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n° 16240Fiche technique18701 caractères18701
Temps de lecture estimé : 11 mn
17/06/14
Résumé:  Ma femme accède enfin à mon désir : la voir faire l'amour. Après des années d'attente, voici le moment fatidique venu. Mais la réalité n'est pas forcément aussi facile à vivre que le rêve.
Critères:  fhh cocus piscine jalousie fellation cunnilingu préservati pénétratio confession -couple+h
Auteur : Brmbrm  (Réaliser un fantasme sans se perdre)            Envoi mini-message

Série : Cocufiage programmé

Chapitre 03 / 05
Cocufiage programmé - 3

Résumé des épisodes précédents : Rêvant depuis longtemps de voir ou savoir ma femme faire l’amour avec un autre homme, voici que se présente une opportunité : un ami de longue date, artiste sculpteur et peintre propose de mouler le corps de ma femme. Elle refuse plusieurs fois, puis finit par craquer. Elle va seule chez lui, un week-end, pour le moulage. Sans les interventions téléphoniques intempestives du futur cocu, l’affaire eut été entendue.Suite à ce demi-échec – ils ont dormi ensemble, nus, se sont caressés pendant des heures, mais n’ont pas finalisé – je propose un trio.




Après le fiasco de juin dernier, ma femme est très prudente. Elle redoute un de ces accès de colère dont j’ai le secret. Je sais que ça peut surprendre, voire agacer, pourtant, pour en avoir débattu sur des sites de rencontres, ce mélange d’excitation et de jalousie est courant chez les apprentis cocus. De son côté, ma femme garde un goût d’inachevé dans la relation qu’elle a entamée avec Alain. Elle a envie d’être pénétrée, possédée, emplie de jouissance.


Nous avons réussi à renouer le dialogue sur ce domaine hautement risqué. Nous parlementons, elle appelle son amant, il est d’accord pour un week-end à trois. La date est fixée. Je la surprends en ne parlant pas de notre projet. L’an dernier, avant son premier week-end adultérin, elle était très chaude avec moi, me parlait librement de baiser, de ce qu’elle allait faire avec cet autre. Là, c’est le calme plat.


Quelques jours avant la date fatidique, Alain, sans doute inquiet lui aussi, téléphone pour prendre la température. Je lui réponds aimablement et lui passe ma femme ; je les laisse parler sans les surveiller. Jusqu’au dernier moment, je la sens inquiète. Elle ne croit pas que ça va se passer mieux que l’an dernier.


Elle se fait belle, pour lui, déjà un sein dans l’adultère, mais je vais être avec elle, assister à mon cocufiage, aussi, j’apprécie son charme. Nous voilà partis, paisibles. Trois cents kilomètres avant l’amour. En route, je lui parle de relations extra-conjugales, de mes aventures qu’elle prétend découvrir. Elle me demande plusieurs fois :



Nos discussions érotico sentimentales se poursuivent en toute sérénité. Et soudain, bouchon : un accident sur l’autoroute et le blocage qui va avec. Nous voilà réduits à rouler à 30 km/h. En riant, je lui dis :



Nous rions, je lui prends la main… elle est très désirable. Je bande en imaginant qu’elle est déjà dans les bras de l’autre. En nous piétinons. Dix kilomètres en une demi-heure.



Elle hésite, trouve la situation scabreuse : appeler son amant devant le mari pour lui dire : ne t’inquiète pas, le cocu sera bien cocu, il est là, à côté de moi…



Elle m’explique qu’il est très anxieux, qu’elle sentait son désir au téléphone, qu’elle a hâte d’y être, de découvrir enfin ce plaisir nouveau. Et nous lanternons encore une bonne heure.


Enfin, nous voilà devant la maison d’Alain. Il est déjà dehors, fébrile, très impatient. Il se jette sur elle, lui donne un petit baiser très chaste sur la bouche. Elle est très souriante.



Le repas se passe bien. Elle est assise à côté de moi. Lui, en face. Ils se regardent sans cesse, il lui sourit. Il la complimente sur sa forme, sa bonne mine. J’ose une allusion :


Moi : — Elle a rajeuni depuis quelques jours. Peut-être est-elle amoureuse ?

Lui : — Tu es amoureuse Marie ?

Elle : — Pas du tout. Je suis bien parce qu’il fait enfin soleil.

Lui : — C’est sûr que nous n’avons pas souvent un soleil pareil ici.

Moi : — C’est Marie, ton soleil ?

Lui : — Aussi. Deux soleils pour le week-end, ça se présente bien.

Moi : — C’est un signe !


Nous rions tous les trois. J’ai l’impression que mes deux partenaires précipitent le repas.


Lui : — Vu l’heure, on va peut-être faire l’impasse sur la sieste.

Elle : — Oui, il est trop tard. Que proposes-tu ?

Lui : — Un petit plongeon pour commencer.

Elle : — Oui, ça va être super.


Ils se lèvent presque trop vite, je commence à bander.


Nous entrons sous la serre ; plus de 30°, chaleur un peu étouffante. Personne ne parle, la tension monte. Alain est le premier à se déshabiller. Le T-shirt, belle musculature. Moi qui croyais que c’était un pépère. Pantalon : même qualité musculaire, slip, il me tourne le dos, ses fesses sont de toute beauté ! Je me sens minable. Il se tourne, la bite semi-rigide, pendante, 15 cm… ma chérie se désape aussi. Alain la regarde, sans aucun complexe, le sourire aux lèvres. Moi aussi. Corsage, soutif, les pointes des seins sont déjà dures. Pantalon, culotte. La voilà toute nue ! Toute nue devant un autre homme tout nu ! Il descend dans la piscine, Elle le suit, prenant soin de ne pas s’immerger totalement, afin qu’il admire ses jolis seins. Comme un voleur, je me déshabille rapidement et saute dans l’eau, conscient que je ne fais pas le poids. Je n’ai pas un corps d’athlète. Nous nageons, calmement, elle émet de petits qualificatifs prometteurs :



Il sort de l’eau et prend une épuisette pour ramasser quelques insectes imaginaires en surface, bien tourné vers le bassin et sa promise. En fait, il veut juste montrer sa belle bite à sa future maîtresse. Elle joue le jeu, s’accoude sur le rebord, face à lui, la poitrine cambrée, superbe, hors de l’eau. La bite de son futur amant se redresse. Ella a les yeux rivés dessus. Moi, le futur cocu, je regarde ce jeu de séduction. Je ne vois pas comment elle échapperait à Alain. Cette petit comédie dure un peu, il ne fait même plus semblant de pêcher des déchets, il reste là, face à elle, à lui parler, Il ne lui parle pas de son désir, de ses seins impatients. Juste des mots aimables sur cette belle journée qui s’annonce. Elle semble fondre.



Je sors de l’eau en même temps que ma femme. Nous allons vers la pelouse revêtue de serviettes. Elle se place entre nous :



Personne ne répond. Elle nous prend la main, et nous allons vers le lieu de perdition. Elle s’allonge sur le ventre, les deux hommes de part et d’autre, sur le flanc, tournés vers notre proie d’amour, chacun ayant une vue sur la bite de l’autre, baromètre infaillible de notre désir. J’admire la belle bite d’Alain maintenant plus raide… Pendant quelques minutes, nous regardons notre femme avec envie sans oser commencer les travaux d’approche.


Je donne le signal du départ, caressant le dos, la hanche et les reins de Marie. Alain ne fait rien. Pourquoi ? Je m’enhardis, caresse la fesse avec douceur. Elle se tourne vers moi, me sourit, lève le buste, appuyée sur ses coudes, les seins pendants. Alain passe la main sous le sein et le caresse gentiment. Elle se tourne vers lui. Je continue mes attouchements de plus en plus intimes. Il lui pétrit le sein. Je devine son accord. Il s’approche, l’embrasse. Puis, il se lève :



Toute l’équipe se lève et se déplace de quelques mètres. Mais ma chérie s’allonge sur le dos. Alors, Alain lui empoigne le sein pour le sucer, le téter avec fougue… Elle se tourne vers moi :



Alain me lance un regard méprisant, attire Marie vers lui, s’allonge sur elle et l’embrasse fougueusement. Mon cœur s’emballe. C’est déjà du cocufiage ! Ils sont collés l’un à l’autre, elle s’abandonne totalement, leurs bouches goulues se dévorent avidement. Subitement, Alain se lève sans rien dire et disparaît.



Comment peut-on faire ça ? Je suis un peu colère. Pas longtemps, voilà le sportif de retour, agitant une petite pochette plastique. Il l’ouvre, sort un préservatif, l’enfile, prend la main de ma femme, la relève, l’emmène au soleil. Il la fait allonger sur le dos, lui écarte les cuisses et les relève. Il approche sa bite maintenant très raide, de son minou. Il pose son gland à l’entrée, et pousse tout doucement. L’intromission est facile, ma chérie doit être inondée de désir. Il va doucement, regardant sa partenaire pour vérifier que tout va bien. Elle lui sourit. Il accélère le mouvement. Le rythme devient sportif, les seins de Marie ballottent au rythme du va-et-vient. Il reste appuyé sur les bras pour que son sexe frotte bien l’intérieur secret de ma femme. Il la pénètre bien à fond, se retire presque entièrement pour mieux repartir à l’attaque. Un bruit de succion alterne avec le choc des couilles sur les fesses de ma chérie. Deux fois, il sort complètement. Aussitôt, elle cherche sa bite de la main pour le guider, impatiente. Je vois avec délice une nouvelle pénétration, puis une troisième. Ils sont beaux. Bien assortis. Respirant le plaisir. Leurs sexes sont complices, elle est radieuse. Je suis complètement abasourdi, le cœur à 400, débandé. Je perds ma concentration, ne sais plus s’ils ont joui ou pas.


Alain est reparti. Je m’approche de ma chérie, la prends dans mes bras, serre son corps nu contre moi.



Alain revient rapidement, comme s’il ne voulait pas d’intimité entre elle et moi, avec un plateau chargé d’une théière, de tasses et de gâteaux. Nous nous asseyons à table, toujours nus, comme si rien ne s’était passé.


La soirée se passe comme autrefois, entre amis. Nous allons cheminer dans les sentiers avoisinants, dînons dans la bonne humeur puis un ping-pong de nuit, moi d’un côté, eux de l’autre : le cocu, face au nouveau couple. Ils ne ratent pas une occasion de se frôler, se toucher…


Vient le moment d’aller dormir.



Moi, pauvre cocu, j’aurais aimé une accalmie, pas préparé à une rafale de baises à répétition. Marie m’interroge du regard : ce serait bien, à trois…

Je bougonne, il n’est pas prévu qu’elle reste seule avec moi, c’est à trois ou seul !


Alain est tout de suite à poil, Marie aussi, elle déambule dans la chambre, très naturelle, ses jolis seins pointus se balançant gentiment, elle plie ses vêtements… Je me cache sous le drap. Extinction des feux. Elle devine mon malaise et s’empare de ma bite. Elle me branle doucement, je la pelote, je revois le cocufiage de l’après-midi, ça m’excite énormément, j’éjacule très vite.


Dès ma jouissance, retentit le bruit d’un plastique qui se déchire, je devine qu’Alain revêt un préservatif. Il saute littéralement sur ma femme et la pénètre illico avec furie. Elle gémit de plaisir, ils sont tout contre moi, je subis les mouvements, il la prend bien à fond, elle chuchote comme jamais elle ne le fait avec moi. Très cocu !


Il jouit rapidement et se retire pour se coller à elle. Elle le repousse, revient vers moi et plaque son corps nu contre le mien. Toute la nuit, elle restera contre moi, comme pour se faire pardonner d’avoir baisé avec Alain.


Au petit matin, je caresse ma femme de haut en bas, devant derrière, et finis par la doigter doucement. Elle mouille bien. Alain la caresse aussi, puis il retire ma main pour mettre deux doigts, puis trois. Elle se dandine, jouit, offerte, se tourne vers moi, je la repousse et la colle dans les bras de son amant qui se plaque à elle et l’embrasse à pleine bouche, continuant à la doigter profondément… jusqu’à avoir les doigts mouillés de sang. Alors, il se lève et descend faire le petit déjeuner.


Au moins deux fois cocu dans la journée. Je suis un peu abasourdi.


Le petit déjeuner se passe comme si rien ne s’était passé. Nous parlons de nos enfants, de nos projets. Puis, Alain décide d’aller se raser. Ma femme refuse de me parler, boudeuse. L’autre redescend, à poil, sa belle queue semi bandée, plus grosse au repos que la mienne en action. Il prépare un gratin tout en discutant avec ma femme. Elle est face à lui, nullement gênée par sa nudité. Ils sont tout proches. Je sors le caméscope pour graver ce moment étonnant, curieux de connaître la suite : Va-t-elle se mettre toute nue elle aussi et se faire prendre sur la table de cuisine ? Mais Alain se fâche : Pas de photo. Il monte s’habiller.


La matinée est un peu tendue. Une promenade dans les bois ne diminue en rien la pression. Je croyais partager, je suis remplacé. Elle est volubile avec lui, l’invite à venir cet été nous rendre visite. Au retour, Alain propose un bain, sans appareil photo :



Ça m’énerve dur. On y va tous les trois, tout nus bien sûr. Mais sans la chaleur d’hier. Je sors le premier et me rhabille aussitôt, pour tester ma femme, voir quel camp elle choisit. Ils traînent un peu, ma femme sort la première et se rhabille, consciente du malaise. Triomphe minable du cocu jaloux.


Le déjeuner est triste. L’ambiance est cassée. À qui la faute ? Un peu des trois, je crois.



Elle a encore envie de lui, de se faire prendre comme une chienne. J’étais d’accord pour être cocu, je le suis, mais là, c’est un peu trop. Ça devient de la baise en série. On parlemente et nous finissons par reprendre la route.



L’ambiance est lourde dans la voiture.



Après réflexion, je regrette que l’exhibition dans la cuisine ait été interrompue. J’aurais aimé savoir ce qui se serait passé. Se serait-elle offerte ? Mais pourquoi cet idiot ne voulait-il pas que je le filme ? Je les aurais laissés baiser, trop heureux de garder la mémoire de cet instant torride : mon nième cocufiage en direct live, que j’aurais pu regarder à loisir une fois rentré.


Je me dis qu’un homme qui refuse d’être filmé par le cocu est un peu mesquin. D’autant plus qu’on se connaît depuis si longtemps ; il pouvait être sûr que je ne ferais de ces images qu’un usage de cocu solitaire.


Malgré ce week-end imparfait, nous avions progressé par rapport à l’année précédente : ils avaient vraiment fait l’amour, et même plusieurs fois, même si le cocu les gênait un peu.


L’été fut difficile. Ma chérie avait du mal à accepter de ne pas revoir son amant. Je me suis mis à échafauder de nouveaux plans.


À ceux qui sont agacés par ces valses hésitations, je voudrais dire qu’il est bien plus humain d’être envahi par le doute que de baiser comme des bêtes. Que c’est le lot de nombre d’entre nous, conscients du risque de perdre beaucoup en franchissant la ligne jaune. Et c’est d’autant plus excitant que c’est dangereux.