elle-même le mécanisme en marche, observant les anneaux se mouvoir tout en les enserrant dans la paume de sa main. La discussion sur le trajet retour porta sur les toys et leurs bienfaits, mais elle refusa catégoriquement ma proposition de nous rendre un jour ensemble dans un sex-shop pour choisir un autre jouet. L’argument qu’elle avança ce jour-là fut qu’elle serait trop honteuse de se savoir observée ou pire, abordée par un vendeur, car seul un homme pouvait, à ses dires, tenir un tel établissement… Les supermarchés du sexe de la chaîne « Concorde » n’étaient pas encore démocratisés et le sexe était, malgré la révolution, encore tabou.


Nous vîmes Franck, dans les mêmes circonstances, chaque vendredi de fin de mois jusqu’à l’hiver. Il nous invitait soit au restaurant, soit dans un piano-bar, faisait l’amour à Véro avec ou devant moi, espérant à chaque fois la sodomiser malgré son refus puis nous nous lassâmes. Nous cessâmes de le rencontrer intimement mais nous pensions à lui lors de nos petits jeux avec Francky, son cadeau.