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n° 16257Fiche technique19813 caractères19813
Temps de lecture estimé : 13 mn
22/06/14
Résumé:  Elle sait où et quand son mari retrouve sa maîtresse. Elle va y aller pour le surprendre. Elle ne va pas être déçue.
Critères:  fh extracon cocus hotel amour voir cunnilingu préservati pénétratio fsodo attache baillon yeuxbandés init exercice
Auteur : VincenLise            Envoi mini-message

Série : Quand l'épouse remplace la maîtresse

Chapitre 01
Quand l'épouse remplace la maîtresse - 1

Mon mari est un salaud et un con.

Salaud, parce qu’il me trompe.

Con, parce qu’il ne sait même pas rester discret.


J’ai toujours eu une confiance totale. La plupart de mes amies disent que je suis crédule, mais c’est comme cela. Bon, d’accord, c’est vrai que depuis quelque temps le sexe n’est plus aussi chaud qu’avant, mais tout de même, je ne mérite pas d’être crucifiée de cette façon. J’étais prête à certaines avancées, je les espérais même, pour réveiller son ardeur ; mais c’est à une autre qu’il s’est consacré.


Il est 20 h en cette soirée d’hiver et Marc me téléphone pour me prévenir qu’un imprévu va le retarder. Cela arrive souvent : il a de grosses responsabilités et je suis habituée. Mais un bip insistant attire mon attention alors que je prévois un plateau-repas et une émission débile de téléréalité.

C’est sa messagerie. Son ordi, dans le bureau, ne cesse d’essayer d’attirer l’attention. Je regarde, plus par sécurité que curiosité et découvre :


The mail […] cannot be delivered to the address.


Suit l’adresse et le texte. C’est le texte qui me fait bondir :


Ma coquine préférée, j’ai réussi à me libérer comme prévu et t’attends à l’adresse ci-dessous. Attention : ce n’est pas le même hôtel que la dernière fois, mais tu ne seras pas déçue. J’ai prévu encore plus grandiose. Demande à la réception la chambre 33. Tu y trouveras tout ce qu’il faut pour te changer. Lorsque tu seras prête, éteins la lumière (très important) et frappe à la porte de séparation de l’autre chambre où ton petit canard attendra. Après, laisse-toi guider, même si cela peut te paraître étrange et un peu invasif. Tu ne le regretteras pas. À tout de suite. Je coupe mon téléphone pour que ma femme ne nous dérange pas.


Vous voyez que c’est un con : il n’a même pas pensé à vérifier que son mail arrivait bien, et surtout il a oublié que sa messagerie est synchronisée sur tous les appareils.

« Mais que peut bien lui faire cette pétasse pour qu’il soit si fébrile et inconscient… Pas dérangé par sa femme ? Connard ! »

En plus, l’hôtel est à deux pâtés de la maison. Quelle indélicatesse, encore qu’il y a pire… Au moins il va faire chou-blanc et se branler en attendant sa maîtresse qui n’a pas reçu le message. Bien fait. Et je vais lui remonter les bretelles lorsqu’il va rentrer, la queue entre les jambes.


« Et si j’allais le surprendre là-bas ? Et si… » Une idée inconvenante me vient. « Et si j’allais là-bas, faire comme il demande et au moment propice lui mettre le nez dans son caca ? Au moins il ne pourra pas nier. »


Dix minutes plus tard, le portier me donne la clé. La chambre 33 est quelconque. Au moins il ne dépense pas son argent dans des palaces. Par contre, tout un équipement de « pute » attend sur le lit : soutien-gorge fendu, string où les ficelles pèsent plus lourd que le tissu, porte-jarretelles, bas résille, et même des pinces que j’imagine pour les seins. Décidemment, il achète à sa maîtresse ce que j’ai refusé de porter il y a quelque temps. Je le regrette maintenant ; j’ai fait la bêtise de lui refuser ces babioles qui, manifestement, comptaient pour lui.

« Qu’est ce que je fais ? Je frappe à la porte et surgis comme une furie ? Je rentre chez moi, salie par ce que j’ai vu et que j’ai refusé, sans me rendre compte que cela comptait pour sa libido ? Et si… »

J’essaie les dessous ; ils sont à ma taille. Au moins, la maîtresse n’est pas une fille anorexique ou une grosse dondon. Le miroir me renvoie une image pas si moche, presque sexy.


Des coups. Quelqu’un frappe à la porte de séparation. Merde. Le pire, c’est que je me sens coupable, fautive d’être ici à la place d’une autre ; pire : dans ses dessous. Pour une femme, la lingerie c’est perso. D’une certaine façon, j’ai violé l’intimité d’une autre ; et même si c’est une salope, je suis impardonnable.



Je n’ai que le temps d’éteindre. La porte s’ouvre. Elle s’ouvre sur le noir le plus total. Je n’avais pas remarqué, mais dans la 33 – comme dans la chambre d’à côté – volets et rideaux sont tirés et ajoutent la noirceur totale à cette soirée d’hiver déjà bien sombre.



Alors j’ai la plus folle des pensées. De celles que toutes les femmes trompées se posent : « Qu’est-ce que ces maîtresses ont de plus que nous ; et surtout, qu’est ce que nos maris font avec elles ? Sont-ils plus innovants ? Sont-ils plus attentifs ? Sont-ils plus résistants ? » C’est le moment de savoir.

Manifestement, le jeu des amants est d’utiliser le noir pour exacerber leur désir ; alors je vais en profiter et me faire passer pour la maîtresse. Il sera bien temps de crier au scandale lorsque je le déciderai.


J’avance à tâtons. Dès la porte franchie, des mains puissantes se saisissent de moi. Je sens un corps nu, mon mari qui se plaque dans mon dos.



Au même moment, je sens quelque chose se plaquer contre ma bouche, forcer mes lèvres et se tendre sur ma nuque.



Cela fait une drôle d’impression d’avoir cette boule entre les lèvres, qui me force à garder la bouche ouverte. Je sens déjà de la salive s’échapper. Heureusement qu’il fait noir.

Mais « le canard » continue.



Que ce soit oui ou non, de toute façon la réponse à ce genre de question, alors que vous avez la bouche entravée, n’est pas audible, ni surtout reconnaissable. Marc ne peut donc pas me reconnaître. Il s’exécute, et dans la foulée je sens qu’il tire mes bras dans le dos pour les immobiliser avec des menottes.



Mon salaud de mari bande. Petit canard à grosse bite : cherchez l’erreur. Je sens sa queue contre mes fesses alors qu’il me parle.

Un instant, il m’abandonne. Une musique envahit la pièce. Je n’ose bouger. Il revient derrière moi. Son sexe est plus gros : le salaud est excité par son jeu et cette maîtresse entravée.

Maintenant il ne parle plus. Je n’entends que le bruit de sa respiration alors que ses mains explorent mon corps. Il me paraît plus fort, plus rugueux, moins policé qu’à la maison. Une première différence.

Il m’embrasse dans le cou alors qu’il palpe mes seins, tirant sur mes boutons qui sortent des fentes de ce soutien-gorge de pute, entrouvre le tissu du string pour glisser des doigts dans ma fente et la raie de mes fesses.

« Le salaud, il m’excite… Est-il plus efficace que lorsqu’il est avec moi, ou sont-ce les circonstances particulières ? » Toujours est-il que je mouille de son approche.


Sa queue. Oui, sa queue paraît plus dure, plus longue, plus grosse que d’habitude. L’enfoiré bande plus fort avec elle qu’avec moi. Bien souvent, je n’ai droit qu’à un asticot qu’il me faut réveiller de la main ou des lèvres si je veux vraiment sentir un bâton dans ma grotte ou mon cul. Mon cul, c’est vrai, excite encore mon mari. Il devient plus dur si je lui accorde ce chemin. Mais alors qu’avant il me caressait le clito ou jouait avec un gode vibrant dans ma chatte tout en m’enculant, maintenant c’est service minimum. Une bite dans le cul ne suffit pas à faire le bonheur d’une femme. Messieurs, il faut le savoir. En tout cas, pas pour moi.


Il joue avec les élastiques du porte-jarretelles, fantasme masculin, mais qui me trouble un peu plus. Bon, assez joué. Bien que cela soit très agréable physiquement, je ne peux oublier qu’il croit baiser sa maîtresse et pas sa femme. Je vais l’arrêter. « Pas tout de suite. Attendons de voir pour le confondre en pleine action. »


Justement il me pousse en avant. Je bute contre une table. Il me penche pour que je m’incline. Je me retrouve jambes écartées, la tête en appui sur la table. Non : un coussin que ce salaud de mari fournit à sa maîtresse pour qu’elle soit confortable. Voilà une attention que je ne connais plus. Il est vrai que je n’ai jamais été dans cette situation, aveuglée, bâillonnée, attachée et la tête sur le bois d’un bureau.

Waouh… La bouche qui s’est glissée sous moi est une bouche gourmande, qui utilise tous ses appendices pour me sucer la chatte. Il y a longtemps qu’on ne m’a pas honorée de cette façon.

« Salaud, pourquoi tu ne me fais plus cela ? Moi, j’en profiterais pour te sucer, en 69, bien profond, et je ne rechignerais pas alors à recevoir ton jus dans ma gorge, comme avant, comme au temps où tu étais inventif, entreprenant et que chaque jour apportait sa part de nouveautés et de jouissances. Je ne te l’ai jamais dit, mais j’aimais lorsque tu éjaculais dans ma bouche. C’est le seul sperme que je n’ai jamais avalé, et je l’aimais. Pourquoi as-tu cessé ces petits jeux entre nous ? Pourtant, tu sais encore le faire. Il te suffit d’une maîtresse pour retrouver ces réflexes qui m’enchantaient et qui enchantent la femme, la maîtresse que tu crois sucer et lutiner de tes lèvres épaisses. »


Salaud ! Il n’y a rien de pire que de comprendre que son mari s’est lassé et que ses moyens sont intacts avec une autre. « Rappelle-moi de te le dire tout à l’heure, lorsque tu auras terminé. Car je sais maintenant que je vais te laisser aller au bout de tes turpitudes. Au moins je vais profiter de cet instant que je croyais perdu à jamais : celui de jouir de ta bouche et de tes lèvres. »

Les grognements que je pousse sont anonymes, filtrés par cette boule dans ma bouche, mais au moins je n’ai pas peur de me dévoiler. Tu comprends qu’elle a joui : ta maîtresse coule. Ta femme anonyme joue au coucou dans le nid d’une autre.


Tu te relèves. Je sens ta queue bien droite, le gland frotter à ma chatte, et d’un seul coup tu m’enfiles, comme on enfourne une pute, sans retenue, sans précautions. Pourtant ton mandrin n’est pas comme d’habitude ; et même si je l’avoue, je suis humide au plus profond de moi : je te sens plus gros, plus conquérant, plus invasif avec cependant un toucher moins sensible. Sans doute la capote car, j’imagine – le contraire serait une faute impardonnable – que tu portes une capote.


Tu es un mâle en rut. Ta queue me bourre sans retenue. Tu te permets avec ta maîtresse une violence que je ne connais pas, mais qui est bien agréable. Mais aussi tu caresses mes seins, tirant sur les pinces qui me font mal mais aussi me perturbent ; et que dire de tes doigts qui flattent mon clito ?

Je suis étonnée de ma jouissance si soudaine, moi qui pensais n’être qu’un huissier remplissant case après case le dossier de ton infidélité.

Je m’aperçois que le bâillon de ma bouche, cette cagoule sur la tête et ces menottes qui m’immobilisent contribuent à mon plaisir, décuplant d’une certaine façon ma sensibilité.

Tes gémissements, que je ne reconnais pas, sont pourtant des signes de ta jouissance. Je sens sur mon dos et mes reins cette chaleur du sperme que tu éjacules en jets généreux. Un moment de folie, j’imagine les recevoir entre mes lèvres ; mais peut être que ta pétasse te refuse ce plaisir ? Méfie-toi d’elle : une vraie femme aimante accepte ce don, même et surtout si elle n’apprécie pas le goût âpre de ce jus d’homme, mélange de crème odorante et de liquide.


Tu m’abandonnes un instant ; enfin, plus exactement, tu abandonnes ta maîtresse, peut-être pour changer la musique qui s’est tue avec notre plaisir.

Je te sens à nouveau derrière moi, avec un sexe qui semble toujours aussi vivant. Tu ne m’as pas habituée à une telle vivacité.


« Peut-être, salaud de mari, que tu fais partie de ces hommes qui ne sentent plus leurs limites lorsqu’ils baisent une autre que leur épouse. Ainsi c’est vrai : vous pouvez honorer une femme plusieurs fois sans débander. Mais, mon Dieu, pourquoi pas avec nous ? Pourquoi nous ne pouvons pas sentir votre queue décharger et « repartir comme en 14 » ? Et tu bandes comme un taureau. On dirait que tu es « comme neuf ». Mais maintenant, ce n’est plus ma chatte qui t’intéresse. Non : c’est mon cul. Et tu ne fais même pas mine de vouloir le préparer. Ta maîtresse est-elle si salope que son cul soit toujours disponible ? Je vais arrêter de jouer. Je ne veux pas de cette violence. Elle peut-être. Pas moi. »


Je grogne, gigote, bouge, mais tu restes sourd à mon refus. Je constate à nouveau que, bouche bâillonnée, un grognement de « oui » ressemble étrangement à un grognement de « non ».

Ton sexe force l’entrée de mon cul. Il s’ouvre, connaissant le mot de passe, sans même en référer à la propriétaire ; mais suis-je vraiment objective ? Mon cul aime cette puissance, cette force invasive. Tes mains se placent sur mes épaules et servent d’appuis à ton plaisir.

Il y a des choses que l’on ne pardonne pas : c’est de jouir alors qu’on ne veut pas. L’esprit dit non. Le corps dit oui.


« Salaud de mari, tu encules ta maîtresse avec une fougue que je ne connais plus. Et c’est bon. Délicieux même, si on peut imaginer que le mot « délicieux » s’applique à une telle intrusion. Tu es puissant, gros, viril, et ton mandrin paraît un bâton magique que j’aurais tant aimé que tu me réserves. Je jouis, encore et encore, sous tes coups de boutoir dignes des bûcherons canadiens. La tronçonneuse n’est rien à côté de ta verge qui me force et me remplit le cul, conduit maintenant dilaté, excité et impatient de recevoir ton jus. Et ce jus, que tu me refuses – enfin que, par sécurité, tu refuses à ta maîtresse alors que moi, ta femme, j’aurais tant aimé le recevoir au plus profond de mon ventre… C’est si bon de se sentir prise avec envie. Ta semence, tu la déverses encore sur mes reins dans des giclées de foutre qui viennent s’ajouter aux autres. Quel gâchis, mais quelle soirée ! »


Doucement, tu reviens vers moi.

Tu me libères. Me souhaite bon retour, et je ne peux que grogner un « oui » lorsque tu me demandes si j’ai aimé.

Maintenant je suis libre de crier ma colère.

Crier, mais aussi c’est se faire connaître.

Plus tard…


Je rentre chez moi. Je me couche. Une heure plus tard tu me rejoins. Je fais semblant de dormir. « On verra demain. »



« Te parler maintenant, c’est avouer que j’ai pris la place de ta maîtresse. Que je n’ai rien dit et que je t’ai laissé me prendre. Maintenant je suis coincée. On verra plus tard. »



« Je me suis mise dans un foutu guêpier : il va bien se rendre compte que sa maîtresse n’est pas venue au rendez-vous. Alors, la question à dix cents qu’il va se poser, c’est : « Mais qui est la femme de l’autre soir ? » Merde. Merde. »


Marc, le mari, jubile. Son plan a fonctionné à merveille, même mieux que prévu. Dans le bus, bien calé au fond, il peut revoir sa soirée sur son notebook.

Sa femme qui découvre la lingerie sur le lit. Sa femme qui s’en revêt et qui se regarde dans la glace. Il bande rien qu’à ce spectacle.

La suite est encore mieux. Après qu’il lui a mis le bâillon, la cagoule, attaché les bras dans le dos, il a allumé la lumière et filmé sa femme, devenue une inconnue, se laisser caresser par ce gars qu’il a trouvé sur un site de candaulisme. Il s’est très bien débrouillé et l’a fait jouir plusieurs fois.

Puis le gars l’a filmé en train de l’enculer, la cerise sur le gâteau. Lui aussi a ajouté son sperme à celui de l’amant, formant de charmantes rigoles que le film montre bien.


Un rêve. Un rêve enfin réalisé. Cela faisait très longtemps qu’il en avait envie, mais n’osait pas en parler. Il sentait bien que sa femme n’était plus si chaude, et que le sexe avait moins d’attrait pour elle. Du coup, lui aussi avait du mal. Alors cette idée de doux traquenard lui était venue. La maîtresse n’existe pas : il aime trop sa femme pour la tromper. Il est un peu honteux d’avoir imaginé un tel stratagème, mais tout de même fier que cela ait marché à ce point.

À chaque instant il pensait que sa femme allait réagir, crier, rugir pour le confondre. Bien sûr, il se sent coupable de l’avoir donnée à un autre sans lui en parler ; mais cet autre ne connaît même pas son visage. Quant à elle, elle croit que c’était son mari.


Elle ne le saura jamais.

Sauf si…

Mais oui, sauf si !


Déjà, il imagine renouveler son piège. Piège devenu grossier pour cause de répétition ? Mais c’est encore mieux : si elle vient à ce nouveau rendez-vous, ce sera en connaissance de cause, pour le sexe, pour la jouissance, cachée sous l’anonymat d’une maîtresse inexistante.

Et alors là, il imagine déjà un scénario, toujours avec l’homme de la veille.

Il va juste lui mettre un bandeau et les menottes. Sa bouche va rester libre, disponible. Il veut la voir sucer la queue du gars. Ce sera un test. Si hier elle n’a pas senti la différence avec la sienne, dans sa bouche elle va le voir. Il est plus gros, plus long, le gland est un champignon entièrement découvert.


Sa réaction ? Justement, il est prêt à parier qu’elle ne dira rien, piégée encore un peu plus, mais surtout consciente que cette situation lui permet de se laisser aller. Il va la voir pomper la queue et, avec un peu de chance, filmer ses lèvres se refermer sur le flot de sperme que son amant va lui balancer.

Et puis, et puis… pourquoi pas la prendre en sandwich, puisqu’elle aura compris que son mari n’est pas seul et que la maîtresse imaginaire se laisserait faire ?

« Stop. Calme-toi, sinon tu vas sortir du bus avec une énorme bosse dans le pantalon. » pense Marc. « Tu as toute une semaine pour peaufiner ce nouveau guet-apens… »