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n° 16224Fiche technique29814 caractères29814
Temps de lecture estimé : 17 mn
14/06/14
Résumé:  Une facette de ma sexualité qui m'avait jusqu'alors échappé...
Critères:  ffh fplusag copains vacances fsoumise hsoumis fdomine fgode hdanus hgode attache
Auteur : Gwynnbleid      Envoi mini-message

Série : Découverte

Chapitre 02 / 10
La surprise

Résumé de l’épisode précédent : Une première expérience, un peu limite, pendant les vacances avec une de nos amies a failli mal finir, mais j’ai réussi à sauver l’honneur… et notre couple ; mais pour combien de temps ?




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9 août



La nuit a été difficile. J’ai fini par m’endormir, mais j’ai été trop rapidement réveillé par Véro qui a fini par rejoindre la chambre.



D’un rapide geste brusque, elle vire le drap et s’allonge à mes côtés ; je m’avance sur elle.

Je commence par l’embrasser dans le cou, sur la nuque, n’enivrant du parfum de ses cheveux ; je mordille ses épaules, frotte mon menton sur la pointe de ses seins tandis que je couvre de baisers les deux petits globes palpitants. Je glisse lentement la langue entre eux pour atteindre le nombril tandis que mes mains prennent le relais sur sa poitrine hypersensible, tantôt légères et caressantes pour en faire durcir les pointes, puis plus impérieuses, jouant avec les tétons offerts pendant que mes lèvres descendent plus bas, toujours plus bas, jusqu’à atteindre l’objectif qu’elle m’a fixé. Je lâche involontairement un inutile gémissement quand ma verge douloureuse de désir effleure sa douce cuisse : je sais qu’elle ne changera pas d’avis.


De la pointe de la langue, je goûte l’enivrante liqueur de son désir qui suinte de la chatte offerte, retrouvant avec plaisir ce parfum précieux, ce goût unique, ce puissant aphrodisiaque qui, à chaque fois, fouette mon désir, enflamme ma libido, annihile tous mes principes, toute mes résolutions.

Les mains virevoltant sur ses seins, je pousse la langue plus loin, toujours plus loin, m’abreuvant du précieux nectar, cherchant ma raison d’être, mon plaisir, ma drogue entre les lèvres de son sexe.


Elle ne s’en doute pas, mais j’adore la sentir onduler sous ma langue, la faire gémir à volonté, la pousser dans ses derniers retranchements. Dans ces moments-là, elle pourrait me demander n’importe quoi, vraiment n’importe quoi, j’obéirais : la tête de ma mère, mes couilles, mon cœur, ma vie ; je lui donnerai tout.


Pendant que son con se liquéfie sous ma langue, elle pose ses cuisses sur mes épaules et, d’une étreinte puissante, me soude à son bassin, s’empare de mes cheveux d’une poigne autoritaire et m’impose son rythme.

Elle se masturbe langoureusement sur mon visage, frotte son clitoris sur l’arête de mon nez. C’est elle qui mène la danse, et j’ai du mal à respirer. Tenir, je dois tenir coûte que coûte, car elle veut que ça dure longtemps et que moi, je l’aime, je veux lui plaire, je veux la combler.


Après ce qui me semble une éternité, elle atteint enfin le stade où je peux la faire jouir quand je veux. Ses cris inarticulés n’ont plus rien à voir avec ceux qu’elle poussait plus tôt avec Fred. Quand c’est moi qui suce, c’est plus rauque, plus animal, plus sensuel.

Son cri couvre le chant des cigales quand elle jouit, et résonne dans toute la baraque.

Elle me repousse, me prend par la main :



Fred est déjà sur la terrasse, les joues rouges et les yeux brillants. Quand elle nous voit descendre, nus tous les deux et moi affublé d’une trique monumentale, elle écarquille les yeux et manque de s’étrangler avec son café.

Entre deux quintes de toux, elle s’étonne :



Le visage de Fred se décompose, ses yeux s’emplissent de larmes et elle quitte la table en renversant sa chaise :



Je regarde Véro sans comprendre.





9 août – Le soir



Quand je gare mon engin dans la cour, je suis calmé. Pas de trace des filles ; je prends une douche fraîche avant de partir à leur recherche.

Alors que je commence à penser qu’elles sont parties faire une balade, elles surgissent de l’escalier qui descend du grenier en riant comme deux hystériques.


Ma Véronique porte une courte robe de soie noire, très décolletée, et tellement courte qu’à chaque pas qu’elle fait on peut entrapercevoir le haut de ses bas résille maintenus par un porte-jarretelles noir. Une paire d’escarpins vernis noirs à talons aiguilles interminables, un serre-tête blanc et un petit tablier blanc, noué autour de la taille, complètent son déguisement de soubrette.

Fred est chaussée de cuissardes noires, et vêtue (si on peut dire !) d’une guêpière de cuir noir à lacet qui étrangle sa taille et laisse ses seins, son cul et sa chatte offerts à mes regards lubriques.

Ma femme s’approche et vient me prendre par la main. Elle me fait un clin d’œil discret avant de déclarer :



Je veux protester, mais un regard impérieux de mon épouse m’en dissuade.

Notre amie passe derrière moi, me bande les yeux, et les deux femmes me prennent chacune une main et me guident vers le grenier. Elles m’aident à gravir les escaliers, l’une tirant, l’autre poussant, toutes deux gloussant, et me conduisent dans une pièce que je ne connais pas. Un léger courant d’air m’indique qu’il y a une fenêtre. Ça sent le bois chaud, le cuir, et autre chose que je ne connais pas.

Un déclic, puis un autre ; je sens le froid du métal sur mes poignets qui sont tirés vers le haut.



Nous sommes au grenier. Au milieu de la pièce trône un immense lit à baldaquin avec des draps noirs ; aux murs de la pièce sont accrochés fouet, cravache, menottes et chaînes, godemichet et vibromasseur. En face de moi, de l’autre côté du lit, deux grandes armoires ouvertes débordent de costumes « osés » : Mère Noël, lapin rose, Catwoman, infirmière…


Goguenardes, les filles m’observent tandis que je découvre leur salle de jeux. Je suis menotté à des chaînes qui sont accrochées à la poutre de la charpente au-dessus de moi, et mes cuisses sont maintenues écartées par une barre de métal terminée par des menottes fixées à mes chevilles.

Fred s’approche de moi et vient se coller à moi comme si elle voulait m’embrasser. Elle murmure sous mon nez :



Sa langue me pénètre, m’explore, m’embrase. Sans même en avoir conscience, je lui rends son baiser, plaque mon bassin contre son ventre… jusqu’à ce qu’elle se recule, hilare.

D’un geste brusque, elle déchire mon bermuda dont jaillit mon dard au garde-à-vous, puis mon tee-shirt, me laissant nu, debout au pied du lit.



Debout toutes les deux à un mètre devant moi, elles commencent leur petit numéro.



Lentement, les yeux rivés sur les miens, ma femme dénude ses épaules, fait glisser le tissu sur sa poitrine, dévoilant ses seins aux pointes dressées. Elle détache son petit tablier blanc, le pose sur son épaule et finit de faire descendre sa robe, exhibant son ventre plat, le porte-jarretelles et les bas noirs, ainsi qu’une culotte fendue qui laisse l’accès libre à son sexe entrouvert. Le vêtement tombe à ses pieds tandis qu’elle rattache le petit morceau de tissu qui parvient à peine à lui couvrir le bas-ventre.


Fred s’approche d’elle par derrière, lui fait écarter les jambes de la pointe de sa botte, et s’empare de ses seins avant de l’embrasser dans le cou en se collant à elle. Rapidement, une main quitte la petite poitrine de mon amour pour glisser jusqu’à sa chatte, où deux doigts font jaillir son petit bouton, ce qui lui arrache un gémissement de plaisir.



Elle a posé la main à plat sur le sexe de Véronique et fait des petits va-et-vient. Ma belle ondule sous la caresse en gémissant doucement.



Je dois être rouge comme une tomate. J’ai un chalumeau planté dans le ventre. Malgré moi, je tire sur mes liens pour me rapprocher des filles, et mon bassin est agité de spasmes tandis que je mime un accouplement… sans espoir.


Fred a retourné Véro, et les deux femmes s’embrassent à présent à pleine bouche, frottant leur poitrine et leur ventre l’une contre l’autre. Ses mains plaquées sur les fesses de sa partenaire, elle la prend comme si elle était un homme qui la pénétrait.

Je ne sais combien de temps dure le spectacle. Brusquement, Fred relâche son étreinte, écarte ma femme un instant pour me demander :



J’ai répondu machinalement, et mon épouse me lance un regard surpris.



Effaré, je regarde ma femme descendre le long du corps de notre hôte, se mettre à quatre pattes, et commencer à titiller le clitoris de Fred à petits coups rapides de la pointe de la langue.



En tirant à fond sur mes liens et en tendant le bassin au maximum, j’arrive presque à toucher les fesses de ma dame avec ma queue… Presque. Je pousse une plainte de frustration.

Sous mes yeux exorbités, je vois son petit cul qui tressaille au rythme du cunni qu’elle prodigue à notre amie, et vois à l’humidité qui suinte de son con qu’elle aime ça, qu’elle est excitée.


Fred lui impose un rythme rapide, en poussant des gémissements et des cris qui trahissent l’imminence de son plaisir. Avec un cri bref, elle tombe sur les genoux et inonde le visage de Véro de sa jouissance, tout le corps agité d’un tremblement incontrôlable.

Elles restent un long moment sans bouger, et c’est le mouvement que je fais pour me rapprocher d’elles qui les tire de leur torpeur.


Fred se relève enfin, tire d’une armoire une espèce de cheval d’arçon très bas et vient le placer quelques centimètres devant moi. J’ai à peine le temps de remarquer les bracelets de cuir fixés à chacun des pieds qu’elle va relever sa complice :



Avec l’aisance donnée par l’habitude, elle installe ma femme à plat-ventre sur l’engin, la tête à quelques centimètres de ma verge douloureuse de désir, la croupe offerte à l’autre extrémité de l’engin, et bloque poignets et chevilles avec les bracelets prévus pour cet usage.



Ensuite, elle vient se camper devant moi pour me narguer. Elle a un sourire moqueur tandis que l’olisbos de plastique noir, très réaliste, bute contre mon propre pénis, comme deux épées qui se croisent pendant un duel.

Du bout du doigt, elle cueille au bout de mon gland violacé une goutte transparente qu’elle porte à ses lèvres et déguste avec gourmandise.



Comme dans un rêve, elle repasse derrière Véro ; je la vois enduire sa prothèse de lubrifiant, elle se positionne derrière sa victime consentante et commence à jouer avec le gland de plastique et le sexe de sa proie.

Rapidement, je vois le désir se rallumer dans les yeux de ma femme ; j’entends sa respiration qui s’accélère. La fièvre rougit ses joues et elle commence à haleter avant de supplier :



D’une seule poussée, Fred s’enfonce dans le con de Véro, qui laisse échapper un long cri de soulagement :



Elle se met à la pistonner comme un homme mais en changeant de rythme sans arrêt, pour retarder sa jouissance. Tantôt une suite de petits coups de reins rapides, profonds, alternés avec des retraits complets ; un temps mort, avant de s’enfoncer à nouveau jusqu’au bout.


Fou de désir, je peux lire dans les yeux de ma femme la montée du plaisir, exactement comme quand c’est moi qui la baise. Désespérément, je lui tends mon vit brûlant, et je la vois qui ouvre les lèvres, tend la langue pour essayer de l’atteindre. Un instant fugace, la pointe entre en contact avec mon gland… mais Fred reprend au même moment une cadence plus soutenue, et Véro retourne à son plaisir. Je me sens seul, trahi, jaloux. Je vois ma femme soumise à la volonté d’une autre qui me regarde en se moquant de ma détresse, qui se gausse de mon impuissance, qui jubile du pouvoir qu’elle a sur nous.


Véro est au ciel ; elle a ce regard trouble qui ne voit plus l’extérieur, ce regard que je suis si fier de faire naître d’habitude, qui laisse présager de l’intensité d’un orgasme ravageur, sûrement multiple… Elle est dans son paradis, et je ne compte plus : il n’y a plus qu’elle et son plaisir.

Fred ce déchaîne :



Véro crie sa jouissance ; je supplie Fred d’arrêter, de me détacher, mais Véro refuse :



Et Fred enfonce le clou :



J’ai l’impression qu’un rien me ferait jouir, si je parvenais encore à m’approcher un peu des lèvres de Véro, juste un peu, qu’elle m’effleure juste une fois de plus… Mais elle n’essaie même plus de m’atteindre ; elle jouit comme une folle pour la seconde fois sous le joug d’une Fred déchaînée, et s’effondre littéralement sur son engin de plaisir.


Hilare, la diablesse se retire, son godemichet luisant fièrement dressé devant elle et s’approche de moi, en prenant garde cette fois que nos membres ne se touchent pas, comme si elle devinait que le moindre contact provoquerait ma délivrance.



Elle se glisse derrière moi ; ses mains me font frissonner quand elle les passe le long de ma colonne, et je gémis quand elle s’empare sans douceur de mes fesses.



Diabolique, elle caresse mon cul, me forçant à me cambrer davantage.



Elle s’éloigne ; je ne comprends pas. Je n’arrive pas à savoir ce qu’elle fait derrière moi.

Je pose les yeux sur Véronique qui revient doucement à elle et me regarde en souriant.

Fred est à nouveau derrière moi ; je sens son gode qui appuie contre ma cuisse. J’ai un long frisson quand sa main s’aventure à nouveau sur mes fesses et qu’un doigt glissant s’insinue entre elles et me caresse le cul.



Le doigt inquisiteur me pénètre, me caresse l’anus, me fait fondre.



Un deuxième doigt rejoint le premier. Je n’ai pas mal du tout, bien au contraire. Ma queue inutile toujours fièrement dressée devant moi prouve assez clairement que le traitement me convient.



Un troisième doigt s’enfonce sans problème dans mon cul. Elle me caresse de l’intérieur et, à ma grande honte, la sensation est merveilleuse. Je ne sais plus où me mettre. Je m’aperçois qu’un filet translucide s’écoule lentement de ma bite. Véro me regarde curieusement, l’air surpris ; et quand Fred retire ses doigts, je ressens comme un vide et je murmure :



J’ai un soupir de bonheur quand elle reprend sa caresse.



Comme je ne réponds pas, elle s’arrête de nouveau.



Je n’ose répondre, et elle s’arrête à nouveau.



Je suis mort de honte, et ce sentiment, loin de faire retomber la pression, décuple mon désir.



Ses yeux me disent d’accepter ; mes jambes tremblent de désir, mon pénis me semble brûlant et s’agite à chaque mouvement des doigts de ma tourmenteuse, et je ressens une grand vide quand elle les retire.



Elle pose les mains sur mes fesses, les écarte doucement, et elle positionne le godemichet à l’entrée de mon cul.

Comme au ralenti, elle me pénètre, glisse doucement en moi, s’arrête pour me laisser m’habituer, se retire, toujours très lentement, et reste un instant à l’orée de mon cul qu’elle caresse de son gland de plastique tout en expliquant à ma femme, sur le ton d’un démonstrateur de foire :



Je ne peux m’empêcher de gémir quand elle me pénètre à nouveau, toujours très doucement, et s’enfonce cette fois complètement, son ventre touchant mes fesses.



Je sens un plaisir étrange qui m’envahit progressivement, au rythme lent des va-et-vient que j’effectue inconsciemment sur le pénis artificiel, et que j’accélère pour hâter ma délivrance ; plaisir encore décuplé par la conversation entre les deux femmes.



Cruelle jusqu’au bout, Fred obéit et se retire complètement, avec un bruit obscène.



Fred s’esclaffe, Véro jubile.



Véro me regarde droit dans les yeux :



Véro hoche la tête, et je manque de défaillir quand le pieu de plastique s’enfonce à nouveau.

Je ne suis plus qu’un jouet entre leurs mains.

Fred adopte un rythme rapide qui déclenche des ondes de plaisir qui irradient dans tout mon corps, me tétanisent, me font hurler de bonheur. Jamais je n’ai ressenti un tel plaisir. Comme foudroyé, mes jambes ne me portent plus et, sans les menottes qui me retiennent, je me serais effondré.

Je me laisse glisser sur la vague du plaisir, heureux d’avoir une femme si belle, une amie si perverse, fier de leur appartenir, de n’être plus qu’un jouet entre leur mains. Je ne sais pas si l’orgasme des femmes ressemble à ça, mais je leur souhaite en tout cas.


Je rouvre les yeux. Je ne me souviens même pas les avoir fermés.

Fred est devant moi et détache Véro. Toujours à quatre pattes sur le cheval d’arçon, elle a le visage maculé de sperme. Pourtant je ne me rappelle pas avoir éjaculé.

Ma femme se redresse, s’étire. Je me demande combien de temps a duré la séance.



Le sperme donne un drôle de goût à ses lèvres ; pas mauvais, juste bizarre.



Toutes les deux détachent mes chevilles. Quand vient le tour des poignets, Fred demande :



Je lui souris :



Et nous éclatons de rire tous les trois.