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Temps de lecture estimé : 15 mn
28/06/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Valérie passe un week end chez des cousins de Marc son époux.Après avoir séduit Lucie une jolie cousine brune elle est intriguée par Charlotte la baby sitter pas si innocente que cela...
Critères:  ff
Auteur : Love Doctor  (Homme de 50 ans amateur de femmes et de récits libetrtins.)

Série : Valérie

Chapitre 05 / 06
Fin de week end torride chez les cousins

Résumé du 1er épisode : Valérie découvre l’amour au féminin dans les bras de Julietta, la supposée maîtresse de Marc, son mari.


Résumé du 2ème épisode : Valérie et Julietta entament une liaison secrète.


Résumé du 3ème épisode : Valérie accompagne Marc chez des cousins et rencontre Lucie, une superbe brune avec qui elle vit un magnifique moment sensuel.


Résumé du 4ème épisode : Valérie et Lucie vivent un dernier moment érotique avant de se dire adieu.




__________________________________




Après notre escapade au grenier, Lucie prit ses distances pour la fin du week-end. Sa confession sur son aventure douloureuse avec cette Nathalie expliquait sans doute son comportement. Je passai donc du temps avec Marc, tout heureux de me raconter son expédition au rassemblement Porsche et encore tout gêné de m’avoir abandonnée pour la matinée. S’il savait de quoi de je m’étais occupée en attendant son retour, il serait tombé de la chaise !

Une petite chose me tarabustait tout de même : qu’avait vu Charlotte, la baby-sitter, depuis le pas de la porte du grenier ? A priori, elle avait gardé le secret, sinon le scandale aurait déjà éclaté. Son attitude paraissait naturelle, du moins de la distance où je l’observais, n’ayant aucune raison d’être à ses côtés, mes enfants étant grands et de plus, absents !


Le repas de midi fut paisible, et bientôt les premiers invités partirent. Lucie et sa petite famille nous dirent au revoir de manière amicale et je lus juste un soupçon de tristesse dans ses yeux au moment de la bise. Par habitude – et aussi par envie – je dis le « à bientôt » traditionnel, sachant que, selon notre pacte, nous ne partagerions plus de moments intimes.


L’après-midi se poursuivait et il ne resta que Marc et moi comme derniers cousins présents. Allongés sur des transats à l’ombre d’un tilleul, nous prenions le frais avec Hélène et Xavier, discutant de ce week-end réussi et du programme de notre été. Hélène nous annonça que le lendemain, elle serait près de notre ville car elle devait déposer Charlotte dans une station touristique pour un job saisonnier. Les deux cousins ne manquèrent pas de faire quelques remarques sur le physique de la baby-sitter pour nous rendre jalouses, puis passèrent vite à autre chose.


Pour le moment, la jeune femme était occupée dans la dépendance, probablement pour mettre de l’ordre dans la salle de jeu où les marmots avaient semé le souk. Mon esprit divagua tandis que Marc et ses cousins partaient dans une discussion familiale dont les tenants et les aboutissants me paraissaient obscurs. Mes idées étaient beaucoup plus légères et je repensai à Charlotte. Je l’avais à peine regardée samedi, tant j’étais obnubilée par Lucie ; mais depuis son hypothétique voyeurisme, je m’étais beaucoup plus intéressée à elle. Certes, ses yeux bleus m’avaient frappée d’emblée, mais le reste de son physique était tout aussi séduisant. Blonde au carré, déjà bronzée, elle possédait une poitrine lourde pour son jeune âge, et un corps de sportive respirant la santé. Bref, tous les mâles présents ce week-end auraient probablement aimé redevenir un enfant pour profiter de ses soins, mais a priori aucun n’avait pu retenir son attention, même les plus âgés des ados.


Profitant d’un assoupissement presque complet des trois cousins, je quittai la terrasse pour aller me promener dans le parc sans idée précise, mais bientôt mes pas m’amenèrent tout naturellement vers la dépendance, lieu de mon escapade lubrique du matin. L’endroit était paisible et me procurait une légère nostalgie en repensant à Lucie ; et sans bruit je pénétrai dans la bâtisse où manifestement quelqu’un s’activait. Je me dirigeai vers l’origine du remue-ménage et découvris Charlotte rangeant le bazar. Elle sourit à mon arrivée, même pas surprise de me voir.



Appuyée à la porte, je la regardais faire, admirant au passage sa tenue mettant en valeur ses formes : chemise cool nouée sous la poitrine, faisant ressortir ses seins lourds et minishort en jean donnant très envie de voir ce qu’il cachait à peine !



Comprenant l’allusion, je ne baissai pas le regard et souris, prête à jouer à ce petit jeu avec cette jeune fille a priori pas si innocente que cela.



Son regard mutin me fit comprendre que la belle avait tout vu, et que loin de l’avoir choquée, notre exhibition involontaire l’avait peut-être émoustillée. Voulant être aussi joueuse qu’elle, je poursuivis :



La scène était hallucinante : elle continuait à ranger tout en tenant des propos coquins avec un naturel étonnant pour son âge.



Restée immobile depuis mon arrivée, je voyais Charlotte se rapprocher sans en avoir l’air, au fur et à mesure du rangement. Tel un fauve, je surveillais ma « proie » du coin de l’œil.



Elle eut un sourire malicieux et ajouta :



Elle était maintenant tout près de moi et, les yeux dans les miens, elle déposa un baiser léger sur mes lèvres pour quitter aussitôt la bâtisse, me laissant interdite : sa proposition était audacieuse, mais terriblement excitante. Maintenant, pour arriver à mes fins, il allait me falloir être très, très subtile.

Mais la gentillesse est toujours un bon placement ! Et en laissant Marc faire ce qu’il voulait de sa matinée, j’avais un atout dans mon jeu ; et lorsque je fis part de mon regret de quitter ce si bel endroit, mon adorable époux me proposa tout naturellement de rentrer seul pour me laisser profiter de la voiture d’Hélène le lendemain. Comprenant de suite l’aubaine, je fis semblant de refuser la proposition dans un premier temps, mais devant son insistance je « cédai » pour sa plus grande joie : il avait tant à se faire pardonner !



Un peu plus tard, assises à une table un peu à l’écart du manoir, nous profitions de la fraîcheur de cette fin d’après-midi tandis que nos hommes préparaient leurs sacs, tels des étudiants retournant à la fac. J’observais Hélène et la trouvais séduisante sous ses airs de bourgeoise BCBG. Me souvenant de sa confidence du matin, j’avais envie de la taquiner un peu :



Après quelques secondes d’hésitation, me laissant deviner que cette amie devait probablement être un ami, elle répondit naturellement sans sourciller :



À son tour, elle me regarda en souriant.



On ne rajouta rien, conscientes que le silence était désormais préférable, mais je pris note de son engagement.


Marc et Xavier revinrent, et le sujet ne fut évidemment plus évoqué, l’heure suivante étant consacrée au départ de nos époux. Marc rentrait directement tandis que Xavier filait sur Paris pour un séminaire de trois jours. Nous allions donc passer la soirée entre femmes, et cette idée m’amusa, me demandant comment Charlotte allait se comporter avec moi devant Hélène : jeune fille modèle ? Délurée ? Naturelle ? Je le saurais vite.


J’aidai Hélène à préparer le repas, comme deux amies de longue date que nous n’étions pas. Je ne connaissais même pas son existence il y a deux jours, et maintenant je partageais un secret intime avec elle ; et bientôt deux si elle remarquait ma connivence avec Charlotte. Nous étions seules dans la cuisine, la jolie blonde étant allée se doucher pour faire disparaître les traces du ménage intensif dans la dépendance.

Le calme régnait dans la maison après deux jours d’agitation, mais Hélène semblait nerveuse et pressée de dîner.



On s’installa, et bientôt la baby-sitter fit une entrée remarquée dans la salle à manger : cheveux mouillés plaqués, elle était vêtue d’une robe beige à fine bretelles révélant l’absence de soutien-gorge. La peau dorée, la poitrine arrogante de fermeté, elle était tout simplement à croquer. J’avais du mal à cacher mon trouble, d’autant que son sourire éclatant me faisait fondre sur place. Consciente de l’effet qu’elle avait produit, elle prit place au bout de la table en s’excusant pour nous avoir fait attendre un peu trop.


Le dîner se passa paisiblement, animé par des conversations banales, mais sans aucun geste équivoque de sa part sur ou sous la table ! J’en étais presque frustrée, pensant que notre discussion de la fin d’après-midi allait donner lieu à une scène de séduction. Peut-être était-ce la présence d’Hélène qui paraissait préoccupée, regardant sans cesse son portable comme si elle attendait un signal. De mon côté, je savais que Marc était arrivé.


Suis maison. Je t’aime. Bisous.


Bonne nuit. À demain. Je t’aime aussi.


Je ne mentais pas vraiment, car je l’aimais tout de même comme le père de nos enfants, mais la passion n’avait pas résisté à l’usure du temps. Hélène devait vivre la même chose, car elle annonça d’une voix morne que Xavier était à Paris et, quelques minutes après, à la réception d’un nouveau texto et le sourire aux lèvres, qu’elle allait s’absenter une partie de la soirée pour retourner voir sa fameuse amie.

Nos regards se croisèrent tandis que Charlotte avait déjà quitté la salle à manger. Je lus dans ses yeux une lueur qui la trahit : la coquine allait rejoindre son amant, et je compris à cet instant que j’avais été manipulée ; elle avait tout manigancé, se servant de moi comme « couverture », pouvant quitter la maison sans laisser Charlotte seule… À malin, malin et demi ! Je souris, amusée par la situation et curieuse de voir de quoi sera faite ma soirée avec la jolie blonde.


Où était-elle, d’ailleurs ? Elle avait disparu depuis un moment, me laissant seule au rez-de-chaussée, et j’ignorais où était sa chambre. Je n’allais tout de même pas fouiller tout le manoir, telle une prédatrice. Ce n’était plus de mon âge ! Je grimpai donc les escaliers, le bruit de mes pas résonnant dans la maison désormais presque vide. Arrivée dans la chambre, la nuit n’avait pas encore apporté de fraîcheur et je fus vite moite en préparant mes affaires. Je détestais cette sensation désagréable et me mis nue pour m’en débarrasser.


La cabine de douche ultra-moderne me tendait les bras, et deux minutes plus tard l’eau fraîche trempait mon corps. Les yeux fermés, je gémis de bien-être en réglant les jets d’hydromassage pour détendre tous les muscles de mon organisme. Je me croyais en thalasso et profitai des bienfaits de l’eau, savonnant doucement mon corps lourd. Soudain, le contact d’une poitrine dans mon dos me fit sursauter. Le bruit des jets m’avait empêchée d’entendre Charlotte arriver, et la jeune coquine s’était glissée silencieusement dans la cabine.


Dans mon dos, deux seins lourds et fermes se plaquaient contre ma peau humide et je me cambrai pour m’offrir à cette jeune coquine dont l’audace était équivalente à sa beauté. La bouche dans mon cou, elle empauma mes seins déjà dressés, et telle une maîtresse experte elle s’empara de mes pointes qui furent bientôt agacées, pincées, étirées avec une dextérité affolante. Elle menait le bal, me laissant gémissante entre ses bras. Les mains appuyées sur la paroi, je me laissais caresser comme une femelle attendant d’être saillie par son mâle conquérant. Mais point de mâle ici ! Seule une jouvencelle déjà érudite en caresses lesbiennes, et qui libéra un de mes seins réactifs pour caresser mon ventre un peu relâché de femme mature et se diriger vers mon sexe palpitant. Mes gémissements étaient sonores mais masqués par le bruit des jets. Aucune parole n’avait été échangée, et comme une évidence, Charlotte assouvissait son envie née du spectacle que nous lui avions offert Lucie et moi.


Cuisses écartées, j’attendais d’être prise en main, et rapidement ses doigts caressèrent mon sexe lisse. Par ses mouvements circulaires et décidés, elle écrasa mes chairs gonflées, faisaient ressortir mon clitoris qu’elle agaçait de la pointe de l’ongle, me faisant frémir et gémir sans retenue, profitant de l’intimité de la cabine. Bouche ouverte, seins malaxés et sexe caressé, j’étais à elle et j’adorais cela. Charlotte frottait son corps contre le mien, et de ses doigts experts pinçait de concert mes pointes de seins et mon clitoris, déclenchant des ondes de plaisir qui irradiaient dans tout mon corps. Ses mouvements simultanés me rendaient folle et je sentais le plaisir croître dans mon corps. Elle posa sa bouche dans mon cou et en mordilla la peau. Je me sentais telle une lionne montée par son maître. Seins tendus, ventre palpitant, je ne pus retenir plus longtemps mon orgasme qui me tétanisa debout, appuyée contre la cabine. Je faillis choir et me rattrapai comme je pus, reprenant mes esprits la bouche emplie par l’eau qui frappait mon visage.


Charlotte m’embrassait maintenant tendrement le cou, son corps ferme toujours collé au mien. Doucement, je me retournai et découvris ses yeux bleus brillant sous l’eau comme deux saphirs. Sans un mot, nos bouches se trouvèrent immédiatement pour notre premier baiser. Ses lèvres étaient fraîches et jouaient avec les miennes comme un oisillon attendant la becquée de sa mère. « Mon Dieu, elle pourrait être ma fille ! » pensai-je un instant. Mais je n’eus pas le temps de cogiter, sa langue se faufilant pour s’enrouler autour de la mienne pour une danse sensuelle.


Ses seins lourds se plaquèrent contre les miens et je pus enfin les caresser, sensation exquise de prendre en main une poitrine jeune et réactive à mes attentions. À mon tour, je partis à la découverte de son corps. Elle était légèrement plus petite que moi mais diablement plus belle : son corps était parfait ; je l’aurais bien imaginée dans un magazine pour hommes. Je me devais de profiter de chaque instant, prenant conscience que ce moment était rare. Sans interrompre notre baiser, je repoussai doucement Charlotte vers la paroi de la cabine, mes mains caressant ses seins avec douceur. Du pouce, je frôlais ses longues pointes dont la sensibilité rendait la jolie blonde soumise à mes envies sensuelles.


Elle gémissait doucement, les mains sur mes hanches, les jets frappant nos corps vigoureusement, ce qui me donna soudain une idée coquine. Libérant un globe, je modifiai les réglages de la douche, l’eau ne giclant plus que par le pommeau au bout du flexible. Tout en continuant d’embrasser ma jeune maîtresse, je pris la douchette en main et lentement dirigeai le jet sur ce magnifique corps offert. Les sensations exacerbèrent les frissons de Charlotte et elle mordit presque ma langue de plaisir. Je me reculai légèrement, et malicieusement je caressai son corps par l’intermédiaire de l’eau pulsée. Seins dressés, elle ferma les yeux pour profiter au maximum de ces sensations pas forcément nouvelles pour cette jeune coquine. Quelle femme ne s’est jamais caressée avec sa douche ?


Comme dans un centre de thalasso un peu spécial, je lui prodiguais une hydrothérapie sensuelle. Les jets frappaient sa peau sans violence avec une force suffisante pour la rendre impatiente. Tandis que je m’occupais de ses seins lourds, Charlotte caressait son sexe lisse. Le spectacle était hallucinant de sensualité et je me retins de l’imiter, ne voulant pas être distraite dans ma tâche ! La jolie blonde se tordait maintenant sous l’eau, ivre de désir. Le jet quitta ses seins et elle ouvrit les yeux, me regardant avec surprise. Je la rassurai d’un sourire et, sentant que l’eau prenait le chemin de son sexe, un sourire coquin orna son visage. De ses mains, elle écarta les lèvres de son sexe pour mieux accueillir les caresses de la douche. Dans un magazine pour routiers, cette pose aurait pu être vulgaire ; mais là, je ne voyais qu’une jeune femme bien dans son corps qui me disait « Viens… »


Le premier jet la fit sursauter, puis elle se laissa aller, l’eau sur ses muqueuses déclenchant chez elle un plaisir sonore. Les tissus rose pâle étaient frappés par de multiples gouttelettes mélangeant l’eau et les secrétions intimes. Avec un sourire coquin, je fixai son clitoris, et réduisant la pression pour ne pas le molester, je concentrai mes attentions sur cette crête hypersensible. Charlotte me fixait, le regard ailleurs. Elle allait jouir rapidement, je le sentais : bouche ouverte, regard fixe, elle sentait le plaisir grimper en elle et cria longuement, saisie par son orgasme brutal. Elle glissa lentement le long de la cabine pour se retourner, assise à terre, cuisses ouvertes et le bassin agité de spasmes.


Plus tard, nous reprîmes nos esprits allongées nues sur le lit, fenêtre ouverte et lumière éteinte pour éviter les moustiques, la fraîcheur de la nuit étant enfin tolérable. Charlotte était blottie contre moi comme une enfant voulant être consolée ; mais c’était une enfant avec une poitrine lourde que je sentais contre la mienne ! La belle avait besoin de se confier et je la laissai parler d’elle : j’appris pêle-mêle qu’elle avait 22 ans, étudiante, et préférait les filles aux garçons ; ce dont j’avais pu m’apercevoir avec délice !


La main posée sur ses sublimes fesses, je l’admirais dans le clair de lune. Elle était magnifique et je profitais du moment. Même le bruit de la voiture d’Hélène ne me fit pas changer de position : après tout, elle faisait pire que moi… ou presque ! Doucement, mes mains frôlaient la peau de ses globes et Charlotte appréciait, les yeux fermés. Je voyais sa respiration changer quelque peu, devenant plus rapide. On aurait dit un chat qui allait ronronner. Mes ongles entrèrent en action pour de très légères griffures au bas de son dos, et la belle gémit plus fort. Elle ouvrit les yeux et demanda tendrement :



Pour me remercier, elle leva la tête et déposa un baiser sur mes lèvres. Baiser tendre et prolongé qui me fit frémir, d’autant que Charlotte frôlait mes seins dans le même temps. Je gémis à mon tour ; la belle prit cela pour une invite, et ses caresses se firent plus précises. Mes pointes réagissaient à chaque frôlement et la jolie blonde, vraiment experte, me redonna rapidement envie d’elle. Notre baiser fut rapidement plus vorace, nos caresses plus appuyées, et ses mains sur mes seins et les miennes sur son joli cul commencèrent un récital.


J’oubliais notre différence d’âge, et seule notre complicité importait. J’étais surprise de plaire à une si jolie femme ; mais après tout, je ne la forçais pas. Sa bouche libéra la mienne pour jouer avec mes seins : bouche légère, gourmande ou carrément vorace, Charlotte jouait avec moi comme d’un instrument de musique. Mes gémissements étaient modulés par ses attentions. De mon côté, je prenais un plaisir évident à câliner son petit cul ferme qui n’attendait que cela. La belle se cambra pour mieux s’offrir et je pus frôler son anus sans problème. Cette caresse me rendait folle à chaque fois, et à première vue elle aimait aussi.

Sa bouche transmettait son excitation à mes seins et je me laissai aller sans retenir mes gémissements de désir. Lentement, elle glissait vers mon sexe et je m’offrais à sa bouche avec délectation. Sans à-coups, elle atteignit mes lèvres intimes et mon clitoris qui l’attendaient avec impatience.


Aussi fébrile que moi, ne s’embarrassant pas de préliminaires, elle prit rapidement possession de mon sexe. Langue large frottant sur mes lèvres dans mes mouvements circulaires, elle débusqua rapidement mon clitoris, me faisant crier de surprise. Sa main ne restait pas inactive, et Charlotte me pénétra de deux doigts, coulissant facilement dans mon vagin trempé. Je me cambrais sous la caresse, et tout comme Lucie ce matin, elle me lima dans des va-et-vient puissants. L’action combinée de sa langue et de ses doigts me rendait dingue, et ne pouvant plus maîtriser mon corps, je faillis jouir trop rapidement. Dans un ultime réflexe, je réussis à la stopper avant le point de non-retour, voulant également déguster ses chairs. Charlotte, d’abord surprise mais rompue aux joutes féminines, comprit rapidement ce dont j’avais envie, et avec un sourire gourmand tourna son sexe vers mon visage.


Le classique 69 lesbien fut la prochaine étape dans notre voyage sensuel. Son sexe lisse avait un goût salé excitant, et je le dévorais avec appétit, faisant gémir ma belle complice. Ma langue léchait ses chairs avec vigueur. Malgré son jeune âge, Charlotte menait le bal et saisit ma main pour la poser sur ses fesses, me faisant ainsi comprendre que des caresses à cet endroit seraient bienvenues ! Complice, j’humidifiai mon index à la source de son plaisir, la faisant gémir de plus belle, et posai mon doigt sur cet anneau serré. Charlotte hoquetait sous mes attentions et négligea un instant mon sexe.



Sa bouche reprit mon clitoris « en main » et je fus bientôt dingue de désir, vaincue par ses lèvres gourmandes. J’ouvris mes cuisses en grand pour m’offrir au maximum. Un instant obnubilée par mes sensations, je cessai l’exploration de son fessier ; mais un mouvement de bassin de sa part me rappela à l’ordre. Mon index massa lentement l’anneau serré et sensible pour bientôt le pénétrer sous les gémissements de sa propriétaire. Mon doigt était à l’étroit et je pris garde de ne pas blesser le conduit avec mon ongle. Par de petits mouvements circulaires, j’assouplis le passage probablement pas vierge, mais qui ne demandait a priori qu’à être exploré à nouveau. Charlotte acceptait ma caresse avec des gémissements de plus en plus prononcés, d’autant que ma bouche jouait avec son clitoris. La belle se redressa pour profiter au maximum des sensations et je devinai à ses mouvements qu’elle s’occupait de ses seins. Bouche ouverte, elle se moquait du bruit qu’elle pouvait faire et m’encourageait à « la bouffer ». Ces mots incongrus dans ce corps de déesse trahissaient bien le plaisir qui la submergeait, et elle jouit dans un long cri, assise sur ma bouche, mon doigt dans son anus, m’inondant de ses secrétions. Elle retomba inerte et je la laissai reprendre pied avant de libérer son fondement de l’intrusion. Je n’avais pas joui, mais ce n’était pas important car le spectacle offert valait tous les orgasmes.


Mais Charlotte voulait réparer cette injustice, et l’œil brillant elle se retourna pour échanger un long baiser imprégné de nos goûts mélangés. D’une main ferme, elle m’indiqua ce qu’elle désirait : sur le dos, elle me fit asseoir sur sa bouche ; mais de face pour ainsi ne pas me quitter des yeux. Sa langue reprit son jeu coquin et mon excitation à peine retombée gravit les marches du désir si puissant que par réflexe je fermai les yeux. Charlotte m’implora doucement :



J’ouvris les yeux et fixai les deux saphirs qui me dévoraient. J’oubliais mes fesses lourdes que la belle caressait tout en me léchant, et enfin à l’aise avec mon corps, je me laissai déguster par cette beauté blonde. Sa langue me fouillait dans un bruit humide et je me laissai complètement envahir. Je sentais ses lèvres pincer mon clitoris puis aspirer les lèvres, et recommencer dans une sarabande lubrique et affolante. De mon côté, je pinçai vivement mes seins, à la limite de la douleur pour parfaire mon plaisir qui atteignit son paroxysme lorsque Charlotte mordilla mon clitoris pour un dernier hommage. Je sentis poindre l’orgasme inéluctable et tant désiré. Lâchant un cri rauque et prolongé, je me cambrai en jouissant, la langue de Charlotte virevoltant en moi tout le long de mes contractions.

À mon tour je retombai sur le lit, en sueur, béate et reconnaissante à cette fabuleuse invention des Cousinades qui m’avait fait connaître deux femmes magnifiques et sensuelles.


Vivement l’année prochaine !