| n° 16780 | Fiche technique | 23192 caractères | 23192Temps de lecture estimé : 14 mn | 26/04/15 |
| Résumé: Après avoir vu sa copine prendre du plaisir avec deux hommes, Adelyne va se laisser aller à ces mêmes plaisirs avec un couple inconnu. | ||||
| Critères: ff ffh fbi jeunes vacances piscine | ||||
| Auteur : Manu_Top Envoi mini-message | ||||
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Résumé de l’épisode précédent : Adelyne garde la maison de sa tante pendant les vacances d’été. Sa copine Laurie est venue passer quelques jours pour profiter de la piscine en jouant la naturiste. Adelyne, d’abord gênée, s’est laissé prendre au jeu en bronzant seins nus. Quelques jours après, lors d’une fête, elle surprend Laurie en train de prendre du plaisir avec deux hommes. Une explication a lieu entre les deux filles et Laurie, qui a avoué être libertine, suggère à Adelyne de se laisser aller à ses fantasmes et de faire la même chose.
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Trois jours ont passé depuis cette fête de samedi soir. Trois jours de pluie, trois jours que je reste enfermée à l’intérieur à cause du mauvais temps. Je m’ennuie à mourir dans cette maison. Je n’ai plus de livres à lire, ceux de la maison sont inintéressants. Seuls la télé et internet peuvent m’occuper. Mais la télévision au mois d’août… Il ne me reste qu’internet comme loisir.
Je n’arrête pas de repenser à ce qu’a fait Laurie samedi soir. Je suis en manque sexuellement et revoir les images dans ma tête de Laurie avec ces deux hommes m’excite. Pour la première fois depuis longtemps je me masturbe plusieurs fois par jour. Quand on s’ennuie c’est idéal pour passer le temps. Pour la première fois de ma vie tout court, je vais sur internet regarder des vidéos érotiques pour m’exciter et me masturber.
Rapidement ces vidéos ne me font plus effet. J’ai besoin de plus cochon pour m’exciter. Des films érotiques, je passe aux films pornographiques. Je me suis rendu compte que les films m’excitant le plus sont des scènes à trois à deux hommes ou deux femmes. Je ne sais pas si ça a un lien avec samedi soir et Laurie, mais je regarde plusieurs scènes par jour.
Pour couronner le tout, la nuit je ne fais plus de rêves érotiques. Ce sont des rêves pornographiques dont je suis l’héroïne. Souvent avec plusieurs partenaires filles comme garçons de tout âge. Je me réveille chaque matin avec une envie de baiser. Ma main ne me suffit plus à me soulager seule.
En un mot, je suis frustrée. L’ennui mène à la frustration qui nous mène à faire des choses irrationnelles. En ce jour pluvieux, en me masturbant une nouvelle fois devant un film, je réalise ma première chose irrationnelle : je prends mon téléphone et appelle Laurie :
Elle raccroche aussi sec comme à son habitude. La journée passe et en fin d’après-midi un numéro inconnu m’appelle. Je pense qu’il s’agit de Magali et Cédric. L’excitation que j’avais toute la journée a totalement disparu. Maintenant j’ai une boule au ventre. Qu’est-ce qui m’a pris de dire oui à Laurie ? Après quelques secondes d’hésitation, je me décide à décrocher.
C’est une femme qui appelle. Une jolie voix douce. Mais étant un peu gênée par la situation, je perds tous mes moyens pour répondre. Je ne peux que répondre :
Je passe les détails de la conversation. On se met rapidement à se tutoyer et elle arrive à me mettre à l’aise et on arrive à échanger sur nos envies. Magali et Cédric ont trente ans tous les deux. Ils sont ensemble depuis dix ans et libertins depuis cinq ans. Elle est bisexuelle et ils recherchent des partenaires pour des soirées coquines. Nous convenons d’un rendez-vous vendredi soir à la maison de ma tante. Ça sera avant tout pour un apéritif dînatoire au bord de l’eau et on verra ce qui se passera ensuite comme elle dit.
Une fois le téléphone raccroché, la boule que j’avais au ventre a totalement disparu. Elle a laissé la place à une nouvelle excitation. Plus importante encore que ce que j’avais jusqu’à maintenant. Savoir que je vais réaliser mon fantasme me rend folle. Un peu intimidée, mais surtout excitée.
Bonne nouvelle, jeudi et vendredi le temps redevient très beau et chaud. Je vais faire quelques courses vendredi dans la matinée. Par cette chaleur, toutes les filles sont en tenue légère et je peux mater tranquillement dans les rayons. Il y a une semaine à peine je n’étais pas comme ça. Mais depuis samedi soir je suis devenue une accro au sexe. J’ai même commencé à mouiller quand, au rayon des surgelés, j’ai vu les tétons d’une fille pointer sous le débardeur par le froid.
Pendant ces courses, je reçois un SMS de Laurie. Elle écrit un simple « Alors ? » Je lui réponds que c’est pour ce soir. Elle me renvoie la photo d’un chat sphinx avec un smiley en clin d’œil. J’ai bien compris le message et fais un détour au rayon hygiène pour acheter un rasoir en m’amusant de ce symbole assez exagéré.
L’après-midi me semble interminable. Tout est prêt pour ce soir mais je suis à la fois anxieuse et impatiente. Mais plus l’heure du rendez-vous approche, plus l’impatience cède la place à l’anxiété. Je me dis que j’ai peut-être fait une bêtise. J’ai invité des gens totalement inconnus pour un plan cul dans une maison qui n’est pas la mienne. Que dirait ma tante si elle savait ça !
J’ai eu beaucoup de mal à choisir ma tenue. Après beaucoup d’hésitations et sur conseils de Laurie par téléphone, j’opte pour une de mes robes d’été blanche avec un string mais sans soutien-gorge. Je fais confiance à Laurie même si je ne serai pas très à l’aise d’être sans soutien-gorge devant des inconnus. Je tourne en rond comme dans un lion en cage. Je n’arrive pas à rester en place jusqu’à ce que j’entende une voiture s’approcher, se garer, des gens en sortir et venir sonner à la porte. Avec une grande boule au ventre et prenant une grande inspiration, je leur ouvre.
Je vois tout d’abord Magali. Une très jolie femme aux yeux bleus, les cheveux noirs mi-longs. Grande, elle porte une belle robe d’été noire et or arrivant à mi-cuisses et très décolletée. Je ne peux m’empêcher de baisser les yeux sur sa poitrine imposante. En me faisant la bise, elle dégage l’odeur d’un parfum très agréable.
Cédric juste derrière elle est un très bel homme. Il est plus petit qu’elle mais possède une musculature impressionnante. Blond, yeux verts, cheveux courts, mâchoire carrée, il est habillé d’un débardeur noir et d’un bermuda.
Je les invite à me suivre jusqu’à la pergola au bord de la piscine. Nous nous asseyons, buvons un verre et parlons tout d’abord de tout et de rien. Nous parlons de la maison, du jardin, du temps, des vacances, etc. Aucune allusion au sexe ni au libertinage. Après un verre de mojito et une conversation tout à fait banale, je me sens plus détendue.
Cédric ne tient pas en place. Il pose les questions mais n’écoute pas forcément la réponse. Il regarde autour de lui. Se lève souvent pour aller regarder de près la piscine ou le jardin japonais. Ça a au moins un avantage, je peux admirer sa démarche assurée et sa musculature imposante. De dos, il a une paire de fesses à croquer. Magali est plus sage. Elle m’écoute parler avec de grands yeux, me fait beaucoup de sourires. Elle est accoudée sur son siège dans ma direction, ses magnifiques jambes croisées, je suis quant à moi assise sur la banquette. Les jambes croisées aussi mais assez recroquevillée. Sans doute encore un peu timide.
À force de regarder Cédric admirer le jardin japonais, Magali décide de faire la même chose. Je me lève également et lui montre la petite cascade, la mare aux poissons et explique rapidement le fonctionnement de la fontaine à Cédric. Il est admiratif et reste planté là sans rien dire à regarder la roue en bois tourner au rythme du courant créé par la cascade. Magali retourne s’asseoir, je la suis. Une fois à la pergola, elle ne s’assoit pas tout de suite, elle prend négligemment son verre en regardant Cédric, le temps pour moi de m’asseoir à ma place dans ma banquette et qu’elle puisse s’asseoir à mon côté. Elle est très proche, nos cuisses nues se touchent et elle croise les jambes dans ma direction de manière à ce que son mollet touche mon genou. Je reconnais sa jolie approche sans rien dire, je ne l’avais pas vue venir.
En disant cela, elle pose doucement sa main sur ma cuisse. J’attendais ce moment mais cela crée en moi comme une décharge électrique sur le coup se transformant en vague de chaleur parcourant tout mon corps. L’excitation grandit en moi. Je me laisse faire. Ses doigts fins et agiles caressent tout doucement ma cuisse. Nous ne parlons pas. Je suis comme tétanisée. Ses caresses deviennent plus franches. Son autre main vient caresser mon ventre, mon dos, ma nuque. Son visage se rapproche, son si beau visage à quelques centimètres du mien. Comme prisonnière de ses mains, je me laisse guider vers elle pour échanger un baiser. Pas un smack entre filles, un vrai baiser passionné.
Ce baiser dure. Ses mains quittent petit à petit mon visage pour se concentrer sur mes épaules, mes seins. Elle embrasse mon cou, elle trouve vite mes points faibles. Je ne peux m’empêcher de pousser de petits gémissements. Un signal pour elle. Ses mains sur mes épaules font descendre les bretelles de ma robe tout doucement. Mon corps est parcouru de frissons et je l’embrasse de plus belle. Les bretelles de ma robe sur les bras rendent mes mouvements compliqués, je ne peux m’empêcher de les remonter pour pouvoir ôter ma robe. Magali m’aide à la retirer et enlève également la sienne. C’est seulement maintenant que je remarque qu’elle ne portait pas de sous-vêtements.
Nous sommes toutes les deux entièrement nues sur la banquette et nous reprenons nos baisers de plus belle. Magali peut maintenant faire parcourir ses mains sur tout mon corps : mes seins, mon dos, mes cuisses. Ses caresses sont de plus en plus franches et se rapprochent de mon intimité. Naturellement j’écarte les cuisses pour lui permettre d’accéder à ma petite chatte déjà très humide.
Elle se lève de la banquette et vient se positionner à genoux entre mes jambes. Ses mains sur mes cuisses elle me regarde en m’interrogeant du regard sur la suite. Elle prend mon sourire pour un accord et sa bouche vient se poser sur mon sexe. Sa langue agile parcourt toute mon intimité, ses mains me caressent les cuisses. Je me laisse aller, fermant les yeux en profitant de ce qu’elle me fait.
Mes mains viennent naturellement sur mes tétons que je caresse. Magali sans cesser de m’aspirer le clitoris aventure un doigt le long de mes lèvres. Je pousse des soupirs de plaisir. Elle est vraiment douée. Elle y arrive beaucoup mieux que tous mes ex réunis.
Un petit moment de surprise lorsqu’elle enfonce un doigt dans mon vagin et en entamant de lents va-et-vient.
J’ouvre les yeux. Magali a les siens fermés et ne s’occupe que de me procurer du plaisir. Je referme les yeux et me laisse totalement aller.
Je ne sais pas combien de temps ce petit jeu a duré mais j’ai fini par jouir sous sa langue et ses caresses. Après avoir repris mes esprits, je regarde Magali qui a la bouche et le menton luisants de mon jus. Je lui ai littéralement explosé au visage. Sans hésiter je lui prends son visage à pleines mains et l’embrasse fougueusement comme pour la remercier de m’avoir donné autant de plaisir. Je n’avais jamais joui de cette façon. C’est plus tendre, plus intense qu’avec un homme.
J’avais complètement oublié la présence de Cédric. Je le vois assis dans un fauteuil en face de la banquette. Il est entièrement nu, son sexe dressé impressionnant touche son ventre et il adresse un sourire complice à sa femme. Il se masturbe doucement mais ne bouge pas. Visiblement, il ne veut rester que spectateur et laisser sa femme décider s’il doit intervenir ou non. Magali lui rend son sourire et me dit :
Je me surprends moi-même à dire cette phrase. Magali après un petit moment d’hésitation se met à rire. Elle me tend la main que je lui donne sans hésiter et me dirige vers Cédric. Arrivée à sa hauteur, elle tourne de manière élégante sur elle-même avant de se mettre à genoux devant lui m’invitant à faire pareil. Cédric a cessé sa masturbation et nous regarde à tour de rôle sans rien dire. Magali embrasse son homme en caressant son corps. Ses mains se dirigent très vite vers son sexe qu’elle masturbe un peu. De mon côté, je parcours de mes mains son corps bien fait, m’attardant sur les abdominaux et pectoraux. J’ai toujours eu un faible pour les mecs musclés. C’est là que je remarque qu’il est totalement épilé : torse, aisselles et sexe.
Magali interrompt son baiser et descend vers ce membre dressé. Elle dépose quelques baisers sur le gland, la hampe, les testicules avant de venir engober ce sexe qui n’attendait que ça. D’une main elle caresse ses testicules pendant que de l’autre elle me caresse le dos. Elle regarde son homme dans les yeux avant de me regarder puis de sortir ce sexe de sa bouche. Son regard est une invitation.
Ma main rejoint la sienne sur le sexe et ma bouche va directement sur ce gland. Le goût est agréable. La timidité passée, je suce maintenant avec soin ce sexe d’homme inconnu il y a encore quelques minutes. Les gémissements de plaisir de Cédric me font comprendre qu’il apprécie ce traitement.
Magali caresse mon corps. Ses mains caressent ma poitrine, mes hanches puis petit à petit jusqu’à mon intimité. Mon excitation qui n’avait pas vraiment faibli est à nouveau à son maximum. Je mouille comme une fontaine. Magali le sent et s’applique avec soin à me masturber et s’aventure même avec un doigt dans mon intimité. Je gémis sous ses caresses en voulant plus.
Cédric me prend la main et m’aide à m’allonger sur le dos sur la banquette. Magali aux petits soins s’occupe de placer un coussin sous ma tête pour que je sois à l’aise. Elle me gratifie d’un joli sourire puis prend mes jambes dans ses mains pour les écarter sans aucune pudeur devant Cédric qui se présente devant moi après avoir mis un préservatif. Il caresse mon bouton avec son sexe puis le présente devant mon intimité qui l’accueille. Il me pénètre doucement me laissant profiter de cet instant. Une fois que son sexe m’a prise entièrement, il me tient à son tour les jambes puis commence des mouvements de va-et-vient. Tout doucement d’abord puis de plus en plus vite faisant monter en moi un immense plaisir.
Il sait alterner les mouvements rapides, les mouvements lents. En profite pour me caresser le bouton ou le corps. À chaque fois, sa caresse continue à m’exciter davantage, il sait comment donner du plaisir à une femme, aucun doute. Tellement concentrée sur mon plaisir, j’en avais presque oublié Magali. Elle a enlevé sa robe et s’est rapprochée de Cédric. Entièrement nue, en n’ayant gardé que ses sandales, elle embrasse goulûment Cédric en le caressant. Quand elle ne l’embrasse pas c’est pour le regarder me pilonner puis me regarder avec des yeux coquins.
Je ne sais pas combien de temps il s’est passé, mais j’ai l’impression que l’orgasme est vite arrivé. Est-ce Cédric qui me pénètre, le regard et les caresses de Magali ou le fait qu’on soit à trois, je ne sais pas. Mais j’ai rarement joui aussi fort, hurlant littéralement mon plaisir à la grande surprise de mes deux compagnons. J’ouvre les yeux, reprenant mes esprits petit à petit.
Cédric et Magali me regardent avec un joli sourire. Magali force Cédric à se retirer et lui enlève la capote. Elle se met à genoux et prend son sexe en bouche et le suce avec vigueur, branlant ce sexe dur. Les gémissements plus prononcés de Cédric me font comprendre que sa jouissance est proche. Magali le suce avec encore plus de fougue et au dernier moment se retire pour laisser Cédric se répandre sur mon ventre. De longs jets chauds m’inondent des seins jusqu’au sexe. Visiblement, Cédric a beaucoup de ressources. Magali lâche le sexe de son mari et se penche sur moi pour lécher tout le sperme qu’il a versé. Je la laisse faire, c’est une sensation agréable. Sa langue chaude, agile aspirant la moindre goutte de sperme me donne des chaleurs au ventre. Son doigt luisant de sperme s’approche de ma bouche. Ne pouvant refuser une telle invitation je prends son doigt que je lèche sensuellement enlevant tout le sperme qu’il contenait. Voyant que je ne suis pas rebutée par le sperme, Magali se rapproche et m’embrasse partageant avec elle le sperme de Cédric.
Une fois tout le sperme nettoyé Magali se redresse.
Nous rigolons et reprenons nos places. Nous sommes tous les trois nus autour de la table en train de boire un verre. Ce qui me semble dingue, c’est que cette situation originale me paraît tout à fait normale. Comme si c’était naturel de faire un plan à trois sur une terrasse en été. Je n’avais aucune intention d’arrêter ce moment et je comptais bien faire durer la soirée.
Quand nous ne faisions pas l’amour, nous parlions de sexe. J’en appris plus sur la sexualité libérée de mes deux amants d’un soir. Lui est libertin depuis toujours, son premier rapport sexuel s’est fait lors d’un plan à trois avec ses potes de rugby et depuis il a multiplié les rencontres en boîte surtout. Magali beaucoup plus sage de ce côté s’est laissée convaincre petit à petit de suivre Cédric dans le libertinage. Le premier pas a été long à franchir, mais elle s’est lâchée depuis et pour elle ça lui semble naturel de vivre de cette manière.
La conversation sur le sexe nous excite tous. Nous avons fait l’amour plusieurs fois dans la nuit avec toutes les combinaisons que peuvent réaliser trois personnes. Cédric m’a particulièrement impressionnée. Il était infatigable. Il ne jouissait pas à chaque fois car nous le sollicitions beaucoup. Mais à chaque sollicitation il répondait présent. La nuit est très vite passée. C’est quand les rayons de soleil de l’aube franchirent l’horizon que mes hôtes prirent congé. Nous nous sommes promis de nous revoir. En attendant, je monte me coucher épuisée.
À suivre…