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Temps de lecture estimé : 12 mn
22/06/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Valérie séduit Lucie lors d'une cousinade et décide de profiter au maximum de ce week-end.
Critères:  ff cousins fête
Auteur : Love Doctor  (Homme de 50 ans amateur de femmes et de récits libertins.)

Série : Valérie

Chapitre 04 / 06
Lucie et Valérie s'éclipsent pour un nouveau moment torride

Résumé du 1er épisode : Valérie découvre l’amour au féminin dans les bras de Julietta, la supposée maîtresse de Marc, son mari.

Résumé du 2ème épisode : Valérie et Julietta entament une liaison secrète.

Résumé du 3ème épisode : Valérie accompagne Marc chez des cousins et rencontre Lucie, une superbe brune avec qui elle vit un magnifique moment sensuel.







Le reste de la soirée fut assez étrange. Je n’avais aucune envie de quitter Lucie ; mais la bienséance voulait qu’en bonnes épouses, nous passions du temps avec nos maris, lesquels se moquaient de nous comme de leur première bouteille. En effet, nous les avons retrouvés regroupés autour du bar, éméchés, bruyants et même pas surpris de nous voir revenir ensemble alors que nous étions parties séparément.


Bref, nous aurions pu nous rouler une pelle qu’ils ne nous auraient pas vues ! Mais c’est Thierry que Lucie embrassa à pleine bouche, ayant bien pris soin d’effacer tout effluve féminin de son joli minois. Marc, de son côté, était tellement ivre que l’embrasser aurait ressemblé à boire du whisky direct à la bouteille !


Tel un couple de poivrots, je le ramenai tant bien que mal à la chambre, soulagée en fait de ne pas avoir à subir le devoir conjugal qui m’aurait paru bien fade en comparaison de l’érotisme torride vécu dans la chambre de Lucie. La nuit fut donc calme sur ce plan-là dans notre chambre, et je m’endormis la main entre les cuisses après un dernier orgasme masturbatoire, le corps de Lucie accompagnant mes rêves.


Après une douche matinale vivifiante, Marc et moi descendîmes au rez-de-chaussée pour le petit déjeuner. La salle à manger, déjà remplie des rires des enfants, des conversations des adultes et des bruits de table, était assez bruyante. Je cherchai Lucie du regard, tentant de paraître naturelle, souriant à tout le monde aimablement, mais réservant mon plus beau visage à la jolie brune assise au bout de la table avec son époux. Je me retins de me précipiter vers elle pour lui faire la bise mais me contentai d’échanger avec elle des sourires discrets, ne voulant pas nous faire paraître suspectes aux yeux d’un éventuel observateur.


Je ne manquais pas tout de même de l’admirer en douce, me remémorant ses formes voluptueuses, cachées pour le moment par une jolie robe blanche. Mon œil désormais averti de chasseresse remarqua la présence probable d’un string et l’absence quasi certaine de soutien-gorge. Indéniablement, sous ces apparences de femme sage, elle dégageait une sensualité évidente pour quiconque la regardait avec intérêt.


Assise à un bout de la table, je tentais de faire bonne figure en bavardant avec les personnes proches de moi. Souriante, je faisais mine de m’intéresser à mon voisin de droite qui me parlait de ses problèmes de sommeil. À force de l’écouter, c’est moi qui allais m’endormir ! Poliment, je le laissai trouver une autre oreille attentive, quittant la table pour me servir en café à l’autre bout de la pièce. Pour ce faire, je passai non loin de Lucie à qui je décochai un magnifique sourire pour l’attirer au buffet quelques instants plus tard.



On rit de bon cœur comme deux amies se racontant une histoire drôle, mais nos regards trahissaient notre envie de partager à nouveau un moment érotique. J’allais poursuivre lorsque je vis Marc approcher. Telle une femme aimante, le sourire aux lèvres, je le regardai avancer vers nous.



Charmeur, il fit la bise à Lucie qui s’éclipsa rapidement, nous laissant seuls. Connaissant mon mari, je savais qu’il avait un truc à dire mais n’osait pas. Les hommes sont tellement prévisibles…



Un sourire de gamin qui a gagné un tour de manège gratuit emplit son visage.



Il m’embrassa fougueusement pour me remercier et, un peu étonnée par cet élan, je souris en le regardant partir rejoindre ses deux nouveaux amis. Cinq minutes plus tard, ils étaient loin. Avec le trajet et le temps passé là-bas, ils ne seraient pas de retour avant trois heures.


J’aperçus Lucie au fond de la salle dans le coin des petits en compagnie des autres mamans et de Charlotte, la baby-sitter, une très jolie blonde d’une vingtaine d’années avec des yeux bleus magnifiques. Ne croisant pas le regard de ma « chérie », je décidai de monter dans ma chambre prendre une douche et me changer. Trois heures sans nos maris, ce serait dommage de ne pas en profiter !


Vite nue, je passai sous l’eau bienfaitrice, savonnant mon corps que ma nouvelle vie de libertine me permettait enfin d’apprécier après des années de manque de confiance en moi. L’indifférence de Marc à mon égard ces derniers mois m’avait fait douter de ma capacité à séduire, mais Julietta – et maintenant Lucie – m’avaient réveillée. Je me sentais presque l’âme d’une croqueuse de femmes ! L’évocation de la jolie brune me troubla aussitôt et je sentis mon corps réagir : seins dressés sous mes mains, ventre chaud et déjà impatient. Je me retins de poursuivre plus loin mes caresses et sortis vite de la cabine. Cinq minutes à peine me suffirent pour me vêtir d’une robe légère et me maquiller.


Au rez-de-chaussée, je compris vite, au calme ambiant, que les marmots avaient quitté les lieux, probablement pour une balade. Je repris place à la table pour boire un jus d’orange près du cousin notaire et de son épouse. Souriante et désireuse de faire bonne figure, je bavardai un instant avec la rousse opulente qui avait tenu le crachoir à Marc hier soir. Je devrais la remercier pour l’avoir monopolisé et ainsi permis mon escapade lubrique avec ma jolie brune. Agnès, c’était donc son prénom, avait un certain charme dans le genre bien en chair, et sa robe laissait deviner sa poitrine lourde avec une peau remplie de taches de rousseur. Malgré moi, je jetai un rapide coup d’œil dans son décolleté, ce que la coquine remarqua. À son sourire enjôleur, je compris que je ne l’avais pas choquée, voire même intéressée. Je refroidis de suite ses éventuels élans lubriques en quittant rapidement la table, prétextant une aide à fournir à la maîtresse de maison. Une cousine par week-end dans mon lit, ça suffisait !


Cette pensée me fit sourire tandis que je me dirigeais vers la cuisine.

J’aidai donc Hélène dans ses tâches ingrates de maîtresse de maison et, l’union faisant la force, nous finîmes rapidement ces corvées qui manifestement n’avaient intéressé personne d’autre que moi. Mon hôtesse me remercia vivement et, après les politesses d’usage, nous prîmes un café, tranquilles dans sa cuisine rangée. Bien que ne connaissant cette « nouvelle » cousine que depuis peu, je me sentais à l’aise avec elle et c’était probablement réciproque, car elle me demanda de sa voix douce :



À son regard, je compris que cette visite, soi-disant amicale, cachait plutôt un rendez-vous galant. La solidarité féminine m’imposait évidemment d’accepter cette demande « innocente ».



On rit, complices, et Hélène quitta rapidement la cuisine, non sans me déposer une bise affectueuse sur la joue. Je la regardai s’éloigner, heureuse de la voir frétiller comme une ado qui se rendait à son premier rendez-vous.


L’horizon s éclaircissait de plus en plus ; il ne me restait plus qu’à faire comprendre à Lucie que la voie était presque libre pour une nouvelle rencontre furtive, si évidemment elle le désirait autant que moi. L’apercevant dans le parc, je m’approchai d’elle, un sourire charmeur aux lèvres. Nos regards se croisèrent et je compris qu’elle était dans les mêmes dispositions. Tentant de paraître naturelles aux yeux d’éventuels espions, nous entamâmes une conversation comme deux amies, mais dont la teneur était tout sauf innocente.



Je lui souris, amusée par sa candeur simulée.



Je vis à ses pointes de seins sous la robe qu’elle était dans le même état que moi et elle lança l’idée.



On se sépara et Lucie partit vers le fond du parc sans se presser, me laissant admirer son déhanchement sensuel. De mon côté, je fis un rapide détour vers ma chambre pour faire une surprise à ma chérie. Dix minutes plus tard, j’entrai dans la dépendance où le silence régnait. Un rapide coup d’œil me permit de voir que Lucie ne se trouvait pas au rez-de-chaussée, ni au premier étage d’ailleurs. Je commençais à me poser des questions lorsque je remarquai la porte menant au grenier entrouverte. Lentement, je gravis l’escalier, jouant à un jeu de cache-cache coquin. Les marches craquaient sous mon poids et j’avais l’impression que le bruit s’entendait dans toute la propriété.


Arrivée dans les combles, je poussai une porte et découvris enfin Lucie, debout près du lit dans la lumière de la lucarne. Elle était tout simplement magnifique ! Sans un mot, je m’avançai jusqu’à la frôler. Ma main s’empara de son cou frêle pour attirer sa bouche contre la mienne. Nos lèvres jouèrent un instant, se mordillant tendrement avant que ma langue se faufile et prenne possession de la sienne. Lucie gémit et se laissa conquérir. Bloquée par le bois du lit, elle ne pouvait échapper à mon emprise et je me collai furieusement à elle. Toute la tension érotique accumulée se libéra d’un coup.


Ma main libre retroussa sans fioriture sa robe, comme l’aurait fait un amant peu galant. Elle ne se déroba pas et gémit de plus belle lorsque mes doigts frôlèrent la peau douce de sa cuisse. De son côté, elle ne restait pas inerte et empauma mes seins lourds. Surprise de ne trouver aucun obstacle sous le tissu de ma robe, elle joua aussitôt avec mes pointes qui réagirent. Je frôlais maintenant son string moite. Lentement, je caressai son sexe à travers le tissu, faisant lâcher prise à Lucie qui abandonna mes seins pour s’agripper au lit.



Satisfaite de moi, je profitai de mon avantage pour glisser ma main sous le tissu, frottant sa toison courte contre ma paume. Deux de mes doigts pincèrent délicatement son clitoris, faisant lâcher de petits cris à Lucie. Je l’admirai ainsi : offerte, sexy, à ma merci. Lentement, j’entrepris des caresses circulaires sur sa crête sensible, tentant de maîtriser mes gestes malgré mon excitation galopante. Lucie gémissait maintenant sans retenue, oubliant sans doute qu’une visite d’un invité surprise dans les combles rendrait la fin du week-end mouvementée. Pour l’instant, elle n’était pas en état de penser à autre chose qu’à son plaisir et, dans une impudeur magnifique, elle défit sa robe pour mettre sa poitrine à nu. D’un geste sensuel elle m’offrit un de ses seins à lécher. Sans un mot, je compris l’invite et bientôt ma bouche aspira sa pointe au rythme de mes caresses sur son sexe. Lucie avait du mal à tenir debout et agrippait le lit comme une naufragée du Titanic une bouée de sauvetage.


Mes doigts étaient trempés et coulissaient sans peine autour du clitoris. Une odeur de sexe, amplifiée par la chaleur ambiante, embaumait l’air. Ces effluves devaient exciter autant Lucie que moi car je sentis au ton de ses gémissements que la belle ne tiendrait plus longtemps. Ma bouche lui fit rendre grâce dans un cri rauque lorsque j’aspirai entre mes lèvres serrées une pointe de sein dressée et sensible. Ses cuisses se serrèrent brusquement lorsqu’elle jouit, emprisonnant ma main, déclenchant ainsi un orgasme de folie.


Debout, la robe retroussée et débraillée, elle était d’un érotisme torride. Je retirai ma main de son string et lui présentai à la bouche. Son regard dans le mien, elle nettoya toute trace de son plaisir avec une délectation gourmande.



Un baiser tendre la rassura sur mon opinion, et doucement je fis glisser sa robe pour découvrir un peu plus de son corps plantureux et doux, lui laissant uniquement son string de dentelle blanche. Mes mains caressaient ses seins à nouveau sensibles, et lentement je repris possession de son corps. D’une nature probablement passive, elle me laissait totalement l’initiative, et cela me plaisait. Profitant de mon ascendant, je la fis se tourner lentement pour qu’elle offrît ses fesses à ma vue et à mes caresses. Les yeux fermés elle se cambra, faisant ressortir ses deux globes. Lentement, je fis glisser son string ; et d’un geste rapide je me débarrassai de ma robe, collant mon pubis à son cul. Elle sursauta en réalisant l’absence d’obstacle entre nos deux corps.



Joignant le geste à la parole, je me collai à son corps moite, seins dans son dos, pubis contre ses fesses et bouche tout près de son oreille. Ma langue joua brièvement avec son lobe, déclenchant en elle des frissons que je ressentais le long de son corps. Puis ma bouche explora son cou, son épaule, son dos pour atteindre bientôt le creux de ses reins. Lucie ne protestait pas, bien au contraire, et je pris cela pour un encouragement. Accroupie derrière elle, mes mains écartèrent doucement ses globes, laissant apparaître un petit trou lisse et magnifique. Je la laissai quelques secondes dans l’expectative, et lentement posai ma bouche sur cet orifice tabou chez ceux qui ne connaissaient pas les bienfaits. Lucie les connaissait a priori, et ses gémissements indiquèrent qu’elle appréciait ma « visite ». Ma langue large humidifiait l’orifice que je sentais s’ouvrir un peu. Cette invite me rendit dingue et, oubliant toute retenue, ma main libre caressa mon sexe trempé et inutilisé pour le moment. Lucie comprit ce que je faisais et m’encouragea.



Ma langue se fit de plus en plus coquine au fur et à mesure que mon excitation grandissait. Mes cris de plaisir étaient assourdis par les fesses de ma belle qui entama, elle aussi, une masturbation bientôt effrénée. Lucie gravit à nouveau les marches du plaisir et jouit sous les attentions combinées de ma langue et de sa main. La force de son orgasme m’obligea à abandonner mon sexe pour tenter de contenir les mouvements de son bassin, ma langue fichée entre les plis de son anus.


Lucie reprit lentement son souffle, se retourna et me fit relever. Les yeux brillants, les joues rouges, le plaisir avait laissé des traces sur son beau visage. Doucement, elle m’embrassa et me fit allonger sur le lit ; devant son air décidé, je me laissai guider. Pour m’offrir complètement, je repliai les jambes, exhibant ainsi totalement mon intimité. Telle une maîtresse soumise, elle prit place à mes pieds, me regardant comme jamais personne ne l’avait fait, pas même Julietta. Je pris conscience que la belle avait une chose importante à dire.



Devant mon silence, elle poursuivit :



Le moment était du coup solennel, en totale contradiction avec la folie de nos corps il y a si peu de temps. Lucie était émue aux larmes et poursuivit :



Cette fois, les larmes coulaient pour de bon sur ses joues.



Lentement, sa main remonta vers mon genou tandis qu’elle poursuivait.



Apaisée, elle se redressa et s’allongea sur moi. Nos bouches se joignirent pour un baiser plein de tendresse, ses larmes donnant un goût salé à notre étreinte. Lucie se plaquait à moi avec une force trahissant son désespoir. Ses caresses me firent bientôt oublier la tristesse de ses paroles récentes, et lentement je me laissai aller. Lucie se fit plus brusque, se comportant presque comme un homme pressé. Sa bouche pinçait ma peau, faisant fi du risque de laisser des traces. Mes seins étaient plus malaxés que caressés mais, malgré tout, mon excitation était bien réelle et peut-être même exacerbée. Je me sentais ouverte comme si un pénis allait me pénétrer et, excitée par cette image, je pris la main de Lucie pour la plaquer sur ma vulve. Elle gémit et me pénétra de trois doigts directement. Mon vagin dégoulinant les accepta sans problème et mon bassin fut bientôt agité de mouvements désordonnés. Sa main s’agitait avec vigueur tandis que sa bouche m’empêchait de crier mon plaisir. Je sentais les larmes de Lucie couler sur mes joues. Elle était ailleurs, peut-être avec Nathalie, mais je m’en moquais et l’orgasme me saisit bientôt, provoquant un spasme de tous les muscles de mon organisme, la main de Lucie fichée en moi.


En sueur, toutes les deux sur ce lit du grenier, loin du monde réel, nous reprenions nos esprits, inconscientes du bruit que nos ébats avaient provoqué. Mais un grincement de porte m’intrigua et, me relevant doucement pour ne pas brusquer Lucie, mon regard croisa celui de Charlotte, la baby-sitter, sur le pas de la porte du grenier ! Depuis quand était-elle là ? Allait-elle faire un scandale ?


Le cœur battant, je la vis disparaître prestement de mon champ de vision. Je ne dis rien à Lucie pour ne pas l’angoisser davantage et me promis de parler à Charlotte pour m’assurer qu’elle garderait le silence.


Pour le moment, l’important était de profiter du corps de ma jolie brune que je voyais nue pour la dernière fois, selon ses volontés.