Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16259Fiche technique26825 caractères26825
Temps de lecture estimé : 16 mn
23/06/14
Résumé:  Adelyne garde la maison de sa tante pendant les vacances. Après quelques jours d'ennui, elle se met à imaginer et faire des choses inhabituelles.
Critères:  fhh extraoffre copains vacances voir nudisme facial fellation nopéné
Auteur : Manu_Top      Envoi mini-message

Série : Frustration

Chapitre 01 / 03
La piscine

Frustration : « La frustration est une réponse émotionnelle à l’opposition. Elle peut surgir lorsqu’un objectif personnel, désir fixé ou besoin instinctif n’est pas atteint. Les individus réagissent de différentes manières en tentant de résoudre les problèmes en les surmontant. S’il échoue, l’individu peut agir d’une manière irrationnelle. »


Telle est la définition du mot dans le dictionnaire. En ce mois d’août, c’est ce qui correspond à peu près à ma situation. Je rajouterais également l’ennui qui m’a menée à la frustration, qui m’a ensuite conduite à faire des choses peu banales. Quelles choses, me direz-vous ? Des relations sexuelles plutôt osées, avec des inconnus… Des plans coquins alors que je suis plutôt la fille sage de ce côté-là. Je n’ai jamais enchaîné les mecs ; j’ai toujours couché avec des hommes pour lesquels j’avais des sentiments ou un gros coup de cœur physique. Une fois seulement, j’ai eu une relation d’un soir. En moins de deux semaines, j’ai vécu plus de choses qu’en huit ans, sexuellement. Ce n’est pas moi, ce n’est pas ma nature, mais la frustration nous pousse à faire des choses irrationnelles. C’est le dictionnaire qui le dit.


Je m’appelle Adelyne, j’ai 24 ans, brune aux yeux marron. Un petit nez légèrement en trompette et une fine bouche. Je mesure 1,60 m, mince sans être maigre. Avec le succès que j’ai auprès des mecs, je peux prétendre être une jolie fille. Je me mets en valeur, c’est vrai. Maquillage léger mais efficace. Toujours habillée sexy, bien coiffée. Je joue de mes charmes pour obtenir des hommes ce que je veux, mais sans être une Marie-couche-toi-là. Un joli sourire, une position un peu osée, et je peux obtenir quelques faveurs professionnelles ou des services personnels. Il faut également savoir que je suis célibataire depuis six mois et que je n’ai eu aucune relation sexuelle depuis tout ce temps.


Je suis étudiante en sciences sociales. J’ai fini les cours à la fac depuis début juin et ne reprendrai que début octobre. J’ai travaillé un mois et demi comme animatrice de colonie de vacances. Le travail est fini, et maintenant je profite de mes vacances en solitaire.

J’ai fait l’erreur d’accepter de garder la maison de ma tante le mois d’août, pendant qu’elle est en vacances. C’est une sublime maison de ville, avec un grand jardin comprenant piscine, jardin japonais, terrasse et un grand terrain en herbe. Tout le terrain est caché de l’extérieur par de grands arbres ou de grandes haies. La maison immense possède un salon avec une grande baie vitrée donnant sur tout le jardin. Une cuisine complète le rez-de-chaussée. À l’étage, cinq chambres dont une, la plus grande, possédant sa propre salle de bain. Une très jolie maison, un jardin magnifique : l’idéal pour le repos. Oui, mais qu’est-ce qu’on s’ennuie à la longue !


Le soleil, le calme, la piscine : des vacances très reposantes. Trop calmes, d’ailleurs. Dès le troisième jour, l’ennui commence à se faire sentir. Je ne suis pas du genre à rester seule longtemps. Il me faut toujours de la compagnie. Mais beaucoup de mes amis sont partis en vacances avec leur copain ou copine, et ma famille est loin. Une seule copine reste dans les parages : Laurie. J’en profite pour l’inviter et profiter de la maison avec moi. Elle est animatrice au centre de vacances comme moi. Je la connais depuis l’année dernière et elle est en vacances tout le mois d’août.


Nous nous entendons bien, même si nous avons des styles totalement différents. Elle a les cheveux châtain descendant au milieu du dos, des yeux verts, plus grande que moi mais conservant une silhouette mince. Elle est plutôt du style vestimentaire baba cool alors que je suis plutôt BCBG. J’ai les cheveux toujours lisses et bien coiffés, elle a les siens en bataille et mal attachés. Et surtout, elle est beaucoup trop percée à mon goût : oreilles, lèvre inférieure et langue. La dernière différence physique entre elle et moi, c’est qu’elle a beaucoup plus de formes. Un bonnet D en poitrine et des fesses rebondies. Je fais du bonnet B mais j’ai un popotin très joli quand même.

Je n’ai jamais bien compris si Laurie était célibataire ou en couple. Elle a un copain depuis deux ans mais me raconte qu’elle a des plans d’un soir. La relation avec son copain doit être assez complexe, mais elle ne s’étale pas sur le sujet plus que ça.


Nous nous prélassons alors au bord de la piscine comme deux amies en vacances. Nous discutons, bouquinons. Parfois nous allons nous baigner avant de repartir bronzer, et surtout nous buvons ses Mojito. Elle sait les faire de manière parfaite, et nous prenons quelques verres en profitant du soleil et du bruit des cigales.


Tout se déroulait le plus normalement du monde ; mais à un moment, elle fait quelque chose qui m’a beaucoup surprise sur le coup. Elle se lève de son transat pour aller se baigner mais enlève le haut avant de plonger dans la piscine. Elle fait quelques longueurs avant de revenir vers moi les seins à l’air, les mains sur les hanches, l’air de rien :



Elle retourne s’allonger sur le transat en mettant ses lunettes de soleil et ses écouteurs. Je la regarde. C’est la première fois que je vois une poitrine de fille en vrai. À part dans les vestiaires des salles de sport, mais jamais dans le but de les montrer ou se mettre à l’aise. Elle a de jolis seins. Lourds mais encore fermes, avec son âge. Des tétons qui pointent avec la fraîcheur de l’eau et des aréoles bien dessinées. Je la regarde quelques instants avant de retourner à mon livre et nous continuons de nous prélasser comme si de rien n’était.

Quelques instants après, elle me demande :



Elle s’exécute. Elle se lève pour retirer le bas de son maillot de bain. C’est là que je vois qu’elle a l’entrejambe totalement épilé.



Elle est parfaitement à l’aise avec son corps et sa nudité devant moi. Elle n’y fait aucune allusion et n’a aucune gêne de se promener entièrement nue devant moi. Je n’osais pas lui dire, mais à vrai dire je suis assez gênée qu’elle soit nue ici. Je lui ai donné mon accord pour ne pas la vexer, mais elle va rester ainsi pendant longtemps je pense.

Elle va à ses occupations dans la cuisine entièrement nue. Même si je dois éviter de regarder à cet endroit, je ne peux pas m’empêcher de regarder son corps.

Ses fesses sont magnifiques. Rondes, bien dessinées, fermes. Son corps n’a aucune rondeur. Elle a un physique de rêve et ferait tomber beaucoup d’hommes sous son charme si elle se mettait plus en valeur. Je ne sais plus trop quoi penser ou ressentir. Je regarde son corps, mais je suis assez gênée.



Nous rigolons pendant un petit moment en faisant le Mojito. Nous partons dans des délires assez osés, sexuels bien sûr. Mais cette petite conversation décalée sur le sexe m’a enlevé la gêne sur la nudité de Laurie. Nous revenons au bord de la piscine. Laurie me dit :



Pas spécialement emballée, je lâche l’affaire car avec Laurie, il est inutile de discuter quand elle a une idée en tête. J’enlève donc le haut de mon bikini et m’allonge sur le transat. Très gênée au début, je croise mes bras afin de cacher au maximum. Mais Laurie ne jette pas un regard sur moi. Elle n’a même pas cherché à dévisager ma poitrine. Petit à petit je m’y fais. Laurie a raison : on est plus à l’aise quand on est tous habillé pareil. Ou plutôt toutes nues. Je ne suis plus gênée pour aller me baigner les seins nus devant ma copine. On se baigne même ensemble, et aucune allusion à sa nudité et à mes seins nus.


Elle reste à la maison deux jours et une nuit. Comme je m’y attendais, elle restait nue la plupart du temps, la journée. Une fois partie, le lendemain je remets mon haut de maillot de bain pour le bronzage. Le délire naturiste est terminé. On ne m’a pas éduquée comme ça ; et même seule, je n’arrive pas à rester seins nus. Il ne s’est rien passé sexuellement entre elle et moi ces deux jours, mais disons que cette séance de bronzage a été la première étape vers la débauche.


Avant qu’elle parte, nous convenons d’organiser une soirée le samedi qui vient avec au programme apéro, barbecue, musique et piscine. J’inviterai quelques amis et elle aussi ; nous serons une quinzaine, avec une majorité de garçons. Je m’occupe d’une bonne partie des courses, Laurie s’occupant du reste.


Le samedi soir venu, la soirée commence et tout se déroule tout à fait normalement, comme n’importe quelle soirée entre amis. Des gens en avance, des gens en retard. Beaucoup rigolent, boivent et mangent. Les hommes jouent au ballon dans la piscine pendant que les filles font atelier causette sur la terrasse.

Laurie arrive en dernier avec son chéri et un de ses potes. Je ne les avais jamais rencontrés. Son copain, Ludo, est un homme grand, maigre, le teint mat. Des yeux noirs ténébreux, et ce qui m’a frappé en premier chez lui, un grand nez. Sébastien est le pote de Ludo. Il est plus petit mais plus musclé. Les cheveux châtains, courts, les yeux verts. Tout à fait le genre de mec qui plaît aux filles, et à moi la première.


La soirée continue. Je m’occupe que nos invités aient suffisamment à boire et à manger. Deux garçons s’occupent d’allumer le barbecue et préparent la viande. Je remarque que Ludo colle beaucoup Laurie ce soir. Visiblement, ils ne se sont pas vus depuis longtemps ; et vu ses yeux, il a envie de passer un moment intime avec elle. Je n’y fais pas plus attention.


Après avoir mangé et retourné dans la piscine pour certains, la nuit tombe. La musique se fait plus forte et certains commencent à danser, d’autres continuent à boire. Je prends l’initiative d’aller chercher dans la chambre des jeux que j’ai ramenés de chez moi pour ceux qui veulent. Je n’allume pas la lumière, il fait encore assez jour pour voir où je marche. J’aurais peut-être dû car j’aurais attiré l’attention, et les personnes dans la salle de bain auraient arrêté leurs affaires.


J’entends du bruit. Une voix de fille. C’est Laurie, aucun doute. Je vais voir ce qu’elle fait là et je vois son reflet dans le miroir. Elle est assise sur le rebord de la baignoire, les jambes écartées, la jupe relevée en train de se faire faire un cunnilingus par Ludo. Du moins, je pensais que c’était lui. En le voyant bouger, je remarque qu’il s’agit de Sébastien, son pote ! Elle est en train de tromper son mec avec son meilleur pote ! Ici même, sans gêne, aucune honte. À voir la main de Laurie plaquée sur la tête de Sébastien, c’est elle qui dirige les ébats. Elle le regarde, gémit doucement, se caresse la poitrine avec son autre main libre.


Ludo pourrait arriver d’une minute à l’autre. Ne voulant pas me mêler de sa vie intime et risquer de me retrouver dans une situation compliquée, je m’apprête à partir pour le trouver et l’empêcher de monter à l’étage. Mais avant de pouvoir bouger, j’entends Ludo :



Ludo est dans la salle de bain également ! Je le vois à son tour dans le miroir, caché dans l’obscurité, le pantalon baissé en train de se masturber devant Laurie maintenant à genoux en train de sucer Sébastien.


Je suis estomaquée. Impossible de bouger. Je ne devrais pas rester là, ce ne sont pas mes affaires. Mais je n’arrive pas à décrocher mon regard de Laurie suçant avec soin ce garçon avec son copain à côté en train de l’encourager. C’est mal ce que je fais, mais je reste tétanisée par ce spectacle si particulier. C’est excitant, il n’y a pas d’autres mots.



Ludo dit cela tout en s’avançant vers le couple. Il s’approche et présente son sexe à Laurie qui le prend sans hésiter. Voilà maintenant ma copine en train de sucer deux hommes. Quelle dévergondée ! Je suis tellement en colère que la maison que je garde devienne un baisodrome ! Ce que je n’arrive pas à comprendre, c’est pourquoi je reste là à contempler ce spectacle…

C’est Ludo qui mène la danse maintenant. Il tient Laurie par les cheveux et la fait aller d’un sexe à l’autre. L’oblige à faire des gorges profondes à lui et à Sébastien. Elle est forcée, mais se laisse facilement faire.



Laurie reprend les choses en main et se met à masturber rapidement Sébastien tout en donnant des coups de langue sur son gland. Il ne tient pas longtemps car Laurie n’a pas vu venir la première giclée. Elle se précipite pour ne pas perdre une goutte de Sébastien qui jouit dans un râle puissant. Ludo à côté est aux anges et se masturbe rapidement à son tour pour jouir.


Laurie incline la tête en arrière et ouvre la bouche à la hauteur du sexe de Ludo. Il lui tient la tête en arrière d’une main et se masturbe de l’autre. Lui aussi est rapide à venir. Laurie reçoit tout en bouche, avale les semences de ces deux hommes avant de déposer un baiser sur les deux sexes après quelques regards qui en disent long et des sourires.



Ces mots me font revenir à la réalité. Je retourne dehors rapidement à pas de loup. J’ai le feu aux joues, je le sens. Jouer les voyeuses n’est pas dans mon attitude. Je ne comprends pas quel plaisir j’ai pu avoir à regarder ma pote sucer deux mecs. Pourquoi je ne l’ai pas laissée faire ce qu’elle a envie dans son coin ? C’est sa vie, je n’ai pas à m’y intéresser. Pas de cette manière en tout cas.


Je fonce aux toilettes pour m’isoler sans risque d’être dérangée et parce qu’une envie pressante me prend. Ma culotte est trempée ! J’ai été excitée par ce spectacle sans vraiment m’en rendre compte sur le moment. De retour au jardin, les autres me regardent avec des airs étonnés. Ils me demandent si je les ai trouvés. Il me faut quelques minutes pour comprendre qu’ils parlaient des jeux que je devais apporter. Je réponds que non et je sors dehors pour fumer une cigarette et m’aérer un peu l’esprit. Du coin de l’œil, à travers la baie vitrée, je vois Sébastien revenir au salon. Il a un sourire en coin comme s’il était satisfait, mais peut-être que je me fais des idées.


Je détourne mes yeux du salon et me concentre sur la cascade du jardin japonais. À peine ai-je eu le temps de regarder la roue en bois faire un tour qu’on me saute dessus et me fait un bisou sur la bouche.



C’est Laurie. Elle sait que je l’ai vue. Je suis terriblement gênée et je n’ose pas la regarder dans les yeux. Elle va me dire que ce genre de relation doit rester privé, que je ne dois pas l’ébruiter et qu’elle aimerait un respect de sa vie privée.



Je ne perçois pas de colère ou de rancœur dans sa voix. Pire encore, à voir ses yeux, on dirait que ça l’amuse.



Laurie prend mon paquet de cigarettes et en fume une également.



Je reste bouche bée. En fait, Laurie est une grosse coquine. J’étais loin de l’imaginer. Pourtant j’aurais dû m’en douter.



Elle marque une pause dans ses explications en me regardant dans les yeux.



C’est incroyable. C’est elle qui devrait être gênée de la situation, mais elle réussit à retourner la situation. C’est moi maintenant qui suis gênée.



Elle part chercher de verres de punch sur la table. Elle m’en ramène un. Nous buvons notre verre en silence. C’est elle qui reprend la parole.



Ça m’a échappé. Je ne voulais pas dire qu’effectivement j’ai des fantasmes avec une fille. Tout le monde a des fantasmes plus ou moins avouables.



Au point où j’en suis, le punch doit sûrement aider ; autant y aller franco avec elle.



Je ne réponds pas. Elle extrapole beaucoup trop. Oui, je regardais son corps ; mais un joli corps de femme mérite de l’attention, non ? Je n’ai jamais eu de relations avec une fille, mais une jolie fille attire forcément tous les regards, même le mien. Mais ce n’est pas pour ça que j’avais envie de relations sexuelles avec elle. Ça correspondait exactement à mon fantasme, mais il y a un pas entre le fantasme et la réalité.



Elle pose son verre sur la table, visiblement vexée.



Elle me dit ça avec un clin d’œil, et avant que je puisse réagir elle me fait un smack provocateur. Elle retourne au salon avec un large sourire, me laissant seule plantée là.


Je n’ai plus trop envie de faire la fête en ce moment. Je suis assez énervée par cette conversation. Laurie veut me plonger dans un plan à trois. Mais qu’elle me laisse tranquille ! C’est ma vie intime. Je voudrais que la soirée se termine, qu’elle s’en aille pour avoir l’esprit tranquille.

Heureusement, la soirée se termine vite. Laurie, Ludo et Sébastien s’en vont les premiers en prétextant que Sébastien habite loin pour le ramener, et que demain Ludo travaille. Je sais très bien ce qu’ils vont faire tous les trois, mais leur excuse passe inaperçue auprès des autres invités. C’est un prétexte pour tous les autres qui veulent également rentrer chez eux. Je n’ai pas vu l’heure passer mais il est une heure du matin et je suis également fatiguée par tous ces événements de la soirée.


Je me couche seule dans la maison en décidant de tout ranger le lendemain. Je fais d’étranges rêves cette nuit : mi-érotiques, mi-psychose. J’ai des rapports sexuels avec Laurie qui m’emmène ensuite en voiture dans la forêt pour me faire baiser par les nains de Blanche-Neige. Heureusement qu’il y avait un ours armé qui gardait l’entrée pour pas que Ludo nous voie.


Je me réveille très fatiguée le lendemain matin en me disant fermement qu’il y a un grand pas entre le fantasme et la réalité. Jamais, au grand jamais je ne réaliserai ce fantasme.


Et pourtant…